« Prise d'otages d'In Amenas » : différence entre les versions
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La prise d'otages a commencé le 16 janvier 2013 à l'aube, lorsqu'un groupe d'une quarantaine de [[terroriste]]s fortement armés, en provenance de [[Libye]] (et équipés d'armes récupérées en Libye)<ref name="parma">http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/In-Amenas.-Heure-par-heure-le-recit-d-un-bain-de-sang-460145/</ref> à bord d'une dizaine de 4x4<ref name="JDD200113">[http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Actualite/Prise-d-otages-en-Algerie-les-zones-d-ombre-d-In-Amenas-587073 ''Les zones d’ombre d’In Amenas''] dans ''[[Le Journal du dimanche]]'' du 20 janvier 2013.</ref>, attaquent un autobus transportant des travailleurs expatriés, principalement japonais, qui quitte le site d'une plateforme gazière co-exploitée par [[BP (entreprise)|BP]], [[Statoil]] et [[Sonatrach]] à [[In Amenas]], près de la frontière libyenne. Cette attaque échouera grâce à la riposte de l'escorte du bus mais un Algérien, un Britannique et trois Japonais sont tués<ref name="parma" />. |
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Après cette première action, le groupe se dirige vers la base-vie et en enfonce la porte d'entrée avec une voiture-bêlier<ref name="parma" />. Les terroristes ont peut-être bénéficié de complicités<ref>http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/17/01003-20130117ARTFIG00720-otages-a-in-amenas-les-etrangers-etaient-ligotes.php</ref> et d'informations pour s'introduire si facilement sur le site, notamment de la part d'un des preneurs d'otages, qui était un ancien salarié du site gazier<ref>http://www.liberation.fr/monde/2013/01/23/un-des-preneurs-d-otages-d-in-amenas-etait-un-ancien-salarie-du-site-gazier_876076</ref>. Plusieurs centaines de personnes essentiellement algériennes, mais aussi une centaine d'Occidentaux de nationalités [[Norvège|norvégienne]], [[Autriche|autrichienne]], [[Roumanie|roumaine]], [[japon]]aise, [[France|française]], [[États-Unis|américaine]] et [[Royaume-Uni|britannique]], employés de la base et sous-traitants, sont pris en otage par les terroristes, qui visent d'abord à prendre des otages étrangers<ref>http://www.rfi.fr/afrique/20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme?ns_campaign=google_choix_redactions&ns_mchannel=editors_picks&ns_source=google_actualite&ns_linkname=afrique.20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme&ns_fee=0</ref>. |
Après cette première action, le groupe se dirige vers la base-vie et en enfonce la porte d'entrée avec une voiture-bêlier<ref name="parma" />. Les terroristes ont peut-être bénéficié de complicités<ref>http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/17/01003-20130117ARTFIG00720-otages-a-in-amenas-les-etrangers-etaient-ligotes.php</ref> et d'informations pour s'introduire si facilement sur le site, notamment de la part d'un des preneurs d'otages, qui était un ancien salarié du site gazier<ref>http://www.liberation.fr/monde/2013/01/23/un-des-preneurs-d-otages-d-in-amenas-etait-un-ancien-salarie-du-site-gazier_876076</ref>. Plusieurs centaines de personnes essentiellement algériennes, mais aussi une centaine d'Occidentaux de nationalités [[Norvège|norvégienne]], [[Autriche|autrichienne]], [[Roumanie|roumaine]], [[japon]]aise, [[France|française]], [[États-Unis|américaine]] et [[Royaume-Uni|britannique]], employés de la base et sous-traitants, sont pris en otage par les terroristes, qui visent d'abord à prendre des otages étrangers<ref>http://www.rfi.fr/afrique/20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme?ns_campaign=google_choix_redactions&ns_mchannel=editors_picks&ns_source=google_actualite&ns_linkname=afrique.20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme&ns_fee=0</ref>. |
