Henné

plante du genre Lawsonia de la famille des salicaires (Lythraceae)

Lawsonia inermis

Le henné (Lawsonia inermis), également connu sous les noms de mehndi, mendhi, mehendi (ou mehandi), ḥenna, lḥenni ou anella, est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Lythracées. C'est un arbuste épineux pouvant atteindre plusieurs mètres de haut. Ses feuilles sont principalement utilisées comme colorant ou tatouage mais la tradition lui octroie également d'autres vertus, notamment des propriétés médicinales.

Généralités

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Détail d'un buisson de henné (à Hyderabad, en Inde).
 
On extrait des feuilles du henné différentes qualités de poudres également dites "henné", ici vendues au Marché d'Istanbul en Turquie.

Le henné pousse à l'état naturel dans les régions tropicales et subtropicales d'Afrique, d'Asie du Sud et d'Australasie, sous des latitudes comprises entre 15 et 25° (N et S) de l'Afrique au Pacifique.

Il était cultivé extensivement en haies vives en Afrique, mais l'est plutôt en champs aujourd’hui pour une culture de rente (récolte plus facile).

Les feuilles du henné réduites en poudre contiennent une molécule particulière (2-hydroxy-1,4-naphthoquinone ; dite lawsone, du nom scientifique de l'arbuste). Elles produisent des teintes rouges, jaunes et orangées, utilisées en teinture textile et corporelle (coloration et entretien des cheveux, tatouages éphémères de la peau).

Le mot henné désigne également ce colorant dont l'usage est très ancien puisqu'on en retrouve la trace sur les momies égyptiennes.

Un henné naturel est toxique pour les enfants et le henné noir synthétique ou partiellement synthétique peut provoquer de graves allergies chez l'enfant comme chez l'adulte.

 
Sacs de henné naturel séché, marché de Gabès (Tunisie).

Dénominations

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Le henné est appelé mehndi, mendhi, mehendi (ou mehandi) en Inde, ḥenna en arabe[1], lḥenni ou anella en berbère[2].

Sa désignation INCI est Lawsonia inermis, du nom du médecin écossais Isaac Lawson.

Origine

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Il serait originaire du sud de l'Iran et de la Mésopotamie[3],[4]. Il aurait été introduit en Égypte sous la XXe dynastie.

Histoire

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Il est cultivé au Maghreb depuis longtemps, en Inde ainsi que dans une grande partie de l'Afrique tropicale (Kawar et Tchad) apporté par les égyptiens qui l'ont ensuite répandu en Afrique subsaharienne, en Mauritanie jusqu’au Mali et en Espagne andalouse selon l'« aire d’emploi de la racine arabe de ce mot et les vertus qu’on lui accorde en pays musulman »[5] où la fleur du henné (l'arbre « qui pousse au paradis »[6]) a aussi une connotation religieuse puisque « Sa fleur passe pour avoir été la favorite du Prophète » (Mahomet), notait E.-G. Gobert en 1961[7] et qu'en Mauritanie, on dit que cet arbre aurait « poussé à l’intention de la fille du Prophète et qu’elle fut la première femme à faire de sa teinte rouge une parure »[8].

Plusieurs indices laissent penser que le henné a depuis longtemps un usage cosmétique et/ou médicinal :

  • les Égyptiens coloraient de henné les ongles et les cheveux de leurs momies, il y a plus de 5 000 ans, ou les pieds et mains (momies de Ramsès II et III[9],[10],[11]) ;
  • des textes datant de plus de 2 500 ans le citent comme cosmétique[11],[12] ;
  • il est évoqué dans le livre biblique du Cantique des cantiques (Cant. 6, 14) pour ses vertus odoriférantes avec le terme grec : "κύπρος" (kupros) dans la septante et latin "cyprus" dans la Vieille Latine et la Vulgate ;
  • la légende syrienne de Baal et Anath (écrite vers 2 100 avant Jésus-Christ) évoque le henné sur les mains de la femme lors du rite du mariage[13] ;
  • les Vietnamiennes se laquaient les dents en noir avec un produit noircissant contenant notamment du henné[11],[13] ;
  • dans l'Assyrie antique, les paumes et ongles des futures mariées étaient décorés de dessins faits au henné[13].

Description

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Cette plante peut atteindre 6 m de haut[12]. Dans les régions du Sahara, elle monte jusqu’à un mètre de hauteur, mais elle est absente du Sahara central en raison de ses besoins en eau[4]. Les feuilles de henné poussent l'une en face de l'autre sur la tige. Les fleurs de henné possèdent quatre sépales, un tube de calice de 2 mm avec des lobes étalés de 3 mm, et ses pétales sont ovales.

La pâte de henné de tatouage est constituée de poudre de henné (feuilles broyées) et de liquide (de l’eau, des huiles ou du jus de citron),qui permet la malléabilité nécessaire à son application.

Répartition

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Meule à henné à Yazd en Iran.

