9e régiment d'artillerie à pied (1910-1918)
Apparence
9e régiment d'artillerie à pied | |
Pièce d'artillerie du 9e RAP en position en Alsace, vers 1917 | |
Création | 1910 |
---|---|
Dissolution | 1918 |
Pays | France |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment d'artillerie à pied |
Rôle | Artillerie de siège |
Inscriptions sur l’emblème |
(aucune) |
Guerres | Première Guerre mondiale |
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Le 9e régiment d'artillerie à pied est une unité de l'armée française ayant notamment participé à la Première Guerre mondiale. Ses traditions sont reprises par le 159e régiment d'artillerie à pied[1].
Chefs de corps
[modifier | modifier le code]Historique du 9e régiment d'artillerie à pied
[modifier | modifier le code]Le régiment est créé en 1910[3]. De 1914 à 1918, le 9e régiment d'artillerie à pied défend le front français en Alsace[1].
En septembre 1918, le 9e régiment d'artillerie à pied est dissout et ses éléments rejoignent le 159e régiment d'artillerie à pied[4].
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Canon de 155 de Bange du 9e RAP en action pendant l'hiver 1914.
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Un artilleur du 9e RAP vers 1917.
Drapeau
[modifier | modifier le code]Le 9e régiment d'artillerie à pied reçoit un drapeau qui ne porte aucune inscription[5],[6]..
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Historique anonyme 1918, p. 27.
- Historique sommaire du 159e régiment d'artillerie à pied pendant la guerre 1914-1918, Paris, Berger-Levrault, 18 p. (lire en ligne), « Le 9e RAP », p. 13-15
- Auguste Édouard Hirschauer, « Annexe 2 : Notice Historique », dans Rapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions du Sénat (no 263), (lire en ligne), p. 222-223
- Historique anonyme 1918, p. 24.
- « L'artillerie : étendard et drapeau », Le Libéral, Oran, (lire en ligne)
- « Étendards des nouveaux régiments d'artillerie », L'Est républicain, (lire en ligne)
- Historique sommaire du 9e Régiment d'artillerie à pied pendant la guerre 1914-1918, Nancy, Berger-Levrault, , 43 p., lire en ligne sur Gallica