Bretoncelles
Bretoncelles | |
L'église Saint-Pierre. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur du Perche |
Maire Mandat |
Daniel Chevee 2020-2026 |
Code postal | 61110 |
Code commune | 61061 |
Démographie | |
Gentilé | Bretoncellois |
Population municipale |
1 469 hab. (2021 ) |
Densité | 37 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 25′ 54″ nord, 0° 53′ 15″ est |
Altitude | Min. 120 m Max. 266 m |
Superficie | 40,21 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Nogent-le-Rotrou (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bretoncelles (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.bretoncelles.fr |
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Bretoncelles est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 469 habitants[Note 1]. Elle fait partie du parc naturel régional du Perche et de la communauté de communes Cœur du Perche.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Perche. Son bourg est à 9 km à l'est de Rémalard, à 11 km à l'ouest de La Loupe et à 14 km au nord-est de Nogent-le-Rotrou[1]. Il est desservi par la gare de Bretoncelles, située sur la ligne Paris - Chartres - Nogent-le-Rotrou - Le Mans.
Bretoncelles est traversée par le Paris-Le Mans.
Couvrant 4 025 hectares, le territoire communal était, avant les fusions de communes provoquées par la réforme des collectivités territoriales au milieu des années 2010, le plus étendu du canton de Rémalard et le second de l'arrondissement de Mortagne-au-Perche.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le point culminant (266 m) se situe au sud-est, près du lieu-dit la Grande Forêt. Le point le plus bas (120 m) correspond à la sortie de la Corbionne du territoire, au sud.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Bretoncelles est dans le bassin de la Loire, par son sous-affluent la Corbionne — affluent de l'Huisne — qui traverse le territoire du nord au sud. Plusieurs de ses propres affluents parcourent le territoire communal dont la Donnette et la Ribaille.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 761 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Loupe à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bretoncelles est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (32,4 %), forêts (31,7 %), zones urbanisées (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom du bourg est attesté sous la forme Bertoncelli en 1245[15]. La forme Bert(h)oncelles est régulièrement utilisée jusqu'au XVIIIe siècle. Puis, par attraction avec le mot Breton, la forme Bretoncelles se fixe définitivement au XIXe siècle[16].
Il serait issu d'un anthroponyme germanique Berto[15],[17],[18] ou Berton[17], et du bas latin cella pouvant évoquer une « petite maison »[18] ou un « monastère »[15].
Le gentilé est Bretoncellois.
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Outre le bourg de Bretoncelles proprement dit, la commune se compose de 15 hameaux et de 107 lieux-dits. Leur appellation se rattache à trois grande catégories : une origine anthroponymique pour 60 d'entre eux ; une dénomination toponymique liée aux eaux et forêts pour 24 d'entre eux, et celles liées à l’agriculture pour 38 d'entre eux.
Histoire
[modifier | modifier le code]Des pierres taillées ou polies, notamment des silex, les plus vieilles datant d'il y a 25 000 ans, sont découvertes en grand nombre sur un terrain limitrophe de l'Orne et de l'Eure-et-Loir par un particulier qui en fait la collection entre les années 1960 et les années 2000 et en fait don à la médiathèque de Bretoncelles en 2022. Elles témoignent de la vie locale durant la Préhistoire. Les outils comprennent notamment des pointes de flèches, des grattoirs, des couteaux, des outils pour dépecer et des burins[19].
Au milieu du XIe siècle, un château sur motte est construit par Rotrou II de Nogent pour faire face au fief de Rémalard relevant du Thymerais[16].
À la création des cantons, Bretoncelles est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801).
Le 21 novembre 1870, durant la guerre franco-allemande, eurent lieu les combats de la Fourche, de la Madeleine et de Bretoncelles où furent engagés le 49e régiment provisoire formé de la garde nationale mobile de l'Orne, le bataillon Finistère-Morbihan de la garde nationale mobile, composé de cinq compagnies de marche du Finistère et de deux compagnies de marche du Morbihan, du 9e bataillon de marche d'infanterie de marine composé de quatre compagnies de marche du 1er régiment d'infanterie de marine et du 10e bataillon de marche d'infanterie de marine composé de quatre autres compagnies de marche du 1er régiment d'infanterie de marine[20].
En décembre 1974, l'annonce de la fermeture de l'usine Piron, qui menace 86 emplois, déclenche un mouvement ouvrier qui dure deux ans. Les ouvriers décident de licencier leur patron, prennent le contrôle de la production et la poursuivent[21]. Ce mode d'action n'est pas unique à l'époque et s'inscrit dans le prolongement de la grève de l'entreprise d'horlogerie Lip à Besançon, dont les ouvriers ont également adopté ce mode d'action au cours de l'affaire Lip à partir d'avril 1973[22]. Cette tactique de l'occupation productive est fréquente dans le mouvement ouvrier des années 1960-1970[23],[24]. Un administrateur provisoire de l'entreprise Piron est désigné fin décembre[25]. En janvier 1975, les ouvriers occupent brièvement la mairie[26]. L'entreprise Piron est finalement rachetée par la Sodem en février 1976. Cependant, seule une vingtaine d'ouvriers est réembauchée. Les deux syndicalistes à l'origine de la grève restent sans emploi et sont mis sur liste noire par les entreprises des environs : ils entament alors une grève de la faim en février 1979[27],[28].
Pour les 50 ans de la gréve de 1974, un spectacle Bretoncelles, si un jour ça se passait ainsi est mis sur pied pour le 17 septembre 2023[29]. Mais à la suite de l'intervention de Corinne Piron, fille de Michel Piron, ancien patron de l'usine, le spectacle est annulé, le maire craignant des débordements. La représentation s'est toutefois tenue devant 300 personnes, sur un terrain privé, malgré les manœuvres de membres de la famille Piron qui tentaient d'empêcher leur arrivée, puis, au moyen de différents dispositifs sonores, de perturber le spectacle[30].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[32].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2021, la commune comptait 1 469 habitants[Note 3], en évolution de +0,34 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Bretoncelles est la commune la plus peuplée du canton. Elle a compté jusqu'à 2 375 habitants en 1836.
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Le Football club bretoncellois fait évoluer une équipe de football en division de district[37].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre (Renaissance).
- La butte du Château. Vestiges d'une motte féodale[38] en forêt de Saussay.
- Manoir de la Dourdannerie.
- L'Aunay et sa maison de maître.
- Moulin Colas.
- Moulin d'Arrondeau.
- Logis du Noyer.
- Fournil de la Dougère.
- Croix de chemin de campagne de La Régeolière.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- L'abbé Louis-Joseph Fret (1800 à Bretoncelles - 1843), historien du Perche[39].
- Eugène Lavieille (1820-1889) a séjourné à Bretoncelles où il a peint[Note 4], ainsi qu'à Moutiers-au-Perche dans les environs[40].
- Daniel Goulet (1928-2007), sénateur UMP, né dans la commune.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur au chevron d'argent accompagné en pointe de trois besants d'or mal ordonnés, celui de senestre abaissé. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Albert Desvaux, Un coin du Perche. Bretoncelles et les environs, Bellême, G. Levayer, 1910.
- « Fonctions et répartition de l’espace dans la basse-cour d’une fortification de frontière : Bretoncelles (Orne) », dans Peter Ettel, Anne-Marie Flambard Héricher, Tom E. McNeill (dir.), Château Gaillard 21, Études de castellologie médiévale, Actes du colloque international de Maynooth (Irlande) 23-30 août 2002, Caen, Publications du Crahm, 2004, p. 79-97.
- Vigna Xavier, L’insubordination ouvrière dans les années 68 : Essai d’histoire politique des usines, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2007, p. 109, 155, 160. (ISBN 9782753529823) DOI https://doi.org/10.4000/books.pur.5957 [lire en ligne]
- Bretoncelles, 1939-1945 : témoignages, mémoires et anecdotes, témoignages réunis par Édith Loumagne et Daniel Sache, Bretoncelles, éditions de l'association Bretoncelles, patrimoine et nature (BPN), 2015. (ISBN 978-2-7466-8129-3) (EAN 9782746681293)
- Bretoncelles : un village du perche, Bretoncelles, éditions de l'association Bretoncelles, patrimoine et nature (BPN), 2015. (EAN 9782746681293)
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Résumé statistique de Bretoncelles sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
-
- Les Chênes du Pré-Neuf; Bretoncelles (Orne). Matinée de Juillet.
