La Palme
La Palme | |||||
Une vue du centre de La Palme en 2003. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aude | ||||
Arrondissement | Narbonne | ||||
Intercommunalité | Grand Narbonne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Fauran 2020-2026 |
||||
Code postal | 11480 | ||||
Code commune | 11188 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Palmistes | ||||
Population municipale |
1 784 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 58′ 32″ nord, 2° 59′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 201 m |
||||
Superficie | 27,47 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Narbonne (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Corbières Méditerranée | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aude
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://la-palme.fr/ | ||||
modifier |
La Palme Écouter est une commune française, située dans le sud-est du département de l'Aude en région Occitanie[1].
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Narbonnais, un pays comprenant Narbonne et sa périphérie, le massif de la Clape et la bande lagunaire des étangs. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rieu, le ruisseau de Picassou et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « basses Corbières », le « complexe lagunaire de Lapalme » et l'« étang de Lapalme »), trois espaces protégés (l'« étang de la Palme », « Les Coussoules » et les « étangs littoraux de la Narbonnaise ») et onze zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
La Palme est une commune rurale et littorale qui compte 1 784 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Palmistes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la porte de la Barbacane, inscrite en 1926.
Géographie
[modifier | modifier le code]La Palme, village des Corbières maritimes, est situé entre Narbonne et Perpignan. Le village est construit au bord de l'étang de La Palme, entre la nationale 9 et la départementale 709.
La plage de La Palme se situe au lieu-dit le Rouet, où se trouve également une station de pompage alimentant les salins s'étendant de la mer à l'étang.
La Palme est limitrophe de cinq autres communes.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes 16 et 18 des Autobus de Narbonne.
La ville est desservie par la voie express littorale, qui est desservie par l'autoroute française A9, sortie 39 Sigean ou 40 Leucate, ainsi que par la RN9, puis voie express littorale.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le Rieu, le ruisseau de Picassou, le ruisseau de Buffèque, le ruisseau de la Jasse Rouge, le ruisseau de Mezerac, le ruisseau de Saint Pancrace, le ruisseau des Vignes et le ruisseau du Moulas, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le Rieu, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source sur le territoire communal et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'étang de La Palme à Leucate, après avoir traversé 4 communes[6].
-
Étang de Lapalme depuis les hauteurs de la Franqui. Au loin, sous les éoliennes : la ville de La Palme.
-
Salin de La Palme.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 592 mm, avec 5,1 jours de précipitations en janvier et 2,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fitou à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 17,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 558,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La commune fait partie du parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, créé en 2003 et d'une superficie de 68 350 ha, qui s'étend sur 21 communes du département[15]. Composé de la majeure partie des milieux lagunaires du littoral audois et de ses massifs environnants, ce territoire représente en France l’un des rares et derniers grands sites naturels préservés, de cette ampleur et de cette diversité en bordure de Méditerranée (Golfe du Lion)[16].
Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune :
- l'« étang de la Palme », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 45,6 ha[17],[18] ;
- « Les Coussoules », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 29,4 ha[19],[20] ;
- les « étangs littoraux de la Narbonnaise », une zone humide protégée par la convention de Ramsar, d'une superficie de 12 376,7 ha[21].
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[23] :
- le « complexe lagunaire de Lapalme », d'une superficie de 1 856 ha, la lagune de référence selon les critères de l'état écologique de la Directive-cadre sur l'eau. On trouve des formations très riches en Limonium (steppes salées-habitat prioritaire) et des herbiers de Zostères (Zostera noltii) en mélanges avec des Ruppia (Ruppia cirrhosa)[24]
et deux au titre de la directive oiseaux[23] :
- les « basses Corbières », d'une superficie de 29 495 ha, un site important pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l'Aigle royal, le Grand-duc d’Europe, le Circaète Jean-le-Blanc, le Faucon pèlerin, le Busard cendré, l'Aigle botté[25] ;
- l'« étang de Lapalme », d'une superficie de 3 904 ha, comprenant des formations plus ou moins salées en périphérie de la lagune qui présentent un intérêt majeur pour la nidification. En fonction du degré de salinité, et donc de la végétation, les espèces d'oiseaux se répartissent le territoire[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Huit ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[27] :
- l'« étang de Lapalme » (508 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
- les « garrigues des Basses Corbières Orientales » (648 ha), couvrant 2 communes du département[29] ;
- « les Coussoules » (185 ha), couvrant 2 communes du département[30] ;
- le « massif du pic du Pied du Poul » (2 515 ha), couvrant 5 communes du département[31] ;
- la « plaine agricole de Lapalme » (1 037 ha), couvrant 3 communes du département[32] ;
- les « salins de Lapalme » (432 ha), couvrant 3 communes du département[33] ;
- les « sansouïres de l'étang de Lapalme » (131 ha), couvrant 2 communes du département[34] ;
- les « zones humides des sources du Cap Romarin » (100 ha), couvrant 2 communes du département[35] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[27] :
- le « complexe lagunaire de Lapalme » (1 926 ha), couvrant 3 communes du département[36] ;
- les « Corbières orientales » (30 263 ha), couvrant 19 communes dont 12 dans l'Aude et 7 dans les Pyrénées-Orientales[37] ;
- les « garrigues du Cap Romarin » (1 935 ha), couvrant 4 communes du département[38].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Palme est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[39]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[40],[41].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[42]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[43].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (31,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (33,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,9 %), cultures permanentes (24,5 %), zones humides côtières (17,3 %), eaux maritimes (16,4 %), 1forêts et milieux semi-naturels30,531,1zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (3,4 %), forêts (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[44]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de La Palme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par submersion marine, notamment le Rieu. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1994, 1996, 1999, 2003, 2005, 2009, 2014 et 2019[47],[45].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 60,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 144 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1097 sont en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[48],[Carte 3].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[49].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Le peuple vivant en ce bord de mer s'appelait les Élisyques, un peuple Ibère. Un oppidum Élisyque, Pech Maho, se trouve à quelques kilomètres de la villa Palmae.
Le , Charlemagne donne le village à l'abbaye de Lagrasse. Un cella est installé : Saint Jean de la consécration ou San Joan de la Palma et géré par les moines de Lagrasse. Vers le XIIe siècle une enceinte se constitue autour de ce qui est devenu une église. C'est un des lieux du diocèse de Narbonne qui enverra des députés aux états provinciaux.
En 1206, Amiel d'Auriac, frère d'Olivier de Termes, devient seigneur de Saint-Pancrace, donné en fief par les vicomtes de Narbonne. Il reste encore en ce lieu une chapelle du Xe siècle, Saint-Pancrace. En 1302, après avoir cédé la seigneurie de Saint Pancrace à son fils Bernard, Amelius d'Auriac devient co-seigneur de La Palme après le paréage signé avec l'abbé de Lagrasse.
Le , le duc d'Albe s'empare de Leucate, ainsi que les villages de La Palme, Sigean, Fitou, Treilles, Roquefort, Saint-Jean-de-Barrou, Villesèque et d'autres bourgs jusqu'à Narbonne où l'armée française, commandée par le maréchal de Rieux, arrête sa progression.
À la suite de destructions et de pillages, La Palme se reconstruit en absorbant deux agglomérations, San Brancat et Glabanel, derrière un nouveau rempart. Mais lors de l'invasion espagnole de 1637, le village ouvre ses portes.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[50],[51].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2021, la commune comptait 1 784 habitants[Note 5], en évolution de +3,12 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[56] | 1975[56] | 1982[56] | 1990[56] | 1999[56] | 2006[57] | 2009[58] | 2013[59] |
Rang de la commune dans le département | 57 | 50 | 47 | 51 | 40 | 36 | 36 | 35 |
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Las Claous de la Paumo, fête historique du village.
- La Cérémonie des Consuls avec la remise des clés au Seigneur de La Palme par le moine délégué de l'abbaye de Lagrasse.
Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 806 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 856 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 030 €[I 2] (19 240 € dans le département[I 3]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 8,1 % | 12,9 % | 10,3 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 921 personnes, parmi lesquelles on compte 69,3 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 30,7 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 257 emplois en 2018, contre 223 en 2013 et 247 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 551, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,3 %[I 8].
Sur ces 551 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 162 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 86,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 6,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]153 établissements[Note 8] sont implantés à la Palme au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 11].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 153 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
13 | 8,5 % | (8,8 %) |
Construction | 19 | 12,4 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
48 | 31,4 % | (32,3 %) |
Information et communication | 3 | 2 % | (1,6 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 0,7 % | (2,7 %) |
Activités immobilières | 10 | 6,5 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
28 | 18,3 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
14 | 9,2 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 17 | 11,1 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,4 % du nombre total d'établissements de la commune (48 sur les 153 entreprises implantées à la Palme), contre 32,3 % au niveau départemental[I 12].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[60] :
- Taf Bat Construction, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (786 k€)
- JDS 11, activités des sièges sociaux (32 k€)
- Cigal'home, agences immobilières (29 k€)
- Lupi, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (8 k€)
Un salin sur l'étang de Leucate est exploité depuis l'Antiquité. En 2019, il fait environ 400 hectares et a produit 23 000 tonnes de sel[61].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »[62]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 80 | 65 | 39 | 29 |
SAU[Note 11] (ha) | 779 | 773 | 609 | 542 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 80 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 65 en 2000 puis à 39 en 2010[64] et enfin à 29 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[65],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 779 ha en 1988 à 542 ha en 2020Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à 19 ha[64].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Chapelle Saint-Pancrace de La Palme : petite chapelle romane du Xe siècle dédiée à saint Pancrace, près du village et de l’étang de La Palme. Aujourd’hui désert, le lieu était jadis un petit village donné en fief à la famille d’Auriac par les vicomtes de Narbonne au cours du XIIIe siècle.
- Église Saint-Jean de La Palme, du XIIIe siècle.
- Vieux remparts et portes fortifiées.
- La porte de la Barbacane (ancien pont-levis).
- La tour de l’Horloge : proche de la barbacane
La porte de la Barbacane et la tour de l'Horloge sont inscrites au titre des sites naturels depuis [66]. - Les moulins et le plan d'eau Désiré-Pech[67],[68].
- Les capitelles des carriers et les murs en pierre sèche.
- L'ancien château aux fenêtres Renaissance.
- Les lavoirs[69].
-
Église Saint-Jean.
-
La tour de l’horloge.
-
Ancien moulin à vent.
-
Lavoir de la Païcherasse.
- La croix de Saint-Vincent où se situait l'église du village de pêcheurs disparue « Glabanel ».
- L'ancienne carrière.
- Le rouet sur la plage est la station de pompage des salins.
- La Voie Domitienne : après de nombreuses découvertes, il est établi que la voie passait à proximité de la chapelle Saint-Pancrace à 50 mètres de la nationale 9, le vingtième milliaire ayant été découvert dans une vigne près du Rieu de Caves, Treilles. Une reproduction de la coupe de la voie romaine et une copie de la XXe borne miliaire avec des inscriptions : Aénobarbus.. a été créée à l'aire de repos des Cabanes de La Palme. La voie traversait l'actuel hameau où se trouvait un relais de voyage. Autour de la chapelle ont été découverts des tuiles, des sépultures, et toutes sortes de débris anciens, mais aussi des pièces de monnaie et une statuette en bronze : une Isis Fortuna, la réplique exacte de celle trouvée à Herculanum ; mais surtout un passé gallo-romain (saint Pancrace était un saint important à Rome : il y fut martyrisé en l’an 304, sous le règne de Dioclétien, et dès le IVe siècle, il eut une église à son nom à Rome).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Joë Bousquet (1897-1950) : poète qui venait en vacances chez ses grands-parents, dans la rue qui porte aujourd'hui son nom (auteur du livre Le Roi du sel, un conte sur La Palme) ;
- Jean-Jacques Borrut (1944-2020) : artiste plasticien et poète né à La Palme.
- Roger Gouzy (1905-2016), doyen masculin des Français à partir de , y est né et mort.
Équipements culturels
[modifier | modifier le code]La Palme possède des ateliers d'Art et d'exposition.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur à un palmier d'or posé sur une terrasse du même. |
|
---|---|---|
Détails | ||
Alias | De gueules à un pal fuselé d'or et de gueules. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Joan Jaume Borrut, poésies : Le conte du grand tourbillon, ode à Bacchus, la légende de La Palme, La Vergonha et la Baragonha.
- Joseline Briffon-Borrut, native de La Palme, fait revivre son village dans Étoile du Midi, paru en (Éditions Empreinte).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de la Palme » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à la Palme » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à la Palme » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Palme » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à la Palme » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- En occitan, Palma ou Pauma, prononcé Paumo.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « Fiche communale de la Palme », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « le Rieu »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Palme et Fitou », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fitou » (commune de Fitou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fitou » (commune de Fitou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée - carte d'identité », sur parc-naturel-narbonnaise.fr (consulté le ).
- [PDF]« Le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée - Charte 2011-2022 », sur documentcloud.adobe.com (consulté le ).
- « l'« étang de la Palme » », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le ).
- « l'« étang de la Palme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les Coussoules », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le ).
- « « Les Coussoules » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « les « étangs littoraux de la Narbonnaise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Palme », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101441 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9110111 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112006 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Palme », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« étang de Lapalme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « garrigues des Basses Corbières Orientales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « les Coussoules » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du pic du Pied du Poul » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « plaine agricole de Lapalme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « salins de Lapalme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « sansouïres de l'étang de Lapalme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « zones humides des sources du Cap Romarin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « complexe lagunaire de Lapalme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Corbières orientales » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « garrigues du Cap Romarin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Narbonne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de La Palme », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur aude.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Entreprises à la Palme », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « 23 000 tonnes d’or blanc récoltées au salin de La Palme », sur L'Indépendant, (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de La Palme - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).
- « Porte de la Barbacane et tour de l'Horloge (Lapalme) ».
- « Les moulins et le plan d’eau à La Palme », sur cdt11.media.tourinsoft.eu (consulté le ).
- Les deux grosses meules posées sur le flanc du moulin proviennent d'une ancienne carrière de meules à l'ouest de La Palme.« Les anciens carrières...vestiges romains. », sur cdt11.media.tourinsoft.eu (consulté le ).
- « Les lavoirs de La Palme », sur cdt11.media.tourinsoft.eu (consulté le ).