Vendoire
Vendoire | |||||
Le château de Vendoire. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Marion Lafaye 2020-2026 |
||||
Code postal | 24320 | ||||
Code commune | 24569 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
132 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 24′ 58″ nord, 0° 18′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 70 m Max. 163 m |
||||
Superficie | 11,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | vendoire.fr | ||||
modifier |
Vendoire est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Vendoire est une commune du nord-ouest de la Dordogne. Elle est limitrophe du département de la Charente, et c'est la Lizonne qui en fait la limite à l'ouest.
Elle est à 10 km de Verteillac, 10 km de Villebois-Lavalette, 21 km de Ribérac, 50 km de Périgueux et 33 km d'Angoulême.
La commune n'est traversée que par une route départementale, la D.102, qui passe par le bourg et va de Gurat et se dirige vers La Tour-Blanche en passant par La Chapelle-Grésignac et Cherval. Une route vicinale perpendiculaire emprunte aussi la crête entre la Lizonne et la Pude en direction de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac et ménage de beaux points de vue.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Vendoire est limitrophe de cinq autres communes, dont trois dans le département de la Charente.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Vendoire est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentaires du Mésozoïque. On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la moitié sud de la commune, ce qui donne un paysage vallonné cultivé de céréales d'où l'appellation de Périgord blanc, grenier à blé du Périgord, ainsi que de Champagne périgourdine[2]. Le Santonien et une petite zone de Coniacien occupent le nord de la commune, et le Santonien est séparé du Campanien par une faille d'orientation nord-ouest - sud-est et formant aussi une cuesta faisant face au nord-est qu'on retrouve à l'ouest de la Lizonne jusqu'au sud de Cognac et vers l'est à Verteillac. Au nord de cette cuesta, on trouve des formations de recouvrement (sables argileux bruns, issus de l'altération du Santonien supérieur et datant du Quaternaire (Pléistocène).
La vallée de la Lizonne est occupée par des alluvions récentes composées de sable, terre noire et surtout de tourbe, atteignant une épaisseur de plusieurs mètres[3],[4],[5], qui ont donné lieu à de nombreuses tourbières et des peupleraies.
La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 733 - Montmoreau » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[6],[7] et sa notice associée[8].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||||||||||
Pléistocène |
| |||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| |||||||||||||||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
non présent | |||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 70 mètres et 163 mètres[9] au sud[10].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [11]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[12]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[13],[14].
La commune déborde un peu à l'est sur la vallée de la Pude, affluent de la Lizonne, mais le bassin est orienté vers Champagne-et-Fontaine, du fait du relief, cuesta échancrée par des vallons se dirigeant dans cette direction. Cela explique les altitudes assez élevées dans la commune.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 11,65 km2[9],[15],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,71 km2[7].
Végétation
[modifier | modifier le code]La commune est peu boisée et les arbres se concentrent dans la vallée de la Lizonne (peupliers) et au nord de la commune, près du Pas Vieux.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[18]. Elle est drainée par la Lizonne et plusieurs de ses bras[Note 3], ainsi que par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[19],[Carte 1].
La Lizonne, appelée Nizonne dans sa partie amont, d'une longueur totale de 60,49 km, prend sa source dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette ans la Dronne en rive droite, en limite d'Allemans et de Saint-Séverin, face à la commune de Bourg-du-Bost[20],[21]. Elle borde la commune à l'est sur six kilomètres et demi, face à Gurat, Vaux-Lavalette et Salles-Lavalette et forme de nombreux bras.
-
La Lizonne au pont marquant la limite entre Vendoire (RD 102, Dordogne, à gauche) et Gurat (RD 81, Charente).
-
Bras de la Lizonne au lieu-dit le Moulin Mondot.
-
Bras de la Lizonne dans l'impasse du Canard Sauvage.
-
Réseaux hydrographique et routier de Vendoire.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 920 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol à 7 km à vol d'oiseau[27], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,3 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]ZNIEFF
[modifier | modifier le code]La vallée de la Lizonne est protégée dans sa traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[31],[32].
Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Riveraine de la Lizonne et pouvant atteindre jusqu'à 800 mètres de large au niveau du lieu-dit le Petit Lyon, une mince bande s'étendant sur environ deux kilomètres carrés (en deux zones disjointes, de part et d'autre du lieu-dit le Moulin Mondot) fait partie d'une ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[33],[34] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées.
Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Tourbières de Vendoire »[35] concerne la commune de Vendoire. Dans les faits, les communes du département de la Dordogne mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Charente, comme le montre la carte du site[36]. Ces communes de Dordogne, dont Vendoire, sont traitées dans la ZNIEFF « Vallée de la Nizonne » décrite ci-dessus[31],[32].
Natura 2000
[modifier | modifier le code]Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[37] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[38] :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vendoire est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[39]. Elle est située hors unité urbaine[40] et hors attraction des villes[41],[42].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,9 %), forêts (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones humides intérieures (5,2 %), prairies (1,2 %)[43]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code](Liste non exhaustive)
L'habitat est très dispersé. Outre le village de Vendoire proprement dit, la commune se compose de nombreux hameaux ou fermes, ainsi que de lieux-dits[44], disséminés entre les coteaux :
- au Barlier
- le Bouchaud
- Bourzac
- la Brousse
- le Buguet
- Cheyliac
- chez Cassotier
- chez Désier
- chez Gorreaud
- chez Jarnac
- chez Lafon
- chez Lepic
- chez Mataly
- chez Mathieu
- chez Mauriac
- chez Mérigot
- chez Puymoreau
- chez Roulette
- chez Rouyaux
- chez Tinon
- le Cluzeau
- la Courtaudie
- Faveyrol
- le Grand Lyon
- les Graviers
- le Maine Brandy
- Maison Blanche
- les Martins
- le Mirador
- Monsalut
- Moulin de Mondot
- Narbonne
- Pas Vieux
- Petit Jarnac
- le Petit Lyon
- Petit Narbonne
- les Piples
- le Pont Bleu
- au Puits du Moulin
- aux Tires
- au Verger
Logement
[modifier | modifier le code]En 2015, le nombre total de logements dans la commune était de 634, alors qu'il était de 512 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 74,9 % étaient des résidences principales, 7,7 % des résidences secondaires et 17,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,5 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 69,5 %, en diminution par rapport à 2010 (70,7 %)[I 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Vendoire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Lizonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[47],[45].
Vendoire est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[51]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[52]. 68,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[53].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[45].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Selon Chantal Tanet et Tristan Hordé, le nom de la commune dérive possiblement d'un nom de personnage gaulois « °Vindos »[54]. De son côté, Bénédicte Fénié envisage également une origine gauloise, éventuellement à partir de °vindo(s)durum signifiant « forteresse blanche »[55].
En occitan, la commune porte le nom de Vendeira[55].
Histoire
[modifier | modifier le code]La première mention écrite connue du village remonte au XIIIe siècle sous la forme Venduira[54]. Au siècle suivant, les graphies Vendueyra puis Vendoyra apparaissent[54].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Dès 1790, la commune de Vendoire a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[9].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Fin 1996, Vendoire intègre dès sa création la communauté de communes du Verteillacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[56],[57].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac[61], dont faisait partie Vendoire, est jumelé avec Fontanetto Po (Italie) depuis 1988[62].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Justice
[modifier | modifier le code]En 2023, dans le domaine judiciaire, Vendoire relève[63] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[65].
En 2021, la commune comptait 132 habitants[Note 5], en évolution de −6,38 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La fête annuelle du village a lieu le . Elle est organisée par l'association pour le Rassemblement des Véhicules Anciens du Périgord Vert (ARVAPV).
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]En 2015[67], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 66 personnes, soit 46,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (six) a diminué par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,4 %.
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte trente établissements[68], dont quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze au niveau des commerces, transports ou services, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'industrie, et un dans la construction[69].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]La commune compte un monument répertorié aux monuments historiques[70] et 10 lieux et monuments répertoriés à l'Inventaire général du patrimoine culturel[71].
L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption date du XIIe siècle et a fait l'objet d'une consolidation au XIXe siècle. Le portail roman possède des chapiteaux sculptés d'animaux fabuleux, de figures géométriques et de feuillage. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis le [72].
-
Vue latérale. -
L'entrée. -
Le portail sculpté.
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Le château de Vendoire a été édifié aux XVIIe et XVIIIe siècles et restauré au XIXe siècle. Il est situé près de l'église paroissiale[73]. Son architecture ressemble beaucoup à celle du très proche château de la Vassaldie de Gout-Rossignol.
