Aller au contenu

Saint-Cergues

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Cergues
Saint-Cergues
Blason de Saint-Cergues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Annemasse - Les Voirons Agglomération
Maire
Mandat
Gabriel Doublet
2020-2026
Code postal 74140
Code commune 74229
Démographie
Gentilé Saint-Cerguois
Population
municipale
3 714 hab. (2021 en évolution de +4 % par rapport à 2015)
Densité 296 hab./km2
Population
agglomération
5 445 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 08″ nord, 6° 19′ 18″ est
Altitude Min. 486 m
Max. 1 480 m
Superficie 12,55 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Saint-Cergues
(ville-centre)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gaillard
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Cergues
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Cergues
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Voir sur la carte topographique de la Haute-Savoie
Saint-Cergues
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Cergues

Saint-Cergues est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Cergues est située à une altitude moyenne de 560 m, à environ 14 km à vol d'oiseau de la ville de Genève. Le village s'étend du pied du versant ouest des Voirons (Préalpes du Nord), le long du lit du Foron (confluent de l'Arve) jusqu'à la frontière avec la Suisse.

Le secteur communal couvre une surface de 12,55 km2 à proximité du lac Léman. Il est traversé par le Foron du nord-est au sud-ouest parallèlement à la chaîne de montagne des Voirons. Le lit de ce ruisseau est situé dans une vallée due à l'érosion causée par la fonte du grand glacier du Rhône. À l'ouest de cette vallée, le sommet de Monniaz (altitude moyenne 530 m) forme la frontière. Le terrain communal s'étale vers l'est sur le plateau de Saint-Cergues jusqu'à la forêt très dense des Voirons, où est situé le point le plus élevé de Saint-Cergues (1 480 m). La délimitation au sud est formée par la lit du torrent de la Chandouze.

Les communes limitrophes sont Machilly au nord, Bons-en-Chablais et Boëge à l'est, Cranves-Sales et Juvigny au sud ainsi que la commune suisse de Jussy (Canton de Genève, Suisse) à l'ouest.

Saint-Cergues se situe au pied de la montagne des Voirons ; donc son climat (certes tempéré) reste quand même un climat assez montagnard. Les Voirons n'est pas une montagne assez grande pour une station de ski ; mais cela n'empêche pas que la neige y tombe et y reste souvent accrochée un moment. D'une manière plus générale, la commune de Saint-Cergues n'a pas de climat très particulier, si ce n'est que du soleil l'été et de la neige l'hiver (en règle générale).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Saint-Cergues fait partie de l'agglomération d'Annemasse. Le chef-lieu est traversé par la route départementale 15. La commune est traversée par la route départementale 1206 (anciennement route nationale 206), qui est aménagée en route express depuis 2014.

Saint-Cergues bénéficie du service proxi'TAC ainsi que des transports à la demande (TAD) ce sont des transports annemassiens collectifs (TAC) qui passent aux heures creuses ou sous réservation ainsi que de la ligne de bus 7 aux heures de pointes. Les lignes 141 et 151 des transports en commun de Thonon-les-Bains (Star't) desservent aussi la commune.

Les transport TpgFlex issus de la compagnie des transports publics genevois sont aussi en disposition sous système de réservation, ils desservent pour le moment l'arrêt Saint-Cergues Gare.

La gare de Saint-Cergues-Les Voirons est fermée depuis le 3 novembre 2009.

Au , Saint-Cergues est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cergues[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[2],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[4],[5].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (45,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,5 %), zones urbanisées (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), terres arables (10,2 %), prairies (5,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)[6].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

En plus du centre-ville proprement dit, Saint-Cergues comporte plusieurs quartiers :

  • le Bourgeau (altitude moyenne 533 m) ;
  • Bourjaillet (altitude moyenne 526 m) ;
  • la Tuilière (altitude moyenne 542 m) ;
  • les Fontaines (altitude moyenne 539 m) ;
  • la Charrière (altitude moyenne 566 m) ;
  • l'Archet (altitude moyenne 570 m) ;
  • le Bois (altitude moyenne 600 m) ;
  • les Baraques (altitude moyenne 559 m) ;
  • Terret (altitude moyenne 590 m) ;
  • Boringes (altitude moyenne 580 m).

Saint-Cergues est un toponyme dérivé de saint Cyr, Cyricus ou Cyrice, nom porté par deux martyrs du IVe siècle[7]. Les premières mentions sont Cura S. Ciricii en 1113 ou encore Cura Si Cirici vers 1344[7]. Toutefois, le toponyme provient surtout de la réunion de trois églises en ruine vers le XVIIe siècle, faisant disparaître le nom originel du village « Pistilinge »[7].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit San-Fargo (graphie de Conflans) ou Sant-Cèrgue (ORB)[8].

Document administratif de Saint-Julien, province de Carouge, concernant un habitant de la commune de Saint-Cergues, 1829. Porte le sceau des Etats de Savoie.

L'endroit était déjà peuplé à la préhistoire.

Au Moyen Âge, l'abbaye d'Aulps y possède de nombreux biens organisés autour de la grange de Neydens. En 1113, l'évêque de Genève Gui de Faucigny cède à l'abbé d'Aulps Guérin les revenus de l'église paroissiale[9]. En 1321, les revenus annuels de cette grange s'élevaient à plus de dix tonnes de froment, quatorze hectolitres de vin, une tonne d'avoine, six-cent-cinquante kilos de châtaigne. En 1283, les gens du sire Chabert de Villette l'incendièrent. En 1378, ceux des religieuses de Bellerive y dérobèrent plus de 24 hectolitres de blé. L'affaire fut suffisamment grave pour être portée devant le chapitre général de l'ordre cistercien[10].

