Packard Bell

entreprise informatique

Packard Bell est une entreprise basée aux Pays-Bas, filiale du constructeur taïwanais Acer. Packard Bell distribue notamment des PC de bureau et des portables, des platines DivX de salon et des baladeurs MP3, principalement en Europe.

Packard Bell
logo de Packard Bell
illustration de Packard Bell

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Beny Alagem (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Personnages clés Aymar de Lencquesaing
Fabrice Raoult
Forme juridique Besloten vennootschap (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Slogan Your Digital Playground
Siège social Nimègue
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Actionnaires AcerVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité Matériel informatiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Produits Ordinateurs de bureau
Ordinateurs Portables
Périphériques
Stockage
GPS
Société mère AcerVoir et modifier les données sur Wikidata
Filiales Zenith Data Systems (depuis )[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.packardbell.comVoir et modifier les données sur Wikidata

Histoire

modifier

Packard Bell a été fondé en 1933 aux États-Unis par Leon S. Packard and Herbert A. Bell[2]. C'était alors un fabricant de récepteurs de radios. Plus tard, l'entreprise a trouvé le succès dans l'industrie d'électronique militaire et le marché de télévision. Elle a également fabriqué les premiers ordinateurs, dont le plus célèbre, le PB 250, commercialisé en 1961, était l'un des derniers utilisateurs de lignes à retard magnétostrictives en tant qu'élément de sa mémoire. C'était également la dernière machine à se baser partiellement sur les conceptions originales de l'ordinateur pilote du C# de NPL d'Alan Turing. La société est devenue une filiale du conglomérat Teledyne Technologies en 1968.

L'entrepreneur Beny Alagem a racheté la marque en 1986, et l'a utilisée pour fonder un fabricant d'ordinateurs individuels bon marché.

Packard Bell, après avoir été racheté par NEC (1996) puis Gateway (2006), fait partie d'Acer depuis . Le , l'Union Européenne a donné son feu vert au rachat de la société par le constructeur taiwanais Acer.

Packard Bell n'est plus présent sur le marché américain, mais continue à être présent sur le marché européen (en 2005 3e position en termes de vente grand public[3]).

Identité visuelle (logo)

modifier

Ordinateur pour le grand public

modifier

La gamme des PC

modifier
 
Un Packard Bell M400 (Multimedia)

La gamme des PC de marque Packard Bell se décline en divers noms :

  • Dot (Netbooks)
  • Easynote (Notebooks)
  • Start (Bureautique)
  • Media (Multimédia)
  • Xtreme (Performances)
  • Power ( PC puissants pour les jeux)

Logiciels sur les ordinateurs grand public

modifier

Packard Bell fournit ses ordinateurs grand public avec le système d'exploitation Microsoft Windows sur la plupart des ordinateurs qui sortent de ses usines : au début avec Windows 95, puis Windows 98 et XP, puis avec Vista, 7, et puis 8.

Pour les ordinateurs haut de gamme multimédia, à l'époque il était vendu une suite complète de périphériques (imprimante, scanner noir et blanc faisant fax), ainsi que le choix de démarrer par Windows 95 ou par une interface propre au constructeur. Pour la bureautique, une version limitée en temps de Microsoft Office est parfois installée, utilisation limitée en temps (par exemple durant 2 mois).

Packard Bell installe par ailleurs un certain nombre d'autres logiciels propriétaires :

  • pour la sécurité Symantec, utilisation limitée en temps (par exemple à 2 mois)
  • pour graver des CD-ROM et des DVD Nero, utilisation limitée en temps (par exemple à 2 mois)

Autres produits

modifier

Packard Bell a montré son intérêt dans des produits divers, tel que des moyens de stockage, lecteurs MP3, des téléviseurs.

Notes et références

modifier
  1. « https://www.heraldpalladium.com/ex-zenith-data-systems-building-from-empty-to-almost-two/article_083e4c9c-8174-5cf3-849a-2d44f6d8b264.html »
  2. (en) Stephen H. Kaisler, Birthing the Computer : From Drums to Cores, Cambridge Scholars Publishing, , 369 p. (ISBN 978-1-4438-9625-2, lire en ligne)
  3. Source : site constructeur,

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :