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Georges Caussarieu

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Georges Caussarieu
Description de l'image Georges_Caussarieu.png.
Fiche d'identité
Nom complet Georges Pierre Caussarieu
Naissance
Hendaye (France)
Décès (à 68 ans)
Saint-Pée-sur-Nivelle (France)
Surnom « Coco »[1]
Poste Centre
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
XV
1925 - 1927
1927 - 1929
1929 - 1932
XIII
? - ?
FC Oloron
Section paloise
Stade français

Paris rugby XIII
? (?)

? (?)
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
1928-1928
1935-1936		 France à XV
France à XIII		 1 (0)
2 (?)
Carrière d'entraîneur
PériodeÉquipe 
Celtic de Paris

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.

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Georges Caussarieu, né le à Hendaye et mort le à Saint-Pée-sur-Nivelle[2], est un joueur de rugby à XV puis de rugby à XIII.

Georges Caussarieu est formé au rugby à XV au Football club oloronais, comme Théophile Cambre, Robert Barran ou Louis Brané[3],[4]. Caussarieu est titulaire au centre de l'attaque de la Section paloise lors de la finale de 1928[5]. Caussarieu compte également une sélection en équipe de France, devenant le 243e international français[6],[7].

Dans sa seconde partie de carrière, Caussarieu céde aux sirènes du rugby à XIII, et connaît également la sélection de France entre 1935 et 1936. En club, il joue pour Paris.

Famille

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Georges Pierre Caussarieu naît le à Hendaye (Pyrénées-Atlantiques)[8]. Son père, Jean Caussarieu (1879-1919), est employé de commerce, et sa mère, Zoé Piarrou (1880-1940), institutrice[8]. Il a un sœur : Rose (1915-2010). Il se marie le à Elisabeth Bastien (1909-2001), en la mairie de Nouméa en Nouvelle-Calédonie, et décède le à Saint-Pée-sur-Nivelle.

Biographie

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Georges Caussarieu grandit à Oloron-Sainte-Marie où sa mère est institutrice[9].

Caussarieu effectue ses études à Oloron[4],[10]. Il se fait d'abord remarquer en athlétisme, puis débute le rugby à XV[11].

Caussarieu a exercé la profession d'Inspecteur des Douanes[12].

En bon béarnais, Caussarieu était réputé pour son gout pour le Jurançon (AOC) et la cantèra, dont il faisait la promotion au Bataillon de Joinville[13].

Carrière en rugby à XV

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Débuts au FC Oloron

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À l'instar de nombreux joueurs majeurs du rugby français des années 1920 et 30, Georges Caussarieu découvre le rugby à XV au Football club oloronais, comme Théophile Cambre, Robert Barran ou Louis Brané[3].

Très vite, Caussarieu se révèle être un joueur à fort potentiel[14].

Section paloise

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Caussarieu avec le maillot de la Section
Caussarieu avec le maillot de la Section

Caussarieu rejoint la Section paloise, où il s'impose comme un leader d'attaque au sein d'une génération dorée[15].

Militaire au Bataillon de Joinville, Caussarieu est la révélation rugbystique de la saison 1927-1928[13].

Avec la Section, Caussarieu, centre percutant, est champion en 1928[16].

Durant cette même année, Caussarieu est sélectionné avec son coéquipier Robert Sarrade en Équipe de France de rugby à XV afin d'affronter l'Irlande lors du Tournoi des Cinq Nations 1928[17]. Le comité de sélection hésite entre Caussarieu et Fernand Laclau, son partenaire au centre de l'attaque de la Section. Laclau est perçu comme un attaquant plus dangereux, cependant c'est Caussarieu qui est finalement retenu. Il est estimé que Caussarieu est un joueur plus complet[18].

Stade français

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Caussarieu est muté à Paris dans l’Administration Centrale, et il rejoint alors le Stade français[19]. Là-bas, il a la possibilité d'évoluer aux côtés d’Adolphe Jauréguy, joueur avec qui il a évolué en Équipe de France de rugby à XV[20].

Palmarès en club

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Carrière en rugby à XIII

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En club

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Clubs successifs

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Équipe de France

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  • International à XV : une sélection en 1928 contre l'Irlande

Détails en sélection en rugby à XIII

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Matchs internationaux de Georges Cassarieu
Date Lieu Adversaire Résultat Compétition Poste Points Essais Pen. Drops
Bordeaux, France Pays de Galles 18-11 ? Arrière ? ? ? ?
Stade Buffalo, Montrouge, France Angleterre 7-25 ? Arrière ? ? ? ?

Références

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  1. ↑ « Leurs sobriquets », L'Auto,‎ (lire en ligne)
  2. ↑ État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  3. ↑ a et b « La FC Oloronais, club modeste mais pépiniére de talent. », sur Gallica, Midi olympique, (consulté le )
  4. ↑ a et b « L'hommage des Edelweiss du Lycée Jules-Supervielle », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  5. ↑ « La Section Paloise bat l'US Quillanaise et devient champion de France », sur Gallica, L'Auto, (consulté le )
  6. ↑ « Georges Caussarieu », sur Fédération Française de Rugby (consulté le )
  7. ↑ « Le FCO fête son cinquantenaire », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  8. ↑ a et b Acte de naissance de Georges Pierre Caussarieu , AD Pyrénées-Atlantiques, consulté le 15 avril 2023.
  9. ↑ « L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région] », sur Gallica, (consulté le )
  10. ↑ « Oloron - Succès scolaires », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  11. ↑ « Oloron - Manifestations Sportives », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  12. ↑ « Finales Rugby - CAUSSARIEU Georges », sur finalesrugby.fr (consulté le )
  13. ↑ a et b « Caussarieu, révélation de l'année », sur Gallica, Match: l'intran, (consulté le )
  14. ↑ « L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région] », sur Gallica, (consulté le )
  15. ↑ Henri Garcia, Fabuleuse histoire du rugby, Éditions De La Martinière, (ISBN 978-2-7324-5794-9, lire en ligne)
  16. ↑ Robert Barran, Du rugby et des hommes, (Albin Michel) réédition numérique FeniXX, (ISBN 978-2-7050-0284-8, lire en ligne)
  17. ↑ « La nouvelle équipe de France », sur Gallica, Paris-soir, (consulté le )
  18. ↑ « Equipe de France », sur Gallica, Le Miroir des sports, (consulté le )
  19. ↑ « Caussarieu perdu pour la Section paloise! », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  20. ↑ « Mutation », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )

Liens externes

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