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Flêtre

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Flêtre
Flêtre
Flêtre.
Blason de Flêtre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté d'agglomération Cœur de Flandre
Maire
Mandat
Philippe Masquelier
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59237
Démographie
Gentilé Flêtrois
Population
municipale
969 hab. (2021 en évolution de −0,82 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 45′ 14″ nord, 2° 38′ 51″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 88 m
Superficie 8,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Flêtre
Géolocalisation sur la carte : France
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Flêtre
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Flêtre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Flêtre
Liens
Site web http://www.fletre.fr/

Flêtre (en néerlandais : Vleteren[1], en flamand occidental : Vleter) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Flêtre dans son canton et son arrondissement

Située dans le Nord, elle s'étale sur 897 hectares.

Traversée par l'autoroute A25 et la route départementale 933.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Flêtre
Eecke Godewaersvelde
Caëstre Flêtre Méteren
Pradelles Strazeele Merris

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Becque de Flètre, la Foene Becque, la Vleeterbeek[2], la Courte Croix[3], la Flêtre[4],[5],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Flêtre[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 746 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 8 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Flêtre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,5 %), zones urbanisées (3,5 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Les fouilles archéologiques réalisées lors de la construction de la ligne TGV[18] ont révélé l'existence de fosses, d'un réseau de fossés, de sépultures à incinérations et de céramiques de l'époque gallo-romaine, au lieu-dit Pissmeerschen[19],[20]

Dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer (804), Flêtre est appelé Flitrinium, et Fleternes dans une charte de 1085[21].

Au XVe siècle est retrouvée comme propriétaire d'une seigneurie (le Peenhof) sur Craywick dans la châtellenie de Bourbourg : Ysabeau de Flêtre épouse de François de le Haye, écuyer[22].

En 1662, Maure de Vignacourt de la noble maison de Flêtre devient abbé de l'abbaye Saint-Winoc de Bergues.

Le 25 septembre 1656, est érigée en comté la terre et seigneurie de Flêtre, située en Flandre, au profit de Jacques de Wignacourt, issu d'une très ancienne famille noble de Flandre qui compte parmi ses membres, Jean de Wignacourt, seigneur de Flêtre, prévôt de Mons sous Charles-Quint; également Jean de Wignacourt, gentilhomme de la bouche du roi Philippe II[23].

En 1670, Michel François de Wignacourt, comte de Flêtre, époux de Geneviève Adornes, dame de Marcquillies, Marcq, Nieuwliet, (sans doute Nieurlet), Nieuwenhove, Peenhof, et ensuite son fils, Denis François Jacques de Wignacourt sont retrouvés comme possédant la seigneurie sur Craywick, évoquée ci-dessus. La famille de Wignacourt, comte de Flêtre, la gardera ensuite : en 1727, Balthazar Pierre Félix de Wignacourt, comte de Flêtre, fils de Denis, et en 1778, et dernier possesseur, Balthazar Philippe Emmanuel Charles de Wignacourt, comte de Flêtre, fils du précédent[24].

Avant la Révolution française, du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[25].

La commune a été détruite pendant 1914-1918 et a reçu la Croix de guerre 1914-1918[26].

Héraldique

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Blason de Flêtre

Les armes de Flêtre se blasonnent ainsi :"D'argent à trois fleurs de lys au pied nourri de gueules."

Politique et administration

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Maire de 1802 à 1807 : Couterez[27],[28].

La mairie de Flêtre Nord.- France.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1951 1971[36] L. Delanghe    
1971 1978[37] Maurice Houvenaghel    
         
1997 mai 2020 Marie-Thérèse Ricour    
mai 2020 En cours Philippe Masquelier[38]   Professeur d'EPS
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 969 habitants[Note 3], en évolution de −0,82 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1461 1831 2361 1311 1841 2051 1821 1731 127
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0701 0781 1271 1081 1011 0741 023967942
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
947951952755743736724700646
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
650660623662709742764767976
2017 2021 - - - - - - -
972969-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 496 hommes pour 487 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
3,9 
75-89 ans
6,0 
12,5 
60-74 ans
10,8 
21,0 
45-59 ans
20,1 
21,8 
30-44 ans
24,1 
16,3 
15-29 ans
14,7 
24,5 
0-14 ans
23,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

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Église Saint-Matthieu

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Flêtre (Nord, Fr) église (02)

C'est une Hallekerque ou église-halle.

Date probablement du XIVe siècle. Les nefs latérales datent du milieu du XVIIIe siècle alors que le clocher est inauguré en 1901. L'église fut le théâtre d'affrontements lors de sa vente en 1799. Elle fut rachetée par les paroissiens.

Le remarquable mobilier comprend, entre autres:

