Séron

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Séron est une commune française située dans le nord-ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région administrative Occitanie.

Séron
Séron
Paysage dans les environs du village de Séron
Blason de Séron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Chantal Paulien
2020-2026
Code postal 65320
Code commune 65422
Démographie
Gentilé Séronnais
Population
municipale
335 hab. (2021 en évolution de +2,13 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 23″ nord, 0° 05′ 54″ ouest
Altitude Min. 290 m
Max. 386 m
Superficie 9,29 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ossun
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Séron
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Séron
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Séron
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Séron

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Léez, le Louet, le Carbouère et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Séron est une commune rurale qui compte 335 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Pau. Ses habitants sont appelés les Séronnais ou Séronnaises.

Géographie

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Localisation

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La commune de Séron se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 16 km d'Ossun[2], bureau centralisateur du canton d'Ossun dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saubole (2,3 km), Bédeille (2,8 km), Lombia (2,9 km), Escaunets (3,1 km), Aast (3,8 km), Ponson-Dessus (3,8 km), Sedze-Maubecq (4,0 km), Eslourenties-Daban (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Séron fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[4].

 
Carte de la commune de Séron et des proches communes.

Paysages et relief

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Hydrographie

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La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Léez, le Louet, le Carbouère et le ruisseau de Baricave, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léez, d'une longueur totale de 56,1 km, prend sa source dans la commune de Gardères et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].

Le Louet, d'une longueur totale de 44,3 km, prend sa source dans la commune de Gardères et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Castelnau-Rivière-Basse, après avoir traversé 22 communes[9].

Le Carbouère, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet à Bentayou-Sérée, après avoir traversé 10 communes[10].

Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Séron.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[11].


Milieux naturels et biodiversité

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : le « lac du Louet et ruisseau de Louet Daban en amont » (153 ha), couvrant 6 communes dont quatre dans les Pyrénées-Atlantiques et deux dans les Hautes-Pyrénées[13] et le « vallon du ruisseau du Grand Lées » (21 ha), couvrant 4 communes dont deux dans les Pyrénées-Atlantiques et deux dans les Hautes-Pyrénées[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Séron est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,3 %), zones agricoles hétérogènes (31,8 %), forêts (13,6 %), zones urbanisées (5,3 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement

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En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 133[I 5].
Parmi ces logements, 94,0 % sont des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 3,8 % des logements vacants.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Séron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Léez, le Louet et le Carbouère. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2018[19],[16].

Séron est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[20]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Séron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 138 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 138 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

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Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Séron dans les enclaves à l'ouest des Hautes-Pyrénées.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[24] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Nom gascon (graphie de l'I.E.O.) : Seron (o = représente ou fr.). graphie de l'I B.G : Seroûn.

On consultera B. et J-J Fenié, toponymie gasconne, Bordeaux, Sud-ouest éd.

Histoire

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Le village fait la une de l'actualité en , à l'occasion de l'affaire des feux : la ferme des Lahorre subit pendant ce mois 97 départs de « feux mystérieux », qui attirent sur place près de 200 journalistes[25].

Cadastre napoléonien de Séron

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Le plan cadastral napoléonien de Séron est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[26].

Politique et administration

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La mairie en 2018.
 
La Poste en 2018.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1935 mars 1959 Jean-Marie Lagarde    
1959 mars 1995 Jean Lagarde    
mars 1995 mars 2020 Jean Touya    
mars 2020 en cours Chantal Paulien    

Historique administratif

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Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Vic, baronnie de Gardères, canton de Tarbes puis d'Ibos (1790), Ossun (1801)[27].

Intercommunalité

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Séron appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

Services publics

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La commune de Séron dispose d'une agence postale.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30]. En 2021, la commune comptait 335 habitants[Note 4], en évolution de +2,13 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
294256342429530480493512496
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
478452441508452433414406414
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
407402280281284295270248236
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
250247261240223264270324327
2021 - - - - - - - -
335--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
L’école maternelle en 2018.

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[33].

Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 127 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 324 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 300 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 6,2 % 5,5 % 4,3 %
Département[I 9] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 187 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (73,9 % ayant un emploi et 4,3 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 6],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Pau, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 47 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 142, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,2 %[I 12].

Sur ces 142 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 91,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le monument aux morts municipal.

Personnalités liées à la commune

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Le stade de rugby en 2024.
 
Le terrain de basket-ball.

L'Union sportive des enclaves et du plateau (USEP) Ger-Séron-Bédeille, né de la fusion du Stade Gérois (Ger) et de l'Entente Séron-Bédeille.

Héraldique et devise

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  Blasonnement :
D'argent au mont de sinople chargé d'une lettre S capitale d'or, sommé de deux arbres aussi de sinople, au chef d'azur chargé d'une fleur de lys aussi d'or accostée de deux étoiles de six rais du même.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Séron » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Séron ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Séron
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Séron » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Séron » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Séron » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Séron et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Séron et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Séron », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Séron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « le Léez »
  9. Sandre, « le Louet »
  10. Sandre, « le ruisseau de Carbouère »
  11. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Séron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « lac du Louet et ruisseau de Louet Daban en amont » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « vallon du ruisseau du Grand Lées » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Séron », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Séron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  25. Sylvaine Guinle-Lorinet et Jean-François Soulet, Les feux « diaboliques » de Séron, Pau, Cairn, , 181 p. (ISBN 978-2-35068-370-6), notamment p. 16-22 (résumé succinct des événements) et 127 (nombre de journalistes de passage à Séron) et Pierre Cabanne, « Exorcistes, sorciers, radiesthésistes, parapsychologues et charlatans. Les 97 feux de Séron (Hautes-Pyrénées) », Les Cahiers rationalistes, no 356,‎ , p. 105-119 (décompte des départs de feux).
  26. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Séron en 1817
  27. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  28. « Liste des juridictions compétentes pour Séron », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).