Partis politiques en Tunisie
209 partis politiques en Tunisie parmi ceux fondés en 2011 sont actifs au sein du système politique en novembre 2017[1]. 18 d'entre eux comptent des députés à l’Assemblée des représentants du peuple et cinq disposent de plus de huit sièges dont Nidaa Tounes et Ennahdha qui occupent une position dominante.
La quasi-totalité d'entre eux ont été créés après la révolution de 2011 mais plusieurs d'entre eux ont fusionné ou intégré d'autres partis. Certains connaissent des défections, d'autres sont mort-nés et n'ont accompli aucune activité après leur autorisation.
Histoire
[modifier | modifier le code]Constitution de 1959
[modifier | modifier le code]À l'indépendance, la Tunisie possède un système politique caractérisé par un parti politique dominant, le Néo-Destour qui devient quelques années plus tard le Parti socialiste destourien, transformé après l'accès du président Zine el-Abidine Ben Ali au pouvoir, en 1987, en Rassemblement constitutionnel démocratique. Certains partis d'opposition sont autorisés mais ne sont pas en mesure de prendre le pouvoir.
À l'indépendance, la Tunisie possède un système politique caractérisé par un parti politique dominant, le Rassemblement constitutionnel démocratique, héritier du mouvement indépendantiste mené par Habib Bourguiba. Certains partis d'opposition sont autorisés mais ne sont pas en mesure de prendre le pouvoir.
Révolution et assemblée constituante
[modifier | modifier le code]Cette situation évolue à la suite de la révolution de 2011 : un premier gouvernement d'union nationale est formé à partir d'indépendants et de certains partis d'opposition légalisés. Le , la légalisation de tous les partis politiques et associations autrefois interdits est proclamée[2]. En date du 20 juillet, 92 nouveaux partis politiques ont été créés[3].
En outre, des élections libres sont planifiées à l'origine dans les soixante jours selon la Constitution de 1959[4] ; ces élections ont finalement lieu le [5] afin d'élire une assemblée constituante. L'« atomisation » de l'échiquier politique aurait pu être favorable aux islamistes d'Ennahdha, c'est pourquoi la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique a adopté le mode de scrutin proportionnel selon la méthode du plus fort reste, laquelle empêche un parti d'être prédominant dans l'assemblée et favorise la représentativité de la plupart des partis en compétition[6]. En outre, pour empêcher que le Rassemblement constitutionnel démocratique, parti du président déchu désormais dissous, puisse réapparaître sous une autre étiquette politique[7], la même instance propose de proclamer inéligibles ses anciens membres ayant assumé des postes de responsabilité durant les 23 années précédentes. Cette décision est fortement controversée mais l'article 15 de la loi sur l'élection de la constituante n'exclut finalement que les anciens membres du RCD ayant eu une responsabilité lors des dix dernières années ; cette loi prévoit l'établissement d'une liste nominative des personnes concernées.
Sur les 115 partis légalisés avant les élections de 2011, 97 ont présenté des listes spécifiques ou dans le cadre de coalitions, mais seuls 19 partis ont obtenu des sièges[8].
Constitution de 2014
[modifier | modifier le code]La Constitution de 2014 établit un régime semi-parlementaire et les élections législatives qui suivent conduisent à la domination de Nidaa Tounes et d'Ennahdha[1]. Leur collaboration puis leur alliance avec l'Union patriotique libre, contribue au blocage des prises de décision[1]. Par ailleurs, Nidaa Tounes est affaibli par des dissensions qui lui font perdre son rang de premier parti au profit d'Ennahdha et conduisent à la création de plusieurs partis comme Machrouu Tounes, Tounes Awalan ou Bani Watani. Toutefois, seul le premier bénéficie d'une représentativité parlementaire[1].
Partis pré-révolutionnaires
[modifier | modifier le code]Le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), fondé le en remplacement du Parti socialiste destourien[9], est au pouvoir de 1988 à 2011. Dirigé par le président Zine el-Abidine Ben Ali, il est dissout le , à la suite de la révolution tunisienne[10]. Le Parti démocrate progressiste, fondé le et reconnu le , fusionne au sein d'Al Joumhouri le [11].
Voici une liste des autres partis politiques présents sur la scène politique tunisienne avant la révolution :
Nom | Acronyme | Nom original | Date de légalisation | Orientation politique | Dirigeant | Notes |
---|---|---|---|---|---|---|
Mouvement des démocrates socialistes | MDS | حركة الديمقراطيين الاشتراكيين | Social-démocratie | Mohamed Ali Khalfallah | Scission du PSD Non reconnu à sa fondation le | |
Parti de l'unité populaire | PUP | حزب الوحدة الشعبية | Socialisme Panarabisme |
Hassine Hammami | Scission du MUP Non reconnu à sa fondation en | |
Parti social-libéral | PSL | الحزب الاجتماعي التحرري | Social-libéralisme | Mondher Thabet | ||
Union démocratique unioniste | UDU | الاتحاد الديمقراطي الوحدوي | Socialisme Panarabisme |
Ahmed Inoubli | ||
Parti des verts pour le progrès | PVP | حزب الخضر للتقدم | Écologisme | Mongi Khamassi | Scission du PSL[12] |
Partis post-révolutionnaires
[modifier | modifier le code]Les partis politiques majeurs dominant la scène politique en Tunisie[13] sont les suivants :
Nom | Nom original | Date de légalisation | Positionnement | Idéologie | Dirigeant | Notes |
---|---|---|---|---|---|---|
Ennahdha | حركة النهضة | 1er mars 2011 | Droite | Islamisme Conservatisme Démocratie islamique |
Rached Ghannouchi | Parti conservateur islamiste, non reconnu à sa fondation le , dénommé Mouvement de la tendance islamique jusqu'en 1989 ; branche des Frères musulmans en Tunisie |
Nidaa Tounes | نداء تونس | 6 juillet 2012 | Centrisme | Bourguibisme Laïcité |
Selma Elloumi | Fondé par l'ancien président Béji Caïd Essebsi en 2012, ambitionne de faire contre-poids au parti islamiste Ennahdha |
Al Joumhouri | الجزب الجمهوري | 9 avril 2012 (fondation) | Centrisme | Démocratie libérale | Issam Chebbi | Fondé par des membres de Afek Tounes, le Parti démocrate progressiste (PDP), le Parti républicain, Irada, Bledi, le Parti pour la justice social démocrate (PJSD) et le Parti Al-Karama, ainsi que des groupes et des listes indépendantes |
Parti des travailleurs | حزب العمال | 18 mars 2011 | Extrême gauche | Communisme Marxisme-léninisme Anticapitalisme |
Hamma Hammami | Non reconnu à sa fondation le , finalement légalisé par décision du gouvernement d'union nationale |
Parti destourien libre | الحزب الدستوري الحر | 23 septembre 2013 | Centre droit à Droite | Nationalisme Bourguibisme |
Abir Moussi | Héritier du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) |
Tahya Tounes | تحيا تونس | 4 mars 2019 | Centrisme | Libéralisme | Youssef Chahed | |
Ettakatol | التكتل الديمقراطي من أجل العمل والحريات | 25 octobre 2002 | Centre gauche | Social-démocratie Laïcité |
Khalil Zaouia | Scission du MDS, non reconnu à sa fondation le ; membre permanent de l'Internationale socialiste |
Afek Tounes | آفاق تونس | 28 mars 2011 | Centre droit | Progressisme Libéralisme |
Yassine Brahim | Membre fondateur du Réseau libéral Al Hurriya |
Partis légalisés
[modifier | modifier le code]Si 250 partis politiques non reconnus sous le régime du président Ben Ali ou nouvellement constitués sont légalisés à la suite de la révolution[1], diverses fusions ont lieu par la suite :
- Le Mouvement de la citoyenneté et de la justice, d'idéologie gauchiste, se dissout au sein du Parti tunisien du travail qu'il quitte ensuite pour rejoindre un parti de centre droit, l'Union patriotique libre (UPL) ; son secrétaire général Nabil Tlili en devient le coordinateur. Le Parti libéral tunisien, d'idéologie libérale et anti-islamiste, s'est également dissous dans l'UPL ; son président Mounir Baatour est désigné comme président du conseil des hommes d'affaires de l'UPL[14].
