Noaillan
Noaillan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Noaillan | |||||
La mairie (septembre 2010). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Bernadette Sore Noël 2020-2026 |
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Code postal | 33730 | ||||
Code commune | 33307 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noaillannais | ||||
Population municipale |
1 662 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 28′ 49″ nord, 0° 21′ 55″ ouest | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 99 m |
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Superficie | 31,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Gironde | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.noaillan.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierSituée sur le Ciron, la commune se trouve, par la route, à 51 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 15 km au sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 3 km au nord de Villandraut, ancien chef-lieu de canton[1].
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes en sont Léogeats au nord, Roaillan au nord-est en quadripoint (point de la surface de la Terre où quatre frontières différentes se rejoignent), Le Nizan à l'est, Uzeste au sud-est, Villandraut au sud et Balizac à l'ouest.
Hydrographie
modifierLa commune de Noaillan est arrosée par le Ciron et ses affluents le Ballion et le ruisseau de la Hure.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Noaillan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), terres arables (8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (3,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLe territoire communal et le bourg sont traversés par la route départementale D8 qui mène à Langon via Fargues vers le nord et à Villandraut vers le sud.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 3, dit de Langon, distant de 13 km vers le nord-est.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 12 km vers l'est-sud-est.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 14 km vers le nord-est, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Noaillan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999, 2009, 2013 et 2020[17],[15].
Noaillan est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[18]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 788 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 772 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
modifierL'origine étymologique est le mot latin « novalia » qui signifie jachère, pour ensuite dériver en Novelhan, Noalhan, Noailhan, puis Noaillan[23].
En gascon, le nom de la commune est Noalhan.
Les habitants sont appelés les Noaillannais[24].
Histoire
modifierLes informations sur l'histoire de la commune de Noaillan remontent au XIIe siècle avec la première baronnie de la région et ses seigneurs, tous issus de la famille de Noaillan. Cette famille s’éteindra au XIVe siècle en laissant un château féodal en ruine et des vestiges gallo-romains témoignant de son riche passé.
L'histoire de Noaillan est essentiellement bien connue à partir du XIIIe siècle, même si quelques vestiges gallo-romains ou mérovingiens découverts çà et là laissent présager d'une occupation bien plus ancienne.
Durant tout le Moyen Âge, l'histoire du village se lit à travers celle de son château, puisqu'au XIIIe siècle - et peut-être même avant, mais les textes manquent à ce sujet - Noaillan est une seigneurie. Ainsi, en 1225, c'est Amanieu de Noailhan qui est le possesseur du château et de ses terres. D'après les textes, il est chevalier et un proche du roi Henri III, roi d'Angleterre, et duc d'Aquitaine. Noaillan n'échappe donc pas à la domination de l'Angleterre sur la Guyenne.
Les textes permettent aussi de suivre les successions, et bon nombre de seigneurs sont tour à tour propriétaires des lieux aux XIIIe et XIVe siècles. Ils appartiennent cependant tous à la même famille, celle de Noailhan. La seigneurie de Noaillan reste donc, jusqu'à la fin du XIVe siècle, une propriété familiale. Les seigneurs de la famille de Noailhan prêtent tous allégeance à la couronne d'Angleterre puisqu'en 1274 par exemple, Bertrand de Noailhan reconnait dans un acte être le chevalier du roi Édouard Ier d'Angleterre et tenir de lui la seigneurie de Noailhan.
Ce n'est qu'à la fin du XIVe siècle que cette famille perd sa seigneurie. le transfert des possessions va également être l'occasion de changer de camp. En effet, un acte de 1383 mentionne un Gaillard de la Mote, seigneur de Noaillan pour le sire d'Albret. Noaillan redevient donc français pour un court laps de temps. Effectivement, ce revirement de situation ne s'opéra pas sans quelques troubles, le roi d'Angleterre n'appréciant guère de voir ainsi lui échapper des terres durement confisquées par ses aïeuls. Il confisque d'ailleurs celles de la seigneurie pour les confier, au tout début du XVe siècle, à un certain Charles de Beaumont qui, bien entendu, avait prêté allégeance à la couronne d'Angleterre. S'ensuivirent quelques heurts entre les habitants de Noaillan et l'autorité, mais, malgré tout, Charles de Beaumont et ses successeurs gardent les terres anglaises jusqu'à la fin de la guerre de Cent Ans (1453).
Une fois la Guyenne libérée de la domination anglaise, la famille De la Mote reprend possession des terres. Puis, entre 1560 et 1590, la seigneurie est vendue à maintes reprises avant de redevenir la propriété d'un Joseph de la Mote en 1592.
Au XVIIe siècle, la seigneurie change de nouveau de mains par ventes et successions. Le territoire est alors fractionné, et plusieurs propriétaires se partagent la seigneurie. Ce n'est qu'en 1700 que Catherine de Suduiraut la réunit à nouveau. Au XIXe siècle, le château appartenait toujours à la famille Guillot-Suduiraut.
Les textes permettent de connaitre les détails de l'histoire de Noaillan. Mais seuls les vestiges que l'on peut observer encore aujourd'hui laissent imaginer, au travers de cet édifice, les péripéties qu'a pu connaitre la commune, autrefois seigneurie, et le pouvoir que pouvait exercer le seigneur de Noaillan sur son territoire par cet imposant château.
Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[25].
À la Révolution, la paroisse Saint-Vincent de Noaillan forme la commune de Noaillan. Le , la commune de Noaillan a été démembrée de ses sections E, F, G, rattachées à Villandraut[26].
Politique et administration
modifierAdministration municipale
modifierLe nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix neuf[27],[28].
Rattachements administratifs et électoraux
modifierCommune faisant partie de la communauté de communes du Sud Gironde et du Canton du Sud-Gironde (avant le redécoupage départemental de 2014, Noaillan faisait partie de l'ex-canton de Villandraut) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Villandraut.
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierIntercommunalité
modifierLe , la communauté de communes du canton de Villandraut ayant été supprimée, la commune de Noaillan s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2021, la commune comptait 1 662 habitants[Note 2], en évolution de −0,72 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
D’après l’INSEE, en 1968, Noaillan comptait 779 personnes ; en 1982, on en comptait 762, soit 17 personnes de moins, ce qui fait une diminution de 2,2 % de la population. À partir de 1982 la population a commencé à augmenter. En 1999, il y a 1 015 personnes à Noaillan soit 253 personnes de plus qu’en 1982, c'est-à-dire 33,2 % % de la population en plus.
Les personnes âgées de plus de 60 ans représentent 293 personnes soit 28,9 % de la population de Noaillan.
De 1975 à 1982, il y a eu 102 décès et 24 naissances ; de 1982 à 1990, il y a eu 100 décès, soit 2 % de moins, et 39 naissances soit 62,5 % % de plus.
De 1990 à 1999, il y a eu 95 décès, savoir 5 % en moins que de 1982 à 1990, et 80 naissances soit 105,1 % de plus.
Lieux et monuments
modifier- L'église Saint-Vincent est une ancienne chapelle castrale[Note 3] construite aux XIe et XIIe siècles devenue église paroissiale en remplacement de l'église de la commune détruite au XIXe siècle. D'origine romane, l'édifice se compose d'une nef terminée par une abside semi-circulaire et de deux bas-côtés également terminés par deux absidioles. Elle a été inscrite à l'inventaire des Monuments historiques en 1925 pour son abside et son chœur, puis en 2004 en totalité[34],[35].
- Le château de Noaillan est un ensemble castral composé d'une enceinte, du château et de l'église susdite. Le château est mentionné pour la première fois en 1274. Le château actuel, des XIIIe et XIVe siècles, a remplacé un édifice plus ancien. Il se compose de bâtiments d'époques diverses situés autour d'une cour centrale et appuyés sur une courtine de forme polygonale. Cette muraille, flanquée de deux tours, a été remaniée à plusieurs reprises, dont le XVIe siècle. Le corps de logis, actuellement ruiné, date du XVIe siècle mais a été remanié au XVIIe siècle. C'est un bâtiment rectangulaire à deux niveaux, percé de baies avec croisées à meneaux. Un nouveau logis lui est accolé au XVIIIe siècle. Plusieurs bâtiments agricoles complètent l'ensemble. Il a été inscrit à l'inventaire des Monuments historiques en 2004[36]. Il est aujourd'hui la propriété d'une personne privée et ne peut être visité.
-
L'église Saint-Vincent (août 2010).
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Le clocher-mur de l'église Saint-Vincent (août 2010).
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Le chevet de l'église (août 2010).
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Le portail de l'église (août 2010).
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Le château (juin 2013).
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Le monument aux morts dans le cimetière (août 2010).
Personnalités liées à la commune
modifierEdgar Touron
Héraldique
modifierBlason | Parti: au 1er de gueules à la tresse d'ail d'argent en pal soutenue d'un sabot du même, au 2e de sinople au pin maritime avec son pot de gemme d'or accompagné en pointe d'une tierce ondée du même; le tout sommé d'un chef d'argent chargé d'un château de trois tours d'azur, maçonné, ouvert et ajouré de sable[37]. |
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Détails | Validé par le Conseil Français d'Héraldique le 24 octobre 2020. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
- Noaillan sur le site de la communauté de communes de Villandraut, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Noaillan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Noaillan sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Une chapelle est dite castrale lorsqu'elle fait partie intégrante d'un château.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifierNotes
modifierRéférences
modifier- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 43,7 km pour Bordeaux, 12,2 km pour Langon et 2,5 km pour Villandraut. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 27 juin 2011.
- Noaillan sur Géoportail, consulté le 31 octobre 2015.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Noaillan et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Noaillan ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Noaillan », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Noaillan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Noaillan sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 31 octobre 2015.
- Nom des habitants de la commune sur « habitants.fr », consulté le 27 juin 2011.
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 6, Bordeaux, (lire en ligne), article 6.VII, pages 241-247
- Historique des communes, p. 38, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 31 octobre 2015.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Commune de Noaillan sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 27 juin 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Notice MH de l'église Saint-Vincent », notice no PA00083652, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 novembre 2010.
- « Illustrations de l'église Saint-Vincent », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 3 novembre 2010.
- « Notice MH du château », notice no PA33000081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 3 novembre 2010.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.