Utilisateur:Michel BUZE/Carta
- Arenas Negras El Son En El Corazon sur MSI Music (import)
http://www.mystrands.com/action/searchadvanced?target=track&trackName=%22chan-chan%22
- Suzie LeBlanc (soprano) et Les voix humaines (Susie Napper et Margaret Little, viole de gambe) accompagnées de Stephen Stubbs, guitare baroque; Maxine Eilander, harpe baroque, Rafik Samman, percussions - album Ay que si!, label Atma (extrait mp3)
en:Moon The Giant A Modicum Of Abundance 2003
- Trío D'Gala - album Entre dos aguas [http://www.cubamusic.com/archive_preview/0300070105.MP3 (extrait mp3)
- MARAVILLA DE FLORIDA 50 y más maravillas
- Omar Corales y el Quinteto Oriente
- Jesus Lantermo
- Ska CUbano - Con El Chan Chan Chan ???
Kako (Francisco Bastar de son vrai nom) est un percussioniste de salsa né le 21 juin 1936 à San Juan (Porto Rico) et décédé aux Etats-Unis le 29 juillet 1994.
Petit il fait de la danse et apprend à jouer des percussions (timbales, conga, et bongo).
En 1952 ses parents se séparent et il part avec sa mère et ses soeurs à New York.
En 1957 il joue du bongo dans l'orchestre d'Arsenio Rodriguez, puis il jouera avec Tito Puente et Mongo Santamaria.
Il rejoint le label Alegre d'Al Santiago où il enregirtre le single 'Tributo A Cortijo' et collabore aux premiers enregistrement de Mon Rivera, Felipe Rodriguez et Johnny Rodriguez (frère ainé de Tito Rodríguez).
En 1961, il forme Kako Y Su Combo et sort son premeir album, Vol. 1, premier d'une longue série. (sur le Vol. 2 sorti en 1962 chante Chivirico Dávila).
Il fait ensuite partie des Alegre All Stars fondée par Charlie Palmieri (avec Johnny Pacheco, Barry Rogers, Chombo Silva et Dioris Valladares) et des Puerto Rico All Stars (avec Rafael Ithier et d'autres d'El Gran Combo, Mario Ortiz, Chivirico Davila, Johnny Rodríguez, Paquito Guzmán et Charlie Palmieri).
En 1964, il dirige les Alegre All Stars où figurent ni plus ni moins que Charlie Palmieri, Israel "Cachao" Lopez, Louie Ramirez et Joe Quijano, entre autres, pour un hommage à Noro Morales.
En 1968 il enregistre Live It Up avec Camilo Azuquita, album qui comporte quelques boogaloos, alors à la mode.
Il fait partie des Salsa All Stars (formé par Joe Quijano). En 1976 il sort l'album Union Dinamica . En 1997 il figure sur le LP Alegre All Stars Anniversary LP'
Par la suite il a collaborré avec son fils Richie Bastar.
He formed his own combo in the mid-'50s and made two 78s on the SMC label, joining Alegre Records in '58 and among his earliest recordings on the label was the single 'Tributo A Cortijo' (Rafael Cortijo).
Kako became artistic dir. and general manager at Alegre, Santiago's adviser and talent scout, introducing him to Israel 'Cachao' López, 16- year-old Willie Colón and numerous others; he sessioned with Conjunto Típico Ladi, Johnny Rodríguez, Mon Rivera, Felipe Rodríguez and others.
He made his album debut on Alegre with Kako y su Combo Vol. I '61, the same year contributing to the first of the celebrated albums by the Alegre All-Stars, directed by Charlie Palmieri, a descarga band patterned after the seminal Cuban Jam Session albums of the '50s, but unlike the Fania All-Stars featuring instrumentalists rather than vocalists.
In '62 Rafael 'Chivirico' Dávila sang lead vocals on both Kako y su Combo Vol. II and the classic Se Te Quemo La Casa by Orlando Marín and his orchestra: Dávila worked with many other artists, issued nine solo albums c'70--78, toured Colombia '93 with Marín's four- trumpet conjunto and performed mid-'94 with Marín and the Partially New Alegre All-Stars at a reunion concert at Orchard Beach in the Bronx.
In '65 Kako recorded the classic Tributo A Noro in homage to his friend, the revered bandleader/pianist/composer Noro Morales, who had died the previous year. 'We decided on the Noro project on a Saturday afternoon and started recording at 5 a.m. Sunday,' recalled Al Santiago. This entailed Santiago, Palmieri and pianist/composer Héctor Rivera rounding up an 18-piece 'after hours orchestra' (essentially the Alegre All-Stars) for Kako by ferrying the musicians after their Saturday-night gigs to the studio; personnel incl. Rivera and Palmieri, piano; Cachao, bass; Louie Ramírez, vibes; José 'Chombo' Silva, tenor sax; Osvaldo 'Chi Hua Hua' Martínez, guiro; Chivirico Dávila, vocals; and Joe Quijano, bongo.
Kako performed on The Alegre All-Stars Vol. 2 'El Manicero' c'65, and Puerto Rican All-Stars Featuring Kako c'65, an early- morning jam session made in Puerto Rico in Feb. '63 incl. members of El Gran Combo (incl. leader/pianist Rafael Ithier); Mario Ortiz, trumpet; Chivirico Davila, Johnny Rodríguez and Paquito Guzmán, vocals and Palmieri (singing chorus!).
Kako also participated in The Alegre All-Stars Vol. 3 'Lost And Found' and The Alegre All-Stars Vol. 4 'Way Out' (mid-'60s).
He changed to Musicor Records for Live It Up '68, with lead vocals by Panamanian Camilo Azuquita, prod. by Al Santiago, it incl. some boogaloos, in fashion at the time.
Also in '68, Kako played on the Santiago- prod. descarga album, The Salsa All Stars on the Salsa label, featuring Palmieri, Ramírez, Cachao, Azuquita and Pupi Legarreta, and played conga on the collector's item Cuban Roots (on Mu- sicor) by Brooklyn-born trombonist/arranger/composer Mark Weinstein, another Santiago production, as was Kako's parting shot on Musicor Sock It To Me, Latino! (late '60s), with lead vocals by Kako's brother-in-law Meñique (Miguel Barcasnegras, also a Panamanian).
Kako played timbales with the Cesta All-Stars on the Latin jam session albums Live Jam Session (late '60s) and Salsa Festival (early '70s) on Joe Quijano's Cesta label.
Kako's collaborations with notable Puerto Rican and Cuban artists incl. Lo Ultimo En La Avenida '71 with Ismael Rivera, the classic Ritmos y Cantos Callejeros (early '70s) with Rafael Cortijo and Siguen Pa'lante y Pa'lante (early '70s) with Afro- Cuban conga player/singer Totico (Eugenio Arango).
Kako '74 on TR was prod./arr. by Louie Ramírez.
Kako sessioned on Azuquita's Pura Salsa '75 and they teamed up on Union Dinamica '76.
He reconvened with the Alegre All-Stars on their 17th anniversary album, Perdido '77; in the late '70s he played bongos with the Machito band.
He made his final recordings in the late '70s/early '80s, guesting on albums by e.g. Adalberto Santiago and Típica 73. He continued performing in Florida in the early '90s, putting a band together with help from his son, percussionist Richie Bastar; but he was too ill to appear at a reunion of the Alegre All-Stars in July '94
http://www.ffc.fr/com/imgAdmin/Piste/2006/chptdumonde/Dossierdepresseavecphotos.pdf
une bibliothèque proposant 18 000 livres.
le Bois de Bordeaux prévu au nord renforce l’idée de «la nature dans la ville et de laville dans la nature».
Roger Talibert propose un vélodrome de 8 000 places, et Jean-Claude Moreau des antennes sportives à partir du modèle des complexes funéraires de la haute Antiquité.
Au total, la zone de sport et de loisirs offre unegrande variété d’équipements, d’espaces et de lieux spor-tifs avec le lac, la base de plein air, le golf, les antennes et un ensemble de terrains de football, de rugby, de basket,de volley-ball, de handball, de tennis, de hockey, des pistes d’athlétisme, des gymnases installés dans un envi-ronnement naturel et ouvert.
Le Lac est divisé en deuxparties par une presqu’île support de rocade, le plan d’eau nord est réservé à l’aviron, au canoë et au kayak;un club avec «tank» d’entraînement, salle de gymnas-tique et hangars à bateaux est dissimulé dans une butte
Les lieux ouverts sportifs dans l’espace rocade du lac. gazonnée et abrite l’Émulation nautique de Bordeaux. Leplan d’eau sud est destiné à la voile, une école munici-pale y reçoit les scolaires, les jeunes des institutions deloisirs ainsi que des groupes et des particuliers.
Trente ans après sa formulation, l’ambitieux projet duquartier du Lac de Bordeaux s’est dilué dans l’espacerocade.
L’Émulation nautique et ses sec-tions d’aviron et de canoë-kayak installées en 1970 et lecentre de voile ouvert en 1975 ont permis la pratique d’ac-tivités qui n’étaient pas possibles jusqu’alors à proximité dela ville.
Leur succès comme lieu d’initiation, de perfection-nement et de compétition s’explique par les besoins exis-tant en ce domaine au niveau de l’agglomération.
Demême, le golf municipal, aménagé en 1976, répond à lavolonté de démocratisation relative de ce sport; il est sus-ceptible d’accueillir les joueurs à des conditions plus inté-ressantes que les autres clubs privés de la périphérie. Cegolf dispose d’un club-house, de deux parcours de dix-huittrous, d’un parcours école, de deux putting-green et d’unpractice sur plan d’eau avec trente boxes couverts. L’évo-lution du nombre des licenciés a connu une forte progres-sion de 1980 à 1987 où le nombre de 2600 adhérents a étéatteint; il se stabilise depuis 1995 autour de 1500.
On note en particulier 16terrains degrands jeux, 2pistes d’athlétisme, 6terrains de petits jeux,un fronton, 12tennis et 32vestiaires surveillés.
Les groupesd’utilisateurs sont variés: clubs sportifs, scolaires, usagersqui possèdent la carte «stade pour tous» et comités d’en-treprises. La demande est supérieure à l’offre et le pleinemploi des équipements est assuré.
L’édification du vélo-drome sur le site du Lac a été le résultat d’une décisionpolitique et la définition des objectifs de cette installationpose de sérieux problèmes de gestion.
La berge de la rocade nord faisant face au parc desexpositions est accessible par la piste cyclable Bordeaux-Lacanau, mais aussi aux voitures qui trouvent à se garerfacilement. Ce lieu est investi par les pêcheurs, les adeptesdu jogging et du vélo qui cohabitent sans difficulté. Pourles pêcheurs, les conflits d’usage se situent avec les prati-quants de l’aviron et du canoë-kayak qui s’approchenttrop près des berges au risque d’accrocher les lignes et dechasser les poissons. Un autre problème est lié à l’épan-dage de craie profitable aux baigneurs pour la propreté del’eau mais néfaste pour la pêche car elle tue les algues etne permet pas la repousse des herbiers. Les pistescyclables et le bassin d’étalement constituent un troisièmeespace piétonnier et cycliste qui laisse encore ouvertes delarges possibilités d’activités.