L'ancien château de Bourzac, siège d'une châtellenie établie vers le XIe siècle, était situé à l'extrémité sud-ouest de la commune, en limite avec Nanteuil-Auriac-de-Bourzac. Surplombant la Lizonne sur un éperon et une motte très bien conservée qu'occupe aujourd'hui une statue, il datait du XVIe siècle. La propriété de ce château hébergeait aussi un ancien prieuré de bénédictins dépendant de l'abbaye de Brantôme. Il ne reste aujourd'hui plus rien ni du château ni du prieuré[74],[75]. Le comte de Cumond qui a décrit le site avec précision rapporte que selon les habitants du pays il existerait plusieurs galeries souterraines, dont l'entrée est obstruée par les débris des murailles, et un caveau sous la motte du donjon[76].
C'est cet endroit, ancien chef-lieu de la commune avant déplacement au bourg actuel, qui avait donné son nom aux anciennes communes voisines de Nanteuil-de-Bourzac et Auriac-de-Bourzac.
Les tourbières de Vendoire sont dans la vallée de la Lizonne, à l'écart des cultures et des routes. Ce sont d'anciennes tourbières remplies d'eau, qui abritent une flore et une faune caractéristiques de la région. Contigu à la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I homonyme située en Charente sur les communes de Gurat, Salles-Lavalette et Vaux-Lavalette, cet espace de 32 hectares[77] est inclus dans la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II Vallée de la Nizonne.
Elles abritent l'écomusée de la tourbe, ouvert de mai à mi-septembre. Les tourbières de Vendoire font l'objet d'une gestion écologique depuis 1997 assurée par le Conservatoire d'espaces naturels Aquitaine[78], en partenariat avec le syndicat de Pays du Ribéracois.
Le moulin de Mondot est un ancien moulin à huile de noix et moulin à blé[79].
-
Le château : façade ouest.
-
L'ancien emplacement de Bourzac.
-
La maison des tourbières.
-
Étang aux tourbières de Vendoire.
-
Famille de cygnes tuberculés aux tourbières de Vendoire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Léo Laffargue[80](1864-1929), instituteur et photographe amateur a saisi, depuis les années 1895 et jusqu’à son décès, survenu en 1929, des pans entiers de la vie rurale à Trémolat, son village natal, à Vendoire, où il s’était fixé professionnellement et affectivement, ainsi que dans les communes alentour.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[16],[17]
- Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Roncenac, affluent de rive droite de la Lizonne, n'arrose pas la commune de Vendoire située en rive gauche à leur confluence.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Vendoire » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Insee
[modifier | modifier le code]- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne] sur le site de l'Insee
- LOG T1 - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 79.
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM.
- Carte du BRGM sous Géoportail.
- Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), « Notice de la feuille de Montmoreau » [PDF], sur Infoterre, (consulté le ).
- « Carte géologique de Vendoire » sur Géoportail (consulté le 12 juillet 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Vendoire », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 733 - Montmoreau de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Vendoire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Vendoire », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Lizonne-Dronne à l'ouest du Moulin du Pontet » sur Géoportail (consulté le 6 novembre 2022)..
- Sandre, « la Lizonne »
- « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Vendoire et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Martial Viveyrols » (commune de Saint-Martial-Viveyrol) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] 540003487 - Tourbières de Vendoire, Jean Terrisse, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540003487, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Vendoire » sur Géoportail (consulté le 24 avril 2014)..
- « Les risques près de chez moi - commune de Vendoire », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 419.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Vendeira sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- « La communauté va désigner son président », sur le site du quotidien Sud Ouest, (consulté le ).
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
- « Vendoire 24320 - Résultats aux municipales 2020 », sur Le Monde (consulté le ).
- Rechercher la commune de « Verteillac » dans l'Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures sur le site du ministère des Affaires étrangères, consulté le 13 décembre 2015.
- Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune de Vendoire (24569) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Vendoire (24569) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
- « Liste des monuments historiques de la commune de Vendoire », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Vendoire à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00083053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Vendoire », notice no IA24000894, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Bourzac », notice no IA24000893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de Bourzac », notice no IA24000894, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 331-332.
- « Les tourbières de Vendoire » [PDF], Centre régional de l'environnement Aquitaine-Nord (pdf), (consulté le ).
- CEN Aquitaine (Dordogne), consulté le 13 août 2013.
- « Moulin de Mondot », notice no IA24001047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Léo Justin Laffargue », sur archives.dordogne.fr (consulté le ).