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RTS Première

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RTS Première
Description de l'image RTS Première logo 2024.svg.
Présentation
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Siège social Lausanne
Propriétaire Radio télévision suisse
Langue Français
Statut Généraliste nationale de service public
Site web www.rts.ch/rts-premiere
Historique
Création
Diffusion hertzienne
AM  Non
FM  Oui
RDS  Oui (RTS-1ERE + Nom de l'artiste/groupe et du morceau ou nom de l'émission en cours de diffusion)
DAB+  Oui
Satellite  Oui (via Hot Bird)
Diffusion câble et Internet
Câble  Oui
IPTV  Oui
Streaming  Oui
Podcasting  Oui

RTS Première est la première station de radio publique de Suisse romande, appartenant à la Radio télévision suisse. Depuis 1984[1], sa programmation est généraliste, basée sur des émissions d'informations, musicales et culturelles. Depuis , c'est Ambroise Jolidon qui est en dirige les programmes[2].

Identité visuelle

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La Soupe, ancienne émission diffusée sur La Première.

Le Journal de La Première

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En est créé l'hebdomadaire « Le Radio » qui changera plusieurs fois de nom et d'éditeur. Il est aujourd'hui[Quand ?] édité par la RSR sous le nom « L'Espace Radio » qui donne chaque semaine le détail de ses programmes.

On en parle

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L'émission radio On en parle est lancée sur la station suisse La Première en 1999[3].

Elle est diffusée du lundi au vendredi de h 6 à 10 heures. Elle est animée par Philippe Girard et Yves-Alain Cornu[Depuis quand ?].

En 2019, son audience moyenne est de 80 000 personnes[4].

En ligne directe

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Direct du 10 septembre 2012

En ligne directe est une émission de radio diffusée sur La Première. La première émission date du lundi [5].

L'émission a lieu le matin de 8h à 8h30. Elle consiste en un débat sur un sujet d'actualité. Le débat implique des intervenants choisis sur le plateau, des auditeurs de la station et des suiveurs sur les réseaux sociaux (Twitter et Facebook). Le sujet du débat est par ailleurs transmis sur ces canaux internet la veille de chaque émission et discuté sur ces plateformes. Ces discussions sont l'objet de recherches universitaires à l'Université de Lausanne[6].

L'émission est animée par Nathalie Ducommun, Magali Philip et Patrick Le Fort.

Aqua Concert

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Aqua Concert était une émission radio diffusée par la RTS (anciennement Radio suisse romande) entre 2003 et 2012.

Présentée par Jean-Charles Simon et Patrick Lapp, Aqua Concert (jeu de mots avec « à quoi qu'on sert »[7]) proposait de la musique classique avec humour et décalage.

Débutée en , l'émission, diffusée de 16h à 17h du lundi au samedi[8], connaît un large succès avec près de 150 000 auditeurs en moyenne[9] et 32 % de parts de marché[10].

Un spectacle dérivé de l'émission est monté en Suisse romande en 2004[11].

La dernière émission est présentée en direct des jardins musicaux de Cernier le [12],[13].

Présentation

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L'Agence était une émission de radio à but humoristique diffusée tous les dimanches de 11h à 12h30 sur La Première de à [14],[15],[16]. L'émission a compté plus de 40 % de parts de marché sur cette tranche horaire[17]. Elle reposait sur l'enlèvement des invités par L'Agence, un « centre de contrôle du monde », dans un bunker fictif au sommet du Cervin[14].

L'émission était présentée par Michèle Durand-Vallade[14]. Cette dernière était accompagnée de six « agents »[18], des personnalités humoristiques connues en Suisse comme Thomas Wiesel, Nathanaël Rochat, Sandrine Viglino, Gaspard Boesch ou Thierry Meury, Vincent Kohler ou Thierry Bugnon[19].

L'Agence remplaçait l'émisison La Soupe[14]. Elle a été remplacée par Les Beaux parleurs, émission de débat présentée par Michel Zendali.

L'émission était censée se dérouler dans un « centre de contrôle du monde » (fictif) dirigé par une agence de renseignement quelque part en Suisse romande[14],[19]. Cette agence était présidée par la tyrannique Michelle Durand-Vallade. Les « agents » « kidnappaient » chaque semaine un invité ayant participé à l'actualité (généralement des personnalités politiques comme Christian Lüscher, Yvan Perrin, Michel Pont, Bertrand Piccard, Denis Oswald, Charles Beer, Dominique von Burg, Christian Varone ou Oskar Freysinger). Les agents décidaient si ce « prisonnier » (l'invité) devait rester dans les geôles de l'Agence ou s'il devait être relâché. Lorsqu'ils interrogeaient l'invité, les agents étaient souvent interrompus par une alarme avertissant qu'un événement (fictif) important venait de se produire.

