Sequehart
Sequehart | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays du Vermandois | ||||
Maire Mandat |
Philippe Rémy 2020-2026 |
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Code postal | 02420 | ||||
Code commune | 02708 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sequehartois(es) | ||||
Population municipale |
213 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 55′ 48″ nord, 3° 20′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 95 m Max. 151 m |
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Superficie | 6,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bohain-en-Vermandois | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Sequehart est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Située à 12 km à l'est du Catelet, avec une superficie de 638 hectares et une altitude de 115 m, Sequehart se plaît dans la plaine ondulée du Vermandois. L'ancien hameau du Chardon Vert a désormais rejoint le village avec de nouvelles constructions.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sequehart est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,8 %), zones urbanisées (5,2 %)[11].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village apparaît pour la première fois en 1147 sous le nom de Terra Segardi dans une charte de l'abbaye de Prémontré, puis Terra de Secchehart, Sechehar, Seckehard, Sekehart, Sechehart, Secquehart, Sequar en 1684 et enfin l'orthographe actuelle Sequehart sur la carte de Cassini vers 1750[12].
Les Sequehartois, comme d'ailleurs bon nombre des habitants des villages alentour, prononcent le nom en picard : S'quart.
Histoire
[modifier | modifier le code] Carte de Cassini
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Sequehart est une paroisse. Au nord, la ferme de Senancourt, qui s'est appelée Sainnencort puis Sannicort et qui dépendait autrefois de Levergies, fut détruite en 1750;
Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le , les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest[13]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en . Pendant toute cette période, Fontaine-Uterte restera loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , après de durs combats, la Ligne Hindenburg est franchie sur le Canal de Saint-Quentin et peu à peu les Allemands, attaqués par les troupes franco-australiennes reculent de village en village.
D'abord libéré le par les troupes britanniques, le village a été repris le lendemain par les Allemands puis de nouveau libéré par les Britanniques après de violents combats[14]. Dans les deux cimetières britanniques de la commune sont inhumés 106 soldats britanniques tombés lors de ces combats[15],[16]. Le village a subi de nombreux dégâts à la suite des bombardements.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [17].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 8 soldats de la commune morts pour la France[18].
Les fossonniers
Célèbres pour leur contrebande de sel au XVIIIe siècle, huit d'entre eux se font prendre au village par les gardes du Roi et sont condamnés à mort.
Charles Guillaume de Priel, principal propriétaire à Sequehart, décède le à l'âge de 78 ans. Ses fonctions et grades étaient nombreux, ex-négociant et secrétaire du Roi, receveur général des fermes et consignations, maire président du canton, membre du conseil d'arrondissement du bureau de bienfaisance.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Sequehart est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[19].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[8]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bohain-en-Vermandois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[20].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2021, la commune comptait 213 habitants[Note 3], en évolution de +2,4 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Aujourd'hui, la population compte 220 habitants. Ils étaient 235 en 1985 contre 558 en 1882 et 439 en 1800. Quatre-vingts maisons sont bâties et les jeunes n'hésitent pas à s'y installer avec leurs enfants : 36 personnes de plus de 60 ans ont été comptabilisées, signe de rajeunissement.
Économie
[modifier | modifier le code]Une fabrique de parpaings, une chaudronnerie, une entreprise de bâtiment et des artisans sont toujours présents au village. Le bureau de Poste a fermé ses portes en 1960, l'école en 2000. Les écoliers se tournent alors vers Levergies, Lesdins ou Saint-Quentin.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Quentin, rebâtie à l'envers après sa destruction.
- Deux cimetières britanniques de la Commonwealth War Graves Commission datant de la guerre 1914-1918, Sequehart British Cemetery N°1 et Sequehart British Cemetery N°2 se trouvent en annexe du cimetière communal ; ils contiennent les tombes de plus de 110 soldats tombés pendant les premières journées d'.
- Le monument aux morts se trouve au sein de la rue de la Poste en face de la place du village. Sur le monument aux morts sont gravés les sept noms des victimes du village.
- Calvaire.
- Le phare servait pour guider les avions, Sequehart, étant le point central entre Paris et Bruxelles (150 km) et situé en hauteur. On le voyait depuis Holnon. Une personne s'occupait d'avertir ou de guider les avions. Il fut détruit volontairement après la guerre de 1944, les avions étant devenus plus performants.
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L'église Saint-Quentin.
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Sequehart British Cemetery nr 1.
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Sequehart British Cemetery nr 2.
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Le calvaire.