Entre 1780 et 1837, Saint-Cergues fait partie de la province de Carouge, division administrative des États de Savoie, avant d'être finalement rattachée à la province du Faucigny, comme le reste du mandement d'Annemasse (1837-1860)[11].

L'Annexion de la Savoie à la France

[modifier | modifier le code]

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 252 pour la commune[14],[15]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[16].

L'époque moderne

[modifier | modifier le code]

À l’époque moderne, la commune fut un lieu de séjour privilégié pour son air pur au point que par décret du elle est classée « station climatique d'été recommandée » ; par ailleurs elle connut aussi un succès notoire dans la monoculture de la framboise (1 200 tonnes par an).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
?? mars 1983 Marcel Tardy[17]    
mars 1983 mars 2008 Louis Vuilloud DVD Retraité, maire honoraire
mars 2008 avril 2009[18] Bernard Péchaubès DVD Retraité, ancien adjoint
9e vice-président d'Annemasse Agglo
mai 2009 En cours
(au 15 juillet 2020)
Gabriel Doublet MoDem puis UDI Enseignant
1er vice-président d'Annemasse Agglo puis président[19]
Vice-président du Pôle métropolitain du Genevois français
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Saint-Cerguois[20].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 3 714 habitants[Note 5], en évolution de +4 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
5246957059001 1261 3751 2021 1411 230
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 2851 2231 3271 3571 3301 2171 1921 1171 076
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
9689989269441 1361 1831 1521 2911 830
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
2 0882 3372 5132 9393 0643 3623 6243 714-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Radios et télévisions

[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement, l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines

[modifier | modifier le code]

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Faucigny, le Courrier savoyard.

Saint-Cergues a été récompensée pour sa politique Internet par le label « Ville Internet » en 2014 et 2015 par @@[Note 6].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Saint-Cergues et les Voirons.

L'église, placée sous le patronage de saint Cyr, est de style néogothique. Située en bordure de forêt au-dessus du village, la chapelle de Chermont est du XIXe siècle[26]. Le dolmen de la Cave aux Fées se situe à l'extrémité sud du secteur communal.

Le château de Langin est une maison forte complétée par une tour carrée dont il reste des vestiges.

Deux autres châteaux, aujourd'hui en ruine, se trouvaient sur la commune, celui de Locon et de Neydens.

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

Le gouffre à Partoi dit Kro d'Éwerõ

[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de la commune, à 1 300 mètres sur le flanc nord-ouest des Voirons, se trouve le petit gouffre à Partoi dit Kro d'Éwerõ. Les grottes sont rares dans cette montagne. Ce gouffre à la particularité de posséder deux entrées, plus accessible vers le nord car très étroite et plus profonde au sud. Cette petite caverne mesure 40 mètres de long. Pour spéléologues professionnels ou expérimentés[28].

Espaces verts et fleurissement

[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Saint-Cergues bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[29].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Saint Cergues

Les armes de Saint-Cergues se blasonnent ainsi :

D'argent au chevron écimé de sable, accompagné en pointe d'une étoile à six rais d'azur ; au chef de gueules chargé de trois croisettes au pied fiché d'or.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Cergues comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[12],[13].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Le palmares des Villes Internet (1999 à aujourd'hui) sur le site officiel de l’association « Ville Internet » indique pour Saint-Cergues[25] :
    • 2014, 2015 « @@ ».
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Saint-Cergues », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Cergues ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  7. a b et c Henry Suter, « Saint-Cergues », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  8. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  9. Hauréau, Gallia christiana..., t. XVI, 1865, col. 148.
  10. Baud, Delerce, Desgrandchamps, Sainte-Marie-d'Aulps. Une abbaye cistercienne en Chablais, Conseil général de la Haute-Savoie, 2008, p. 58.
  11. Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 185 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1), p. 132, 144.
  12. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  13. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  14. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 15-18.
  15. Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, lire en ligne).
  16. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  17. https://www.saint-cergues.fr/IMG/orphelins/pdf/bulletin23-site.pdf.
  18. Après la démission de 14 conseillers municipaux, une élection municipale partielle complémentaire a été organisée : la liste du maire sortant fut largement battue et a contraint ce dernier à démissionner de ses fonctions.
  19. Mathieu Gaillac, « Gabriel Doublet élu président d’Annemasse Agglo », Le Messager,‎ (lire en ligne)
  20. « Saint-Cergues », Site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Liste des Villes Internet » (consulté le ) (année à sélectionner).
  26. Paroisse d'Ambilly - Saint-Matthieu en Genevois, « Les églises de la paroisse », sur le site du diocèse d'Annecy - http://www.diocese-annecy.fr.
  27. Pierre Broise, « Antiquités gallo-romaine en Faucigny », Bulletin de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Genève (SHAG), no XVIII,‎ , p. 228.
  28. Chronique hebdomadaire, Jean-Jacques Pittard, in Le Messager, hebdomadaire d'informations de Haute-Savoie-Chablais-Faucigny-Genevois.
  29. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :