« Jean Dominique Blanqui » : différence entre les versions
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'''Jean Dominique Blanqui''' ([[23 avril]] [[1757]] à [[Drap (Alpes-Maritimes)|Drap]] - [[31 mai]] [[1832]] à [[Paris]]) est un homme politique français, député de la [[Convention nationale|Convention]]. |
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'''Jean Dominique Blanqui''', né le {{date de naissance|23 avril 1757}} à [[Drap (Alpes-Maritimes)|Drap]] ([[comté de Nice]] dans les [[États de Savoie]]) et mort le {{date de décès|31 mai 1832}} à [[Paris]] dans l'[[Ancien 8e arrondissement de Paris|ancien 8e arrondissement]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Archives de Paris |titre=État-civil reconstitué, registre des décès, vue 1/51, V3E/D 130 |url=https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjQtMTEtMjYiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NTtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjYyMzk7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9#uielem_move=0%2C0&uielem_islocked=0&uielem_zoom=35&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F |accès url=libre |site=https://archives.paris.fr |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>, est un homme politique de la [[Révolution française]]. |
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À l'en croire, il sous l'[[Ancien Régime]] professeur de mathématiques et de physique. D'autres le disent fabricant de ou homme de loi. Quoi qu'il en soit, il un lopin de terre dans le comté de Nice]]. |
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Le 31 janvier 1793, la [[Convention nationale]] décrète le rattachement du [[comté de Nice]] à la France<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924) |titre=Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 58, séance du 31 janvier 1793 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49573j/f105 |accès url=libre |site=https://gallica.bnf.fr |date=1900 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. Le 4 février, elle décrète la création du département des [[Alpes-Maritimes (1793-1814)|Alpes-Maritimes]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924) |titre=Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 58, séance du 4 février 1793 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49573j/f208 |accès url=libre |site=https://gallica.bnf.fr |date=1900 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. Le 23 mai, les trois députés des Alpes-Maritimes ([[Joseph Séraphin Dabray|Joseph Dabray]], Blanqui et [[Ruffin Castus Massa|Ruffin Massa]]) sont admis à siéger à la Convention<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924) |titre=Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 65, séance du 23 mai 1793 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49580t/f228 |accès url=libre |site=https://gallica.bnf.fr |date=1904 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. |
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Après la réunion de ce comté à la [[France]], le 23 mai [[1792]], Jean-Dominique Blanqui fut élu député de la Convention par le département des [[Alpes-Maritimes]], le 23 mai [[1793]]. Il fut l'un des 75 signataires de la protestation contre la proscription des [[Gironde (Révolution française)|Girondins]], ce qui fut la cause de son arrestation le 3 octobre [[1793]]. Il fit partie des « soixante-treize » visés par le décret de la même date. Il relate avec une certaine autosatisfaction dans ''Mon agonie de dix mois'', en les amplifiant, les tracasseries dont il a été victime lors de son incarcération. Il fut libéré le 19 octobre [[1794]] à la [[chute de Robespierre]] et sièga de nouveau à la Convention. |
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Blanqui siège sur les bancs de la [[Gironde (Révolution française)|Gironde]]. En mai 1793, il vote en faveur du rétablissement de la [[Commission extraordinaire des Douze|Commission des Douze]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924) |titre=Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 65, séance du 28 mai 1793 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49580t/f520 |accès url=libre |site=https://gallica.bnf.fr |date=1904 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. En octobre, sur motion de [[Jean Pierre André Amar|Jean-Pierre-André Amar]], membre du [[Comité de sûreté générale|Comité de Sûreté générale]], Blanqui est décrété d'arrestation pour avoir signé la protestation contre les [[journées du 31 mai et du 2 juin 1793]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Barbier, Gaston, Claveau, Louis, Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924) |titre=Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 75, séance du 3 octobre 1793 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49591g/f525 |accès url=libre |site=https://gallica.bnf.fr |date=1909 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. Le 25 brumaire an II (le 15 novembre 1793), alors qu'il est incarcéré à la [[Prison de La Force|prison de la Force]], il écrit une lettre à [[Maximilien de Robespierre]], lequel s'était opposé au déferrement des protestataires devant le [[tribunal révolutionnaire]], dans laquelle il « ''l'appelle à sa défense'' » et affirme avoir été victime d'un « ''piège tendu à sa bonne foi'' »<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Robespierre, Maximilien de (1758-1794) |titre=Œuvres complètes, tome 3. Correspondance de Maximilien et Augustin Robespierre |url=https://archive.org/details/oeuvrescomplte03robe/page/214/mode/2up |accès url=libre |site=https://archive.org |date=1926 |consulté le=26 novembre 2024}}</ref>. Le 18 frimaire an III (8 décembre 1794), lui et les autres signataires sont libérés et réintégrés à leur poste de député. Au terme de sa détention, Blanqui fait paraître un témoignage, ''L'agonie de dix mois'' <ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Blanqui, Dominique (1757-1832) |titre=L'agonie de dix mois, ou Historique des traitements essuyés par les députés détenus, et les dangers qu'ils ont courus pendant leur captivité. Avec des anecdotes intéressantes. |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6222398m/f9.item |accès url=libre |site=www.gallica.bnf.fr |date=1794 |consulté le=11 mai 2024}}</ref>. |
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En germinal an III (avril 1795), il est [[Représentant en mission|envoyé en mission]] dans les départements des [[Alpes-de-Haute-Provence|Basses-Alpes]], des [[Alpes-Maritimes]] des [[Bouches-du-Rhône]], du [[Gard]], du [[Vaucluse (département)|Vaucluse]] et du [[Var (département)|Var]]<ref>{{Lien web |auteur=Aulard, François-Alphonse (1849-1928) |titre=Recueil des actes du Comité de salut public, avec la correspondance officielle des représentants en mission et le registre du conseil exécutif provisoire. Tome 21 |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62151107/f499.item.texteImage |accès url=libre |site=www.gallica.bnf.fr |date=1889-1951 |consulté le=11 mai 2024}}</ref>. |
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Jean Dominique Blanqui, né le à Drap (comté de Nice dans les États de Savoie) et mort le à Paris dans l'ancien 8e arrondissement[1], est un homme politique de la Révolution française.
Biographie
[modifier | modifier le code]Sous l'Ancien Régime
[modifier | modifier le code]À l'en croire[2], il est sous l'Ancien Régime professeur de mathématiques et de physique. D'autres le disent fabricant de cuir ou homme de loi. Quoi qu'il en soit, il possède un lopin de terre dans le comté de Nice.
Sous la Révolution
[modifier | modifier le code]Le 31 janvier 1793, la Convention nationale décrète le rattachement du comté de Nice à la France[3]. Le 4 février, elle décrète la création du département des Alpes-Maritimes[4]. Le 23 mai, les trois députés des Alpes-Maritimes (Joseph Dabray, Blanqui et Ruffin Massa) sont admis à siéger à la Convention[5].
Blanqui siège sur les bancs de la Gironde. En mai 1793, il vote en faveur du rétablissement de la Commission des Douze[6]. En octobre, sur motion de Jean-Pierre-André Amar, membre du Comité de Sûreté générale, Blanqui est décrété d'arrestation pour avoir signé la protestation contre les journées du 31 mai et du 2 juin 1793[7]. Le 25 brumaire an II (le 15 novembre 1793), alors qu'il est incarcéré à la prison de la Force, il écrit une lettre à Maximilien de Robespierre, lequel s'était opposé au déferrement des protestataires devant le tribunal révolutionnaire, dans laquelle il « l'appelle à sa défense » et affirme avoir été victime d'un « piège tendu à sa bonne foi »[8]. Le 18 frimaire an III (8 décembre 1794), lui et les autres signataires sont libérés et réintégrés à leur poste de député. Au terme de sa détention, Blanqui fait paraître un témoignage, L'agonie de dix mois [9].
En germinal an III (avril 1795), il est envoyé en mission dans les départements des Basses-Alpes, des Alpes-Maritimes des Bouches-du-Rhône, du Gard, du Vaucluse et du Var[10].
L'historien Marcel Dorigny affirme que durant la période de la Convention thermidorienne, Blanqui est proche de députés comme Jacques-Charles Bailleul, Jean Debry ou Pierre Guyomar, hostiles aux compromis avec les royalistes et au suffrage censitaire[11].
Sous le Directoire
[modifier | modifier le code]En vendémiaire an IV (octobre 1795), sous le Directoire, Jean-Dominique Blanqui est réélu député des Alpes-Maritimes et siège au Conseil des Cinq-Cents. Il en sort en prairial an V (mai 1797) par tirage au sort[12].
Sous le Consulat et le Premier Empire
[modifier | modifier le code]Sous le Consulat et le Premier Empire, favorable au coup d'État du 18 Brumaire, il est nommé premier sous-préfet de Puget-Théniers le (5 floréal de l'an VIII). Il quitte son poste en juin 1814 à la première abdication. Au retour de Napoléon Ier, il reprend un poste de sous-préfet à Marmande, pendant les Cent-Jours. Après la défaite de Waterloo, il retourne dans le domaine familial d'Aunay-sous-Auneau, en Eure-et-Loir, qu'il trouve occupé par l'état-major d'un régiment de hussards prussiens.
Sous la Restauration
[modifier | modifier le code]Le retour des Bourbons empêche cet ancien girondin de retrouver une quelconque fonction publique. Il doit se retirer de la vie politique.
Il meurt à Paris au cours de la deuxième pandémie de choléra de 1832.
Descendance
[modifier | modifier le code]Marié avec Augustine Sophie Briere de Brionville, il est le père de :
- Adolphe Blanqui (1798-1854), économiste libéral et député de la Gironde,
- Louis Auguste Blanqui dit l'Enfermé (1805-1881), révolutionnaire républicain socialiste.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Archives de Paris, « État-civil reconstitué, registre des décès, vue 1/51, V3E/D 130 » , sur https://archives.paris.fr (consulté le )
- ↑ Cf. Dictionnaire de la conversation et de la lecture : Supplément, Volume 3
- ↑ Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924), « Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 58, séance du 31 janvier 1793 » , sur https://gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924), « Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 58, séance du 4 février 1793 » , sur https://gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924), « Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 65, séance du 23 mai 1793 » , sur https://gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Claveau, Louis, Ducom, André Jean (1861-1923), Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924), « Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 65, séance du 28 mai 1793 » , sur https://gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Barbier, Gaston, Claveau, Louis, Lataste, Lodoïs (1842-1923) et Pionnier, Constant (1857-1924), « Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 75, séance du 3 octobre 1793 » , sur https://gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Robespierre, Maximilien de (1758-1794), « Œuvres complètes, tome 3. Correspondance de Maximilien et Augustin Robespierre » , sur https://archive.org, (consulté le )
- ↑ Blanqui, Dominique (1757-1832), « L'agonie de dix mois, ou Historique des traitements essuyés par les députés détenus, et les dangers qu'ils ont courus pendant leur captivité. Avec des anecdotes intéressantes. » , sur www.gallica.bnf.fr, (consulté le )
- ↑ Aulard, François-Alphonse (1849-1928), « Recueil des actes du Comité de salut public, avec la correspondance officielle des représentants en mission et le registre du conseil exécutif provisoire. Tome 21 » , sur www.gallica.bnf.fr, 1889-1951 (consulté le )
- ↑ Marcel Dorigny, « La Gironde sous Thermidor. », dans 1795, pour une République sans Révolution, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 239–242 p. (ISBN 978-2-7535-2596-2, lire en ligne)
- ↑ Gazette nationale ou le Moniteur universel n°167 du 17 ventôse an V (7 mars 1797), p. 6.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Adolphe Robert (dir.), Dictionnaire des parlementaires français, 1789-1889, Paris, Bourloton, 1889-1891.
- Jean Tulard, Jean-François Fayard et Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de la Révolution française. –, Paris, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », , [détail des éditions] (ISBN 978-2-221-08850-0)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la vie publique :
- Député des Alpes-Maritimes
- Député de la Convention nationale
- Député des Alpes-Maritimes (Convention nationale)
- Conventionnel régicide
- Membre du Conseil des Cinq-Cents
- Député des Alpes-Maritimes (Conseil des Cinq-Cents)
- Personnalité provençale du XVIIIe siècle
- Personnalité provençale du XIXe siècle
- Personnalité liée à Puget-Théniers
- Naissance en avril 1757
- Naissance à Drap (Alpes-Maritimes)
- Décès en mai 1832
- Décès à 75 ans
- Décès dans l'ancien 8e arrondissement de Paris
- Mort du choléra lors de l'épidémie de 1832