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Panorama depuis la route de Lesdins.
Château
[modifier | modifier le code]Le château date du XIIe siècle. Il est construit sur la butte des Jacobins, d'origine gauloise. En 1477, il subit l'assaut des mauvais garnements de Louis XI. Son allée d'arbres majestueux fait sa légende et sa beauté. Le château servait de demeure au seigneur de Priel. Le château de Sequehart est mis en vente par licitation le , avec ses bâtiments, ses cours, son jardin et ses dépendances. Ce château se trouve entre le chemin qui mène au Cateau et le vieux bois. L'ensemble sur 1 hectare 34 ares et 32 centiares. Il se compose :
- d'un bâtiment construit en pierres et briques, avec charpente en chêne couverte en ardoises. Ce bâtiment est placé entre la terrasse du jardin et la cour d'honneur. Une partie de cette cour est pavée jusque la grille et le surplus est en gazon. Il mesure 31,44 m de long sur 5,9 m de large. Il est traversé par un corridor donnant communication de la cour au jardin.
Voici la distribution des pièces :
- rez-de-chaussée : au levant une chambre à coucher avec cheminée en marbre surmontée d'une glace. Carrelée en carreaux ordinaires, plafonnée, lambrissée de chêne aux pourtour, y compris trois armoires. Elle est éclairée par deux croisées sur le jardin et son entrée par le porche qui donne sur le corridor du bâtiment faisant partie de la cuisine.
À droite du porche se trouve la salle à manger prenant entrée sous le porche, par une porte à deux battants et éclairée par quatre croisées. Elle est carrelée, plafonnée et lambrissé de toute sa hauteur. La cheminée est de marbre avec une glace encadrée dans les lambris. Il existe aussi une glace éclairée par deux croisées. Il s'y trouve l'entrée d'une cave voûtée en pierres. Le corridor est fermée par des portes à deux battants. On trouve aussi une grande pièce et qui parait avoir servi de serre.
- au premier étage : on y accède par un escalier à rampe de fer. À droite sur le palier, on trouve un petit fruitier. À gauche se trouve une chambre de domestique, carrelée et plafonnée. Au bout du porche, se trouve une chambre de maître, tendue de papier peint. Elle prend vue par trois croisées, revêtues de tablettes de marbre. À droite est un corridor au bout duquel se trouve une grande salle plafonnée et parquetée; avec cabinet attenant éclairée par une croisée. Le grenier est carrelé.
Un autre corps de bâtiment est appuyé au midi du principal bâtiment. Il est construit en briques et en pierres avec une couverture en ardoise. Sa cuisine donne sur la cour d'honneur, éclairée par deux fenêtres. Au même étage, une chambre de domestique qui s'ouvre sur un corridor, qui a aussi une porte menant à la cave et un escalier donnant sur l'étage. La cuisine comprend un fournil est une cheminée ancienne avec crémaillère et tourne-broche. L'évier est de pierre bleue. Elle est carrelée en carreaux ordinaires. Contre le vieux bois, se trouve un autre bâtiment servant de magasin et de remise.
Avec le temps, le château s'est transformé en ferme agricole où dans les années 1900, d'importants rendez-vous de chasse étaient organisés et où les dames venaient accompagner leurs maris dans des toilettes remarquables.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Brassart-Mariage (1875-1933), architecte de l'église.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé : au 1er d'argent un l'arbre sec arraché de sable, au 2e échiqueté d'or et d'azur de quatre tires, au 3e d'azur au buste de saint Quentin les épaules percées chacune d'un clou, accompagné en chef de deux besants, le tout d'or, au 4e d'argent à un chardon coupé de sinople[28].
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Détails | L'arbre sec évoque le nom de la commune, l'échiqueté rappelle le Vermandois, saint Quentin est le patron de la paroisse locale, les besants viennent des armes de la famille de Melun, seigneur du village du XVIe au XVIIIe siècle, et enfin, le chardon est pour le hameau du Chardon-Vert. Création de Jean-François Binon, adoptée en . |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sequehart et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » , sur Gallica, (consulté le ).
- (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
- « L'Echo d'Alger : journal républicain du matin » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Pages de guerre écrites au jour le jour » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Carte des positions », sur carto1418.fr (consulté le ).
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
- « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- « Cinq nouveaux conseillers pour un maire qui ne change pas à Sequehart », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Rémy débute son quatrième mandat à Sequehart avec une équipe plus jeune ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « 02708 Sequehart (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Sequehart » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).