Rubrique « Pourquoi ? Parce que ! »

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Chaque semaine, la rubrique intitulée « Pourquoi? Parce que! » donnait une « leçon de citoyenneté » démontrant avec humour la supériorité de la Suisse par rapport au reste du monde.

Au début de chaque émission, les agents entonnaient l'Hymne de l'Agence. Michèle Durand-Vallade y ajoutait également quelques vers à propos de l'invité  :

Agents réveillez-vous,
Debout, debout !
On a besoin de nous,
Debout Agents, debout !
Le monde n'a pas de sens,
Sans l'action de l'Agence,
Car nous vous surveillons pour vot' tranquillité. (bis)

[ici s'ajoutent les quelques vers de Michèle Durand-Vallade]

Agents réveillez-vous,
Debout, debout !
Il n'y en a point comme nous,
Debout Agents, debout !
Le monde n'a pas de sens,
Sans l'action de l'Agence,
Car nous vous surveillons pour votre liberté. (bis)

RTS Première émet en FM, par satellite, en diffusion audionumérique (DAB), sur les téléréseaux, sur IPTV ainsi que sur Internet, et en DAB+ en Andorre[20]. La plupart de ses émissions (Les Dicodeurs, Les Beaux Parleurs, On en parleetc.) sont disponibles en diffusion pour baladeur, sur le site internet de la radio, mais aussi sur une application mobile[21].

Notes et références

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  1. « Histoire de la radio en Suisse Romande | RTS Entreprise », sur rtsentreprise.ch (consulté le ).
  2. Marie-François Macchi, « La première renouvelle sa grille, écoutez la différence », médiatic, no 173,‎ , p. 4,5 (lire en ligne).
  3. Nicolas Dufour, « La Radio Suisse romande veut choyer davantage ses auditeurs », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
  4. Sophie Dorsaz, « Martigny: l’émission « On en parle » de la RTS en direct », sur Le Nouvelliste, (consulté le ).
  5. « Faut-il sacrifier le secret bancaire ? » Accès libre, sur rts.ch, .
  6. Xurxo-Adrián Entenza, « Les Romands de Twitter sous l’œil des chercheurs », 24 Heures,‎ (lire en ligne Accès payant)
  7. Jean-Robert Probst, « On ne travaille pas, on s'amuse », Générations plus,‎ , p. 4 à 7 (lire en ligne)
  8. Jean-Marc Rapaz, « "Nous parlons de grande musique sans prétention" », Générations plus,‎ , p. 9 à 11 (lire en ligne)
  9. Marie-Pierre Genecand, « "Aqua Concert", bonne musique ? », Le Temps,‎ , p. 3 (lire en ligne Accès payant [PDF])
  10. Philippe Clot, « Fin d'"Aqua concert" », L'Illustré,‎ (lire en ligne)
  11. Philippe Clot, « "C'est plus tabou de rire de la musique classique que de la mort" », L'Illustré,‎ , p. 48 à 50 (lire en ligne)
  12. Dominique Bosshard, « Blague de mauvais goût », L'Express,‎ , p. 11 (lire en ligne)
  13. Dominique Rosset, « Fugue », L'Hebdo,‎ , p. 8 (lire en ligne)
  14. a b c d et e Laurent Flückiger, « « La Soupe » passe à « L'agence » », Le Matin,‎ , p. 32-33 (lire en ligne Accès libre)
  15. Serge Gumy, « « L'agence » n'est pas tout risque », La Liberté,‎ , p. 7 (lire en ligne Accès libre)
  16. Laurent Siebenmann, « La RTS met fin prématurément à « L'agence » », Le Matin,‎ (lire en ligne Accès libre)
  17. « « L’Agence » quitte les ondes de La Première », sur 24 heures, (consulté le ).
  18. Patrick Monay /S.B., « Après La Soupe, la RTS lance L'Agence » Accès payant, sur 24 heures, (consulté le ).
  19. a et b Catherine Favre, « « Nous sommes infréquentables » », L'Impartial,‎ , p. 13 (lire en ligne Accès libre)
  20. (es) « Chaînes TNT Andorre », sur TDT1.com.
  21. « L'offre mobile », sur rts.ch.

Articles connexes

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Liens externes

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