Céaux-d'Allègre
Céaux-d'Allègre est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Céaux-d'Allègre | |||||
Vue du village de Céaux-d'Allègre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Maguy Masse 2020-2026 |
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Code postal | 43270 | ||||
Code commune | 43043 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
484 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 10′ 55″ nord, 3° 44′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 834 m Max. 1 144 m |
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Superficie | 32,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Paulien | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Céaux-d'Allègre se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 25 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 11 km de Saint-Paulien[2], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Allègre (3,5 km), Vernassal (5,0 km), Monlet (5,0 km), Lissac (5,6 km), Saint-Geneys-près-Saint-Paulien (6,4 km), Saint-Paulien (7,2 km), Bellevue-la-Montagne (7,2 km), Fix-Saint-Geneys (7,6 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du Massif Central » et « Sud-est du Massif Central »[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Allègre », sur la commune d'Allègre à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 908,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Céaux-d'Allègre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,3 %), forêts (36 %), prairies (24,5 %), terres arables (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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Carte orthophotographique de la commune.
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 369, alors qu'il était de 339 en 2013 et de 346 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 63,2 % étaient des résidences principales, 26,1 % des résidences secondaires et 10,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Céaux-d'Allègre en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,1 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Céaux-d'Allègre[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 63,2 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 26,1 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,7 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de Céaux provient du latin « celsus » (élevé, haut), suggérant un lieu situé sur une colline ou une élévation. Quant à Allègre, il dérive du latin « alacer » (vif, prompt), évoquant un lieu dynamique ou animé, voire une communauté perçue comme énergique[14],[15].
Anciennes mentions : Ad Celtos (XIIe siècle), Ecclesia de Ceus (1252), Ecclesia de Seus (1390), Ceaulx (1401), Ceaux (1518), Siaulx (1561), Seaulx (1616), Cyaux en Auvernhe (1625), Oppidum Situlense (XVIIe siècle), Oppidum Situla (XVIIIe siècle), Ceaux-près-d'Alegre (XVIIIe siècle)[16].
Histoire
modifierLe village de Céaux-d’Allègre, attesté depuis au moins le IXe siècle sous divers noms (ad Celtes, Ceus, Seus, Ceaulx), est mentionné dans plusieurs documents historiques. Des vestiges antiques y ont été découverts en 1928, près de la gare. En 1789, il faisait partie de la province d’Auvergne et perdit son péage en 1744, au détriment du marquis d’Allègre[17].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Céaux-d'Allègre est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[19].
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections de 2020
modifierLe conseil municipal de Céaux-d'Allègre, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[20] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[21]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les douze candidats en lice[22], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[23]. Maguy Masse, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [24].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[25]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[26].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2022, la commune comptait 484 habitants[Note 3], en évolution de +1,68 % par rapport à 2016 (Haute-Loire : +0,36 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,5 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 245 hommes pour 227 femmes, soit un taux de 51,91 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 211 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 461 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 170 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 5,7 % | 5,8 % | 5,8 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 275 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 5],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 66 emplois en 2018, contre 78 en 2013 et 69 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 198, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,5 %[I 15].
Sur ces 198 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 19,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierÉglise
modifierAu centre du village, se trouve l'église Saint-Jean-Baptiste, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [32]. Faisant aussi office de point de rendez-vous pour les habitants, il y est encore célébré la messe les dimanches en alternance avec d'autres villages alentour.
Château de la Borie-Chambarel
modifierConstruit au XIIIe siècle dans le style caractéristique de la région du Velay, cette ancienne maison forte a subi des modifications à ses ouvertures au XVe siècle et à d'autres périodes ultérieures. Avec une forme presque carrée, la structure est agrémentée de quatre tours et est prolongée par une aile de dépendances. À l'intérieur, l'authenticité a été préservée, avec la conservation de quelques ensembles de décoration pratiquement complets, notamment dans la salle à manger, le salon de style Louis XV et une chambre avec un lit-clos[33].
Château de Courbière
modifierCe château, érigé au XIIIe siècle par les valeureux chevaliers de Bar, renommés pour leur participation aux Croisades, est devenu la propriété des seigneurs de Courbières à partir de l'an 1200. Au cours du XVe siècle, d'importants travaux de restauration ont été entrepris. Au XVIIe siècle, des modifications ont été apportées à la toiture, et de nouvelles ouvertures ont été créées. Le donjon médiéval, de forme carrée, agrémenté d'une tourelle d'escalier à l'angle nord-est, a été modernisé au XVIIIe siècle, avec l'ajout de fenêtres et la construction d'un corps de logis. Les intérieurs ont également été embellis au XVIIIe siècle avec des éléments décoratifs tels que des boiseries, des toiles peintes, du papier peint, des peintures murales et des cheminées. À cette même période, une nouvelle aile a été édifiée à l'angle nord-est du donjon[34].
Monument aux morts
modifierUn monument aux morts est érigé dans le bas de la commune, permettant de garder en mémoire les hommes tombés aux combats lors de la Première Guerre mondiale et de la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit des hommes résidant auparavant à Céaux-d'Allègre ainsi que dans les alentours de la commune.
Personnalités liées à la commune
modifierBibliographie
modifier- René Bore, « Un problème de pâturage entre les habitants de Maméas et de Fespescle au XVe siècle », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Céaux-d'Allègre ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Céaux-d'Allègre - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Céaux-d'Allègre (43043) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Céaux-d'Allègre » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Céaux-d'Allègre et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Céaux-d'Allègre et Saint-Paulien », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Céaux-d'Allègre », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Céaux-d'Allègre et Allègre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Allègre », sur la commune d'Allègre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Allègre », sur la commune d'Allègre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Émile Littré, Dictionnaire de la langue française: A - C, Hachette, (lire en ligne), p. 110
- Michel Prodel, Contribution à la toponymie de la Corrèze, Books on Demand, (ISBN 978-2-322-17679-3, lire en ligne), p. 11
- Augustin Chassaing, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire, Université de Saint-Etienne, (ISBN 978-2-86272-313-6, lire en ligne), p. 50
- « Histoire et Patrimoine », sur EP Saint-Jean-XXIII (consulté le )
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Article L. 252 du Code électoral
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
- « Candidatures au 1er tour pour Céaux-d'Allègre », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Résultats du 1er tour pour Céaux-d'Allègre », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur vie-publique.fr (consulté le ).
- « Elections municipales et communautaires 2020 dans la Haute-Loire - nombre de conseillers municipaux et communautaires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur haute-loire.gouv.fr (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Église Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00092630, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison forte ou château de la Borie-Chambarel », notice no PA00092631, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château de Courbière », notice no PA00092629, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :