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Champtocé-sur-Loire

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Champtocé-sur-Loire
Champtocé-sur-Loire
La mairie.
Blason de Champtocé-sur-Loire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
Maire
Mandat
Valérie Lévêque
2020-2026
Code postal 49123
Code commune 49068
Démographie
Gentilé Champtocéens
Population
municipale
1 846 hab. (2021 en évolution de −1,39 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 45″ nord, 0° 51′ 43″ ouest
Altitude 73 m
Min. 11 m
Max. 83 m
Superficie 36,76 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Champtocé-sur-Loire
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Champtocé-sur-Loire
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Champtocé-sur-Loire
Liens
Site web « www.champtoce.fr »

Champtocé-sur-Loire est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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Commune angevine de la rive droite (nord) de la Loire, Champtocé-sur-Loire se trouve à l'ouest de Saint-Georges-sur-Loire, sur les routes D 219, Villemoisan / Montjean-sur-Loire, et N 23, Ingrandes / Saint-Georges-sur-Loire (route nationale Angers Nantes)[1]. L'Autoroute A11 passe au nord de la commune, donnant un accès à la zone Anjou Acti-Parc qui comprend plusieurs entreprises (technologie, bâtiment, etc.).

Hydrographie

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Une boire (bras de la Loire), la boire de Champtocé, alimentée par les eaux de la Romme, rejoint le fleuve à Ingrandes. Elle était autrefois navigable, et permettait également le flottage du bois et l'approvisionnement du château de Champtocé.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Angrie à 19 km à vol d'oiseau[4], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Champtocé-sur-Loire est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,9 %), terres arables (28,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), forêts (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), zones urbanisées (1,9 %), eaux continentales[Note 2] (1,6 %), zones humides intérieures (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie et héraldique

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Formes anciennes : Cantonsciacus vers 1015, Chantoce en 1190, Champtocé au XVe siècle. De Cantucius, nom d'homme gallo-romain[13],[14].

Gentilé : Champtocéens[13].

Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'or à la croix de sable.
Commentaires : Il s'agit des armes de Gilles de Rais, natif de Champtocé-sur-Loire, dont il fut le seigneur. Ces armes sont elles-mêmes celles de sa baronnie de Retz, en Bretagne[15].

On suppose que la terre se trouve au Xe siècle entre les mains du compte d'Anjou et qu'une citadelle défend déjà le passage de la Loire[16]. Un château fort est en place au moins dès le XIe siècle, précédant probablement l'église qui semble avoir été fondée par des religieux de Saint-Florent-le-Vieil. Les chapelles y sont nombreuses, dont la plus ancienne est fondée avant la fin du XIIe siècle par Maurice de Craon[17].

Au début du XVe siècle, Marie de Craon, dont la famille possède la terre, épouse Guy de Laval, baron de Rais, seigneur de Blaison et de Chemillé. La terre passe alors dans les mains des seigneurs de Laval. De leur union naissent Gilles, baptisé dans la chapelle du château, et René de Rais[16].

Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais, qui exerce de nombreuses turpitudes dans la région, vend la terre au duc de Bretagne malgré les protestations du roi de France et de René d'Anjou. Le château est rendu plus tard, au milieu du XVe, à Prigent de Coëtivy, qui a épousé la fille de Gilles de Rais. Dès cette époque le château de Champtocé est passablement délabré, qui subit les guerres franco-bretonnes[16].

Le château reste habité jusqu'au milieu du XVIIe siècle[16].

55 habitants perdent la vie durant la Première Guerre mondiale et 10 lors de la Seconde Guerre mondiale[14].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
1800   Christophe Berthelot    
1808   Thomy de La Haie    
1813   Marie-Joseph Bernabé de La Haie    
7 avril 1815   Auguste Mahot    
12 juillet 1815   Bernabé de La Haie    
9 décembre 1815   Ange d'Andigné de Lancrau    
1821   Pierre Abraham    
1826   Charles-Auguste-Joseph d'Andigné    
1830   François Mareau    
1836   Bodet-Boispineau    
1838   Louis Mahot    
24 février 1852   Charles d'Andigné fils   Nommé sous-préfet à Provins
24 juin 1852   Charles d'Andigné père    
1857   René Juin-Coupry    
1865   Desjardin    
1866   Gaston de La Bévière    
1912   Gustave Jubin    
1945   Gaston de La Bévière    
1953   Stéphane Bodet    
mars 1977 mars 2008 Bernard Bourrigault[19]   Technicien SNCF retraité
mars 2008 En cours
(au 4 juin 2020)
Valérie Lévêque[20],[21]   Vétérinaire
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes Loire-Layon-Aubance. Jusqu'en 2016 elle était intégrée à l'intercommunalité Loire-Layon qui regroupait 10 communes[22] et qui faisait partie de la structure administrative d'aménagement du territoire Pays de Loire en Layon[23].

