Villers-la-Montagne
Villers-la-Montagne est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.
Villers-la-Montagne | |||||
L'église paroissiale Saint-Sylvestre. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Briey | ||||
Intercommunalité | [CA Grand Longwy Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Guy Michel 2020-2026 |
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Code postal | 54920 | ||||
Code commune | 54575 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Magins | ||||
Population municipale |
1 550 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 28′ 17″ nord, 5° 49′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 295 m Max. 423 m |
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Superficie | 18,12 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Villers-la-Montagne (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villerupt | ||||
Législatives | 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Liens | |||||
Site web | https://www.villerslamontagne.fr/ | ||||
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Ses habitants sont les Magins et Maginnes[1].
Géographie
modifierDescription
modifierSituée au sud de Longwy et de ses trois frontières, Villers-la-Montagne est la « porte » d'entrée vers les villages alentour car elle longe la voie rapide (N 52).
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Bréhain-la-Ville, Chenières, Haucourt-Moulaine, Hussigny-Godbrange, Laix, Morfontaine et Tiercelet.
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Moulaine[2],[Carte 1].
La Moulaine, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Tiercelet et se jette dans la Chiers à Longwy, après avoir traversé six communes[3].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[4].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 20 km à vol d'oiseau[7], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Villers-la-Montagne est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villers-la-Montagne, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), forêts (23,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), prairies (5,6 %), zones urbanisées (4,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 750, alors qu'il était de 676 en 2015 et de 630 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,9 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villers-la-Montagne en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,7 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Villers-la-Montagne[I 2] | Meurthe-et-Moselle[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 91,8 | 88,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,3 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,8 | 9,3 | 8,2 |
Toponymie
modifier- Du latin médiéval carolingien Villare qui signifie « domaine rural/ferme ».
- Du vieux haut allemand wīlāri qui signifie village.
- Du moyen haut allemand wīler qui veut dire petit village.
- Villare (926), Wilere (962), Willare (1096), Wilre (1235), Willarium (1236), Villiers (1571), Ville-la-Montagne (XVIIIe siècle).
- Bergweiler en allemand et Biergweiler en luxembourgeois standard (se prononce « Birch »).
- Villers-la-Montagne se trouvait jadis du côté germanique de la frontière linguistique mosellane.
- Berg a été traduit par erreur par « montagne » alors que la bonne traduction est « colline » (ce n'est pas une zone de montagne, c'est le haut-plateau lorrain avec ses collines).
- La toponymie de Villers-la-Montagne est la même que celle de Bergweiler (près de Trêves) : Villaris (1056), Villari (1171), Villare (1184), Vilare (1190), Wilare (1219), Wilre (1243), Wiler (1417), Wilre (1428), Wyler (1487), Bergwiler (1569).
La localité doit son nom à une villa gallo-romaine détruite au IIIe siècle.
Histoire
modifierAncien Régime
modifierVillers-la-Montagne était siège d'une châtellenie dépendant du château de Longwy. Elle était également le siège d'une prévôté en 1718, puis du bailliage de Villers-la-Montagne en 1751 qui appartenait au diocèse de Trèves.[réf. nécessaire]
Époque contemporaine
modifierEn 1817, Villers-la-Montagne, village de l'ancienne province du Barrois, avait pour annexes la ferme de Hussigny et le moulin de Signy. À cette époque il y avait 826 habitants répartis dans 150 maisons. Dans la forêt de Selomont, ruines d'un ancien village[réf. nécessaire].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Longwy, année où elle intègre le canton de Villerupt[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Villerupt porté à 14 communes
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.
Intercommunalité
modifierLa commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune a adhéré en 2014 en lui transférant un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progressivement intégré d'autres communes.
La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].
En 2021, la commune comptait 1 550 habitants[Note 4], en évolution de +4,59 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Tilleul qui aurait été planté au moment de l'édit de Nantes (1598), début 1981, il a été décapité.
- Deux anciens moulins à huile, dont l'un a été rasé.
- Ouvrage du Mauvais-Bois. petit ouvrage fortifié d'infanterie comptant trois blocs de la ligne Maginot construit à partir de 1931 et situé à la limite communale entre Laix et Villers-la-Montagne,
- Ouvrage du Bois-du-Four, autre ouvrage fortifié d'infanterie de la ligne Maginot, construit lui en 1931 et monobloc.