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Le 17 janvier 2013, l'[[Armée nationale populaire (Algérie)|armée algérienne]] procède à une première offensive sur le site de la prise d'otage. Durant cet assaut, des otages périssent, d'autres sont libérés<ref>[http://lci.tf1.fr/monde/afrique/en-direct-otages-en-algerie-l-armee-algerienne-donne-l-assaut-7776183.html] ''LCI''</ref>. Certains otages étrangers ainsi qu'une trentaine de travailleurs algériens<ref |
Le 17 janvier 2013, l'[[Armée nationale populaire (Algérie)|armée algérienne]] procède à une première offensive sur le site de la prise d'otage. Durant cet assaut, des otages périssent, d'autres sont libérés<ref>[http://lci.tf1.fr/monde/afrique/en-direct-otages-en-algerie-l-armee-algerienne-donne-l-assaut-7776183.html] ''LCI''</ref>. Certains otages étrangers ainsi qu'une trentaine de travailleurs algériens<ref:/> ont réussi à échapper des mains de leurs ravisseurs à l'aube et s'enfuient pendant l'assaut<ref>http://fr.rian.ru/world/20130118/197267996.html</ref>. Un drone américain survole le complexe, donnant ainsi aux autorités américaines un aperçu de la situation<refotagesen-- />. |
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Dans la nuit du 17 janvier 2013, les [[Groupe d'intervention spéciale|forces spéciales algériennes]] disent avoir repris le contrôle de la base-vie du site, mais pas encore de l'usine, où se sont retranchés plusieurs preneurs d'otages. |
Dans la nuit du 17 janvier 2013, les [[Groupe d'intervention spéciale|forces spéciales algériennes]] disent avoir repris le contrôle de la base-vie du site, mais pas encore de l'usine, où se sont retranchés plusieurs preneurs d'otages. |
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Version du 16 mars 2013 à 11:35
Prise d'otages d'In Amenas | ||
Plan du site | ||
Localisation | In Amenas Algérie | |
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Cible | Employés algériens et étrangers d'une plate-forme gazière coexploitée par BP, Statoil et Sonatrach | |
Coordonnées | 27° 54′ 55″ nord, 9° 06′ 50″ est | |
Date | – | |
Type | Prise d'otages | |
Armes | 6 fusils-mitrailleurs (FMPK), 21 fusils PMAK, deux fusils à lunettes, 2 mortiers 60mm avec roquettes, 6 missiles de type C5 60mm avec rampes de lancement, 2 RPG7 avec 8 roquettes, 10 grenades disposées en ceintures explosives [1] | |
Morts | 66, dont 29 ravisseurs (selon les autorités algériennes) | |
Participants | 37 ravisseurs | |
Organisations | Brigade Al-Moulathamin (les cagoulés) | |
Mouvance | islamisme | |
Géolocalisation sur la carte : Algérie
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La prise d'otages d'In Amenas, également appelée prise d'otages de Tiguentourine[2], est une prise d'otages massive menée du 16 janvier 2013 au 19 janvier 2013 par des militants islamistes dissidents d'Al-Qaida au Maghreb islamique[3] sur le site d'exploitation gazière de Tiguentourine[4] situé à 45 km à l'ouest d'In Amenas, dans le Sahara, au sud de l'Algérie.
Cette opération, préparée de longue date[5],[6], a permis à ses auteurs de réclamer, entre autres, l'arrêt de l'intervention militaire française au Mali lancée cinq jours auparavant[7]. Plus de 800 personnes travaillant sur le site gazier ont été prises en otage par les terroristes. Les derniers otages ont été libérés le 19 janvier, lorsqu'un deuxième assaut de l'armée algérienne qui a permis de reprendre le contrôle total de l'usine gazière[8]. Selon un bilan algérien du 21 janvier, 37 otages et 29 terroristes ont trouvé la mort.
Contexte
Chronologie
Attaque terroriste
La prise d'otages a commencé le 16 janvier 2013 à l'aube, lorsqu'un groupe d'une quarantaine de terroristes fortement armés, en provenance de Libye (et équipés d'armes récupérées en Libye)[9] à bord d'une dizaine de 4x4[10], attaquent un autobus transportant des travailleurs expatriés, principalement japonais, qui quitte le site d'une plateforme gazière co-exploitée par BP, Statoil et Sonatrach à In Amenas, près de la frontière libyenne. Cette attaque échouera grâce à la riposte de l'escorte du bus mais un Algérien, un Britannique et trois Japonais sont tués[9].
Après cette première action, le groupe se dirige vers la base-vie et en enfonce la porte d'entrée avec une voiture-bêlier[9]. Les terroristes ont peut-être bénéficié de complicités[[#cite_note-Le_Figaro_-_International_:_Otages_�_In_Amenas_:_�Les_�trangers_�taient_ligot�s�-11|[11]]] et d'informations pour s'introduire si facilement sur le site, notamment de la part d'un des preneurs d'otages, qui était un ancien salarié du site gazier[12]. Plusieurs centaines de personnes essentiellement algériennes, mais aussi une centaine d'Occidentaux de nationalités norvégienne, autrichienne, roumaine, japonaise, française, américaine et britannique, employés de la base et sous-traitants, sont pris en otage par les terroristes, qui visent d'abord à prendre des otages étrangers[13]. Les terroristes minent également les alentours de la plateforme[14].
Assauts de l'armée algérienne
Le 17 janvier 2013, l'armée algérienne procède à une première offensive sur le site de la prise d'otage. Durant cet assaut, des otages périssent, d'autres sont libérés[15]. Certains otages étrangers ainsi qu'une trentaine de travailleurs algériens[[#cite_note-Le_Figaro_-_International_:_Otages_�_In_Amenas_:_�Les_�trangers_�taient_ligot�s�-11|[11]]] ont réussi à échapper des mains de leurs ravisseurs à l'aube et s'enfuient pendant l'assaut[16]. Un drone américain survole le complexe, donnant ainsi aux autorités américaines un aperçu de la situation[15].
Dans la nuit du 17 janvier 2013, les forces spéciales algériennes disent avoir repris le contrôle de la base-vie du site, mais pas encore de l'usine, où se sont retranchés plusieurs preneurs d'otages.
Le samedi 19 janvier à la mi-journée a lieu le deuxième assaut de l'armée algérienne, cette fois contre l'usine où sont encore retranchés une dizaine de terroristes[17] avec des otages. Cette offensive se termine tragiquement : 7 otages étrangers sont exécutés par leurs ravisseurs et ceux-ci sont abattus par l'armée[18].
Otages
Une déclaration envoyée par le groupe islamiste à une agence de presse mauritanienne le 16 janvier indiquait qu'ils détenaient 41 otages étrangers.
Le 19 janvier, les autorités algériennes font état d'un premier bilan de 32 islamistes morts, ainsi que 23 otages[19], en précisant avoir libéré 685 employés algériens et 107 ressortissants étrangers[20].
Les corps d'autres otages étrangers sont retrouvés lors de la fouille du site. Le 21 janvier, le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal annonce un nouveau bilan officiel d'au moins 37 étrangers, un Algérien et 29 assaillants tués[21].
Le bilan détaillé basé sur les informations disponibles au est le suivant :
Nationalité | Otages | Morts et disparus |
---|---|---|
Algérie | ||
Japon | ||
Philippines | ||
Royaume-Uni | ||
Norvège | ||
Malaisie | ||
États-Unis | ||
France | ||
Roumanie | ||
Turquie | ||
Irlande | ||
Autriche | ||
Portugal | ||
Colombie | ||
Total |
Preneurs d'otages et revendications
Selon les autorités algériennes, le groupe islamiste était constitué de 32 ravisseurs dont 3 algériens[20] avec à leur tête le Nigérien Abderrahman el-Nigiri[34]. Les ravisseurs, disant venir du Mali[3] mais en provenance de Libye selon le ministère de l'Intérieur algérien, se revendiquaient de la katiba de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar, récemment destituée d'Al-Qaida au Maghreb islamique, renommée brigade Al-Moulathamin et affirmaient agir en représailles à l'intervention militaire française menée au Mali, qu'ils qualifient d' « agression ». Ils disposaient d'un armement lourd et moderne selon les autorités algériennes et ont déclaré à l'agence de presse mauritanienne ANI avoir préparé l'opération pendant « près de deux mois ».
Le chef des terroristes, Mokhtar Belmokhtar, réclamait à la France l'arrêt de la guerre menée en Azawad (nord du Mali) et la libération d’une centaine d’islamistes détenus en Algérie[3]. Ils demandaient aux Américains la libération de deux terroristes : un Égyptien, Omar Abdel Rahman, accusé d'avoir commandité l'attentat du World Trade Center de 1993, et Aafia Siddiqui, une scientifique pakistanaise, emprisonnée pour avoir tiré sur des soldats américains en Afghanistan[35],[36]. Ils menaçaient de faire exploser le site si les forces armées algériennes ne se retiraient pas[7].
Selon le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal qui s'est exprimé à ce sujet le 21 janvier, les preneurs d'otage étaient de nationalité algérienne, canadienne, égyptienne, tunisienne, malienne, nigérienne et mauritanienne ; 29 auraient été tués[37]. Selon des sources proches du renseignement algérien, cinq preneurs d’otages, dont deux très gravement blessés, ont été faits prisonniers et sont en cours d’interrogatoire. Les autorités ont appris pendant ces interrogatoires qu’au moins trois djihadistes s’étaient échappés dans la nuit de jeudi à vendredi[38].
Nationalité[21] | Nombre |
---|---|
Tunisie | |
Égypte | |
Algérie | |
Mali | |
Canada | |
Niger | |
Mauritanie | |
Total |
Réactions internationales
Algérie | Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales Dahou Ould Kablia a indiqué que son pays ne « répondrait pas aux demandes des terroristes » et ne négocierait pas avec les preneurs d'otages[41]. |
Irlande | Le Tánaiste, Eamon Gilmore, confirme aux médias qu'un citoyen nord-irlandais originaire du comté d'Antrim est retenu en otage. Il déclare que « le gouvernement se tient prêt à utiliser toutes les ressources qui nous sont disponibles pour s'assurer que notre compatriote soit libéré dès que possible »[42]. |
Japon | Environ une douzaine de ressortissants japonais ont été pris en otages. Le premier ministre japonais Shinzo Abe, alors en Indonésie, a annulé ses premières visites dans le sud-est asiatique pour revenir à Tokyo et suivre l'évolution de la situation[43],[44]. La firme japonaise JCG Corp., qui est aussi impliquée dans la production de gaz de l'usine, a tenu plusieurs réunions avec le gouvernement japonais concernant l'incident[45]. Le gouvernement japonais a protesté contre l'assaut de l'armée algérienne et en a exigé l'arrêt immédiat, estimant que la protection des otages devait être la priorité, et non l'offensive militaire[46]. |
Malaisie | Le ministre des affaires étrangères Datuk Seri Anifah Aman, a contacté son homologue algérien pour s'assurer de la sécurité des ressortissants malaisiens qui ont été pris en otages. Cinq à six malaisiens travailleraient dans l'usine selon un porte-parole de l'ambassade de Malaisie en Algérie. Le ministère des affaires étrangères a confirmé la présence de deux otages malaisiens et a informé les familles des victimes[47]. |
Norvège | Les autorités ont informé que neuf citoyens norvégiens ont été pris en otage sur le site du complexe gazier. Au matin du 18 janvier, un otage avait été libéré[48]. La Norvège a répondu à la prise en otage par l'envoi d'une équipe de crise à leur ambassade en Algérie[49]. Elles ont également envoyé un avion de ligne qui a été transformé en hôpital volant[50]. |
Philippines | Raul Hernandez, porte-parole du ministère des affaires étrangères, déclare que le gouvernement philippin est toujours en train de procéder à la vérification des sources faisant état de la présence d'au moins quinze Philippins sur le site gazier au moment de l'assaut des forces spéciales algériennes. Il annonce également qu'un Philippin s'est échappé du complexe avec des blessures mineures avant le raid aérien algérien selon un informateur japonais[51]. |