- Onze partis fusionnent le [15] pour donner naissance au Parti El Watani Ettounsi[16], avant que sept d'entre eux rejoignent L'Initiative[17]. Certains d'entre eux, à l'instar de Amor Bejaoui, chef de la Voix du Tunisien annoncent par la suite qu'ils rejoignent Nidaa Tounes de Béji Caïd Essebsi, ce dernier précisant qu'ils sont les bienvenus en adhérant individuellement et non comme représentants de partis.
- L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité, le Parti Tounes El Karama et Al Amana fusionnent au sein d'Al Amen ; ils ont désormais un représentant à l'assemblée constituante après le ralliement de Moez Kammoun, élu de la Pétition populaire pour la liberté, la justice et le développement.
- Le Parti pour le progrès[18] est absorbé par Afek Tounes[19]. Ensuite, sept partis — dont le PDP, le Parti républicain, Afek Tounes, Al Irada, le Mouvement Bledi et le Parti pour la justice social-démocrate — fusionnent sous le nom d'Al Joumhouri[11]. Toutefois, des membres de la constituante et plusieurs fédérations régionales du PDP refusent cette fusion et lancent le Courant réformateur, devenu par la suite l'Alliance démocratique. En 2014, plusieurs figures d'Al Joumhouri quittent le parti pour rejoindre Nidaa Tounes ; Afek Tounes s'en détache pour reformer le parti mené par Yassine Brahim.
- Le Mouvement des patriotes démocrates (MOUPAD) entre en discussion avec le Parti du travail patriotique et démocratique pour sceller l'union de la famille « patriote démocrate » mais le second parti enregistre une divergence entre son secrétaire général, Abderrazak Hammami, qui s'est retiré des discussions, et son second, Mohamed Jemour, qui tient à la fusion. Dans le même temps, au sein du MOUPAD, le groupe de Jamel Lazhar se rapproche du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT). Finalement, une large alliance des partis de gauche et panarabes se constitue, avec notamment le PCOT devenu le Parti des travailleurs, le MOUPAD, le Parti d'avant-garde arabe démocratique, le Mouvement Baath, le Parti populaire pour la liberté et le progrès, le Mouvement populaire unioniste, ainsi que le Mouvement des démocrates socialistes (groupuscule d'Ahmed Khaskhoussi) et le Mouvement du peuple, qui avait absorbé auparavant le Mouvement du peuple unioniste progressiste[20].
- Le mouvement Ettajdid fusionne avec le Parti tunisien du travail (PTT) et certains membres indépendants du Pôle démocratique moderniste (PDM) pour constituer la Voie démocratique et sociale. Toutefois, plusieurs membres du PTT dont Ali Romdhane et Mohamed Rabah Chaibi refusent cette fusion et conservent l'identité de leur parti, alors que du côté d'Ettajdid, plusieurs cadres annoncent leur adhésion à Nidaa Tounes, dont Boujemâa Remili pourtant désigné secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale, et d'anciens membres proches de la ligne de Mohamed Harmel : Hatem Chaabaouni, Tarek Chaabouni et Adel Chaouch. On annonce par la suite la fusion entre la Voie démocratique et sociale et le Parti républicain, deux partis qui sont affectés par les départs de plusieurs de leurs cadres respectivement vers Nidaa Tounes et vers le Courant réformateur. Le nouveau parti portera le nom de « Voie républicaine »[21]. Mais cette fusion annoncée ne s'est pas encore réalisée entre deux partis qui s'affaiblissent de plus en plus. La Voie démocratique et sociale a été quittée par un autre secrétaire général adjoint, Riadh Ben Fadhel, et le Parti républicain a perdu Abdelkader Ben Khemis qui a rejoint l'Alliance démocratique et Chokri Yaïche qui a intégré Nidaa Tounes.
- L'Alliance démocratique, non encore légalisée, est constituée des membres de l'ancien Parti démocrate progressiste ayant refusé l'adhésion au Parti républicain, du Parti de la réforme et du développement et de personnalités indépendantes à l'instar des anciens ministres Mokhtar Jallali et Farhat Rajhi.
- Les réfractaires à la fusion du Parti tunisien du travail avec le Pôle démocratique moderniste tiennent leur congrès et élisent Ali Romdhane à la tête du parti, ce que conteste l'ancien président Abdeljelil Bedoui qui a pourtant sabordé son parti.
- Al Wifak et le Parti républicain ont fusionné pendant quelques mois avant de se séparer en septembre 2011 après le retrait d'Al Wifak du PDM[22].
- Un nouveau front opposé à Ennahdha est annoncé en décembre 2012[23] : celui-ci comprend, outre Nidaa Tounes, le Parti républicain et la Voie démocratique et sociale, deux anciens partis d'extrême gauche qui avaient dans le passé accepté le dialogue avec le régime de Ben Ali : le Parti socialiste de gauche de Mohamed Kilani (ar), créé après une scission de l'ancien Parti communiste des ouvriers de Tunisie et renommé Parti socialiste, et le Parti du travail patriotique et démocratique d'Abderrazak Hammami ou ce qu'il en reste car plusieurs de ses dirigeants, dont le secrétaire général adjoint Mohamed Jemour, ont rejoint le MOUPAD.
Après les élections de l'assemblée constituante, le ministère de l'Intérieur cesse de publier les autorisations accordées aux partis dans le Journal officiel de la République tunisienne. Les partis autorisés sont appelés à le faire eux-mêmes. Mais plusieurs parmi eux ne le font pas, ce qui empêche de connaître avec exactitude le nombre et la liste des partis existants.
Nom | Acronyme | Nom original | Date de légalisation | Orientation politique | Dirigeant | Notes |
---|---|---|---|---|---|---|
Parti Tunisie verte | PTV | حزب تونس الخضراء | [24] | Écologisme Socialisme |
Abdelkader Zitouni | Non reconnu à sa fondation le Zitouni a fait partie de l'ancien PCT |
Parti socialiste | PSG puis PS | الحزب الاشتراكي اليساري | [24] | Socialisme scientifique[25] | Mohamed Kilani (ar) | Scission du PCOT Non reconnu à sa fondation le |
Parti du travail patriotique et démocratique | PTPD | حزب العمل الوطني الديمقراطي | [24] | Socialisme scientifique | Abderrazek Hammami | Non reconnu à sa fondation le |
Mouvement Baath | MB | حركة البعث | [26] | Socialisme Panarabisme |
Othmen Bel Haj Amor | Actif dans l'illégalité depuis les années 1950, rattaché à l'obédience irakienne du Parti Baas |
Parti du centre social | PCS | حزب الوسط الاجتماعي | [27] | Centrisme | Ammar Slama | |
Parti de la dignité et de l'égalité | PDE | حزب الكرامة والمساواة | [27] | Centrisme Islamisme |
Riadh Amri | |
Mouvement des unionistes libres | MUL | حركة الوحدويين الاحرار | [27] | Socialisme Panarabisme |
Abdelkrim El Ghabri[28] | Scission de l'UDU |
Parti des jeunes démocrates | PJD | حزب الشباب الديمقراطي | [27] | Centrisme Libéralisme[29] |
Chaker Said | Scission du PVP |
Parti de l'équité et de l'égalité | PEE | حزب العدالة و المساواة | [27] | Centre droit[30] | Chokri Ghadhab | Basé à Sousse |
Mouvement de la réforme et de la justice sociale | MRJS | حركة الاصلاح و العدالة الاجتماعية | [27] | Centrisme Réformisme |
Mustapha Bedri | |
Mouvement national de la justice et du développement | MNJD | الحركة الوطنية للعدالة و التنمية | [27] | Centrisme | Mourad Rouissi | |
Parti de la concorde (Al Wifak) | PC | حزب الوفاق | [31] | Centrisme | Mustapha Saheb Ettabaâ | Partie de l'Alliance républicaine entre avril et [32] |
Mouvement du peuple (Echaâb) | MP | حركة الشعب | [33] | Socialisme Panarabisme |
Zouhair Maghzaoui (secrétaire général)[34] | Scission du Mouvement du peuple qui a rejoint le MPUP |
Parti libéral tunisien | PLT | الحزب الليبرالي التونسي | [33] | Libéralisme[35] Laïcité |
Mounir Baatour | Parti des libéraux tunisiens rebaptisé en 2014[36] |
Mouvement de la jeunesse libre de Tunisie | MJLT | حركة شباب تونس الاحرار | [33] | Centre gauche | Sahbi Mokhtari | |
Mouvement de l'unité populaire | MUP | حركة الوحدة الشعبية | [33] | Socialisme | Ahmed Ben Salah (secrétaire général) Mehdi Tabbakh (porte-parole) |
|
Congrès pour la République | CPR | المؤتمر من أجل الجمهورية | [33] | Centre gauche | Imed Daïmi | Non reconnu à sa fondation le |
Parti de la justice et de la liberté | PJL | حزب العدالة والحرية | [37] | Libéralisme | Souheil Salhi[38] | Scission du RCD |
Parti de l'avenir pour le développement et la démocratie | PADD | حزب المستقبل من أجل التنمية والديمقراطية | [37] | Socialisme scientifique[39] | Samih S'himi | |
Parti unifié des patriotes démocrates[40] (Watad) | MOUPAD[41] | حزب الوطنيين الديمقراطيين الموحد | [37] | Marxisme Panarabisme |
Zied Lakhdar | |
Parti de la dignité pour la justice et le développement | PDJD | حزب الكرامة من أجل العدالة والتنمية | [42] | Centre droit | Fakhr Ghodhban-Ben Salem | |
Parti républicain pour la liberté et l'équité | PRLE | الحزب الجمهوري للحرية والعدالة | [43] | Centre droit | Béchir Fathallah | |
Parti de la rencontre de la jeunesse libre | PRJL | حزب اللقاء الشبابي الحر | [43] | Social-démocratie[44] ? | Mohamed Ayari | Scission du RCD |
Parti de la justice et du développement | PJD | حزب العدل والتنمية | [43] | Islamisme | Mohamed Salah Hedri | |
Parti d'avant-garde arabe démocratique | PAAD | حزب الطليعة العربي الديمقراطي | [43] | Socialisme Panarabisme |
Kheireddine Souabni | Obédience irakienne du Parti Baas |
Parti de la dignité et du développement | PDD | حزب الكرامة والتنمية | [43] | Centrisme Islamisme |
Abdelwahed Yahiaoui | |
Parti de la lutte progressiste | PLP | حزب النضال التقدمي | [43] | Marxisme-léninisme | Mohamed Lassoued[45] | |
Parti de la gauche moderne | PGM | حزب اليسار الحديث | [46] | Centre gauche | Fayçal Zemni | Scission de l'UDU puis du MUL |
Parti républicain maghrébin | PLM | الحزب الجمهوري المغاربي | [46] | Libéralisme | Mohamed Bouebdelli | |
Parti populaire pour la liberté et le progrès | PPLP | الحزب الشعبي للحرية والتقدم | [46] | Socialisme | Jelloul Azzouna | Scission du PUP |
Parti des forces du 14 janvier 2011 | PR14 | حزب قوى الرابع عشر من جانفي 2011 | [46] | Centre gauche[47] | Wahid Dhiab | Basé à Sfax |
Al Majd | AM | حزب المجد | [48] | Centrisme | Abdelwahab El Hani[49] | |
Mouvement de la dignité et de la démocratie | MDD | حركة الكرامة و اليمقراطية | [50] | Centrisme Libéralisme |
Mohamed Ghammadh | |
Front populaire unioniste | FPU | الجبهة الشعبية الوحدوية | [51] | Marxisme Panarabisme |
Amor Mejri | Scission du PDP |
Justice and Development Party[52] | JDP | حزب العدالة والتنمية | [51] | Islamisme | Abderrazak Belarbi | |
Parti de la dignité et de l'action | PDA | حزب الكرامة و العمل | [51] | Centrisme | Mohamed Adel Hentati | |
Parti du travail tunisien[53] | PTT | حزب العمل التونسي | [54] | Centre gauche | Ali Romdhane | |
Amal Tounes | AT | أمل تونس | [54] | Centrisme | Selma Elloumi | |
Mouvement de la vertu | MV | حركة الفضيلة | [55] | Centre droit | Ramzi Khelifi | Scission du PVP |
Parti du peuple pour la patrie et la démocratie | PPPD | حزب الشعب من أجل الوطن والديمقراطية(حشود)[56] | [55] | Socialisme scientifique | Zine El Abidine El Ouertatani[56] | |
Mouvement citoyenneté | MC | حركة مواطنة | [55] | Centre droit Écologisme |
Ameur Jeridi | |
Union patriotique libre[57] | UPL | الاتحاد الوطني الحر | [55] | Centrisme Libéralisme |
Slim Riahi | |
Parti de la responsabilité nationale | PRN | حزب المسؤولية الوطنية | [55] | Zouhair Harbaoui | ||
Parti démocratique pour la justice et la prospérité | PDJP | الحزب الديمقراطي للعدالة والرخاء | [55] | Mourad Khemiri[58] | ||
Mouvement de la démocratie et du développement | MDD | حركة الديمقراطية والتنمية | [59] | Centre droit Libéralisme |
Abderrahman Bahloul | Donne lieu au Mouvement Nour pour la démocratie et le développement |
Parti de la modernité | PM | حزب الحداثة | [60] | Centrisme | Abderraouf Baâzaoui | Basé à Kairouan, formé par des cadres de l'ancien RCD |
Congrès démocratique social | CDS | المؤتمر الديمقراطي الاجتماعي | [61] | Centre droit | Houcine Mhamdi | Scission de l'ancien RCD |
Courant Al Ghad | CAG | تيار الغد | [61] | Centrisme | Khélifa Ben Salem et Samir Maghraoui | Formé par des cadres de l'ancienne mouvance présidentielle |
Parti de la jeunesse libre | PJL | حزب الشباب الحر | [61] | Centrisme[62] | Faouzi Ben Jannet | Formé par des cadres proches de l'ancien RCD |
Parti démocrate-social de la nation | PDSN | حزب الأمة الديمقراطي الإجتماعي | [63] | Marxisme Panarabisme |
Moncef Chebbi | Scission de l'UDU |
Jeunesse de la Tunisie de demain | JTD | شباب تونس الغد | [63] | Hosni Tayeb | ||
Mouvement pour la culture et de la pluralité | MCP | حركة الثقافة و التنوع | [63] | Centre gauche | Ali Abidi | Scission du PCT Cadres de l'ancien RCD |
Parti des conservateurs progressistes | PCP | حزب المحافظين التقدميين | [63] | Islamisme Réformisme |
Hechmi Hamdi | Scission d'Ennahdha, remplace la Pétition populaire pour la liberté, la justice et le développement et donne lieu au Courant de l'amour |
Parti de la culture et du travail | PCT | حزب الثقافة و العمل | [63] | Gauche Panarabisme |
Belgacem Hassen | Scission du PDP |
Appel républicain | AR | النداء الجمهوري | [63] | Centrisme | Mahmoud Ben Ouaghram | Ancien Front tunisien de salut national fondé en 1990 |
Parti du Néo-Destour | PND | الحزب الدستوري الجديد | [63] | Centre gauche | Ahmed Mansour | Anciens magistrats et hauts cadres de l'administration |
La Voie tunisienne | PVT | حزب المسار التونسي | [64] | Social-libéralisme | Lotfi Bousnina | |
Parti tunisien | PT | الحزب التونسي | [65] | Libéralisme | Myriam Mnaouer | |
Parti de la nation pour la liberté et la justice | PNLJ | حزب الأمة للحرية و العدالة | [66] | Laïd Habbachi | ||
Parti libre populaire et démocrate | PLPD | الحزب الحر الشعبي الديمقراطي | [66] | Abdesselem Ghidoussi | ||
Parti de la souveraineté au peuple | PSP | حزب السيادة للشعب | [67] | Khaled Chabbah | Basé à Sousse | |
Parti pionnier | PP | حزب الريادة | [67] | Centrisme Libéralisme |
Mourad Ben Tourkia | |
Parti tunisien de la nation | PTN | حزب الأمة التونسي | [67] | Centrisme Islamisme |
Abdesselem Ferjani | Basé à Menzel Bourguiba |
Parti des valeurs et de prospérité | PVP | حزب القيم و الرقي | Centre droit | Mourad Mrikeche | ||
Parti de la rencontre destourienne | PRD | حزب اللقاء الدستوري | [68] | Centrisme | Sami Chabrak | Scission du Parti réformiste destourien |
Union des forces citoyennes tunisiennes | UFCT | اتحاد قوى المواطنة التونسية | [69] | Centrisme (défense des émigrés) | Moez Ben Amor Ben Ali | Basé à Sousse |
Parti de l'unité | PU | حزب الوحدة | [69] | Centrisme | Béchir Rouissi | |
Mouvement de la lutte patriotique | MLP | حركة النضال الوطني | [70] | Panarabisme | Youssef Aloui | |
Parti démocrate libéral | PDL | الحزب الديمقراطي الليبيرالي | [71] | Centrisme Libéralisme |
Taoufik Adouni | |
Mouvement afro-méditerranéen | MAM | الحركة الإفريقية المتوسطية | [71] | Centre gauche | Ridha Ben Aissa | |
Parti pirate tunisien | PPT | حزب القراصنة التونسي | [72] | Droit à l'information Vie privée Politique sociale |
Sleheddine Kchouk | Basé à Bizerte |
Parti de l'intégrité et de la justice | PIJ | حزب الأمانة و العدالة | [73] | Centrisme | Kamel Ezzine | |
Al Assalah (L'Authenticité) | AA | الأصالة | [73] | Salafisme | Mouldi Ali El Moujahid | Basé à Médenine |
Al Amen | AA | الأمان | [74] | Centrisme | Lazhar Bali | Issu de la fusion de l'ANPP, du PTEK et d'AA[75] |
Front de la réforme | FR | جبهة الاصلاح | [76] | Salafisme | Mohamed Khouja | |
Parti Ethawabet | PE | حزب الثوابت | [77] | Centre droit | Chokri Hermassi | |
Voie démocratique et sociale (Al Massar) | VDS | المسار الديمقراطي الإجتماعي | [78] | Centre gauche | Samir Taïeb (secrétaire général)[79] | Issu de la fusion du ME[80], du PTT[81] et d'indépendants du PDM |
Front national tunisien | FNT | الجبهة الوطنية التونسية | [82] | Centrisme | Chaker Aouadhi | |
Parti pirate | PP | حزب القراصنة | [83] | Libéralisme Anarchisme |
Direction collégiale[84] | |
Al Joumhouri (Parti républicain) | PR | الحزب الجمهوري | [11] | Maya Jribi | Issu de la fusion du PDP, du PR, d'AT, d'AI, du MB et du PJSD[85] | |
Parti de la réforme et de la transparence | PRT | حزب الإصلاح و الشفافية | [86] | Centrisme | Mustapha Bouaouaja (ancien PUP) | Basé à Sfax |
Verts socialistes maghrébins | VSM | الخضر الإشتراكيون المغاربيون | [87] | Écologisme Socialisme |
Ali Khechine | Basé à Sousse |
Parti des conservateurs tunisiens | PCT | حزب المحافظين التونسيين | [88] | Conservatisme Nationalisme |
Ahmed Touati | |
Parti pactes et stratégies de développement | PPSD | حزب عهود و استراتيجيات التنمية | [89] | Écologisme Socialisme |
Ridha Zhani | Basé à Kairouan |
Nidaa Tounes | NT | نداء تونس | [90] | Centrisme | Béji Caïd Essebsi | Destouriens et cadres de l'ancien RCD, anciens communistes et marxistes léninistes, hommes d'affaires |
Courant libéral réformateur | CLR | التيار التحرري الإصلاحي | [91] | Libéralisme Réformisme |
Adel Zitouni | |
Voix des agriculteurs | VA | صوت الفلاحين | [91] | Corporatisme | Fayçal Tbini | Basé à Bou Salem |
Al Badil Athaouri | ABA | البديل الثوري | [91] | Centre gauche | Béchir Tenjal | Basé à Sousse |
Hizb ut-Tahrir | HuT | حزب التحرير | [92] | Fondamentalisme Islamisme |
Ridha Belhaj | Non reconnu lors d'une première demande le [37] |
Hizb Al Rahma | HAR | حزب الرحمة | [93] | Salafisme | Saïd El Jaziri | |
Parti tunisien de la prospérité | PTP | حزب الرفاه التونسي | [94] | Salafisme | Mohamed Feki | Basé à Sfax Favorable à la réinstauration de la bigamie |
Mouvement de la construction maghrébine | MCM | حركة البناء المغاربي | [95] | Centrisme | Noureddine Khatrouchi | |
Parti de la nation arabe et islamique | PNAI | حزب الأمة العربية الإسلامية | [96] | Panarabisme Islamisme |
Lamine Brahmi | |
Mouvement Wafa | MW | حركة الوفاء | [97] | Centre droit | Abderraouf Ayadi | Scission du Congrès pour la République |
Ettakatol al-Chaâbi men ajl Tounes | ECT | التكتل الشعبي من أجل تونس | [97] | Centrisme | Moncef Louhichi | Basé à Sousse |