La pression des usagers autour de la «plage du lac» apermis l’adaptation progressive d’un site. Lors de l’amé-nagement du lac, une plage a été créée mais la baignade ya été interdite pour des raisons de sécurité et d’hygiène.Or, pour le sens commun, la notion de plage est étroite-ment associée à la baignade. Durant plusieurs années, lesrésidents du quartier et en particulier les jeunes ontenfreint la loi en jouant avec les contrôles de police quitentaient de la faire respecter. Les revendications des asso-ciations s’ajoutant aux pratiques illicites ont été reprisesdans une campagne de presse menée par le journal Sud-Ouest. Ces actions ont abouti à un changement d’attitudemunicipale et à l’organisation d’une plage surveillée auto-risant la baignade dans un périmètre limité. La configura-tion de l’ensemble présente une bande de sable de 150mètres de long et de 25 mètres de large, un terre-pleingazonné et la bande sableuse, une aire de baignade déli-mitée et surveillée pendant l’été, des toilettes préfabri-quées et un poste de secours. La réalisation de ce pro-gramme s’est accompagnée de trois mesures valorisant12
l’idée d’un lac sportif écologique: le traitement chimique de l’eau, le renforcement des installations d’assainisse-ment et l’interdiction du nautisme motorisé autre que desurveillance. De juin à septembre, la plage du lac joue unrôle attractif pour des populations issues majoritairementdes quartiers d’habitat collectif du nord de Bordeaux et dela rive droite. Appelée parfois «la plage des pauvres», celieu, par opposition aux plages de la côte atlantique plusvalorisées, est exemplaire d’un aménagement progressifrépondant à une pression sociale.La pelouse des Aubiers, située au pied des immeubles dela cité, est un autre espace de détente favorable à des acti-vités sportives liées principalement aux jeux de ballons etde raquettes. Elle accueille des jeunes et des familles descités voisines et contribue aux relations inter-cités.
Ainsi, l’ensemble des espaces sportifs ouverts du Lacde Bordeaux s’inscrit dans un projet laissant à chacun despossibilités de pratiques peu contraignantes. Alors quedans le modèle institutionnel l’adhésion, l’entraînement etla compétition sont au cœur du système, dans le modèledes sports de loisirs, la pratique devient un but en soi, etl’individu ne se sent plus autant solidaire des pratiquantsd’une même discipline. La cohésion et la conscience dugroupe d’appartenance se défont et le sport devient unobjet de consommation parmi d’autres.L’accessibilité de la villeDes stratégies multiples ont donc renforcé le rôle et laplace du sport qui s’affirme dans sa diversité comme unmode majeur de loisir et de culture. Les équipements, lesespaces et les lieux donnent à l’ensemble des activitésphysiques et sportives une force et une visibilité nou-velles. La multiplication des équipements forme un véri-table maillage, dans les villes comme dans l’ensemble duterritoire, de lieux rassemblant le plus grand nombre depratiquants volontaires. Stades, gymnases, piscines, ten-nis, terrains de petits et grands jeux couvrent le pays.À la légitimité sportive issue du mouvement olym-pique et fondée sur la compétition, se sont ajoutées demultiples légitimités de type hygiéniste, éducatif etludique. Les équipements et les espaces s’adaptent auxmodes et aux pratiques de la société. Les processus d’in-dividuation, de délocalisation et de segmentation modi-fient l’utilisation des installations. Ces dernières sontprises dans un système incessant de transformations, demodifications, de réhabilitations.Les nouvelles configurations des loisirs sportifs parti-cipent à une dynamique urbaine qui déborde largement leseul phénomène sportif. En s’inscrivant dans un ensemblede pratiques culturelles, elles contribuent à la créationd’une urbanité flexible laissant à chacun la possibilitéd’accéder à des lieux diversifiés, d’entrer en relation avecdes groupes variés et de participer à des occasions de ren-contres programmées ou non programmées. Comme leremarque Ulf Hannerz17, l’accessibilité urbaine nécessited’être partiellement planifiée et partiellement aléatoire.Permettre à chacun de s’inscrire dans des démarches orga-nisées ou libres18devient un moyen de favoriser les rela-tions et les expériences, et dans cette perspective, à côtédes infrastructures indispensables aux pratiques institu-tionnalisées, d’autres aménagements doivent être plusouverts pour laisser à la ville et à ses habitants leur proprecapacité à créer de l’urbanité.
Les équipements structurés répondent à un besoin éma-nant des associations bordelaises et des particuliers; ilspermettent également l’organisation de manifestations demasse regroupant plusieurs milliers de participants dontcertains bénéficient du secteur hôtelier de proximité, alorsque d’autres utilisent des véhicules individuels ou lesnavettes de raccordement mises en place pour desservir lecentre-ville. Les équipements sportifs du Lac s’inscriventdans l’espace rocade de l’agglomération et participent àl’émergence d’une «ville-auto», comme le souligne JeanMarieu, puisque les transports en commun sont trèsdéfaillants dans ce secteur.Les équipements de proximité, à l’opposé des précé-dents, sont destinés à une population locale. Les«JSports», installés au pied des immeubles collectifs desAubiers et du Lauzun, correspondent à une forme d’ins-tallations devant mieux tenir compte des besoins de lapopulation jeune résidente. Initiés par le ministère de laJeunesse et des Sports en 1991, ils visent à implanter, aucœur des quartiers, de petits équipements ouverts en per-manence, d’accès libre et gratuit, et non fondés sur lacompétition institutionnalisée. Ces lieux d’activités sesituent en position intermédiaire entre les installationsstructurées et les espaces libres que sont les rues, trot-toirs, parkings et les interstices entre les bâtiments, et oùse sont développées des pratiques parallèles. La Missiontechnique de l’équipement du ministère de la Jeunesse etdes Sports, qui a formulé le projet et assuré sa diffusionconsidère que: «créer un «J Sports» ne consiste pas uni-quement à assembler dans un emplacement disponibledes éléments préfabriqués ou à construire un simple sup-port d’activités. Il faut concevoir, dans un site favorable,un projet global assurant une intégration urbaine harmo-nieuse, offrant aux utilisateurs non seulement un outilfonctionnel, mais aussi un lieu convivial où des rapportshumains riches peuvent s’établir. Il s’agit d’«intimiser»un espace pour en faciliter l’appropriation ultérieure, sans
le fermer, et en lui conférant une valeur scénique àlaquelle les jeunes sont particulièrement attachés. Ilsaiment voir et être vus.»La nouveauté vient de la participation des jeunes à laconception, la réalisation et la gestion de l’équipement.Les promoteurs de l’opération espèrent que les chancesd’appropriation des lieux seront augmentées par cetteprise en compte des aspirations des utilisateurs. Les équi-pements sont prévus de petite taille, généralement de 200à 400 mètres carrés, permettant la plupart des jeux de bal-lons et desservant une aire très limitée. Ils doivent, àl’échelle du quartier, s’organiser en réseaux d’installa-tions diversifiées afin de limiter les risques de lassitude, deproposer la pratique de plusieurs sports et de favoriser lebrassage des jeunes de l’ensemble résidentiel. Devantcompléter les équipements classiques, ce réseau peut êtreutilisable par les scolaires.Aux Aubiers, les demandes formulées par les jeunesont été claires: «du football et du basket, mais surtout dubasket!» La concertation menée avec les responsables del’aménagement du quartier, les jeunes, les éducateurssportifs, le service des sports de la mairie a permis l’amé-nagement de huit «J Sports» de 1992 à 1994. Ces équi-pements se composent de deux espaces pour le basket,d’un terrain de football, de buts de handball, d’un terrainde volley, de deux tables de ping-pong en ciment, d’unepiste de bicross et d’une piste de skate. L’évaluation deleur usage en 1997 donne des résultats mitigés plutôt posi-tifs. Le «football pied d’immeuble» a un réel succès etpermet des pratiques de jeux variées, les paniers de basketsont largement utilisés et les filles, bien que minoritaires,y accèdent facilement. Le terrain de volley et les tables deping-pong sont par contre souvent délaissés, ces dernièresservent à l’occasion de sièges ou d’établis pour la répara-tion des mobylettes. La piste de bicross qui a remplacé le«terrain d’aventure» des Aubiers reste l’équipement leplus fréquenté en raison de son usage par les scolaires, lesassociations et les clubs, mais l’utilisation après 17 heurespar les pratiquants individuels est recherchée.Les analyses des «J Sports» des Aubiers confirmentles remarques d’Armand Zouari10notant que la diversitédes profils de sportifs rencontrés dans les services deproximité doit être perçue comme une partie originale etséduisante de l’univers sportif, ces équipements «ne peu-vent être considérés ni comme un niveau inférieur dusystème, antichambre du vrai sport, ni comme de simplesespaces ludiques, mais plutôt comme une pure innova-tion, le pendant résidentiel des services sportifs urbains».On assiste autour des «J Sports» à la constitution deréseaux de jeunes à la fois localisés et mobiles, qui fonc-tionnent sur le principe de la probation, de l’émulation etde l’auto-organisation. Rien n’est cependant définitive-ment acquis et la prudence est de mise quant à une éva-luation définitive de ces nouveaux lieux d’activités, tantles groupes et les contextes sont incertains et les acteursaléatoires et fragiles; mais la formule proposée mérited’être soutenue, améliorée et renforcée.11Les espaces ouverts sportifsA côté des équipements structurés dont la zone d’at-traction s’étend à l’agglomération et des services de proxi-mité destinés en priorité aux jeunes des ensembles d’habi-tat collectif, le secteur du Lac de Bordeaux offre de vastesespaces ouverts dont la vocation sportive s’est affirméeprogressivement. Les activités physiques et sportives s’yorganisent en dehors des lieux de compétition dans desespaces urbains ou de nature non conventionnelle. L’in-vestissement de ces espaces n’est pas un phénomène nou-veau et a été analysé dans divers travaux12mais le proces-sus s’est accentué depuis les années 80 et les enquêtes del’INSEE13et de l’INSEP14soulignent que si les licenciésdes clubs continuent à progresser, la croissance des effec-tifs sportifs est renforcée par les pratiques non affiliées seréalisant hors des structures traditionnelles. L’auto-organi-sation en usage depuis longtemps s’amplifie aujourd’huien raison de processus divers liés à l’accentuation desmobilités, à la segmentation des activités et surtout à l’in-dividuation15. Certains ont considéré que l’accroissementde ces pratiques était massivement fondé sur le rejet de laculture sportive traditionnelle ancré dans un mouvementde contre-culture. Nous pensons avec Armand Zouari quecette hypothèse doit être écartée car le désir de pratiquerlibrement en dehors des contraintes et des encadrementsrigides s’inscrit dans une vision différente mais complé-mentaire de l’institution sportive; une partie non négli-geable de ces sportifs «en liberté» est d’ailleurs licenciéedans les clubs. Il s’agit, pour les adeptes de l’auto-organi-sation, de se donner «toutes les possibilités d’une pratiquediscontinue, voire épisodique, au jour le jour dans unerelation à autrui qui peut se faire ou se défaire, sur les cri-tères de la proximité physique ou d’autres purement affec-tifs […]. Une dynamique de diversification des pratiques,de parcellisation des pôles d’intérêts, de choix multiples,anime aujourd’hui nombre de pratiquants qui n’hésitentplus à revendiquer le droit à la versatilité et au libre choixdes modalités de leurs pratiques» 16.L’analyse des espaces ouverts de Bordeaux-Lac a permisde préciser plusieurs types de sites par rapport à leurs fonc
tions premières: les espaces dits «urbains» (parkings,places, rues…), les espaces piétonniers et cyclistes (allées,pistes cyclables, berges…), les espaces de détente (plages,jardins…), les espaces naturels de loisir (bois, parcs…) etles espaces dits sportifs (aires de jeux, plateaux sportifs…)Parmi les espaces dits «urbains», le choix de l’allée enbordure de l’avenue Laroque s’est imposé d’abord en rai-son de l’activité pratiquée, le jeu de boules, et plus exac-tement la pétanque, qui perdure depuis plus de dix ans, etensuite en fonction de l’appropriation des lieux par diffé-rents groupes communautaires. Cette allée est un terre-plein gravillonné de six mètres de largeur, jalonné de pla-tanes qui procurent un ombrage agréable durant l’été. Elleest séparée en deux tronçons par la rue de Jonc, l’und’entre eux est investi par des joueurs d’origine asiatique,alors que l’autre, multi-communautaire, rassemble despratiquants majoritairement français auxquels se mêlentdes membres originaires de l’Europe du Sud, du Maghrebet de l’Afrique noire. Les pratiquants du groupe multi-communautaire, généralement âgés de plus de quaranteans, de sexe masculin et habitant pour la plupart à proxi-mité, viennent pratiquer le soir, les fins de semaine et pen-dant les périodes de vacances. Une minorité d’entre euxsont licenciés au club de pétanque de Bordeaux-Lac etparticipent à des compétitions locales et nationales.L’autre partie de l’allée est appropriée par des joueursoriginaires d’Asie dont le noyau initial habite lesimmeubles des Aubiers et du Lauzun, mais auxquels sejoignent des Asiatiques des cités et communes de l’agglo-mération et même, durant les jours fériés, d’autres villesdu département et de la région. L’espace rocade joue sonrôle en facilitant les accès au site par le biais du transportautomobile, d’autant que les trottoirs permettent de garerles voitures autour du terrain, aménageant ainsi un espaceclos qui renforce l’identité du lieu. Une autre caractéris-tique de l’allée asiatique vient des rassemblements fami-liaux durant les fins de semaine et les vacances; ils organisent des déjeuners sur place, des activités de jeux et despromenades pour les enfants qui rendent visibles les liens d’appartenance communautaire.
Le parking du parc des expositions est un autre espac edit «urbain» qui favorise la pratique d’activités en offrant une vaste surface bitumée permettant aux patineurs à roulettes et aux conducteurs de karts d’évoluer sans obstacle.
Lorsque les conditions climatiques le permettent, les pratiquants de speed-sails, les adeptes de cerfs-volants et de boomerang s’y rassemblent. Les publics sont majoritaire-ment jeunes (de 15 à 35 ans) et masculins et proviennent de toute l’agglomération, bénéficiant eux aussi des accès facilités par l’espace rocade.
Les berges sud du lac sont accessibles et les automobi-listes peuvent laisser leur véhicule sur un parking deproximité où un marchand ambulant de frites-boissonss’installe pendant l’été. L’espace a été aménagé avec destertres gazonnés, des allées, des bancs, des pelouses, desplantations d’arbres. Outre la promenade, des activitéscyclistes (bicross, randonnée…), les jeux de raquettes etde ballons, la pétanque et la pêche sont pratiqués à proxi-mité des berges ombragées et de l’école de voile dont lesactivités nautiques sont un spectacle apprécié. Durant lapériode estivale, le lieu est fréquenté par des publics qui, àl’occasion, déjeunent sur place.
Jean Marieu8y voit «un modèle parfait, non pasde ville comme un ensemble d’atomes et de moléculesorganisés et liés, mais comme un plasma dont le position-nement des constituants est libre et aléatoire». Mais cetensemble permet d’étudier, dans le domaine des activitésphysiques et sportives, les ajustements où il est aisé dedistinguer les équipements structurés et de proximité, lesespaces ouverts sportifs9et de poser l’hypothèse d’unlaboratoire expérimental.Équipements structurés et équipementsde proximitéLes premiers équipements structurés ont bénéficié del’environnement naturel.
Infoterra, filiale à 100% d'EADS Astrium, est un fournisseur de produits et services d'Observation de la Terre allant de l'acquisition de données et aux traitement de ces données jusqu'aux services d'information géographique les plus sophistiqués.
Avec plus de 300 salariés et des filiales en France (Infoterra France, créée le ), en Allemagne (Friedrichshafen, 30 salariés) et au Royaume-Uni, Infoterra sert des clients très variés parmi lesquels de grandes sociétés internationales, des administrations nationales (ministère britannique de l'Agriculture, Sécurité civile et Cadastre en France, ...), et des collectivités locales dans toute l'Europe (pour la gestion du territoire, prévention et évaluation des risques; services régionaux allemands de protection de la nature et de lenvironnement), ainsi que des organisations telles que la Commission européenne, l'Agence spatiale européenne (ESA), lAgence européenne pour lenvironnement (EEA)
Infoterra est actif auprès de nombreux marchés, tels que télécommunications (planification des réseaux), sécurité, défense, environnement, agriculture (pilotage des cultures), énergie (exploration pétrolière, gaz), compagnies dassurance, cartographie (cartes satellites et aériennes de haute qualité), et autres.
Quelques produits sont IGIS (Infoterra Geo-Information System), Farmstar, Pixel Factory (outil créer rapidement des cartes de haute qualité à partir de données satellitaires et aériennes).
Par ailleurs, Infoterra détient les droits exclusifs d'exploitation commerciale du satellite radar TerraSAR-X (développé en partenariat avec l'Agence Aérospatiale Allemande (DLR) et Astrium Gmbh, il possède une résolution d'un mètre). Ce satellite vient s'ajouter à une gamme complète de capteurs aériens, à un accès aux données acquises par la plupart des capteurs spatiaux, dont les satellites Spot (la société Spot Image étant affiliée à Infoterra au travers des 40% de son capital détenu par EADS Astrium), FORMOSAT, IKONOS, QuickBird, ENVISAT, et ERS.
Infoterra participe aussi à GMES (European Global Monitoring for Environment and Security - Surveillance globale pour l'environnement et la sécurité de l'Europe), initiative commune de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) et de la Commission Européenne (CE), en offrant des services dans trois domaines prioritaires de ce programme : état et suivi des modifications de l'occupation du sol, gestion des risques, et aide humanitaire.
Le chiffre d'affaires total a été de 40 millions d'euros en 2005.
Infoterra détient 28 % des parts de la filiale IGN France International (IGN-FI).
Météo-France, Infoterra France et la Compagnie Nationale d'Aménagement du Bas Rhône et du Languedoc (BRL) ont créé la société PREDICT Services à Montpellier. Cette société propose aux communes un service innovant d'aide à la décision en matière de gestion du risque inondation.
Le slogan de la société (Infoterra - all the geo-information you need) est inspiré de celui d'EADS (Infoterra - all the space you need).
Catégorie:EADS Catégorie:entreprise européenne
développé en partenariat entre l'Agence Aérospatiale Allemande (DLR) et EADS Astrium, et pour lequel Infoterra détient les droits exclusifs d'exploitation commerciale Infoterra -
Ce satellite vient s'ajouter à une gamme complète de capteurs aériens, à un accès aux données acquises par la plupart des capteurs spatiaux, dont les satellites SPOT (la société Spot Image étant affiliée à Infoterra au travers des 40% de son capital détenu par EADS Astrium) et aux outils les plus avancés en matière de traitement et d'hébergement de données - permettant de fournir des services de géo-information de premier rang à l'ensemble de ses clients.
Marc Tondriaux, président du conseil d'administration commun d'Infoterra, déclare : Nous avons l'ambition de jouer un rôle majeur sur le marché global de l'information géographique dans les prochaines années et nous réjouissons de ce partage de connaissances et d'expériences au sein du groupe, ainsi que des avantages que ceci apportera à nos clients et à la croissance de notre activité. Grâce aux synergies et complémentarités de nos trois entités, nous sommes capables aujourd'hui d'offrir une gamme de produits et services allant de l'acquisition de données et aux traitement de ces données jusqu'aux services d'information géographique les plus sophistiqués
Cette capacité est un avantage compétitif significatif, que seul un nombre restreint de sociétés détient aujourd'hui sur le marché. Je suis confiant dans le fait qu'Infoterra saura tirer parti de cette situation et renforcer sa position en tant qu'élement-clé de l'activité de EADS Astrium en Observation de la Terre.
Dans le domaine commercial, Infoterra dispose d'une base clientèle importante et internationale incluant ; des opérateurs de télécommunications pour la planification des réseaux ; des organisations actives dans le domaine de l'environnement pour la gestion des ressources ; ; des sociétés pétrolières pour l'exploration ; ainsi que des sociétés de cartographie pour la production de cartes satellites et aériennes de haute qualité grâce aux outils de traitement d'Infoterra.
De plus, le groupe Infoterra renforce le rôle de leader que chacune de ses sociétés a su établir dans le programme GMES (European Global Monitoring for Environment and Security), l'initiative commune de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) et de la Commission Européenne (CE). Infoterra offre des services fiables et efficaces dans trois domaines prioritaires du programme GMES - Etat et suivi des modifications de l'occupation du sol, gestion des risques, et aide humanitaire - et travaille en cohérence à l'établissement d'un marché durable pour les services d'Infoterra et de ses partenaires.
Le groupe Infoterra, qui compte plus de 300 employés, est un des leaders dans le domaine de la fourniture de produits et de services de géo-information pour la protection de l'environnement, le contrôle du développement et la gestion de la sécurité de la planète.
Cette consolidation offre aux clients d'Infoterra un accès direct à une large gamme de ressources. Avec le lancement prévu plus tard dans l'année de TerraSAR-X - le nouveau satellite radar allemand, développé en partenariat entre l'Agence Aérospatiale Allemande (DLR) et EADS Astrium, et pour lequel Infoterra détient les droits exclusifs d'exploitation commerciale Infoterra - étend ses capacités d'acquisition de données d'Observation de la Terre. Ce satellite vient s'ajouter à une gamme complète de capteurs aériens, à un accès aux données acquises par la plupart des capteurs spatiaux, dont les satellites SPOT (la société Spot Image étant affiliée à Infoterra au travers des 40% de son capital détenu par EADS Astrium) et aux outils les plus avancés en matière de traitement et d'hébergement de données - permettant de fournir des services de géo-information de premier rang à l'ensemble de ses clients.
Marc Tondriaux, président du conseil d'administration commun d'Infoterra, déclare : Nous avons l'ambition de jouer un rôle majeur sur le marché global de l'information géographique dans les prochaines années et nous réjouissons de ce partage de connaissances et d'expériences au sein du groupe, ainsi que des avantages que ceci apportera à nos clients et à la croissance de notre activité. Grâce aux synergies et complémentarités de nos trois entités, nous sommes
Cette capacité est un avantage compétitif significatif, que seul un nombre restreint de sociétés détient aujourd'hui sur le marché. Je suis confiant dans le fait qu'Infoterra saura tirer parti de cette situation et renforcer sa position en tant qu'élement-clé de l'activité de EADS Astrium en Observation de la Terre.
Dans le domaine commercial, Infoterra dispose d'une base clientèle importante et internationale incluant ; des opérateurs de télécommunications pour la planification des réseaux ; des organisations actives dans le domaine de l'environnement pour la gestion des ressources ; des collectivités locales et administrations pour la gestion du territoire, la prévention et l'évaluation des risques ; des organismes agricoles pour le pilotage des culture ; des sociétés pétrolières pour l'exploration ; ainsi que des sociétés de cartographie pour la production de cartes satellites et aériennes de haute qualité grâce aux outils de traitement d'Infoterra.
Nicolas Peyrac 1975 Pathé Marconi Face A (4'10) Face B : Quand on aime deux filles à la fois (2'15)
No Doubt est un groupe de musique américain (Orange County, Californie) dispensant un rock enjoué, fortement influencé par le ska « blanc » des années 1980-1990-2000.
C'est Eric qui, trouvant à sa soeur Gwen une jolie voix, la pousse à rejoindre le groupe en tant que choriste. Mais la jeune fille qui à cette époque est au lycée ne se sent pas vraiment à l'aise sur scène. Son frère doit donc lourdement insister pour qu'elle continue.
Malheureusement en décembre 1987, John Spence se suicide. Profondémment affecté par cette mort, le groupe décide d'arrêter son activité.
Finalement No doubt décide de se reformer et de continuer sur sa lancée en pensant que c'est ce que John aurait souhaité. Gwen ne se sentant pas le courage d'assumer le rôle de chanteuse principale, c'est Alan Meade le trompettiste qui prend la place de John, Gwen restant à sa place de deuxième chanteuse. Mais quelques mois plus tard, il quitte le groupe parce que sa petite amie est enceinte et qu'il veut travailler.
Cette fois, Eric réussit à convaincre non sans mal sa soeur de devenir la chanteuse du groupe. No doubt prend alors un nouvel élan. P
L'énergie considérable déployée sur scène par Gwen, ainsi que probablement son physique charmant, assurent au groupe un certain succès dans leur Etat d'origine et le groupe se retrouve assez rapidement avec un public de fans. Ils signent leur premier album No Doubt chez Interscope en 1992, mais auront beaucoup de mal à trouver un label pour le second, car l'album n'a pas rencontré un grand succès. Le groupe décide alors de produire ce Beacon Street Collection avec ses propres moyens, et enregistre celui-ci dans un hangar, en 1995.
Quelques mois plus tard, Interscope décide finalement de leur accorder un album supplémentaire, le groupe réalise ainsi Tragic Kingdom, disque de la consécration mondiale. De cet album est sorti en single le morceau Just A girl, qui se fera brièvement remarquer, puis Don't Speak, une ballade inspirée par sa rupture avec Tony qui aura durée 7ans, qui resta jusqu'à six mois numéro 1 dans les charts de certains pays. Dix ans après leurs débuts, le groupe vend 15 millions d'exemplaires de Tragic Kingdom.
Ironiquement, Eric Stefani, lassé de l'absence de succès et mécontent de la place de plus en plus importante prise par sa soeur qui a composé une grande partie de Tragic Kingdom, quitta le navire quelques mois avant le début de la gloire, pour se consacrer à plein temps à son métier de dessinateur pour le célèbre dessin animé Les Simpson.
Le groupe sortit en 2000 Return of Saturn qui marque un véritablement investissement créatif de Gwen (qui le considère comme son favori). Sa relation avec Gavin Rossdale en est la source d'inspiration principale. Il est suivi de Rock Steady en 2001.
En 2004, Gwen Stefani a débuté sa carrière solo avec l'album Love.Angel.Music.Baby, pour le quel Tony a beaucoup travaillé. Après une tournée écourtée par sa grossesse (Gwen a donné naissance le 26 mai dernier à un petit Kingston) Gwen a reporté le retour de No Doubt en sortant un deuxième album solo The Sweet Escape et en entamant une tournée mondiale qui la conduira le 17 septembre en France.
Gwen a notamment récemment déclaré que Tony et les autres devraient la suivre pendant la tournée afin d'écrire le nouvel album pour lequel ils ont déjà une douzaine de démos.
todo
[modifier | modifier le code]Mais la ville n'apprécie guère la tutelle du roi de France. => le retour à la France est peu apprécié par la bourgeoisie bordelaise et les Bordelais se rebellent contre les entraves apportées au commerce et la lourdeur des impôts.
Afin de surveiller la ville devenue hostile, le roi Charles VII fait bâtir à Bordeaux le château Trompette et le fort du Hâ.
=> L'urbanisation s'accélère cependant : en 1450, la ville compte plus de 30000 habitants sur une surface de 170 ha avec enceinte.
L'installation du Parlement dans les murs du palais de l'Ombrière, ancienne résidence des ducs d'Aquitaine, fit du quartier
Les archevêques, les intendants et les gouverneurs installés par le roi, embellissent la ville, assèchent les faubourgs marécageux et insalubres et aménagent les anciens remparts.
=> (Chartrons, ...)
La ville devient une des capitales européennes des Lumières dont Montesquieu est le précurseur.
En accompagnant l'expansion démographique (120000 habitants en 1830, 250000 en 1914) et industrialo-portuaire, les grands travaux du Second Empire puis ceux de la Troisième République achevèrent l'image historique de la ville
L'époque contemporaine
Quand le premier Empire s'effondre, la ville est la première à accueillir les princes de la maison de Bourbon.
Jacques Chaban-Delmas, industrialise la ville alors que le négoce s’effondre. => avec comme élément moteur le domaine aéronautique et spatial (comme à Toulouse)
=> De 1960 à 1975, l'accélération de l'urbanisation (déploiement de l'habitat individuel et des échoppes et voieries correspondantes) a provoqué une consommation d'espace quasi équivalente à celle du siècle et demi précédent (1810-1960):
plusieurs grands aménagements ont été réalisés : création de la Cité du Grand-parc et du quartier du Lac; rénovation du quartier Mériadeck; délimitation d'un vaste secteur sauvegardé de 150 hectares; transfert des universités en banlieue; franchissement de la Garonne par trois nouveaux ponts et ouverture d'une grande rocade; réaménagement du quartier de la Bastide.
Viticulture
117 514 hectares de vigne, => dont 113 000 en AOC
Services
Le secteur tertiaire reste dominant dans la capitale girondine notamment grâce à la forte attractivité commerciale et à une concentration des services liés aux entreprises.
=>le port autonome de Bordeaux
=>l'ancienne zone portuaire, aujourd'hui inactive, est en cours de réaménagement complet dans le cadre de l'urbanisation des berges de la Gironde. =>les terminaux sont répartis sur six sites échelonnés sur plus d'une centaine de kilomètres : le Verdon-sur-Mer (à la pointe de Grave, seul port français bénéficiant d'une zone franche), Pauillac (deux appontements privés de la société Shell). Blaye, spécialisé dans les exportations de céréales en vrac. Ambès (exportation et importation des Bordeaux),
Il accueille chaque année 1 600 navires et traite environ 9 millions de tonnes de marchandises (dont 4,1 millions de tonnes d'hydrocarbures). Le port autonome de Bordeaux accueille également les éléments de l'A380 en transit vers Toulouse.
=>Le trafic a été durement touché par l'arrêt des activités de plusieurs grandes entreprises (Shell, Seita, Say, Péchiney, etc.) : il est passé de 14,3 millions de tonnes par an dans les années 1970 à moins de 9 millions en 1999. Il tente d'enrayer son déclin : produits pétroliers, 4,26 millions de tonnes ; céréales (maïs), 2,6 millions de tonnes; aliments pour le bétail, graines oléagineuses ; conteneurs : 51 800 EVP.
Bordeaux accueille environ 70 000 étudiants dans ses => 4 universités,2 IUT, 6 écoles d'ingénieurs et 14 grandes écoles
wikif ?: Le quartier de Bordeaux-Lac réunit, autour d'un plan d’eau artificiel de 160 hectares, un parc des expositions, un palais des congrès, un centre hôtelier, une base de plein air et de loisirs (centre de voile, …) un parc floral et un vélodrome. De nombreuses manifestations s’y déroulent : la Foire internationale, Vinexpo, le Jumping international, les Six jours cyclistes de Bordeaux…
À noter que la mairie de Bordeaux a créé en 1995 des quartiers administratifs, notamment dans le but de créer des conseils de quartiers. Ceux-ci regroupent parfois plusieurs quartiers historiques différents.
Culture et patrimoine
21 musées, 13 théâtres, 24 salles de spectacles et 45 cinémas.
=> « Prenez Versailles et mêlez-y Anvers, vous avez Bordeaux », écrivait Victor Hugo après avoir visité la cité en 1843.
Grand Théâtre (place de la Comédie)
La place de la Comédie se trouve sur l'emplacement du forum gallo-romain où étaient situés les Piliers de Tutelle (Tutela, déesse protectrice de la ville).
=> rasé sur l'ordre de Louis XIV, après les troubles de la Fronde puis une sanglante révolte antifiscale, pour faciliter le tir des canons du château Trompette sur la cité rebelle.
Cathédrale Saint-André et Tour Pey-Berland
la cathédrale est bâtie sur un plan en croix latine à nef unique de 124 mètres de long. => >sur les restes d'un ancien édifice roman consacrée par le pape Urbain II en 1096 !!!
Du premier édifice roman du XIe siècle il ne reste que les murs intérieurs de la nef.
Délaissée durant la Révolution, période pendant laquelle elle servit de magasin à fourrage, l'église fut profondément restaurée durant tout le XIXe siècle.
- Église Saint-Bruno. Ancienne chapelle des Chartreux, de style Renaissance, construite à partir de 1611. Consacrée par le cardinal François de Sourdis en 1620; sa façade est inspirée du style italien et tend vers le baroque, tout comme le chœur.
21 musées, 13 théâtres, 24 salles de spectacles et 45 cinémas.
Musées La Grèce sur les ruines de Missolonghi de Delacroix - Musée des Beaux-Arts La Grèce sur les ruines de Missolonghi de Delacroix - Musée des Beaux-Arts
- Musée des Beaux-Arts
L'ensemble d'œuvres présenté par le musée des Beaux-Arts, créé en 1801 par Bonaparte, puis enrichi en 1829 par le leg de la prestigieuse collection du marquis de Lacaze, place le musée de Bordeaux parmi les toutes premières collections publiques de France :
peintures hollandaises (Van Goyen, David de Heem, Ter Brugghen), écoles françaises et étrangères du XVIe au XVIIIe siècle (Vierge à l'Enfant entre saint Jérôme et saint Augustin, par Pérugin, œuvres de Titien, Luca Giordano, Véronèse, Magnasco,…), école flamande ( Rubens, Brueghel de Velours,…), écoles du Nord du XVIIIe siècle (Tischbein, Zoffany, Reynolds,…), école française du XVIIIe siècle (grands tableaux de Restout et de Van Loo), époque néo-classique (Taillasson, Vincent, Guérin, Lacour,…), romantisme (l'Embarquement de la duchesse d'Angoulême, par le baron Gros; la Grèce sur les ruines
- Musée d'Aquitaine
A héritié des collections de l'ancien Musée lapidaire créé vers 1783 par l'Académie de Bordeaux à la demande de l'intendant Dupré de Saint-Maur afin de rassembler les vestiges romains mis au jour par d'importants travaux d'urbanisme entrepris dès le XVIe siècle et, principalement, au XVIIIe siècle.
Depuis 1962, a évolué vers un musée d'histoire, d'archéologie et d'ethnographie régionales : vestiges de l'époque préhistorique, antiquités romaines et paléo-chrétiennes de la cité de Burdigalia, collections médiévales, collections ethnographiques, etc.
- Musée des Arts décoratifs
Logé dans l'hôtel de Lalande, édifié en 1779 par l'architecte bordelais Étienne Laclotte, pour le parlementaire Pierre de Raymond de Lalande. Abrite de riches collections d'arts décoratifs français, et plus particulièrement bordelais, des XVIIIe et XIXe siècles, ainsi que des collections de peintures, gravures, miniatures, sculptures, mobilier, céramique, verrerie, orfèvrerie, etc.