États-Unis | Immédiatement après l'annonce de la prise d'otages, la porte-parole du Département d'État confirme aux journalistes qu'un nombre indéterminé de citoyens américains se trouverait parmi les otages[41] ; Le vendredi 18 janvier, les États-Unis ont envoyé un avion sur place pour évacuer leurs ressortissants[52]. |
Royaume-Uni | Le secrétaire d'État des Affaires étrangères britannique, William Hague, confirme la mort d'un ressortissant britannique le jour suivant l'attaque. Il rejette tout lien avec l'intervention militaire française menée au Mali et l'a qualifiée d'excuse pour un meurtre « de sang-froid »[53] ; David Cameron a ensuite critiqué l'assaut de l'armée algérienne, déplorant ne pas en avoir été prévenu par les autorités[54]. |
France | Le président François Hollande confirme la présence d'otages français sur le site et déclare qu'il faut s'attendre à de mauvaises nouvelles quant à l'issue de l'opération aérienne algérienne[55]. |
Roumanie | Robert Cazanciuc, secrétaire général du ministère des affaires étrangères roumain, a confirmé qu'il y avait au moins un citoyen roumain parmi les otages et qu'une cellule de crise avait été mise en place au ministère pour suivre et résoudre la situation[56],[57]. |
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « In Aménas hostage crisis » (voir la liste des auteurs).
- ↑ http://www.premier-ministre.gov.dz/index.php?option=com_content&task=view&id=2220&Itemid=261
- ↑ Voir par exemple « Prise d'otages de Tiguentourine: Prétendre que des services étrangers auraient mieux fait relève de "l'imbécillité pure", selon Yves Bonnet », sur elwatan.com, (consulté le )
- « 41 Occidentaux pris en otage par des djihadistes sur le site de BP », sur france24.com (consulté le )
- ↑ Carte du site de TiguentourineLe Monde - 17/01/2013
- ↑ Isabelle Lasserre, « Algérie: l'opération terroriste a été préparée de longue date », Le Figaro, 18 décembre 2013.
- ↑ « In Aménas: le bilan du siège s'alourdit », sur BBC,
- « Algérie : les ravisseurs réclament "l'arrêt de l'agression" au Mali », sur lemonde.fr (consulté le )
- ↑ http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20130119151816/algerie-aqmi-gspc-prise-d-otagesprise-d-otages-a-in-amenas-l-operation-militaire-algerienne-serait-terminee.html
- http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/In-Amenas.-Heure-par-heure-le-recit-d-un-bain-de-sang-460145/
- ↑ Les zones d’ombre d’In Amenas dans Le Journal du dimanche du 20 janvier 2013.
- http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/17/01003-20130117ARTFIG00720-otages-a-in-amenas-les-etrangers-etaient-ligotes.php
- ↑ http://www.liberation.fr/monde/2013/01/23/un-des-preneurs-d-otages-d-in-amenas-etait-un-ancien-salarie-du-site-gazier_876076
- ↑ http://www.rfi.fr/afrique/20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme?ns_campaign=google_choix_redactions&ns_mchannel=editors_picks&ns_source=google_actualite&ns_linkname=afrique.20130119-prise-otages-in-amenas-algerie-tinguentourine-site-gazier-aqmi-terrorisme-jihadisme&ns_fee=0
- ↑ http://www.rfi.fr/afrique/5min/20130119-prise-otage-in-amenas-assaut-final-suivez-nos-informations-algerie
- [1] LCI
- ↑ http://fr.rian.ru/world/20130118/197267996.html
- ↑ http://www.huffingtonpost.fr/2013/01/21/bilan-prise-otages-algerie-37-etrangers-un-algerien-morts-29-terroristes-tues-3-arretes_n_2520079.html
- ↑ http://www.france24.com/fr/20130119-armee-algerienne-encercle-toujours-preneurs-otages-site-gazier-in-amenas-algerie
- ↑ VIDEOS. Bilan officiel provisoire en Algérie : 23 otages et 32 ravisseurs tués
- Algérie : épilogue sanglant avec la mort d'au moins 23 otages
- Algérie : 37 otages étrangers et un Algérien ont été tués
- ↑ Algérie: un 10e Japonais mort dépêche de l'AFP le 24 janvier 2013.
- ↑ Nouveau bilan dressé par le gouvernement philippin le 25 janvier
- ↑ UK Foreign Secretary updates media on the terrorist attack in Algeria
- ↑ Statoil confirme la mort d'au moins deux Norvégiens
- ↑ Second Malaysian confirmed dead in Algeria hostage crisis
- ↑ Algérie : l'otage français tué était un ex-militaire devenu restaurateur à Anglet
- ↑ CARNAGIU ÎN ALGERIA: Un ROMÂN a murit. Au fost descoperite 15 trupuri carbonizate
- ↑ (tk)Cezayir'de kanlı rehine operasyonu
- ↑ Algérie : un otage irlandais "sain et sauf" recouvre la liberté
- ↑ Austrian survives liberation of Algerian oil field
- ↑ Seize otages étrangers libérés
- ↑ (es)Un colombiano estaría entre las víctimas del terrorismo en Argelia
- Algérie : l'étonnant casting des djihadistes par Mélanie Matarese dans Le Figaro du 20 janvier 2013.
- ↑ (fr)http://www.europe1.fr/International/Algerie-les-ravisseurs-veulent-un-echange-1384423/
- ↑ (fr)http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/17/01003-20130117LIVWWW00530-en-direct-suivez-l-assaut-de-l-armee-algerienne-contre-le-complexe-gazier.php
- ↑ Algérie : 38 otages tués, 5 disparus, et 29 assaillants abattus à In Amenas
- ↑ Au moins trois djihadistes échappés de Tiguentourine pendant l’assaut
- ↑ Plus d'un preneur d'otages canadien en Algérie ? dans La Presse du 19 janvier 2013
- ↑ Algérie: 2 Canadiens parmi les ravisseurs dépêche AFP du 21 janvier 2013
- (fr)« Des islamistes disent détenir 41 Occidentaux en Algérie ». AFP
- ↑ (en)"How attack on Algeria oil facility unfolded" The Irish Times
- ↑ (en)[rs.com/article/2013/01/17/algeria-kidnap-jgc-idINT9N0AE00B20130117]
- ↑ (en)[2]
- ↑ http://in.reuters.com/article/2013/01/17/algeria-kidnap-jgc-idINT9N0AE00B20130117
- ↑ http://fr.news.yahoo.com/otages-japon-convoque-lambassadeur-alg%C3%A9rien-pm-rentre-%C3%A0-130845878.html
- ↑ http://www.nst.com.my/nation/general/2-malaysians-taken-hostage-in-algeria-1.203346 # ixzz2IKXF8cWv
- ↑ (en) « Én norsk Statoil-ansatt i sikkerhet på sykehus », Verdens Gang, (lire en ligne)
- ↑ (en) « Norge sender utrykningsteam til Algerie », Verdens Gang, (lire en ligne)
- ↑ (en) « slik-fungerer-forsvarets-krisefly », Verdens Gang, (lire en ligne)
- ↑ (en)http://www.solarnews.ph/news/2013/01/18/dfa-verifying-if-pinoys-among-algeria-hostages#.UPk-xB0qYxB
- ↑ http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/cinq-questions-sur-la-prise-d-otages-d-in-amenas-en-algerie_1211116.html
- ↑ (en) Infos, sur Al Jazeera
- ↑ http://lci.tf1.fr/monde/afrique/in-amenas-un-drame-a-huis-clos-7776606.html
- ↑ (fr)Algérie : François Hollande confirme la présence de Français parmi les otages - Le Parisien
- ↑ (ro)« Declaraţie de presă susţinută de secretarul general Robert Cazanciuc în legătură cu evenimentele din Algeria » (consulté le )
- ↑ (ro)« Roman rapit in Algeria: Mai multi ostatici ar fi fost ucisi » (consulté le )