1711 en philosophie
Apparence
Chronologies
1708 1709 1710 1711 1712 1713 1714 Décennies : 1680 1690 1700 1710 1720 1730 1740 Siècles : XVIe XVIIe XVIIIe XIXe XXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
L’année 1711 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :
Événements
[modifier | modifier le code]Publications
[modifier | modifier le code]- Alessandro Pascoli : Sofilo senza maschera, imprimerie de Gio. Francesco Buagni, Rome, 1711.
- Christian Thomasius : Weitere Erläuterungen der neueren Wissenschaft anderer Gedanken kennen zu lernen.
Naissances
[modifier | modifier le code]- [1] : David Hume[3] (décédé le ) est un philosophe, économiste et historien écossais. Il est considéré comme un des plus importants penseurs des Lumières écossaises (avec Adam Smith et Thomas Reid) et est un des plus grands philosophes et écrivains de langue anglaise[4]. Fondateur de l'empirisme moderne (avec Locke et Berkeley), l'un des plus radicaux par son scepticisme, il s'opposa tout particulièrement à Descartes et aux philosophies considérant l'esprit humain d'un point de vue théologico-métaphysique : il ouvrit ainsi la voie à l'application de la méthode expérimentale aux phénomènes mentaux[6].
Décès
[modifier | modifier le code]- John Norris (né en 1657) fut un philosophe et théologien anglais.
- à Paris : Claude Frassen, né en 1620 à Péronne, est un franciscain philosophe et théologien scotiste.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Le 26 avril dans le calendrier julien, encore en usage en Grande-Bretagne à cette époque.
- cf. Traité de la nature humaine, Livre I, édition GF, Paris, 1995, p. 427.
- Prononcé ˈhjuːm, il s'appelait à l'origine David Home[2].
- « The most important philosopher ever to write in English […] », William Edward Morris, article « David Hume », in Stanford Encyclopedia of Philosophy. (trad. : Le plus important philosophe qui ait jamais écrit en anglais…).
- The Cambridge Companion to Hume, p. 33
- « […] there is a thread running from Hume's project of founding a science of the mind to that of the so-called cognitive sciences of the late twentieth century. For both, the study of the mind is, in important respects, just like the study of any other natural phenomenon. »[5]