La Tunisie de demain | LTD | تونس الغد | [97] | Centrisme | Ali Ben Mabrouk Aïfa | Basé à Sousse |
Parti de l'emploi et du développement | PED | حزب التشغيل و التنمية | [98] | Centrisme | Mourad Ben Fatima | |
Choura démocrate tunisien | CDT | حزب الشورى الديمقراطي التونسي | [99] | Centre droit | Hatem Zayeni | Basé à Sfax |
Mouvement du 14-Janvier pour le renouvellement | MJJR | حركة شباب 14 جانفي للتجديد | [100] | Centrisme | Zouhayer Kortli | |
Parti des libertés et des droits de l'homme | PLDH | حزب الحريات و حقوق الإنسان | [101] | Centrisme | Khalil Mâaoui | Fondé en 1998, basé à Soliman |
Al Qotb (Le Pôle) | AQ | القطب | [94] | Gauche | Riadh Ben Fadhel (coordinateur général)[102] | |
Ligue de la gauche ouvrière | LGO | رابطة اليسار العمالي | [103] | Extrême gauche | Nizar Amami | Attaché au marxisme-léninisme originel |
Parti originalité et progrès | POP | حزب الأصالة و التقدم | [104] | Centrisme | Mohsen Tlili | Fondateurs originaires du gouvernorat de Kasserine |
Mouvement des Almoravides - Tunisie | MAT | حركة المرابطين بتونس | [105] | Panarabisme | Béchir Essid | Fondateur issu du Mouvement du peuple |
Parti Elkadehine en Tunisie | PET | حزب الكادحين بتونس | [106] | Extrême gauche | Ferid Alibi | Adepte du trotskisme, il décide en compagnie du Parti de la lutte progressiste de boycotter les élections |
Parti Elghad | PE | حزب الغد | [107] | Panarabisme | Amor Chahed[108] | |
Parti Assahoua | PA | حزب الصحوة | [109] | Centrisme | Rachid Azouz et Chadli Ben Mustapha | |
Mouvement Jeunesse | MJ | حركة الشباب | [110] | Islamisme | Basé à Sfax | |
Pétition populaire (Courant de la réforme nationale) | PP | )العريضة الشعبية (تيار الاصلاح الوطني | [111] | Populisme | Mohamed Dhibi | Parti formé de dissidents de l'ancienne formation politique de Hechmi Hamdi qui ont refusé d'adhérer au Courant de l'amour |
Alliance démocratique | AD | التحالف الديمقراطي | [112] | Centre gauche | Mohamed Hamdi | Scission de représentants du PDP qui ont refusé la fusion dans le cadre d'Al Joumhouri |
Le Sauvetage | LS | الانقاذ | [113] | Centre gauche | Saber Ben Ammar | |
Parti d'action et de réforme | PAR | حزب العمل و الاصلاح | [114] | Centrisme | Naoufel Sassi | |
Courant démocrate | CD | التيار الديمقراطي | [115] | Social-démocratie | Mohamed Abbou | Dissidence du CPR |
Mouvement Tunisie de l'avenir | MTA | حركة تونس المستقبل | [116] | Socialisme | Marouen Sbai | |
Hizb Al Oumma | HAO | حزب الأمة | [116] | Islamisme | Seifeddine Lajili | |
Mouvement du Tunisien pour la liberté et la dignité | MTLD | حركة التونسي للحرية و الكرامة | [117] | Centrisme | Mohamed Ayachi Ajroudi | Parti constitué autour de membres de la constituante mais un seul continue d'en faire partie |
Parti de l'union pour la justice et le travail | PUJT | حزب الوحدة للعدل و العمل | [118] | Saddam Faleh | ||
Parti Tunisie libre | PUJT | حزب تونس الحرة | [119] | Centrisme | Mohamed Fayçal Kamel | |
Courant populaire | CP | حزب تونس الحرة | [120] | Panarabisme | Zouhair Hamdi | Parti fondé par Mohamed Brahmi |
Mouvement destourien | MD | الحركة الدستورية | [121] | Centrisme | Hamed Karoui | Parti se présentant comme la continuité du RCD |
Mouvement d'unification islamique de Tunisie | MUIT | حركة التوحيد الاسلامي التونسي | [122] | Salafisme | Basé à Gafsa | |
La Voix du peuple | VP | حركة التوحيد الاسلامي التونسي | [123] | Centrisme | Lotfi Ben Mahmoud | |
Initiative destourienne démocratique | IDD | [124] | Centrisme | Kamel Morjane | Issu notamment de la fusion de LI[125], d'AWAH[126], du PUR[127], du ZAY[128], du PLJD[129] | |
Parti du Mouvement de la république | PMR | حزب حركة الجمهورية | [130] | Centrisme | Sami Laâbidi | Obtient l'adhésion de quatre constituants |
Tendance nationale pour la justice | TNJ | الاتجاه الوطني للعدل | [131] | Centrisme | Taïeb El Abdi | |
Conseil national pour la démocratie et le développement | CNDD | المجلس الوطني للديمقراطية و التنمية | [132] | |||
Tunisie pour tous | TPT | تونس للجميع | [133] | Centre gauche | Abdelhamid Hammami | |
Parti du changement | PC | حزب التغيير | [134] | Larbi Bennis | Basé à Nabeul | |
Tounes baytouna | TB | تونس بيتنا | [135] | Centrisme | Fethi Ouerfelli | |
Mouvement Tunisie démocratie pour tous | MTDPT | حركة تونس الديمقراطية للجميع | [136] | Centrisme | Jamel Ben Jemia | |
Force ouvrière | FO | القوة العمالية | [137] | Gauche | Takieddine Toujani | |
Front du 17 décembre pour le développement | F17 | جبهة 17 ديسمبر للتنمية | [138] | Gauche | Faouzi Saïdi | Basé à Sidi Bouzid |
Parti de la construction nationale | PCN | حزب البناء الوطني | [139] | Islamisme | Riadh Chaïbi | Dissidence d'Ennahdha |
Parti de la voix du peuple tunisien | PVPT | صوت الشعب التونسي | Centrisme | Larbi Nasra | Obtient l'adhésion de six membres de la constituante | |
Parti des démocrates sociaux | PDS | حزب الديمقراطيين الاجتماعيين | [140] | Social-démocratie | Ahmed Khaskhoussi | Nouvelle appellation du clan Khaskhoussi du Mouvement des démocrates socialistes |
Mouvement du printemps arabe pour réaliser la souveraineté économique | MPARSE | حركة الربيع العربي لتحقيق السيادة الاقتصادية | Centrisme | Salem Ajroud | Formé de technocrates | |
Mouvement du 17 décembre pour la dignité et la liberté | M17 | حركة 17 ديسمبر للكرامة و الحرية | Centre droit | Farhat Bouazizi | ||
Parti du congrès populaire | PCP | حزب المؤتمر الشعبي | Centre droit | Salem Chaïbi[141] | ||
Parti de la jeunesse pour la révolution et la liberté | PJRL | حزب الشباب للثورة و الحرية | Centre gauche | Ridha Ben Tili | Ne s'est manifesté que lors de la candidature de son président à l'élection présidentielle de 2014 | |
Parti de la Tunisie unie | PTU | حزب تونس الموحدة | Centre gauche | Nizar Hammami | Se présente aux élections législatives de 2014 sous le nom d'Appel de Carthage | |
Parti islamiste tunisien | PIT | الحزب الاسلامي التونسي | Islamisme (orthodoxe) | Taïeb Smati | ||
Parti de l'appartenance démocratique | PAD | حزب الانتماء الديمقراطي | Libéralisme | Boujemâa Yahyaoui | Basé à Gafsa, son fondateur a été élu en 2009 à la Chambre des députés sur les listes du Parti social-libéral | |
