Beaucamps-Ligny
Beaucamps-Ligny | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Catherine Lefebvre 2020-2026 |
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Code postal | 59134 | ||||
Code commune | 59056 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beaucampois | ||||
Population municipale |
844 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 167 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 36′ 19″ nord, 2° 55′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 24 m Max. 41 m |
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Superficie | 5,04 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lille-6 | ||||
Législatives | 11e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | https://www.beaucamps-ligny.fr/ | ||||
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Beaucamps-Ligny est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Beaucamps-Ligny est un bourg périurbain du pays des Weppes en Flandre romane situé à 10 km à l'ouest de Lille (13,5 km par la route), 10 km au sud d'Armentières et de la frontière franco-belge, 27 km d'Ypres, 21 km de Béthune, 21 km au nord de Lens
Plusieurs ruisseaux intermittents drainent la commune.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le Beaucamps-Ligny, le Hameau de Brulle[1], le ruisseau du Pont des planques[2], les Moulins[3] et divers autres petits cours d'eau[4],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 697 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Beaucamps-Ligny est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisées (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 346, alors qu'il était de 325 en 2014 et de 311 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaucamps-Ligny en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,5 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Beaucamps-Ligny[I 2] | Nord[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 93 | 90,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,6 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,4 | 7,8 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 64, 236, 928, 929, 933 et 934 ainsi que par les lignes de transport à la demande 22R, 25R, 29R et 64R du réseau Ilévia[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La détermination de l'origine des noms de lieux n'est pas souvent aisée. Ici, Beaucamps serait en partie d'origine Picarde puisque le terme "camps" correspond à "champs" en français. Par contre, "Beau" est orthographié en Français ; en Picard, il aurait été orthographié "Biau".
Noms anciens pour Beaucamps : documents divers : Bellocampus (Gallo Flandria)
Pour Ligny, le suffixe "y" correspond à la demeure, au domaine, à la propriété d'une personne. Noms anciens pour Ligny : 1168 : Latiniaco, cartulaire de l'abbaye de Loos ; 1174 : Laniaco, id. Le nom désignerait la demeure ou la propriété du Romain Latinius, occupant du lieu.
Histoire
[modifier | modifier le code]Avant la Révolution française
[modifier | modifier le code]Une légende veut qu'en 1164, Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, se soit arrêté à Beaucamps dans sa fuite du roi d'Angleterre. La légende est tenace puisqu'une relique de la tasse dans laquelle il aurait bu est conservée. Les historiens démentent pourtant formellement son passage dans la commune alors qu'il partait se réfugier à Pontigny.
Beaucamps et Ligny figurent dans les cartes du XIe siècle.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Ignace-Joseph Breckvelt (1740-1813), né à Lille en janvier 1740, est curé de Beaucamp au moment de la Révolution française. Poursuivi par les révolutionnaires le , il se réfugie à la municipalité de Lille qui lui établit un passeport de vingt-quatre heures pour aller se réfugier à Menin. n'étant pas rentré, il est porté sur la liste des émigrés le et ses biens sont confisqués. Il prête serment de fidélité à la Constitution devant le maire de Beaucamp le 20 floréal an X (), ce qui lui vaut d'être rayé de la liste des émigrés le 6 brumaire an XI (). Il meurt curé de Loos le , à 73 ans[17].
En 1832, la comtesse Henry de la Grandville (belle-fille par alliance de la famille de Flandres) née Marie-Caroline de Beauffort (1793-1865) fait venir les Sœurs de l'Enfant-Jésus pour soigner une épidémie de choléra ; en 1842 elle fait venir les frères Maristes pour fonder une école. Les deux écoles fusionnent en 1976 pour donner naissance à l'Institution Sainte-Marie qui accueille en 2007 plus de 2 750 élèves.
Beaucamps est desservie de 1884 à 1937 par la gare de Beaucamps-Erquinghem sur la ligne de Wavrin à Armentières, favorisant les déplacements des personnes et le transport des marchandises. La rue de la Gare rappelle cette desserte[18].
Durant la première guerre mondiale, le château de Ligny est occupé par les troupes allemandes et tout particulièrement par l'armée bavaroise. Dès le il sert de quartier général au commandement général de la XIIIème armée dirigée par le général von Oppeln et composée, entre autres, des fameux Uhlans bavarois et Wurtembougeois et voit passer dans ses murs Rupprecht de Bavière, prince héritier de Bavière à la fin de 1915. Éloigne du front, il sert par la suite et jusqu'au second semestre de 1918 de cantonnement aux différents régiments de réserve de la 6e armée bavaroise. Devant l'avance alliée d'août 1918, la retraite allemande se fait rapidement. Le château est riche des documents qui ne peuvent tomber aux mains de l'ennemi. Ne pouvant les transporter le commandement allemand ordonne la destruction du château.
Le marquis de Venevelles, ayant reçu des dommages de guerre prévoit en 1920 une reconstruction du château ainsi que de la ferme et de l'église adjacentes. Seule la ferme "Perche" est reconstruite.
À la fin de la Première Guerre mondiale, il ne reste plus que 34 habitants à Ligny. Son maire, René Delesalle, maire de Ligny-en-Weppes, propose au village de Beaucamps de fusionner les deux communes[19] et demande au préfet du Nord leur rattachement, qui est décidé en 1927, donnant naissance à Beaucamps-Ligny[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]En 1927 Beaucamps fusionne avec Ligny et devient Beaucamps-Ligny[20]
Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Lille du département du Nord.
