Jean Claude Bologne

écrivain belge

Jean Claude Bologne, né le à Liège (Belgique), dans une famille d’enseignants, est un écrivain, romancier, journaliste, enseignant et conférencier belge. Il a publié une quarantaine d'ouvrages : poèmes, romans, essais, dictionnaires, etc. Ce sont aussi bien des ouvrages d’érudition, que de fiction romanesque. Parfois, il mêle histoire et roman. Ses ouvrages sont traduits en plusieurs langues.

Jean Claude Bologne
Aurélie Filippetti et Jean-Claude Bologne, lors du Forum de la SGDL, en octobre 2013.
Fonction
Président de la Société des gens de lettres
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Biographie
Naissance
Nationalités
Formation
Activités
Autres informations
Membre de
Distinctions

Il a présidé, de 2010 à 2014, le comité dirigeant la Société des gens de lettres.

Il est élu membre belge littéraire de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique le , succédant à Jean Tordeur au fauteuil 22[1].

Biographie

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Lors de ses études de philologie romane à l'université de Liège (1974-1978), il participe au « Théâtre universitaire », comme auteur, metteur en scène ou acteur.

Il fonde une revue littéraire bimestrielle, Ouvertures, qui paraît régulièrement de 1979 à 1984. Il se fixe à Paris en 1982.

De 1982 à 1993, il développe une activité de critique littéraire à La Wallonie de Liège, où il est responsable chaque semaine du compte-rendu des livres présentés à Apostrophes. Il est aussi critique littéraire à la RTBF, au Magazine littéraire, Temps-Livre, Tageblatt, Le Carnet et les Instants... En 1995, il renonce à toute activité critique.

De 1986 à 1987, il est directeur de collection aux éditions de La Nouvelle République (Tours).

En 1992, il rejoint le groupe de romanciers de la Nouvelle fiction, avec lequel il publie plusieurs recueils collectifs.

Depuis 1993, il enseigne l'iconologie médiévale à l'Institut supérieur des carrières artistiques (ICART) à Paris.

En juin 2002, il devient secrétaire général de la Société des gens de lettres. Il en devient président en juin 2010, et passe le relais, en , à Marie Sellier.

Une définition de la mystique

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Il propose cette définition de la mystique :

« J'appelle mysticisme une expérience de mise en contact direct et inopiné avec une réalité qui dépasse nos perceptions habituelles ; et qu'on peut ressentir tour à tour comme étant le vide ou l'infini[2]. »

Distinctions

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Décorations

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Ouvrages

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Notes et références

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Liens externes

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