Art déco à Limoges
Apparence
Le développement de l'art déco à Limoges bénéficie de l'essor économique et démographique de la ville lié à l'industrie, notamment la porcelaine et la chaussure. Ce style artistique emblématique des années 1920 et 1930 s'exprime dans l'artisanat par le biais d'ateliers comme celui de l'émailleur Camille Fauré[1] ou du verrier Francis Chigot[2], ou dans le paysage urbain par le biais d'architectes dont Roger Gonthier, auteur de la gare des Bénédictins ou du pavillon du Verdurier, est le plus emblématique.
Galerie
[modifier | modifier le code]-
Le pavillon du Verdurier (1919)
-
Cité-jardin de Beaublanc (1921-1923)
-
Vitraux de la gare de Limoges-Bénédictins (1924-1929)
-
La cité des Coutures (1925-1932)
-
Immeuble de l'Automobile Club (1935)
-
L'école de rééducation professionnelle Féret-du-Longbois (1939)
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Kiener, Camille Fauré et les siens : Du bâtiment aux émaux Art Déco, Limoges, Éditions Mon Limousin, , 144 p. (ISBN 978-2-490710-119, lire en ligne)
- Michel Kiener, Les émaux art déco de l’atelier Fauré, Limoges, Culture et patrimoine en Limousin, .
- Jean-François Julien, Limoges Insolite, Limoges, Le Populaire du Centre, .
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Pascal Coussy, « Un ouvrage sur les émaux “art déco” de l'atelier Fauré », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- Archives départementales de la Haute-Vienne, « Francis Chigot, maître verrier », sur archives.haute-vienne.fr (consulté le ).