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Champtocé-sur-Loire fait partie du canton de Saint-Georges-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[24]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[25].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 1 846 habitants[Note 3], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4211 8311 7711 2451 9231 9771 9802 1242 197
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1502 1632 1162 0662 0301 9942 0481 9421 736
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7501 6871 6801 4791 5491 5561 4621 4131 371
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3981 3841 3201 2331 3351 5331 7011 7251 851
2017 2021 - - - - - - -
1 8681 846-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 909 hommes pour 961 femmes, soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
4,1 
7,2 
75-89 ans
10,5 
15,1 
60-74 ans
13,2 
19,5 
45-59 ans
18,6 
20,7 
30-44 ans
19,8 
15,4 
15-29 ans
13,4 
21,0 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Sur 129 établissements présents sur la commune à fin 2010, 24 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 17 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[32].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Château médiéval - La tour éventrée.
Château médiéval - La tour éventrée.

Trois châteaux de Champtocé sont inventoriés aux Monuments historiques :

  • Le château de Beauchesne, construit au XVIIIe siècle, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [33].
  • Le château de Lancrau, des XVe et XIXe siècles, inscrit partiellement (chapelle) au titre des Monuments historiques par arrêté du [34].
  • Le château médiéval, dit de Gilles de Rais, dont les restes sont inscrits Monument historique par arrêté du [35].

On y trouve également les châteaux Le Pin et Vaubciseau[14].

La commune compte d'autres monuments historiques[36] :

  • Le dolmen du Champ-du-Ruisseau, classé Monument historique par décret du [37] ;
  • Le dolmen de la Romme, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [38] ;
  • L'église Saint-Pierre, construite au XIVe siècle et au XVIe siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [39] ;

Le dolmen de la Boire de Champtocé, jusqu'alors totalement inconnu, a été révélé par la sécheresse de 1976 en Europe[40].

D'autre part, les jardins du château du Pin bénéficient du label jardin remarquable[41].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 634-637.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail Champtocé-sur-Loire (49), consulté le 17 décembre 2012.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Champtocé-sur-Loire et Angrie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Angrie », sur la commune d'Angrie - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Angrie », sur la commune d'Angrie - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Champtocé-sur-Loire »..
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 50.
  14. a b et c Célestin Port 1965, p. 634.
  15. L'armorial des villes et des villages de France.
  16. a b c et d Célestin Port 1965, p. 636.
  17. Célestin Port 1965, p. 635.
  18. Célestin Port 1965, p. 637, liste des maires jusqu'en 1965.
  19. Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 40-41.
  20. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  21. « Champtocé-sur-Loire. Valérie Lévêque enfile à nouveau l'écharpe tricolore », sur Ouest-France, (consulté le ).
  22. Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
  23. Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
  24. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Champtocé-sur-Loire, consultée le 15 février 2015.
  25. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Champtocé-sur-Loire (49068) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  32. Insee, Statistiques locales du territoire de Champtocé-sur-Loire (49), consultées le 16 décembre 2012.
  33. « Chateau de Beauchesne », notice no PA00109015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Chateau de Lancrau », notice no PA00109017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Château de Gilles de Rays (restes) », notice no PA00109016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Base Mérimée pour Champtocé-sur-Loire.
  37. « Dolmen (lieu-dit Champ du Ruisseau) », notice no PA00109018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Dolmen de la Romme », notice no PA00109440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Eglise », notice no PA00109021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Michel Gruet, Guy Collin et Alain Braguier, « Le dolmen immergé de la boire de Champtocé (Maine-et-Loire) », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 75-1,‎ , p. 24-28 (lire en ligne).
  41. Présentation des jardins sur le site du comité des Parcs et Jardins de France.
  42. Matei Cazacu, Gilles de Rais, Paris, Tallandier, , 384 p. (ISBN 2-84734-227-3), p. 11.
  43. Pierre Boutin, Pierre Chalumeau, François Macé et Georges Peyronnet, Gilles de Rais, Nantes, Centre national de documentation pédagogique (CNDP) et Centre régional de documentation pédagogique (CRDP) de l'Académie de Nantes, , 158 p. (ISBN 2-86628-074-1), p. 100.