- Centre d'arts plastiques contemporains de Bordeaux (CAPC)
Installé dans un ancien entrepôt portuaire (1824), l'Entrepôt réel des denrées coloniales dont le port de Bordeaux faisait alors commerce, le capcMusée présente les grands mouvements artistiques des trente dernières années, sous forme d'expositions monographiques et thématiques.
- Casa de Goya (Francisco Goya)
=> Dernière résidence du peintre Francisco Goya, qui vint s'installer à Bordeaux en 1824 pour fuir l'absolutisme de Ferdinand VII et qui y mouruten 1828. Exposition d'œuvres de l'artiste. Centre culturel espagnol de Bordeaux.
* Centre Jean-Moulin : Musée et centre de documentation de la Seconde Guerre mondiale
présente des collections consacrées à la Résistance, la déportation et les Forces françaises libres.
Personnes célèbres nées à Bordeaux
Y naquirent
*Henry Barraud ()
*Arnaud Berquin ()
*Jean Cayrol ()
*Chaval
*René Clément ()
*Édouard Colonne ()
*Jean Decoux ()
*comte Desèze
Y moururent
*Charles Barbaroux (…
*Alexandre Baudrimont (…
*Pierre Capdevielle ()
*César Faucher ( et…
*Émile Gentil ()
*[[Jeanne de Lestonna…
*Jacques Ellul ()
*Marguerite Élie Guadet ()
*Albert de Mun ()
B
[modifier | modifier le code]Quand Tourny a supprimé les portes médiévales, il a fait démolir en 1753 celle de Saint Julien datant de 1302 (qui avait pris son nom d'un hôpital voisin créé en 1231 pour soigner lépreux et pestiférés) qui s'ouvrait, au sud de la rue sainte catherine, sur l'actuelle Place de la Victoire, là où jadis se réunissaient les deux routes du Languedoc et d'Espagne.
remplacé les quatre tours rébarbatives flanquant la porte gothique par un véritable arc de triomphe dû au talent de Portier à l'image de la grandeur de la Capitale de la Guyenne.
C'est le 8 juin 1748 que fut entrepris sa construction. le 18 novembre 1753 .
Il a pris le nom de porte d'Aquitaine afin d'honorer le second fils de la Dauphine, le duc d'Aquitaine Xavier de France qui venait de naître.
La porte d'Aquitaine est ornée, d'un côté, des armes royales et de dieux marins enlaçant l'écusson ; de l'autre, les armes de la ville émergeant d'une coupe sur laquelle retombent fruits et fleurs.
Faite en belle pierre de Saint Macaire, percée d'une arcade de plus de onze mètres de haut et de cinq mètres de large, ornée de bossages en saillies
la porte d'aquitaine ouvrait le passage vers l'Espagne.
De chaque côté avaient été prévus deux guichets pour le passage et le contrôle des piétons. C'est devant la porte d'aquitaine que se tenait autrefois le marché des produits venus des Landes et, du début du XIXe siècle à juillet 1841, on put assister, sur la place, aux exécutions capitales qui attirèrent Goya durant son séjour à Bordeaux.
La colonne d'Ivan Theimer inaugurée le 20 juin 2005 en présence d'alain juppé.
La Porte de Bourgogne
Tourny eut comme projet de démolir ou de faire construire de nouvelles portes pour parachever la transformation de Bordeaux. Appelée aussi Portes des salinières, elle est située face à l'actuel Pont de Pierre et s'ouvre sur le Cours Victor Hugo, anciennement rue des Fossés. Il souhaita qu'elle constitue un accompagnement pour la Place Royale (Place de la Bourse) et la consacra au Prince Monseigneur le Duc de Bourgogne le 24 janvier 1757. Elle se rapprocha dans sa conception des Arcs de Triomphe, tel celui de Titus à Rome, et devint même un temps l'Arc Napoléon.
La Porte de la Monnaie
Sur les quais longeant la Garonne, elle ouvre la voie de la rue de la Porte de la Monnaie vers le quartier St Michel. Le début de sa construction remonte au 19 janvier 1758. Elle fut achevée le 25 juillet 1759, période à laquelle on procéda à la nomination "d'un portier" de la ville à la nouvelle "Porte sur la rivière appelée de la Monnoye!!." Elle offre une décoration simple mais intéressante. Ce fut la dernière création de Tourny, et ce ne fut pas sa plus grande, bien que méritant malgré tout un détour et un arrêt pour contempler cet édifice dont l'auteur est... inconnu.
La Grosse Cloche
Cette double tour que l'on appelle aussi Porte Saint-Elégy (Porte Saint-Eloi) ou Porte de l'Hotel de Ville pour devenir Porte de la Grosse Cloche parce qu'elle servait de Beffroi à la ville. Composée de tours rondes reliées par des arcades ogivales et couronnées de 3 flèches, elle occupait les angles de l'ancien Hotêl de Ville de Bordeaux. Haute de 41 mètres, la grosse Cloche carillonnait pour annoncer les grands évènements locaux et nationaux. Détruite en partie par le connétable de Montmorency, et reconstruite vers 1556, elle sera réparée vers le milieu du XVIIIe siècle, et sera restaurée en 1874 par Burguet, alors architecte de la ville.
La Porte Dijeaux Située dans un angle de l'ancienne Place Dauphine, appelée de nos jours Place Gambetta (qui est d'ailleurs le Point Zéro de Bordeaux), elle était aux abords de la ville, du côté du Faubourg Saint-Seurin, très animé à cette époque. Mais cette place n'était en fin qu'un terrain vague, sur lequel ne se trouvaient que quelques échoppes ou maisons éparses. C'est en 1746, que fut décidée la construction de cette porte qui s'ouvrait sur la rue du Chapeau Rouge, qui de nos jours s'appelle bien sûr, la rue Porte Dijeaux.
La Porte Cailhau
Appelé aussi Porte du Palais, elle ne fut jamais malgré ceci, associée au Palais de l'Ombrière qui servait jadis aux séances du Parlement et à celles des Tribunaux. Elle fut érigée à la fin du XVe siècle dans un style médiéval, pour célébrer la victoire de Charles VII à Fornoue en 1549, pour s'être emparé du Royaume de Naples. Arc de Triomphe, elle devint donc le passage protocolaire, pour chauque invité royal ou important venant à Bordeaux
Rubén Blades
[modifier | modifier le code]Analyse littéraire de la chanson Pedro Navaja par la courtoisie de Jorge Amaya, université pontificale de Javeriana, Colombie Données biographiques J'intitule : Pedro Navaja. Auteur : Lames de Rubén. Vida Les lames de chant de Rubén, compositeur, acteur et politicien panaméen, ont considéré le plus grand artiste latino-américain des derniers temps, ont été soutenues dans la zone San Felipe de la ville du Panama, les 16 de Julio de 1948, sont la seconde de cinq enfants d'Anoland Bellido de lune, de Cubain et de lames de Rubén, colombiennes. Son goût par la musique a commencé de l'âge très jeune par la roche et le roulement et la musique brésilienne ; le changement qu'il a eu dans ses conceptions politiques après des faits politiques de 1964 dans la zone du canal, qu'elles ont finie avec la mort de 21 jeunes panaméens qui ont essayé de soulever le drapeau du Panama, sous les balles des soldats américains, l'a pris au refuge de prise dans la musique des Caraïbes, comme tous jeunes panaméens qui ont changé leur position devant en les gringos. Sa course de chanteur plus tard a commencé dans les années '60 chantant la roche et le roulement à côté de son frère Luis et dans l'ensemble latin de Papi Arosemena, les sauvages de Ritmo magnifique et de Bush et son le moitié-plein et à la décennie finit mêmes. Tirant profit de la fermeture l'université nationale du Panama dans où il s'est occupé de sa course de droite, en 1969 il voyage aux Etats-Unis et il enregistre son premier travail commercial avec l'orchestre de Peter Rodriguez. En 1974 après avoir été reçu de l'avocat, il décide définitivement professionnellement d'exercer sa course de chanteur et dans Mecque de la sauce, New York, dans l'offre de Fania de monopole de disquero la position du facteur, travail à lui qui exercerait jusqu'au rayon Barreto le donne à l'occasion au travail à son côté en 1974, et est comme sa course réussie commence l'enregistrement à côté du Puerto Rican Tito Go'mez dans les voyelles l'album de Barreto, obtenant le succès nécessaire pour laisser l'anonymat. Dans 1975 le sujet le cazanguero, depuis des disques avec l'orchestre de Willie Columbus Héctor Lavoe a considéré qu'il était meilleur qu'a chanté possèdent Rubén qui était son compositeur. En 1976 il enregistre pour la première fois avec le Fania que tout tient le premier rôle (les garçons de Bethlehem) et en 1977 Columbus est uni à Willie, dès que celui-ci a été eu a séparé du controverted Héctor Lavoe. La course réussie de Willie et de Rubén commence alors non seulement, mais également la révolution musicale qui a revitalisé la sauce, lui donnant un souffle qui a prolongé la perche de salsero qui avait déjà écrit la crise, plus simple pas suite en produisant la sauce pour danser mais pour écouter également. À partir de son union en 1977 et de sa séparation a produit en 1983, ils a enregistré un total de cinq albums : Mise de Hand (1977), d'Sowing (1978), de professeur Life (1980, semblé célibataire en date des lames de Rubén mais de l'orchestre étaient le même de Columbus), chansons du sort de l'ennuyeux (1981) et le dernier combat (1982). Par année de 1982 il initie sa course d'acteur dans le film du dernier combat. Séparé de Willie Columbus en 1983 il décide de constituer le groupe six du sort pour produire un nouveau concept sonore dans lequel il réaffirme son message politique et urbain vers l'Amérique latine. Avec peu commun un format orquestal, constitué par le piano, le vibráfono, le bas, les sintetizadores, les Congas, les timbals, les bongoes et la batterie, il produit trois albums enregistrés sous le phoque Elektra : Recherche de l'Amérique (1984), de la Scenes (1986, avec victoires de ce ses premières Grammy) et de la lune Water (1987, inspiré par des histoires de Garci'a Márquez). Après sa sortie du joint de Fania, cette compagnie a enlevé quatre albums comme la réalisation du contrat que Rubén a eu avec cette compagnie, qui n'a pas réussi la publicité et qui ils ont méritée, se produisant presque inaperçu pour son grand après la masse : Celui que le paiement (1983), améliorer loin (1984), double bord (1987) et avec les srings (1988). Afin de mettre dans la pratique l'agitation deux personnelle, pour faire un disque avec des musiciens d'autres sortes et pour le composer en anglais, enlève sur rien mais rectifie (1988). Étonnant son public encore elle revient au concept traditionnel de salsoso, réorganisant à six du sort, enlevant le vibráfono et les trombones de batterie et d'incorporation, produit l'album antécédent, hommage vers le Panama, comme une manière de l'incitation pour ses compatriotes qui vivaient un peu de moment sur la convulsion politique, avec laquelle gagne son deuxième Grammy. A fini son contrat avec Elektra, son travail avec Sony commence, le joint sous lequel a enlevé ses six dernières productions. Avec elles sont du sort : Marche (1991) et amour et commande (1992). Dans des lames 1993 de Rubén il décide de retourner à son pays pour se commettre dans un changement politique, fonde la partie que le papa d'Egoró, qui recherche l'égalité sociale du Panamanians, est postulé pour le président et dans les élections de 1994, il n'est pas parvenu à être choisi mais il a eu un appui important des électeurs. Dans une rencontre record avec Willie Columbus ils enlèvent l'album après le donner l'assaut à (1995). Afin de donner à une impulsion aux musiciens et aux compositeurs panaméens, la rose de vent produit l'album (1996 avec lequel le troisième Grammy gagne le sien), avec le talent et la technique totalement panaméens, a formé les bases d'un groupe à qui Saravá a appelé, et dans les enregistrements une autre grande quantité de musiciens a été ajoutée. Le bruit et les sujets qui contient l'album est, insinuent déjà l'étape musicale qu'elle entreprendrait des lames de Rubén avec l'appui musical de la base du groupe Editus de Rican de Costa plus tard à ce qu'elle s'ajoute à lui ajoute plusieurs instruments incompatibles apparemment à lui. Dans les espèces de l'expérimentation qu'il recherche pour démontrer que toute musique du monde est unie, elle produit ses deux derniers albums : Times (1999, avec victoires de ce ses quatrièmes Grammy) et monde (2002, l'où il gagne son cinquième Grammy et son premier Latino de Grammy). L'année 2004 revient à son pays pour participer encore à la politique, soutient la candidature à la présidence de la république de l'aubépine de Martin Torrijos, qui dans les feuilles d'extrémité choisissent et des noms aux lames de Rubén d'exercer la position de directeur général de l'institut panaméen du tourisme, avec des fonctions de ministre d'état, la position qui vient supposant à la date. Dans He 2004, le sixième Grammy avec à travers l'album gagne lui-même sa 110th rue. De l'orchestre espagnol de Harlem, dans lequel elle chante quatre sujets comme l'invité. Travail Travailler le musical des lames de Rubén dans très étendu, parce que dans sa vie professionnelle prolongée qui inclut déjà plus de 30 ans de travail, puisqu'il interprète elle a enlevé beaucoup d'albums et elle a participé à beaucoup d'autres comme l'invité, a composé beaucoup de chansons qui ont été interprétées par d'autres chanteurs et groupes. De son travail nous pouvons souligner les albums édités suivants : Du Panama vers New York : Avec l'orchestre de Peter Rodriguez (1970) Barreto : Raie Barretto et son Orchestra (1975) Mise de la main : Les deux points de Willie présentent Rubén Blades (1977) Encemencement : Deux points et Rubén Blades (1978) de Willie Life autoritaire (1980) Chansons du sort de l'ennuyeux : Deux points et Rubén Blades (1981) de Willie Le dernier combat : Deux points et Rubén Blades (1982) de Willie Celui qui effectue le paiement (1983) Améliorer loin (1984) Recherche de l'Amérique : Lames de Rubén et six du sort (1984) Scènes : Lames de Rubén et six du sort (1985) L'eau de lune : Lames de Rubén et six du sort (1987) Double Edge (1987) Avec de la Strings (1988) Rien mais la vérité (1988) Antécédent : Les lames de Rubén et est du sort (1988) De phase : Les lames de Rubén et est du sort (1990) Marche : Les lames de Rubén et est du sort (1991) Amour et commande : Les lames de Rubén et est du sort (1992) Après le donner l'assaut à : Deux points et Rubén Blades (1995) de Willie Le vent s'est levé (1996) Times (1999) Monde (2002) Entre la participation la plus importante ils sont possibles pour être soulignés : Avec le Fania tout tient le premier rôle Les garçons de Bethlehem « hommage à Tito Rodriguez » Juan Pachanga « machine de rythme » Sans votre affection « Espagnols à la fièvre » Il prépare le « croisement » Le Word au revoir « engagement » Confiture de Juan Pachanga « La Havane » Avec le rayon Barreto Interdiction Queré d'interdiction « demain » Cette musique « demain » les vies Avec l'orchestre de Harlow Suite de sauce « la course latine à la suite de sauce » Avec Roberto Roena et son bruit d'Apollo Pour être Rumbero « la huitième merveille » Avec Luis Perico Ortiz Nous avons mis sous « ma propre image » Avec Louie Ramirez Paula C « Louie Ramirez et leurs amis » Avec Rafaël Ithier, Luis Perico Ortiz, ensemble de Quisqueya Je suis le retour de Pa Lante/I pour chanter « entre les amis » Avec Virgilio Martí, Tito Puente Bon pour le bébé/tous retourner/sans foi « croisement rêve » Avec la ville du soleil Le « artiste a uni contre la ségrégation » Avec Van Van Elle marche TSV et Muévete/La Havane ne juge pas plus « avance » Avec la piqûre Il seul ne danse « rien comme le soleil » Avec la guerre de Juan Luis S'il laissait le pétrole « Areíto » Avec Danilo Perez Seulement avec brut toi/alouette « Danilo Perez » Avec fabuleux le Cadillacs Aujourd'hui j'ai pleuré chanson « fabuleuse devient chauve » Avec Chayanne Quand un amour part « simplement » Avec la manne Feuilles vous froide « Revolution De Amor » Avec l'orchestre espagnol de Harlem Un jour splendide dans la zone/Dancers/As il chanson I/You pi pi « à travers la 110th rue » Le goût a agi acteur à en plus de trente films, que nous n'avons pas passés en revue pour être une cette écriture qui parle d'un de ses travaux musicaux.
Analyse du contenu
[modifier | modifier le code]En la ciudad de Nueva York, dos personas fueron encontradas muertas. Esta madrugada los cuerpos sin vida de Pedro Barrios y Josefina Wilson fueron hallados en una de las calles adyacentes a la autopista New York inside, en el bajo Manhatan, entre las avenidas A y B. La causa de la muerte aún no se supo...
Pedro Navaja II
[modifier | modifier le code]La Fania avait vendu les droits de Pedro Navaja à des producteurs de cinéma mexicains sans demander l'avis de Rubén Blades. Pour ne pas qu'on n'oublie qu'il était le créateur de ce personnage, il le fait revivre dans une suite initulée Sorpresas (Pedro Navaja II) sur l'album Escenas (1985).
http://www.maestravida.com/sorpresasja.html
L'ivrogne s'est arrêté de chanter et il s'est mis à compter sa bonne fortune; le quartier dormait, la lune était pleine et brillait un voleur a surgi tel un tigre d'une allée, il a pointé un "Magnum" à la face de l'ivrogne; et il lui a di : - "Donne moi tout ou je tire" -
L'ivrogne en tremblant a livré au voleur ce qu'il venait de trouver, un "Smith et Wesson", des pesos et un poignard ; et le voleur, étonné, lui a demandé, - "Frère, et toi, qu'est ce que tu fais avec tout ceci ?... Il vaudrait mieux que me racontes toute l'histoire ; et pourvu que l'alcool n'ait pas affecté ta mémoire ! "
Avec l'information que l'ivrogne lui a donnée, à trois blocs au nord le voleur a trouvé les corps d'une femme et celui d'un homme dans un manteau, tombés sur la chaussée en position foetale.
Le voleur a sécoué la femme du pied, pour voir s'il réagissait ; et comment rien ne se passait, il s'est penché et l'a fouillé au cas où il trouverait quelque chose, mais il n'a rien trouvé ;
Le voleur a dirigé son attention vers le corps de l'homme dans le manteau. Il s'est penché vers lui et l'a reconnu grâce à la dent d'or qu'il portait ; - "Hé, mais ce bon vieux Pedro Navaja, ah-ah" - ; et il a commencé à se moquer de lui tout en le fouillant.
Le poignard lui est entré comme un éclair en son corps et âme. Le voleur sentait la lune le brûler; il a vu le plus grand miracle de toute sa vie : Il est mort en voyant un soleil sortir d'une bouche rieuse .
Pedro Navaja a pris sa carte d'identité et l'a mise dans la poche arrière du pantalon du voleur pour embrouiller les recherches. Pedro, blessé par balle, a pris son autre poignard : il en a toujours deux sur lui quand il sort "travailler"
Josefina était un type déguisé en femme, sachant qui il il devait assasiner. Il est arrivé à ses fins mais il s'est pris un coup de poignard pour lui apprendre le respect, et que de nous jours, même pour être voyou, il faut faire des études.
Pedro est parti dans une cantine se soigner à l'eau-de-vie et a extrait la balle rien qu'avec les dents. Dans cette vie, mieux vaut se taire. Si tu ouvres la bouche, tu es mort.
"Mesdames et messieurs, flash-info : Dernières nouvelles, ceci est incroyable ! On a déterminé par un examen dactylographique, que le corps de la personne que l'on croyait être celui de Pedro Barrios, mieux connu comme “Pedro Navaja” est en réalité celui de d'un autre délinquant identifié comme Alberto Aguacate alias “El Salao” ; D'autre part, Josefina Wilson s'est révélée être un homme, qui pour des raisons encore non déterminées s'habillait avec des vêtements de femme. Nous continuerons à informer, s'il vous plaît, restez branchés sur notre antenne."
Série
[modifier | modifier le code]Fernando Barbosa, director de
Début 2006 Buena Vista-Miami (filiale de Disney)
a annoncer vouloir adapter l'histoire à notre époque, sous forme d'une mini sérié télévisée
(5 épisodes de 20 minutes à 1 heure) qui raconte les vies parallèle de Pedro Navaja et Josefina Wilson, una barcelonaise qui voyagera à New York.
Buena Vista a proposer de s'associer avec Tepuy (Venezuela) (connue pour ses telenovelas Amarte así, Frijolito, Pasión de gavilanes, Los plateados...) et Endemol-Espagne (Operación Triunfo (la Star Académie espagnole, Gran Hermano (le Loft Story espagnol...).
Le rôle de Josefina a été proposé à Paz Vega et Pénélope Cruz.
Fiche technique prévisionelle :
Directeur de la production : Moisés Kaufman (nominé aux Emmy Awards et Tony Awards).
Directrice artistique : Brigitte Broch (Oscar pour Moulin Rouge ! et nomination aux Oscars pour Roméo - Juliette).
Scénario : Rodrigo García, fils de Gabriel García Márquez.
Budget : 2.500.000 euros
Sujets Principal
[modifier | modifier le code]Les lames de Rubén par cette chanson montre deux de urbaine la problématique « » des zones dures de n'importe quelle ville de la « grande République des Caraïbes hispaniques », dont également « le quart latin » de la ville de New-York Est partie. Chaque ville a ses troupes des maleantes qui dominent leurs territoires d'action, sont ceux qu'ils mettent les « normes » et ils commandent sa réalisation, est l'appel sous le monde. Dans celui sous la prostitution du monde et le holdup sont deux des activités les plus communes que dans lui ils sont développé. Ces deux activités sont accompagnées avec autre pas moins terrible pour la société, le trafic de stupéfiants et la consommation. En cette atmosphère le meurtre est « » une conséquence normale. Secondaire Dans le travail nous pouvons observer d'autres sujets secondaires, comme : Est l'insécurité terrible qui est vécue en cette atmosphère, parce que de tels « habitants normaux » de lui, doivent marcher avec le soin bien-pris de et les « prote'ge », parce qu'ils s'attaquent également. On l'expose comme du fait l'atmosphère « du fleuve secoué », quelques « habitants normaux » laissent toujours des bénéficiaires sans le proposer lui, des méfaits de d'autres. On l'insinue également, l'inefficacité de social la force de policiva pour commander ces maux. Argument Pedro Navaja qu'un maleante de zone laisse « au travail ». Étant sur la surveillance dans une rue il voit venu à sa victime. La police se produit « patrouillant », néanmoins ceci ne s'inquiète pas au délinquant. Sa victime s'avère être un prostituta. Il cesse de se protéger dans ses charges de « travail » un pistolet. Pedro Navaja va penser loin à lui au-dessus de cela que c'était « une proie facile », mais est étonné par la femme qui une fois attaquée sentiment enlève l'arme et la tire pendant qu'elle reçoit un coup du voleur de tueur. Les deux corps inertes se situent dans le trottoir, la solitude étaient de sorte qu'aucune particulière ne se soit approchée malgré le bruit de la mise à feu. Un ivrogne qui s'est produit par hasard, s'est déclenché au-dessus des corps et il était heureux de sa « chance », parce que lui ont pris la rotation autour, du poignard et l'argent des deads et est allé loin contenté la chantant à la « fortune » cette avait eu.