Parti Tounes Ezzaytouna | PTZ | حزب تونس الزيتونة | Islamisme (Wahhabisme) |
Adel Almi | Fondateur de l'Association de promotion de la vertu et de prévention du vice d'inspiration wahhabite, Almi la transforme en un parti qui ne réussit à constituer qu'une seule liste pour les élections législatives de 2014 à Kébili, renforcée par Almi lui-même ; il s'est également porté candidat à la présidentielle mais sans parrainage | |
Mouvement national tunisien | MNT | الحركة الوطنية التونسية | Gauche Populisme |
Touhami Abdouli[142] | Dissidence d'Ettakatol | |
Mouvement des destouriens libres | MDL | حركة الدستوريين الأحرار | Centrisme | Taoufik Ben Khoud | Issu de la fusion du PLDT, d'Al-Watan, du MRT, de l'UNB, du PLD et l'APT[143], ne réussit pas à se frayer une place parmi les partis destouriens et ne constitue qu'une seule liste pour les élections de 2014 | |
Parti de la réconciliation | PR | حزب المصالحة | [144] | Islamisme Centrisme |
Mohamed Manar Skandarani | Son fondateur fut membre d'Ennahdha et conseiller de l'ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem |
Mouvement des jeunes Tunisiens | MJT | حركة الشباب الوطني التونسي | [145] | Centre gauche | Malek Sayhi | |
Parti de l'illumination et du développement | PID | حزب التنوير و التنمية | [145] | Centre droit | Hassen Ben Hfaïedh | Basé à Monastir |
Parti de l'indépendance nationale | PID | حزب الاستقلال الوطني | [145] | Populisme Islamisme |
Seifallah Bouzaied | Parti constitué à partir des comités de protection de la révolution |
Hizb el-Harak | HH | حراك تونس الإرادة | [146] | Social-démocratie | Moncef Marzouki | |
Machrouu Tounes | MPT | حركة مشروع تونس | [147] | Mohsen Marzouk | Scission de Nidaa Tounes | |
Parti de la Troisième République | PTR | الجمهورية الثالثة | Olfa Hamdi | Parti fondé par l'ancienne PDG de Tunisair |
Partis en attente de légalisation
[modifier | modifier le code]En , une trentaine de partis avait déposé une demande[148] mais n'avaient pas encore été légalisés. Parmi eux se trouvent le Parti de la liberté et de la solidarité (Mohamed Salah Kasmi)[149].
Partis non légalisés
[modifier | modifier le code]En , 162 partis avaient déposé une demande qui s'est vue rejetée par le ministère de l'Intérieur[150] dont :
- le Parti Assalam, le [37] ;
- le Parti sunnite tunisien, le [37] ;
- le Parti libre populaire démocratique, le [37] ;
- le Parti démocratique libéral tunisien, le [37] ;
- le Parti de la liberté et de la dignité, le [42] ;
- le Parti de l'unité arabe et islamique, le [42] ;
- le Parti de l'unicité et de la réforme, le [42].
Un parti, les Démocrates libres (حزب الديمقراطيين الأحرار), refuse de demander un visa car la loi a été rédigée sous le régime de Ben Ali[151].
Partis disparus
[modifier | modifier le code]Nom | Acronyme | Nom original | Date de légalisation | Orientation politique | Dirigeant | Notes |
---|---|---|---|---|---|---|
Al-Watan | AW | حزب الوطن | [152] | Centrisme | Mohamed Béchir Mhalla | Scission du RCD, scindé en deux : Al-Watan de Mohamed Béchir Mhalla qui rejoint le Mouvement des destouriens libres et Al Watan Al Horr de Mohamed Jegham qui rejoint l'Initiative nationale destourienne |
Parti de la liberté et du développement | PLD | حزب الحرية و التنمية | [33] | Centrisme | Badreddine Rabaii | Rejoint le Mouvement des destouriens libres |
Parti de la jeunesse pour la révolution et la liberté | PJRL | حزب الشباب للثورة و الحرية | [42] | Centre droit | Hamadi Gaâoud | Aucune activité depuis sa création, semble avoir rejoint le Mouvement des unionistes libres |
Rencontre réformatrice démocratique (Al Liqaa) | RRD | اللقاء الإصلاحي الديمقراطي | [46] | Islamisme Réformisme |
Khaled Traouli[153] | Rejoint le Congrès pour la République |
Parti de l'indépendance pour la liberté | PIL | حزب الإستقلال من أجل الحرية | [51] | Centrisme | Mohamed Lamine Kaouache[154] | Scission du RCD, rejoint l'Initiative nationale destourienne |
Parti des républicains libres | PRL | حزب الجمهوريين الأحرار | [51] | Centre droit | Nazih Souaï | Parti mort-né car sans activité depuis sa création |
Parti de la réforme et du développement | PRD | حزب الإصلاح و التنمية | [51] | Centre gauche Réformisme |
Mohamed Koumani | Scission du PDP, met fin à ses activités le [155] |
Parti de la fidélité pour la Tunisie | PFT | حزب الوفاء لتونس | [54] | Social-démocratie | Anouar Tahri | Basé à Meknassy, aucune activité après les élections de 2011 |
Mouvement réformateur tunisien[55] | MRT | الحركة الإصلاحية التونسية | [156] | Centrisme Réformisme |
Omar S'habou | Rejoint le Mouvement des destouriens libres, présidé par S'habou puis démis de ses fonctions après avoir intégré Nidaa Tounes |
Parti de la nation culturel et unioniste | PNCU | حزب الأمة الثقافي الوحدوي | [55] | Islamisme Panarabisme |
Mohamed Hamdi | Basé à Sousse, cesse toute activité avec le départ de son représentant Ibrahim Hamdi ; son président présente une liste indépendante aux élections législatives de 2014 |
Parti libre destourien tunisien | PLDT | الحزب الحر الدستوري التونسي[157] | [158] | Centrisme | Fayçal Triki | Rejoint le Mouvement des destouriens libres |
Tunisie moderne | LTM | تونس الحديثة | [159] | Centrisme | Mohamed Amine Limam | Basé à Ksour Essef, ne s'est jamais manifesté |
Mouvement pour la Deuxième République | M2R | حركة الجمهورية الثانية | [159] | Centre droit | Tarak Mekki | Disparaît avec le décès de son fondateur |
Mouvement tunisien de l'action maghrébine | MTAM | الحركة التونسية للعمل المغاربي | [159] | Centrisme Islamisme |
Mohamed Ennouri | Disparu, son fondateur se présente aux élections de 2014 sur les listes du Mouvement Wafa |
Parti de la voix de la république | PVR | حزب صوت الجمهورية | [60] | Centre droit | Abderrazak Cheraït | Regroupe des personnalités indépendantes et cadres de l'ancien RCD puis disparaît, son fondateur préside une liste indépendante à Tozeur pour les élections de 2014 |
Parti progressiste républicain tunisien | PPRT | الحزب التقدمي الجمهوري التونسي | [60] | Gauche | Mohamed Boukhari | Présente une seule liste à Zaghouan en 2011 et ne s'est plus manifesté depuis |