- Église paroissiale Saint-Sylvestre, fin du XVe siècle ou du début XVIe siècle dont il subsiste la tour clocher (à l'exception du dernier niveau) et la chapelle ou l'ossuaire accolé à la façade sud. Nef, chœur et sacristie reconstruits au début du XVIIIe siècle, peut-être en 1704, à l'époque où la tour clocher est restaurée (date 1704 donnée par des ancres sur la façade est de la tour).
Réfection de la flèche et du niveau du beffroi en 1865. Édifice détruit en et restauré entre 1946 et 1950.
L'église comporte un maître-autel en bois sculpté dont le tabernacle est orné d'un agneau pascal, surmonté d'une "monstrante tournante" décorée d'une descente de croix. Les vitraux sont des ateliers Gross de Nancy (1952). Le beffroi accueille trois cloches : Eugénie-Marie, Françoise-Léonie (1923, renouvelée en 1982), et Henriette-Marie. L'église est totalement décimée par la tempête de [28]. Les murs et voûtes de l'ancien chœur et de l'ossuaire sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [29]. Au cours des travaux, des peintures murales sont découvertes dans la crypte et sont l'objet d'une inscription à l'inventaire des monuments historiques en 1991[30],[31]. Après travaux, l'inauguration a lieu le .
Personnalités liées à la commune
modifier- Laurent Gabriel Claude[32] (1754-?), homme politique, député du tiers aux Etats-Généraux.
- Jacques Jean Louis Pierron né en 1762 à Villers-la-Montagne et décédé à Paris en 1794, homme politique.
- Jordan Tresson, né à Villers-la-Montagne en 1988, pilote automobile Nissan ayant participé au Championnat du monde d'endurance FIA 2012 ainsi qu'aux 24 Heures du Mans 2012.
Héraldique
modifierVoir aussi
modifierBibliographie
modifierL'histoire de la commune de Villers-la-Montagne a été étudiée et écrite par l'historien local Felix Jacob en 1995[33] et développée en 2001 dans un très beau livre par l'historien Olivier Cortesi[34].
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Villers la Montagne », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- « Dossier complet : Commune de Villers-la-Montagne (54575) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Villers-la-Montagne » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Villers-la-Montagne » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-la-Montagne ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Villers-la-Montagne - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
- « Fiche communale de Villers-la-Montagne », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Moulaine »
- « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-la-Montagne et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villers-la-Montagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Avis de décès de Monsieur Marcel REUTER » , sur libramemoria.com, (consulté le ).
- S.B., « François Boudot : « La vie est sereine à la campagne » : François Boudot, maire de Villers-la-Montagne depuis 1989, revient sur le développement de la commune et sur son avenir, avec en point de mire l’intercommunalité », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- « La dernière séance de François Boudot », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- S. B., « François Barthélémy « fort et tranquille » : On est forts, tranquilles et pas réactionnaires. » C’est le message que compte faire passer François Barthélémy, qui conduit la liste de l’équipe du maire sortant, François Boudot », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- S.B., « Démissions au conseil : coup de tonnerre à Villers-la-Montagne : Le conseil municipal de Villers-la-Montagne, qui n’avait pourtant que sept mois d’existence, a été foudroyé hier matin, avec la démission de six de ses membres », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Villers-la-Montagne : Xavier Paluszkiewicz un maire déjà contesté », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- Marion Mellinger, « Qui est Guy Michel, le nouveau maire de Villers-la-Montagne ? : Élu député de la 3e circonscription du département, Xavier Paluszkiewicz a dû choisir entre la mairie et l’Assemblée nationale. Il a opté pour le Palais Bourbon. Guy Michel a été désigné pour le remplacer à Villers-la-Montagne », Le Républicain lorrain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Guy Michel poursuit l’aventure de maire », Le Républicain lorrain, 4/6/2020 mis à jour le 9/6/2020 (lire en ligne , consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Tempête 1990 dans Histoire de Villers la Montagne,en ligne
- « Église Saint-Sylvestre », notice no PA00106450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bulletin no 23 Association Préservation du Patrimoine, édition à compte d'auteur 23 décembre 2003
- « peinture murale », notice no IM54002962, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Laurent, Gabriel Claude - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- Félix Jacob - Villers la Montagne sa prévôté son bailliage - AGM Imp Idéalys Tiercelet - Édition à compte d'auteur - Juin 1995
- Olivier CORTESI - Villers la Montagne le refuge des saisons - Cœur d'Occident éditions - 2001