Personnalités
[modifier | modifier le code]Dans le travail elles apparaissent deux personnalités principales : Pedro Navaja (zones de Pedro) : Le voleur de tueur qui attaque la femme avec le couteau. Le gabán des Etats-Unis dans lequel les poches il prend le couteau, le chapeau de l'aile large, les verres foncés et les poussoirs pour être plus agile dans son travail criminel.
Le Prostituta (Josefina Wilson) : Il habille l'abri et il emploie la brochure.
Comme secondaire personnalités que nous avons : L'ivrogne et la « police de voiture » à supposer que chez lui les agents vont. Le temps Le temps narratif commence quand le narrateur mentionne qu'il voit le passage au voleur par le coin et finit quand l'ivrogne recueille sa « fortune » et il est chanté. Trascurre entre ces deux événements ne peut pas être connu combien de temps exactement cet initié l'action et eux la finissent. Il pourrait supposer qu'il dure plusieurs minutes, parce que le rond de la police, suppose également, doit être fréquent. Temps et endroit Le travail assume ce trascurre à un temps contemporain dans « le quart latin » de la ville de New-York. Cette déduction surgit, parce qu'autant le voleur que le prostituta utilise des vêtements pour le froid, qui n'est pas habituel dans un autre endroit de la « grande République des Caraïbes hispaniques ». En outre parce qu'un refrain indique : J'aime habiter en Amérique.
Analyse de la forme Sorte : Récit. C'est une histoire qui est relatée dans des espèces urbaines d'une chronique de musicalizada.
Structure La partie principale du travail ceci composant par quarante et trois vers qui se conforment dix quartets aussi bien et un terceto. Sa partie finale ou complémentaire forme le choeur qui se répète accompagnant sept soneos (ou toi annoncer).
Le narrateur Le narrateur prend la position de la première personne, parce qu'il compte quelque chose qu'il a vue se produire, c'est-à-dire, comme si il y était eu présent aussi dans la scène. Néanmoins, à un moment donné il prend la position de la troisième personne, quand il donne les raisons qui sont à lui de posséder à l'interioridad des personnalités : La connaissance que le voleur emploie le pa de poussoirs pour laisser le vola ou, ou que le prostituta prend une boisson pour oublier,
La langue Familier posséder de la « grande République des Caraïbes hispaniques ». Appréciation critique Valeurs La valeur la plus importante qui elle peut se tenir hors du travail, est qu'elle démontre que le crime a toujours mal un but. Dans d'abord moi finis parce que la société la rejette et elle la combat et dans le deuxième, paradoxicalally, il est également attaqué.
Opinion Pedro Navaja est un travail littéraire de la sorte narrative. Elle est complète ; il a une introduction, un noeud et des résultats concluants. L'auteur synthétise de la manière incroyable une histoire qu'elle devrait être relatée de loin plus de détails. Afin d'éviter les détails, l'auteur suppose intelligemment que le lecteur, ou améliore, que l'auditeur, connaît tout contexte où l'action se produit et également elle imagine toutes actions qui font partie du développement de la scène et qui ils ne sont pas relaté. Pour prendre la position du narrateur chez la première personne, compromet à l'auteur avec l'auditeur, parce que pour faire partie de l'action qui des comptes, retours le vrai événement, bien que celui-ci puisse être factice, et qui crée une relation directe entre le narrateur et l'auditeur, parce que celui-ci pense qu'elles lui indiquent quelque chose personnellement. Les lames de Rubén démontre avec ce travail, celui que la chose populaire également est nourrie de la chose d'universitaire. Vu le couteau du texte écrit par Bertolt actionne Mack Brecht et de la connaissance des troupes des zones du Panama et de New York, ce travail a écrit, qui a produit de lui d'excellents commentaires de grands auteurs comme Garcia Márquez et d'enfant en bas âge de Cabrera entre d'autres. Comme la conclusion, nous pouvons dire que c'est un « chef d'oeuvre », non seulement par sa valeur littéraire, mais également par l'acceptation qu'elle a eue et a en tous cercles et couches sociales.
Bibliographie Pedro Navaja. Lettre et musique des lames de Rubén. Ajustements Louis Ortiz. Interpréter Willie Columbus et lames de Rubén. FANIA JM500 (1978).
Manuel de critique littéraire. Alvarez Gardeazabal, Gustavo. Bogota : Plaza et Janes, 1980. 125p. I, lames de Rubén : Confessions d'un relator de zone. Santana Archbold, Sergio. Medellín : Éditions Sauce et Culture, 1997. 211p. L'HISTOIRE D'UN COUTEAU APPELÉ D'MAN PEDRO OU DE L'APOGÉE DE LA CHANSON CHRONIQUE. Soto Molina Jairo Eduardo. La Chambre d'Asterión. http://lacasadeasterionb.homestead.com/v4n13pedro.htm Jorge Eliécer Amaya Oñate Zone capitale de Bogota, République de la Colombie Direction électronique : jamayao@hotmail.com, jamayao@gmail.com Profession : Ingénieur Spécialiste dans la gestion de direction et de sport L'avocat dans l'éducation physique, récréation et expulse Compagnie des fonctionnements : Université pontificale de Javeriana Merci vraiment Jorge ! aestravida.com links/I se relient : Discographie et chanson Refernce de lames de Rubén Nouvelles de lames de Rubén/nouvelles Pedro Navaja là sont à la vie de ses propres Lames de Rubén et sa fonte des caractères par Frank Figueroa et angles de saturation Transcriptions et analyse de Nuevo-> par JAmaya ASCAP s'effond Awar Lames de Rubén à l'université de Berklee de la musique Pour donner des instructions la biographie des lames de Rubén 9 janvier 1964 : Ce qui s'est produit Page de tourisme du Panama Voyage Blog du Panama de NEW-> Alison
http://www.buscasalsa.com/Pedro-Navaja
http://annees-1980-1989.spaces.live.com/
GRISS (Groupement des Institutions Sociales du Spectacle)
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Actualmente, Jennifer López está grabando su sexto álbum de estudio (quinto en inglés), y se dice que tendrá influencias ska. López está trabajando con productores de la talla de Swizz Beatz, Timbaland, Cory Rooney y Jermaine Dupri. Se rumorea que el álbum verá la luz en Noviembre del 2007.
- Me haces falta est co-écrite par la chanteuse mexicaine Thalía et produite par Cory Roony.
El disco "Como Ama Una Mujer" sigue por cuarta semana en el puesto número 1 del Top Latin Billboard alcanzando poco mas de las 100.000 unidades vendidas y obteniendo el galardón de disco latino de Oro
Le Palladium était une immense salle de bal de deux étages pouvant accueillir mille couples, située à l'angle de Broadway et de la 53ème rue à New York. Créé en 1946 sous le nom "Alma Dance Studios", Mario Bauza et Machito vont proposer à son patron Tommy Martin de programmer de la musique latine les dimanches matin : Machito, Tito Puente, Tito Rodriguez et Jose Curbelo.
Ce sera un véritable succès, et le mambo sera finalement programmé tous les soirs; les plus grandes stars de l'époque viendront au Palladium.
Les américains ont appelé cette folie du mambo la "Mambo Craze".
Lorsque le Palladium était au sommet de sa popularité, il était fréquenté par des stars d'Hollywood et de Broadway (particulièrement le mercredi soir où on y donnait des cours de danse gratuit), telles que Marlon Brando, George Hamilton et d'autres.
Le Palladium doit sa célébrité non seulement grâce à sa musique mais aussi grâce ses danseurs doués et inventifs et à son concours hebdomadaire de danse. Savoir danser était ce qui comptait, pas la classse sociale ni la couleur de peau.
Le Palladium a fermé ses portes au printemps 1966 (fin avril/début mai) mais l'enthousiasme des danseurs et des fans de musique pour la musique n'a pas diminué ; beaucoup mentionnent El Corso (près du Gloria Palace sur la 86e rue et la 3e Avenue) et le Cheetah (52e rue et 8e Avenue) comme les endroits qui ont pris le relais.
La salle et la scène du Palladium ont été affectueusement reconstitué pour le film Les Mambo Kings (avec, en tête d'affiche, Armand Assante et Antonio Banderas, et dans lequel les fils de Tito Puente et Desi Arnaz ont joué les rôles de leur père.
En 1948, l'instigateur Federico Pagani de musique a approché le propriétaire du Palladium
Maxwell Hyman
Augie et Margo Rodriguez, le couple qui a pris le mambo aux tailles inimaginables).
La première réservation, dimanche après-midi, était censément un succès énorme, incitant rapidement le club à remplir son programme de musique latine.
Arsenio Rodriguez, dont les membres de bande ont inclus le bassist Alfonso « EL Panameno » Joseph d'Arsenio, et d'autres. Machito Le nouvel orchestre de Tito Puente, comme celui du chanteur/directeur musical Rodriguez s'est développé énormément dans la popularité sur la force de leurs réservations au palladium. La chanteuse Celia Cruz, La Sonora Matancera, Beny Moré et son orchestre, et d'autres sont venus du Cuba pour jouer là, y compris d'autres tel que la La Lupe, Daniel Santos et Miguelito Valdés (« M. Babalu », connu pour sa rivalité amicale avec Desi Arnaz).
Le Club Caborrojeño (tout au nord de Broadway, sur la 145e rue), le Broadway Casino (à Washington Heights), Le Cubanacán (à l'angle de la 114e rue et la rue Lenox), le Park Palace et Le Park Plaza (à l'étage et au rez-de-chaussée dans le même bâtiment de la 110e rue et la 5e Avenue), le Gloria Palace (sur la 86e rue et la 3e Avenue), ainsi que dans le Bronx : le Tropicana (sur Westchester Avenue ou Intervale Avenue et la 163e rue), Le Tropicola (Homewood et Southern), Hunt's Point Palace (Southern et la 163e rue), La Campana (149e rue et la 3e Avenue), et le Tropicoro (sur Longwood Avenue).
En 1950 la mode du mambo se Etats-Unis folle depuis le Palladium.
boogaloo
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punk covers : The Plugz
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mbambos congo
jarana cousine de La Raspa et La Jarana
http://www.radiofrance.fr/chaines/orchestres/journal/concert/index.php?conc=175000037
La Bamba (1987) is an American biographical film written and directed by Luis Valdez. The picture features Lou Diamond Phillips, Esai Morales, Rosanna DeSoto, among others.[1]
The drama is based on the real life events that affected the lives of rock star Ritchie Valens, his half-brother Bob Morales, his girlfriend Donna Ludwig and the rest of their families. It also documents how Valens witnessed an air collision when he was young and was fearful of airplanes since then.
Résumé
[modifier | modifier le code]The movie follows Richard Valenzuela (Lou Diamond Phillips), a normal teenage boy who becomes singing super-star Richie Valens. It depicts how he met and fell in love with Donna Ludwig, for whom he wrote a song that became a number one hit. The movie also has several subplots, such as his relationship with his mother (Rosanna DeSoto) and half-brother Bob Morales (Esai Morales), and how his brother felt that their mother favors Richie.
In one scene, Bob won an important art contest that helps promising cartoonists, only to throw away his prize because, in his mind, his mother doesn't seem to care enough. Bob resorts to drinking heavily and, at one point, leads him to end up crying in front of his mother's door yelling "I want to see my daughter!" in reference to the child he sired with Richie's ex-girlfriend, Rosie (Elizabeth Peña).
The film also focuses on Richie's fear of flying, and a recurring dream he has on account of a collision of two planes that killed his best friend when he was younger. Eventually, he must conquer his fear when asked to perform his song "Donna" on American Bandstand. His manager Bob Keane (Joe Pantoliano) helps him by giving him a little vodka to calm his nerves during a plane flight.
As Valens becomes famous, his responsibilities change. He has to go on tour with Buddy Holly (Marshall Crenshaw) and The Big Bopper after his hits "La Bamba" and "Donna" reach the top of the Billboard charts.
However, every time they get a chance, Richie and Bob sneak out and have fun by going to carnivals. They also take a road trip to Tijuana.
The movie ends with Valens, Holly, and The Bopper taking off in an airplane under a snow storm for their fateful flight on February 3, 1959. Before that Richie makes a call to his brother where they patch up their difference.
As Bob is fixing a car he listens to the news that his brother's plane crashed without any survivors. Bob darts out of his driveway in an attempt to get to his mother before she hears the bad news through the radio. Unfortunately by the time he gets there she stands immobile. The news hits the whole Valenzuela family very hard. In the final scene we see Bob walking over a bridge and screaming the name of Richie, remembering all the good times they had together (in flashback).
As the credits roll we see Lou Diamond Phillips performing Valens' version of "La Bamba."
Anecdotes
[modifier | modifier le code]This production had the full support of the Valenzuela family. Bob Morales et Connie Valenzuela ont aidé les acteurs a interpréter fidèlement leurs rôles. Phillips even bonded with the Valenzuelas and at one point actually became Ritchie to them which led to an incident involving Ritchie's sister at the airfield scene.
Ritchie Valens' mother, Connie Valenzuela, makes an appearance as an older lady sitting next to Ritchie at the family's first party.
When the actors began boarding the plane for the final fatal flight, the scene was interrupted by Connie Lemos, Ritchie's real life sister, who was only six years old at the time of her brother's death. She hysterically tried to keep Phillips from boarding the plane. She was heard to shout, "Don't go Ritchie! Please don't get on the plane! Why did you have to die?" Connie admitted to Behind the Music that she realized at that moment that she never fully accepted her brother's death.
The original title of this film was, "Let's Go" "Come on Let's Go!"
All of Ritchie Valens songs were performed by Los Lobos. The band has a cameo in the movie where they sang in the Brothel Ballroom à Tijuana. Brian Setzer has a cameo as Eddie Cochran. Other musicians who portrayed other musicians of the same era depicted in the film, like The Big Bopper, also provided recordings for the film.
Ritchie Valens was only seventeen years old when he died, eight months after he signed to Del-Fi Records and produced three songs that hit the Billboard 100. Don McLean immortalized Ritchie and his friends deaths as "The Day the Music Died" when he chronicled his reaction to hearing about the plane crash in his song "American Pie."
Facts vs. fiction
[modifier | modifier le code]The film depicts the coin toss between Valens and one of Holly's band members, Tommy Allsup, as having taken place at the airport shortly before takeoff, with Holly having tossed the coin. In real life, the coin toss took place at the Surf Ballroom; the coin was tossed by a disc jockey who had been working the concert that night.[2]
Distribution
[modifier | modifier le code]- Lou Diamond Phillips : Ritchie Valens
- Esai Morales : Bob Morales
- Rosanna DeSoto : Connie Valenzuela
- Elizabeth Peña : Rosie Morales
- Danielle von Zerneck : Donna Ludwig
- Joe Pantoliano : Bob Keane
- Rick Dees : Ted Quillen
- Marshall Crenshaw : Buddy Holly
- Howard Huntsberry : Jackie Wilson
- Brian Setzer : Eddie Cochran
- Stephen Lee : The Big Bopper
- Sam Anderson : Mr. Ludwig
- John Quade : Bartender
- Noble Willingham : Howard
- Connie Valenzuela : Older woman at party
Box office
[modifier | modifier le code]Un slogan accompagnait le titre : Born to poverty. Destined for stardom. He lived the American Dream.
Aux USa Le 24 juillet 1974 et le 17 septembre en Australie.
Le film a engendré 5 698 884 de dollars américains la semaine de sa sortie et 52 678 820 millions au bout de 12 semaines.
Critiques
[modifier | modifier le code]Roger Ebert liked the film and the screenplay, writing, "This is a good small movie, sweet and sentimental, about a kid who never really got a chance to show his stuff. The best things in it are the most unexpected things: the portraits of everyday life, of a loving mother, of a brother who loves and resents him, of a kid growing up and tasting fame and leaving everyone standing around at his funeral shocked that his life ended just as it seemed to be beginning."
Janet Maslin, writing for The New York Times, was impressed with Lou Diamond Phillips' performance, and wrote, "A film like this is quite naturally a showcase for its star, and as Valens, Lou Diamond Phillips has a sweetness and sincerity that in no way diminish the toughness of his onstage persona. The role is blandly written, but Mr. Phillips gives Valens backbone. July 24, 1987.
Bande originale
[modifier | modifier le code]Because the movie is a celebration of 1950s rock & roller Ritchie Valens, his music, and the music of his contemporaries play a central part in the film.
La B.O. a été publiée le 1987 par Warner Bros. Records et comportait 12 titres. Les 6 premiers étaient des reprise de chanson de Richie Valens par Los Lobos : "La Bamba," "Come On Lets Go," "Ooh My Head," "We Belong Together," "Framed," et "Donna."
Other performers include : Howard Huntsberry, Marshall Crenshaw et Brian Setzer.
Certaines chansons du films étaient absentes de la B.O. telles que The Paddi Wack Song (de Richie Valens), Chantilly Lace de Big Bopper, Oh Boy, Rip It Up et Sleepwalk.
Récompenses
[modifier | modifier le code]Wins
- Gagnants du BMI Film Music Award : Carlos Santana et Miles Goodman (1988).
- Nommé pour un Golden Globe Award: Best Motion Picture - Drama; 1988.
External links
[modifier | modifier le code]- « Michel BUZE/Carta » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database.
Catégorie:Film sorti en 1987 Catégorie:Film américain Catégorie:Film biographique Catégorie:Film de Columbia Pictures Catégorie:Film dramatique
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Ken Lee (une mauvaise traduction de Can't live) est une interprétation de la célèbre chanson Without You par Valentina Hasan (Bulgare : Валентина Хасан), une candidate à l'émission bulgare Music Idol en février 2008.
Juste avant son audition pour Music Idol (version bulgare de La Nouvelle Star ou de American Idol), elle informa les juges qu'elle avait l'intention de chanter la chanson de Mariah Carey Ken Lee. Quand elle fut corrigée sur le titre exact de la chanson, qui est Without You, Valentina Hasan insista sur le fait que la chanson s'appelait Ken Lee. Sa performance fut entrecoupée de séquences de la performance de la chanson par Mariah Carey pour une comparaison ironique. Bien qu'elle ne continua pas l'aventure, une vidéo de son interprétation fût plus tard postée sur internet et elle devint populaire en Bulgarie puis à l'étranger. Le très mauvais anglais de Valentina (qui une fois son audition finie insista sur le fait que les paroles étaient bien en anglais), associé à son incapacité à savoir chanter, donna un grand effet comique, et la vidéo récolta plus de 4 millions de visites le premier mois de sa mise en ligne sur le site YouTube en février 2008.
La popularité de la vidéo encouragea les producteurs de Music Idol à inviter Valentina Hasan quelques semaines plus tard pour chanter la chanson en live. A ce moment-là, elle avait eu le temps de revoir les paroles et a fait moins d'erreurs et le public s'amusa à chanter le dernier couplet dans sa version originale (tulibu dibu douchoo). Cette vidéo a également été postée sur YouTube et a été vue par plus de 5,5 millions de personnes durant la mi-avril 2008.
L'interprétation de Hasan inspira grand nombre de personnes à créer leurs propres parodies et remixes de Ken Lee incluant des styles tels que la house, le disco ou encore dans un style karaoké.
Valentina Hasan expliqua aux médias bulgares qu'elle a en fait eu l'occasion d'écouter la chanson « quand elle avait 15 ans », utilisant un lecteur de radio-cassettes, elle la chanta « de la façon qu'elle le sentait ».
Mellow Yellow est une chanson pop psychédélique de Donovan de 1966.
Le titre est une sorte de jeu de mots qui associe deux adjectifs qui forment une rime "riche" : Mellow (moelleux) et Yellow (jaune).
L'auteur James Joyce avait associé avant lui ces deux mots dans son roman Ulysse. Il avait écrit "He kissed the plump mellow yellow smellow melons of her rump " (Il embrassa les doux, moelleux, jaunes, parfumés melons de ses fesses), parlant de son héroine, Molly Bloom.
http://www.popnews.com/popnews/donovanitw/index2.php
Safran, prénom féminin, une épice, et la couleur des robes des moines Bouddhistes.
couleurs utilisées en peinture fait les Beaux-Arts également fait une chanson qui s'appelle "Colours"
Il a écrit deux lignes de Yellow Submarine "Sky of blue and sea of green / In a yellow submarine".
La banane électrique va devenir une manie subite
C'est obligé qu'elle devienne le phénomène dernier cri
Cadbury (They call me Caramello... Koala) Lipton
En 1999, Gap "Everybody in Cords" réalisée par Pedro Romhanyi, la chanson mixée par The Dust Brothers Alex Greenwald (chanteur de Phantom Planet) et Jason Thompson (acteur dans Hôpital central)
deuxième du Billboard et huitième dans les charts britanniques.
- Melanie Durrant
- Xavier Cugat
- Odell Brown
- Gary Bartz
- Spiders & Snakes
- Billy Jenkins
- Arik Einstein
- Adam Tas
- Mardi Gras Bb
- Tom Scott
- Ten Inch Men
- Michael Wolff
- The Gibbons
- Stéphane Grappelli
- Jerome Isma-Ae ???
- Young-Holt Unlimited (1967)
- Georgie Fame (1968)
- Steve Marcus (1968)
- Herbie Mann (1974)
- Amanda Lear (1998), album http://en.wikipedia.org/wiki/Made_of_Blood_and_Honey
- Pork Pie Tribe (1998)
- Mary Chapin Carpenter (2000)
- Ciao Bella (2002)
- Pierre Namuriel (2006)
- Delaytanten* (2007)
- Delaytanten (2007)
"Steal This Movie" Soundtrack en:Steal This Movie
http://www.songfacts.com/detail.php?id=2554
Hendrix " Axis: Bold as Love Bold as Love" "My Yellow in this case is Not so Mellow" Zappa "Absolutely free"
Paul McCartney murmure "quite rightly"
- La Bamba at the Internet Movie Database.
- Urban Legends web site. Consulté January 1, 2007.