Union néo-bourguibienne | UNB | اتحاد البورقيبية الجديدة | [66] | Centre droit | Mohsen Feki | Composé de destouriens et cadres de l'ancien RCD, rejoint le Mouvement des destouriens libres |
Parti de l'ouverture et de la fidélité | POF | حزب الانفتاح و الوفاء | [66] | Conservatisme | Bahri Jelassi | Met fin à ses activités le [160] |
Parti des avant-gardes | PAG | حزب الطلائع | [67] | Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création | ||
Parti de l'émancipation et de la modernisation pour la prospérité de la Tunisie | PEMPT | حزب التحرر و التحديث لإزدهار تونس | [67] | Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création | ||
Parti de l'Alliance | PA | حزب العهد | [161] | Centrisme | Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création | |
Voix de la volonté | VV | صوت الإرادة | [162] | Centrisme | Attia Athmouni | Scission du PDP mais ne s'est jamais manifesté, son fondateur présentant une liste indépendante à Sidi Bouzid pour les élections de 2014 |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Frida Dahmani, « Tunisie : à quoi servent les partis ? », sur jeuneafrique.com, (consulté le ).
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- « La Tunisie compte, désormais, 100 partis politiques », sur businessnews.com.tn, (consulté le ).
- « La Tunisie en proie à des affrontements armés », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « Tunisie : les élections reportées au 23 octobre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lesechos.fr, .
- Mounir Ben Mahmoud, « Le "peuple" a choisi "sa" démocratie : 50 % de femmes, 0 % de RCDistes », sur turess.com, (consulté le ).
- Arielle Thedrel, « La course électorale est ouverte en Tunisie », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- (ar) Mohamed Akrimi, « La Baraka d'Ennahdha rayonne sur ses voisins », sur alhiwar.net, (consulté le ).
- Akram Ellyas et Benjamin Stora, Les 100 portes du Maghreb : l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, trois voies singulières pour allier islam et modernité, éd. Atelier, Paris, 1999, p. 35.
- « Le Rassemblement constitutionnel démocratique officiellement dissous », sur pm.gov.tn (consulté le ).
- « Tunisie : naissance du « Parti républicain » à l'issue du congrès unificateur des partis démocrates centristes », sur tunisienumerique.com, (consulté le ).
- Le PVP obtient ainsi un des deux sièges du PSL à sa fondation.
- « Tunisie : qui sont les principaux partis politiques ? », Le Monde, (ISSN 0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
- (ar) « Nominations à l'Union patriotique libre », sur babnet.net, (consulté le ).
- « Fusion de neuf partis pour former le « Parti El Watani Ettounsi » »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lapresse.tn, .
- Issu notamment de la fusion d'Al Watan Al Horr, du Parti de l'avenir (حزب المستقبل) de Sahbi Basly, légalisé le 9 mars 2011, du Parti réformiste destourien (الحزبالإصلاحي الدستوري) de Mohamed Ben Saad, de l'Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui et de l'Union populaire républicaine (الحزب الشّعبي الجمهوري) de Lotfi Mraihi, légalisés le 22 avril 2011, du Parti libre destourien tunisien démocratique (الحزب الحر الدستوري التونسي الديمقراطي) d'Abdelmajid Chaker, légalisé le 24 mai 2011, de la Voix du Tunisien (صوت التونسي) d'Amor Bejaoui, légalisé le 9 août 2011, du Mouvement progressiste tunisien (الحركة التقدمية التونسية) de Mustapha Touati, légalisé le 15 juillet 2011, du Mouvement de la Tunisie nouvelle (حركة تونس الجديدة) de Mustapha Masmoudi, légalisé le 16 juin 2011, et du Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia, légalisé le 19 mai 2011 et qui rejoint l'Initiative nationale destourienne le 1er décembre 2013.
- « Tunisie. Les Destouriens s'agrègent autour de Kamel Morjane et El Moubaradara », sur kapitalis.com, (consulté le ).
- Le Parti pour le progrès (حزب التقدم) de Fethi Touzri est absorbé en décembre 2011 ; le parti avait été légalisé le .
- « Tunisie - Le Parti pour le progrès fusionne avec Afek Tounes », sur businessnews.com.tn, (consulté le ).
- Le Mouvement du peuple unioniste progressiste (حركة الشعب الوحدوية التقدمية) de Zouhair Maghzaoui est issu de la fusion le 20 mars 2011 du Mouvement unioniste progressiste (الحركة الوحدوية التقدمية) de Béchir Essid et du Mouvement du peuple-Echaâb (حركة الشعب) de Khaled Krichi, légalisés le 8 mars 2011.
- « Des dirigeants du Parti républicain et d'El Massar confirment l'accord de fusion avant les élections »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tap.info.tn, .
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- (ar) « Samih Essehimi : les luttes pour le leadership ont vidé les idéologies de leur contenu »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur essahafa.info.tn, .
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- Le parti a officiellement adopté cet acronyme selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°71, 14 juin 2011, p. 3424-3425 ; la publication de l'annonce de son officialisation confirme la poursuite de ses activités propres au moins jusqu'au 23 octobre 2011.
- « Trois nouveaux partis autorisés et quatre autres rejetés »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tap.info.tn, .
- « Sept nouveaux partis politiques autorisés », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
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- Mohamed Lassoued est élu lors du congrès du parti, qui a eu lieu le 22 mai 2011, en remplacement de Mongi Hammami.
- « Cinq nouveaux partis politiques autorisés », sur leaders.com.tn, (consulté le ).
- (ar) « Le Parti des forces du 14 janvier 2011 : la contribution à l'établissement d'une justice sociale et culturelle dans tout le pays et la sauvegarde de la liberté du citoyen tunisien »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur alchourouk.com, .
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- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 avril 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°28, 22 avril 2011, p. 523-524.
- Le parti a adopté l'appellation anglophone selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°62, 24 mai 2011, p. 2899.