Elle faisait partie depuis 1793 à 1982 du canton d'Haubourdin, année où elle intègre le canton de Lomme[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lille-6
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la onzième circonscription du Nord.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Beaucamps-Ligny est membre de la Métropole européenne de Lille, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1967 sous le statut de communauté urbaine et transformée en métropole en 2015, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Beaucamps-Ligny relève de l'académie de Lille.
L'école communale du Tulipier jouxte la mairie.
L'établissement scolaire privé dénommé Institution Sainte Marie[26] fondé en 1842 par une communauté de Frères Maristes comprend une école maternelle, une école primaire, un collège, un lycée général et des classes préparatoires PCSI[27]. Cette institution regroupe environ 3000 élèves venant du Nord et du Pas de Calais.
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École du Tulipier
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Institution Sainte Marie (bâtiment des 6ème)
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Salle des fêtes Manu-Courtin
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 844 habitants[Note 3], en évolution de −1,52 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 424 hommes pour 427 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Média
[modifier | modifier le code]- L'Élan[33] le webzine de Beaucamps-Ligny pour suivre l'actualité du village :
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Pierre. Elle contient notamment une statue en bois de chêne du XVIe siècle représentant saint Michel terrassant le dragon (classée MH en 1935).
- Cimetière militaire allemand, où reposent les corps de 2 628 soldats de la Première Guerre mondiale
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L'église Saint-Pierre de Beaucamps-Ligny
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Le monument aux morts
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Cimetière militaire allemand.
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Le presbytère
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Chapelle de Ligny
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Le nom de certains seigneurs et châtellains nous est parvenu[réf. nécessaire] :
- À la Révolution française, la famille de Flandres est seigneur de Radinghem et de Beaucamps, et la famille Lefebvre de Lattre l'est pour Ligny et La Fresnoye.
- Le château de Ligny a été la possession des familles de Ligny, de Brimeu, Guillebaut, d'Oignies, Le Sauvage, de Mol, d'Hangouart puis passe par les épouses à la famille Lefebvre de Lattre, dont les membres sont les derniers seigneurs de la vicomté de Ligny de la fin du XVIIe siècle à 1808.
Marie-Alexandre-Joseph Lefebvre de Lattre, possède à cette date 95% du village de Ligny et prend part à l'assemblée de la noblesse des bailliages de Lille et d'Arras, tenues mars 1789, pour l'élection des députés aux Etats-Généraux.
Premier maire de Ligny en 1791, il émigre à Saint-Denis (Pays-Bas autrichiens). Rentré d'émigration, il est à nouveau nommé maire de Ligny de 1800 à 1809. Resté royaliste sous l'Empire, il héberge, en juillet 1804, dans sa résidence de Reims, le célèbre chevalier Alexandre Gonsse de Rougeville, qui avait lors du complot de l'œillet tenté de sauver la reine Marie-Antoinette de la prison du Temple et est plus connu dans l'Histoire sous le nom du Chevalier de Maison-Rouge.
En 1809, le château subit un grave incendie détruisant la façade avant. Ruiné, Marie-Alexandre-Joseph, vend le château et donne sa démission. - Marie Louis Ignace Cardon de Garsignies lui succéde comme maire et châtelain. Cette famille restaure le château et le conserve jusqu'en 1892.
- Hubert d'Espaigne, marquis de Venevelles qui épouse Marie-Bibiane Cardon de Garsignies, propriétaire du château par ce mariage, est également maire et conserve le château jusqu'à la fin de la première guerre mondiale.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople à la fasce d'hermines. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Beaucamps-Ligny (59056) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Beaucamps-Ligny »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Beaucamps-Ligny » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Beaucamps-Ligny » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Beaucamps-Ligny ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Beaucamps-Ligny » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaucamps-Ligny - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaucamps-Ligny - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Sandre, « le Hameau de Brulle »
- Sandre, « le ruisseau du Pont des planques »
- Sandre, « les Moulins »
- « Fiche communale de Beaucamps-Ligny », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaucamps-Ligny et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 489-490.
- « Quand la Grand'Rue de Beaucamps conduisait à la gare d'Erquinghem-le-Sec : Nous vous proposons, pour ces vacances de Toussaint, de découvrir l'histoire de quelques villages des Weppes à travers le nom de leurs rues. Septième escale à la rencontre d'une ancienne voie ferrée des Weppes », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ligny », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Liste des maires », sur beaucamps-ligny.fr (consulté le ).
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 120-121, lire en ligne.
- « Beaucamps-Ligny : Catherine Lefebvre majoritaire, mais quatre sièges restent à pourvoir : Frédéric Motte, le maire sortant, avait accordé sa confiance à Catherine Lefebvre pour lui succéder. Les électeurs ont majoritairement fait la même chose. La candidate est élue au premier tour avec huit de ses colistiers. Elle sera forcément majoritaire au sein du conseil municipal. « On est super content, clame la Beaucampoise. Même si on peut toujours faire mieux, c'est déjà une victoire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- Site de l'Institution Sainte-Marie.
- « PCSI Institution Saint Marie Beaucamps », sur pcsi.stemariebeaucamps.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaucamps-Ligny (59056) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- L'élan - Magazine en ligne sur l'actualité du village