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III
Vivo
vivo de lune
La mer, qui heurte aux récifs ses vagues déferlantes, la mer approfondit, ne trouble pas la paix du soir, et la vie alentour, et la vie dans la case, dans la case en bois de bourao, tait ses bruits, et la nuit tombe, rapide, l’immense rideau d’un théâtre infini, toile sombre illustrée d’étoiles.
Plaintifs tous deux, près et loin, mon cœur et le vivo chantent.
C’est du rivage, là bas où l’anse brusque ses contours, que me vient la mélancolique musique : à quoi songe-t-il, le musi-