- Le parti a fusionné avec le mouvement Ettajdid et des indépendants du Pôle démocratique moderniste pour constituer la Voie démocratique et sociale, mais certains de ses fondateurs refusent cette fusion et continuent d'utiliser le nom du parti.
- « Autorisation pour 4 nouveaux partis »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur attounissia.com.tn, .
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°37, 24 mai 2011, p. 746.
- Avis de constitution d'un parti politique, Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°68, 7 juin 2011, p. 3243-3244.
- Le parti modifie son nom en remplaçant le terme « libéral » par « libre » selon l'arrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°67, 4 juin 2011, p. 3180.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 24 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°38, 27 mai 2011, p. 776.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 4 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°42, 10 juin 2011, p. 885-886.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955.
- (ar) « Faouzi Ben Jannet : Nous respectons la liberté de croyance et nous nous attachons aux fondements de l'identité »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur essahafa.info.tn, .
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 15 juillet 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°53, 19 juillet 2011, p. 1259-1260.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 4 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°59, 9 août 2011, p. 1448.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 12 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°61, 16 août 2011, p. 1548.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°63, 23 août 2011, p. 1602.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 21 septembre 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°73, 27 septembre 2011, p. 1971.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°156, 29 décembre 2011.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°14, 2 février 2012.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°19, 14 février 2012.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°23, 23 février 2012.
- « Le Parti Pirate Tunisien obtient son visa après des mois d'attente », sur businessnews.com.tn, (consulté le ).
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- « Parti « El Amen », le choix du juste milieu »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lapresse.tn, .
- L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité (التحالف الوطني للسلام و النماء) de Skander Rekik a été légalisé le 22 avril 2011, le Parti Tounes El Karama (حزب تونس الكرامة) de Lazhar Bali le 28 avril 2011 et Al Amana (الأمانة) de Fethi Laâyouni le 30 mai 2011.
- « Le parti salafiste du Front de la Réforme obtient son visa »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tuniscope.com, .
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°38, 29 mars 2012.
- « La Voie démocratique et sociale, une nouvelle coalition conduite par Ahmed Brahim »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur tunistribune.com, .
- « Tunisie : Samir Taïeb élu secrétaire général d'Al Massar », sur huffpostmaghreb.com, (consulté le ).
- Le mouvement Ettajdid (حركة التجديد) d'Ahmed Brahim, héritier du Parti communiste tunisien, a été fondé le 14 septembre 1993.
- Le Parti tunisien du travail (حزب العمل التونسي) a été légalisé le selon « Autorisation pour 4 nouveaux partis »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur attounissia.com.tn, ; il avait auparavant absorbé deux autres partis, le Mouvement de la citoyenneté et de la justice (حركة المواطنة والعدالة) de Jamel Tlili (légalisé le 19 mai 2011) et le Parti du centre démocratique de Jawhar Ben Frej, selon Imededdine Boulaâba, « Tunisie - Partis politiques : Le Parti du Travail Tunisien intègre deux partis ! », sur turess.com, (consulté le ).
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012, p. 2210.
- La direction collégiale inclut Oussama Chelbi, cité en premier, Slim Amamou et Khaled Amami.
- Le Parti démocrate progressiste (الحزب الديمقراطي التقدمي) de Maya Jribi a été légalisé le 12 septembre 1988, le Parti républicain (الحزب الجمهوري) d'Abdelaziz Belkhodja le 14 mars 2011, Afek Tounes (آفاق تونس) de Mohamed Louzir le 28 mars 2011, Al Irada (الإرادة) de Mohamed Lotfi Lejri le 19 mai 2011, le Mouvement Bledi (حركة بلادي) de Kamel Louhichi le 19 mai 2011 et le Parti pour la justice social-démocrate (حزب العدالة الاجتماعي الديمقراطي) d'Amine Manai le 19 mai 2011.
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- Riadh Ben Fadhel a été le principal animateur du Pôle démocratique moderniste puis le secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale.
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- Un des fondateurs du Mouvement du peuple sous la présidence de Khaled Krichi puis lors de sa restauration sous la présidence de Mohamed Brahmi, Amor Chahed le quitte pour fonder son propre parti.
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- L'Initiative (حزب المبادرة) de Kamel Morjane, issue d'une scission du RCD, avait été légalisé le 1er avril 2011.
- Al Watan Al Horr de Mohamed Jegham est issu d'une scission d'Al-Watan.
- Le Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia avait été légalisé le 19 mai 2011.
- Zarkaa Al Yamama (Colombe bleue) de Taoufik Hamza.
- Le Parti de la liberté pour la justice et le développement (حزب الحرية من أجل العدالة والتنمية) de Hatem Yahyaoui avait été légalisé le 8 mars 2011.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°145, 3 décembre 2013.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°149, 12 décembre 2013.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°153, 21 décembre 2013.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°2, 4 janvier 2014.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°4, 9 janvier 2014.
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- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 19 avril 2014, p. 2332.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 8 avril 2014, p. 2333.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°58, 15 mai 2014, p. 2972.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°60, 20 mai 2014, p. 3087.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°72, 17 juin 2014, p. 3750.
- Salem Chaïbi est toujours en course pour l'élection présidentielle de 2014. Il est toutefois au centre d'une vaste polémique, des associations l'accusant d'avoir obtenu des parrainages fictifs à partir des listes des adhérents de la Caisse nationale de sécurité sociale où il travaille.
- Ancien membre du gouvernement Hamadi Jebali, Touhami Abdouli n'admet pas sa non-reconduction dans le gouvernement Ali Larayedh. Il démissionne d'Ettakatol et devient un farouche opposant à la troïka, appelant d'abord à un coup d'État militaire puis rejoignant le Front du salut national. Il émet alors le vœu de rejoindre l'Union pour la Tunisie mais, face au refus momentané de Nidaa Tounes, il constitue des listes de coalition sous le nom de Front du salut national pour les élections de 2014.
- Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°89, 26 juillet 2014.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°102, 26 août 2014.
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- Kaouache est élu lors du congrès du parti, qui a lieu le 26 mai 2011, en remplacement de Nabil Gorgi.
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- Le parti qui a tenu son congrès en juin 2012 a entériné le départ de son président Abdelmajid Chaker qui a rejoint Nidaa Tounes et a supprimé le terme « démocratique » de son nom.
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°105, 1er septembre 2012.
- Arrêté du ministre de l'Intérieur du 30 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°40, 3 juin 2011, p. 816-817.
- Sonia Bahi, « Une grande perte pour la politique tunisienne, le parti de Bahri Jelassi se dissout », sur webdo.tn, (consulté le ).
- Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°5, 12 janvier 2012.
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Liens externes
[modifier | modifier le code]- Riadh Guerfali, « Le multipartisme d'État en Tunisie : la débâcle », sur nawaat.org, (consulté le ), publié sous le pseudonyme de Mohammed Ali Ben Mehdi dans Horizons maghrébins, n°46 « Réalités tunisiennes : L'État de manque ; politique, économie, société, culture », 2002, p. 12–27.
- Mohamed-Ali Razgallah, « Partis politiques tunisiens. L'embarras du choix » [image], sur fhimt.com, (consulté le ).
- Mohamed-Ali Razgallah, « Partis politiques tunisiens. Les coalitions » [image], sur fhimt.com, (consulté le ).