Manhac

commune française du département de l'Aveyron

Manhac [manjak] est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Manhac
Manhac
L'église Saint-Pierre de Naves.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes Pays Ségali
Maire
Mandat
Bernard Calmels
2020-2026
Code postal 12160
Code commune 12137
Démographie
Gentilé Manhacois(e)
Population
municipale
872 hab. (2021 en évolution de +9,41 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 20″ nord, 2° 28′ 12″ est
Altitude Min. 459 m
Max. 793 m
Superficie 18,5 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ceor-Ségala
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Manhac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Manhac
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Voir sur la carte topographique de l'Aveyron
Manhac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Manhac

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la halle-oratoire de Naves, inscrite en 2004.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Calmont, Camboulazet, Baraqueville et Sainte-Juliette-sur-Viaur.

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier
 
Réseaux hydrographique et routier de Manhac.

La commune est drainée par le Ruisseau de la Nauze, le ruisseau de Malrieu, le ruisseau d'Angalie, le ruisseau de Bagar et par divers petits cours d'eau[1].

Le Ruisseau de la Nauze, d'une longueur totale de 15,7 km, prend sa source dans la commune de Manhac et se jette dans le Viaur à Centrès, après avoir arrosé 5 communes[2].

Gestion des cours d'eau

modifier

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[3].

La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[4],[5]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[6],[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 995 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Flavin à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 902,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

modifier
 
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Manhac comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[14], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[15].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Manhac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

modifier
 
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Manhac.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (83,4 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (3,2 %)[19].

Planification

modifier

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes Pays Ségali, dont la commune est membre[20].

La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme approuvé[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[22].

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Manhac est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[23],[24].

Risques naturels

modifier

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[25].

Risques technologiques

modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Risque particulier

modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Manhac est classée à risque moyen à élevé[27]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[28] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

Toponymie

modifier

Histoire

modifier

Politique et administration

modifier

Découpage territorial

modifier

La commune de Manhac est membre de la communauté de communes Pays Ségali[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Baraqueville. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[30].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ceor-Ségala pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[31].

Élections municipales et communautaires

modifier

Élections de 2020

modifier

Le conseil municipal de Manhac, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[32] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[33]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice[34] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 52,14 %[35]. Bernard Calmels, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [36].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[37]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Pays Ségali[38].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Mars 2001 Mars 2014 Christian Rey    
mars 2014 En cours Bernard Calmels[39],[40]   Agriculteur sur petite exploitation
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

En 2021, la commune comptait 872 habitants[Note 3], en évolution de +9,41 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1572951 2661 136814847883878978
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8968829469749409891 0451 006928
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
891890927778718706674639642
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
607544505442375504549590700
2014 2019 2021 - - - - - -
774838872------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Revenus

modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 302 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 802 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 130 [I 2] (20 640  dans le département[I 3]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 2,2 % 4,5 % 4,2 %
Département[I 5] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 537 personnes, parmi lesquelles on compte 85,8 % d'actifs (81,6 % ayant un emploi et 4,2 % de chômeurs) et 14,2 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 117 emplois en 2018, contre 102 en 2013 et 83 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 442, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 72,5 %[I 8].

Sur ces 442 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,2 % les transports en commun, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

modifier

Secteurs d'activités

modifier

52 établissements[Note 6] sont implantés à Manhac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 11].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 52
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
10 19,2 % (17,7 %)
Construction 10 19,2 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
14 26,9 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 1 1,9 % (3,4 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 21,2 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 7,7 % (12,7 %)
Autres activités de services 2 3,8 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,9 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 52 entreprises implantées à Manhac), contre 27,5 % au niveau départemental[I 12].

Entreprises

modifier

L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[45] :

  • SARL Mujolan, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures pour la plomberie et le chauffage (229 k€)

Agriculture

modifier

La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 70 44 43 28
SAU[Note 9] (ha) 1 505 1 302 1 235 1 237

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 70 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 44 en 2000 puis à 43 en 2010[48] et enfin à 28 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[49],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 505 ha en 1988 à 1 237 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 44 ha[48].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
 
Église de Manhac
  • Église de Manhac.
  • Église Saint-Pierre de Naves.
  • Table d'orientation de La védélie.

Halle-oratoire de Naves

modifier
 
Halle-oratoire de Naves.

  Inscrit MH (2004)[50]

La Halle-oratoire du hameau de Naves date du XVIe siècle.

Personnalités liées à la commune

modifier

Bibliographie

modifier
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Denys Jaudon), La Barraca Sauvatèrra : Bossac, Cambolaset, Castanet, Colombièrs, Gramont, Manhac, Moirasés, Pradinàs / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de La Barraca-Sauvatèrra, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 271 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-36-X, ISSN 1151-8375, BNF 36988794)

Articles connexes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. « Fiche communale de Manhac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  2. Sandre, « le ruisseau de la Nauze »
  3. « Les outils de gestion de la rivière »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du Conseil départemental de l'Aveyron (consulté le ).
  4. « SAGE du Viaur - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  5. « SAGE du bassin du Viaur - synthèse de l'état des lieux », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. « Le syndicat mixte du bassin versant du Viaur reconnu EPAGE du bassin du Viau », sur epage-viaur.com (consulté le ).
  7. « EPAGE du bassin du Viaur - actions sur le terrain », sur epage-viaur.com (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Manhac et Flavin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Flavin » (commune de Flavin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Flavin » (commune de Flavin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Manhac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « Vallée du Viaur et ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rodez », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Le SCOT du Centre Ouest Aveyron - documents », sur scot-centre-ouest-aveyron.proscot-eau.fr (consulté le ).
  21. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  23. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Les risques près de chez moi - commune de Manhac », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le ).
  26. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », sur aveyron.gouv.fr (consulté le ).
  27. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le ).
  28. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Arrêté du 27 juin 2018 portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  30. « communauté de communes Pays Ségali - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  32. Article L. 252 du Code électoral
  33. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  34. « Candidatures au 1er tour pour Manhac », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  35. « Résultats du 1er tour pour Manhac », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  36. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  38. « Les élus de l'intercommunalité », sur payssegali.fr (consulté le ).
  39. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  40. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. « Entreprises à Manhac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  46. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  47. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  48. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Manhac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  49. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).
  50. Notice no PA12000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. Notice no PM12000333, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  52. Notice no PM12000332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture