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Amy (Oise)

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Amy
Amy (Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Yann Guigand
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60011
Démographie
Gentilé Amédéens
Population
municipale
416 hab. (2021 en évolution de +8,62 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 20″ nord, 2° 49′ 33″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 97 m
Superficie 12,58 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Amy
Géolocalisation sur la carte : France
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Amy
Géolocalisation sur la carte : Oise
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Amy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Amy
Liens
Site web https://www.amy-oise.fr/

Amy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

Description

Amy est un village périurbain du Santerre dans le nord de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à 46 km sud-est d'Amiens, à 18 km à l'ouest de Montdidier, 58 km au nord-est de Beauvais et à 26 km au nord de Compiègne.

Il est aisément accessible par l'autoroute A1 et les anciennes routes nationales RN 17 et RN 334 (actuelles RD 1017 et 934).

Communes limitrophes

Panorama du village

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Avre, l'Avricourt[1] et le Pavé[2],[Carte 1].

L'Avre, d'une longueur de 66 km, prend sa source dans la commune , à 81 m d'altitude, et se jette dans la Somme à Longueau, à 24 m d'altitude, après avoir traversé 31 communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Amy[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : Flaque à Brebis (0,1 ha)[Carte 1],[4].

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[5].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

Typologie

Au , Amy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78 %), forêts (17,8 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (0,3 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 179, alors qu'il était de 170 en 2013 et de 159 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 83,6 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Amy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,5 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Amy en 2018.
Typologie Amy[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 83,6 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,1 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 11,3 7,1 8,2

Voies de communication et transports

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 674 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie

Amy a été désigné comme Ami, l'Ami, Amy-le-Grand (Amedeium)[17].

Ce terme dérivé d'« ami », est un ancien nom de baptême médiéval signifiant amant ou gai compagnon.

Le nom des habitants, les Amédéens, proviendraient selon l'ancien maire Maurice Fagoo du nom d'un ancètre commun prénommé Amédée[18].

Histoire

Le monument aux morts.

Amy existait avant le XIe siècle, car son église est dotée vers 1030 église, est dotée vers 1030 par Hardouin de Croï, évêque de Noyon.

Le , pendant les guerres de la Fronde, le Grand Condé, assiégeant Roye, détruit le village dont les habitants se réfugient dans les bois d'Haussu[17].

À la suite d'un coup de foudre, l'église a été détruite par un incendie le et reconstruite en briques, avec un nouveau clocher construit à côté de l'ancien portail Renaissance[17]..

Sous l'Ancien Régime, le village faisait partie du bailliage, du grenier à sel de Roye, et de l'élection de Montdidier. Il comptait vingt-neuf feux, en 1469, et quatre-vingt treize, en 1770. La paroisse d'Amy était du doyenné rural de Nesle, et du diocèse de Noyon[19]

Le château, situé à l'est du village près de l'église, présentait autrefois un vaste bâtiment composé d'un corps de logis principal, flanqué de deux pavillons entouré de fossés. Il est mentionné en 1850 comme démoli, et il n'en subsistait alors que deux pavillons construits en briques[19],[17].

En 1850, le village comptait deux moulins à vent[17]. Quelque temps après, en 1883, existait une sucrerie dans la commune[19].

Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[20] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].

Un terrain d'aviation a été aménagé peu avant la Seconde Guerre mondiale par l'armée française sur la commune, dite Plate-forme d'opérations de Roye-Amy. Après avoir été utilisé par la Royal Air Force de septembre à octobre 1939, il est bombardé pendant la bataille de France le . À partir de septembre 1940, le terrain est utilisé par la luftwaffe, qui y construit 3 pistes de 1 770, 1 650 et 1 590 m, bétonnées et balisées, équipé d'un système d'approche par mauvais temps et de plusieurs aires de dispersion totalisant 59 abris; 2 batteries de 3 canons de 88 mm et une de 7 pièces de 20 et 37 mm. Les habitants sont contraints à évacuer le village, et des vestiges de cette base aérienne subsistent dans la commune, alors que l'aérodrome a été démantelé au début des années 1950[22],[18].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

Amy est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962   Maurice Beaudet    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 2014 Maurice Fagoo[18]    
2014[25] En cours
(au 2 décembre 2020)
Yann Guigand   Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Équipements et services publics

En 2021, les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) fréquenté également par ceux d'Avricourt et de Margny-aux-Cerises. Deux de ses classes sont implantées à Amy[27]

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 416 habitants[Note 3], en évolution de +8,62 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
379374425465490522533538473
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
442450472496495498483491463
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
474451478338413407365284362
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
336283240272342345367365389
2021 - - - - - - - -
416--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 202 femmes, soit un taux de 50,63 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,0 
3,0 
75-89 ans
5,4 
14,8 
60-74 ans
18,3 
16,5 
45-59 ans
18,6 
26,6 
30-44 ans
18,5 
11,5 
15-29 ans
12,7 
27,0 
0-14 ans
26,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

l'église Saint-Jean-Baptise a été reconstruite en 1924-1925 après les destructions de la Première Guerre mondiale en s'inspirant de l'architecture de l'édifice précédent, qui avait été largement reconstitué après un incendie de 1693. Toutefois, le portail du XVIe sièclea pu être remonté dans l'édifice actuel, perpétuant l'art de la Renaissance avec son archivolte en cintre surbaissé est finement sculptée et les deux piédroits composés de deux colonnettes en délit que surmonte une niche avec dais qui abritait autrefois une statue[33]..

Personnalités liées à la commune

En 1850, Louis Graves indiquait « La seigneurie de ce lieu appartenait, au quinzième siècle, à la maison de Belloy, l'une des plus anciennes de Picardie. Diane, fille et héritière de Charles de Belloy, l'apporta en mariage, l'an 1659, à Jean Scarron, conseiller au parlement, en faveur duquel cette terre fut érigée en marquisat par lettres du mois de septembre 1678. Elle était possédée, dans le dix-huitième siècle , par le marquis de la Chesnelaye , et passa après sa mort, arrivée en 1767, dans la maison de Soyécourt ; des alliances l'ont transférée successivement à M. le comte de Saint-Aulaire , aujourd'hui ambassadeur, et à M. le duc Decazes, pair de France, ancien ministre[17] ».

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. a et b « Réseau hydrographique d'Amy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Amy » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Amy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Amy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

  1. Sandre, « l'Avricourt »
  2. Sandre, « le Pavé »
  3. Sandre, « l'Avre »
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Amy et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Carte interactive », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. a b c d e et f Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 111 p. (lire en ligne), p. 40-42, sur Google Books.
  18. a b et c « Ces villages aux noms insolites : Amy », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a b et c Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 171-177.
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
  22. Jacques Calcine, « Amy – Roye », sur anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Les maires de Amy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. [Lien web=http://www.umo.asso.fr/index.php?mod=11&idcanton=&idcommune=11%7Ctitre=Fiche commune :Amy|éditeur=Union des maires de l'Oise|consulté le=22 août 2014]
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Présentation situation », Mairie, sur amy-oise.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amy (60011) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. Dominique Vermand, « Amy, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Noyon », sur Eglises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).