  • Le Gisant (relevés) des seigneurs et dames de Flêtre. Il se trouve sous la tour et date du XVe siècle (fabriqué aux Pays-Bas). Une tradition sans fondement le définit comme tombeau d'Antoine du Bois-Van Houte et de Barbe Van Belle. La sculpture des vêtements est d'une extrême finesse et d'un grand réalisme.
  • Tour eucharistique en bois polychrome faisant office maître-autel. Elle date de la fin du XVIe ou du début du XVIIe. Elle surmonte le tabernacle et se compose de cinq étages en retrait les uns par rapport aux autres. Malheureusement les niches sont vides. On trouvait les statues des quatre évangélistes et des vertus. Le pélican surmonte l'ensemble.[45]
  • Banc de communion datant de 1759. Sa forme épouse les marches qui ondulent devant le chœur. Il est unique au sens où les scènes bibliques sont directement sur les branchages et non dans des médaillons. C'est aussi l'unique exemple en Flandre de scènes se déroulant sur deux panneaux[46]
  • de nombreuses statues en bois XVIIIe
  • banc de chanoines, boiseries, chaire et orgue de style néogothique.
  • Mobilier disparus:
    • Vitraux du XVIe siècle. C'était probablement des verrières peintes. Ils sont représentés dans les albums Flahaut (fin XIXe). Ces vitraux ont été démontés avant la première guerre mondiale, mais leur trace s'est perdue ensuite.
    • Le retable du Maître autel était en bois polychrome de style régence. Endommagé pendant la première guerre mondiale, il fut démonté. c'est la tour eucharistique qui le remplaça.
    • Monument commémoratif de la famille de Wignacourt. Il représentait le père, la mère, leurs saint patrons Barbe et Jean-Baptiste et leur quatorze enfants. Le tout surmonté d'une crucifixion: Jésus entre les deux larrons. Mesurant 2,15m par 1,30 m ce panneau sculpté en albâtre date de 1543[47]. Le monument estait intégré dans le chœur. Il disparut lors de la première guerre mondiale: le jour de l'évacuation, deux généraux anglais visitant l'église se sont longuement arrêtés à contempler ce chef-d'œuvre de l'art français au Moyen Âge (sic). Au retour des évacués, le bas relief avait disparu. Nul ne sut jamais ce qu'il était devenu[48].

Le château de Wignacourt

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La reconstruction du château est souvent attribuée à Jean Van Houtte entre 1364 et 1380. Le donjon a été édifié au XVe siècle. En 1532, la seigneurie de Flêtre est passée par mariage dans la famille de Wignacourt. En 1799, le château a été détruit, mais le donjon a été conservé, sa destruction s'étant révélée trop difficile. Au début du XIXe siècle, un industriel a racheté la propriété, construit une demeure à l'emplacement du château détruit, et converti le donjon en salle de réception, décoré de lambris de style Louis XV. De 1869 à 1872, un manoir néogothique a été construit vers le sud du donjon, qui conserve encore les dispositions générales et le décor original[49]. Le donjon (cad. A 1088) et les parcelles A 851 à 853, 855, 1054 à titre de réserve archéologique : inscription par arrêté du 3 décembre 2002.

Autres monuments

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La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck

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  • Chapelle Notre-Dame-de-Consolation, 1991. Vierge en Bois (XVIIIe) Dérobée en 1996[50].
  • La chapelle Notre-Dame-de-la-consolation au Thieushouck. Construite en 1833 elle est détruite en 1971 par un camion. La décision de la reconstruire est prise en 2006 et elle est bénie par l'abbé Dupuit en septembre 2009. À l'intérieur, le triptyque représente une vierge habillée en rouge sur fond de paysage des monts de Flandre. De gauche à droite, l'été avec Cassel, Eecke et Steenvoorde, puis au centre la campagne de Flêtre et enfin, à droite, l'hiver avec Flêtre sous la neige[51].

Autres édifices religieux

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  • Le grand calvaire, sur la route de Méteren, inauguré en 1949 est en attente de restauration...
  • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, chemin de Furnes
  • Chapelle Notre-Dame-des-Victoires, route de Godewaersvelde (1855?)
  • Chapelle Sainte-Thérèse, rue au Beurre, détruite en 1914-1918 et reconstruite en 1946 (ou 1947). La famille propriétaire avait fait vœu de la reconstruire si les quatre garçons revenaient vivants du second conflit mondial[52].

Autres édifices

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Flêtre » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. roepstem.net - vlaanderen
  2. Sandre, « la Vleeterbeek »
  3. Sandre, « la Courte Croix »
  4. Sandre, « la Flêtre »
  5. « Fiche communale de Flêtre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  6. « SAGE Lys », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Flêtre et Steenvoorde », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Steenvoorde » (commune de Steenvoorde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Flêtre ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. DESFOSSÉS (Y.), BLANQUAERT (G.), “L'Âge du Fer dans le Nord-Pas-de-Calais. L'apport des fouilles du T.G.V.”, Bull. Com. dép. hist. archéol. Pas-de-Calais, 1992
  19. Inventaire archéologique du département du Nord, canton de Bailleul, conseil général du Nord, avril 2000.
  20. .Archéologie de la France - Informations, revue en ligne destinée à publier l'actualité des opérations archéologiques menées en France [1].
  21. Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages Nord, Éditions Bordessoules
  22. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 101.
  23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 300, lire en ligne.
  24. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 102.
  25. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
  26. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1922
  27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  28. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
  29. Almanach du commerce du Nord Année 1854
  30. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883
  31. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1887 à 1907
  32. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1908
  33. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1909 à 1914
  34. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1930
  35. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1931 à 1939
  36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1971
  37. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1972 à 1979
  38. « Cafeyn - reader », sur cafeyn.co (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flêtre (59237) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  45. DUPREZ (Geneviève) Architectures et trésors des églises de Flandre, Association Retables de Flandre, 1997, p. 56.
  46. DUPREZ (Geneviève) Architectures et trésors des églises de Flandre, Association Retables de Flandre, 1997, p. 83.
  47. Vancostenoble, annales du Comité Flamand, tome 25, 1900, p. 519.
  48. Le grand hebdomadaire illustré, 11 avril 1920
  49. Notice no PA59000086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles, p. 54.
  51. « La Voix du Nord », sur La Voix du Nord (consulté le ).
  52. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles, p. 58.