- L'Église de Bretoncelles (Orne) ; nuit.
- Un Gué sur la Donnette, à la ferme de l'Aulnaie ; Bretoncelles (Orne) ; temps gris.
- Crue de la Donnette à Bretoncelles (Orne) ; soir d'automne.
- La Booz, près Bretoncelles (Orne); nuit.
- Une Crue de la Corbionne dans les prés de Bretoncelles (Orne) ; lever de lune. Esquisse du tableau du Salon de 1881, acheté par le musée de Rouen.
- Crépuscule à Bretoncelles (Orne).
- Un Soir à Bretoncelles (Orne).
- L'Église de Bretoncelles (Orne); temps gris.
- Bretoncelles (Orne). Route allant à Courvoisier; nuit.
- Bretoncelles (Orne). Route allant à Condé-sur-Huysne; nuit.
- Entrée de Bretoncelles (Orne); matin.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Bretoncelles et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Loupe_sapc » (commune de La Loupe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La Loupe_sapc » (commune de La Loupe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bretoncelles ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Françoise Leblond, Dominique Fournier, Raphaël Bijard et David Lambert (Maire) : directeur de la publication, « Bretoncelles - Un village, des hameaux - Histoire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Publication municipale, .
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 963.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 133.
- Bretoncelles. Pierre Monsallier a décidé de donner ses pierres préhistoriques à la commune, article de la rédaction dans Ouest France le 10 juin 2022. Page consultée le 9 septembre 2023.
- La bataille sur mairie.coulonges.free
- Les salariés d'une entreprise en difficulté décident de licencier... leurs patrons, article de Jean Benoit dans Le Monde le 20 décembre 1974. Page consultée le 9 septembre 2023.
- Jean-Paul Salles, « chapitre IV. La volonté du « tournant ouvrier » », dans La Ligue communiste révolutionnaire (1968-1981) : Instrument du Grand Soir ou lieu d'apprentissage ?, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 9782753531833, DOI 10.4000/books.pur.21301, lire en ligne), p. 145-182
- Guillaume Gourgues, « Occuper son usine et produire : stratégie de lutte ou de survie ?: La fragile politisation des occupations de l’usine Lip (1973-1977) », Politix, vol. 117, no 1, , p. 117 (ISSN 0295-2319 et 1953-8286, DOI 10.3917/pox.117.0117, lire en ligne, consulté le )
- Gérard Adam et Jean-Daniel Reynaud, Conflits du travail et changement social, Paris, Presses universitaires de France, 1978, p. 307-310.
- UN ADMINISTRATEUR PROVISOIRE EST DÉSIGNÉ AUX ÉTABLISSEMENTS PIRON, brève dans Le Monde le 26 décembre 1974. Page consultée le 9 septembre 2023.
- PIRON : la bastille de Bretoncelles, article de Pierre-Marie Doutrelant dans Le Monde le 10 janvier 1975. Page consultée le 9 septembre 2023.
- Cinq jours de grève de la faim : au nom de tous les travailleurs, article dans Ouest France les 17-18 février 1979.
- Lucie Rochette-Montalieu, « À Bretoncelles, un spectacle pour faire revivre la grève des ouvriers Piron en 1974 », Le Perche, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Jequier-Zalc, « La famille d’un patron fait interdire un spectacle sur la mémoire ouvrière », Politis, (lire en ligne, consulté le )
- Anne-Emmanuelle Lambert, « Le spectacle a finalement bien eu lieu dans une ambiance électrique », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )
- « Patrick Pinloche ne brigue pas un 5e mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « David Lambert s'installe à la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – FC Bretoncellois » (consulté le ).
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 576 (cf. Bretoncelles).
- « Site communal - Portrait de l'Abbé Fret, d'après le numéro 60 des « Cahiers Percherons » »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k12422536