La région d'origine du henné correspond à la savane tropicale et aux régions arides des zones aux latitudes comprises entre 15° et 25° aussi bien Nord que Sud, depuis l'Afrique jusqu'à la zone ouest Pacifique, elle a les meilleures qualités tinctoriales quand elle est cultivée dans les températures comprises entre 35 °C et 45 °C. Pendant la saison humide, la plante croît rapidement en émettant de nouvelles pousses, puis croît ensuite plus lentement.

Les feuilles deviennent jaunes petit à petit, et tombent pendant les périodes sèches ou fraîches. Le henné ne prospère pas lorsque les températures minimales sont inférieures à 11 °C, la plante meurt si la température est inférieure à 5 °C.

La plante est produite pour être vendue aux Émirats arabes unis, au Maroc, en Algérie, au Yémen, en Tunisie, en Libye, en Arabie saoudite, en Égypte, en Inde occidentale, en Irak, en Iran, au Pakistan, au Bangladesh, en Afghanistan, en Albanie, en Turquie, en Érythrée, en Éthiopie, à Djibouti, en Somalie et au Soudan. Actuellement[Quand ?], la région de Pali au Rajasthan est la plus grande zone de production en Inde avec plus de 100 producteurs dans la ville de Sojat.

Utilisation

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Mains d'une mariée de l'île de Djerba décorées au henné (tatouage temporaire, proche du « harqûs » qui utilise une encre noire à base de divers produits carbonisés : « encre de Chine, galle pilée, suie, laurier-rose carbonisé, cendre de bois, épices, goudron, sève de ceps de vigne flambés, feuilles de noyer, noir de fumée, huile, alun, souak, khul, jâwi (encens) »[14]).

Le henné est utilisé à de multiples fins :

  • cosmétique : il est réputé embellir la peau (par coloration) et en l'adoucissant ; au hammam, le henné est encore fréquemment utilisé pour adoucir la peau où on le mélange au savon noir pour le répartir sur l'ensemble de la peau avant le rituel du gommage.
    Certains produits bronzants en contiennent, au Brésil par exemple[13] ;
  • dermatologique : Il était réputé purifier, nettoyer la peau et faciliter la cicatrisation ;
  • teinture capillaire et soin capillaire : le henné est appliqué sur les cheveux pour les teindre ou leur apporter des nuances ; il est réputé anti pelliculaire et anti séborrhéique[4]. Le résultat de son application dépend de l'origine géographique de la plante utilisée, de la couleur initiale du cheveu et du temps de pose de la pâte.
  • tatouage : le henné fait partie, dans le Maghreb[14], au Maroc, en Algérie, en Tunisie; en Mauritanie mais aussi au Tchad, aux Comores pendant les mariages et en Inde, de l'arsenal de la séduction féminine, sous forme de tatouages définitifs ou éphémères constitués de signes traditionnels réputés protecteurs, magiques ou prophylactiques[14] (agencement d'idéogrammes et signes pictographiques) et plus ou moins symboliques, autrefois notamment appliqués par des femmes sur des femmes sur le dos et/ou la poitrine[14] et aujourd'hui, sur les pieds et les mains (sous forme de tatouage traditionnel ou de tatouage de fantaisie[14]. Le mehndī (mot d'origine indienne - de l’hindi ou de l’ourdou) est l’art de réaliser des tatouages au henné à base de cette pâte; le visage des femmes, berbères notamment, était tatoué depuis la période pré-islamique de manière à éloigner le mauvais sort ou à afficher un statut social, celui d'épouse par exemple. Il servait également à se démarquer culturellement des Arabes ;
 
Éthiopienne aux cheveux teints au henné.

Toxicité

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Henné naturel

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Le henné ingéré contient des composés cytotoxiques in vitro[24] et se montre toxique pour les enfants[25], mais il n'est pas réputé toxique pour l'adulte en bonne santé, en usage externe et sur une peau saine. Toutefois, il peut se montrer hémotoxique (toxique pour le sang) chez le jeune enfant[26]. On s'en est rendu compte dans les régions où du henné est traditionnellement appliqué par des Bédouins sur la peau du garçon premier-né après la naissance. En 10 ans, l’hôpital d'Al-Jahra[Où ?] a reçu 15 très jeunes garçons souffrant d'une hémolyse aiguë quelques jours après l'application de henné sur le corps[26],[27]. Les analyses de laboratoire ont dans tous ces cas révélé une anémie, une hyperbilirubinémie et une réticulocytose indirecte. Les nouveau-nés montraient un déficit en G6PD et l'hémolyse (destruction des globules rouges) induite par l'application de henné se traduisait par une hyperbilirubinémie et réticulocytose plus grave que dans les cas habituels d'hémolyse[26].
L'absorption percutanée de henné est probablement plus importante sur la peau du bébé, et des essais cliniques ont confirmé que le henné cause un déficit en globules rouges et en G6PD[26], peut être en raison d'un effet de stress oxydant[28] de la lawsone contenue dans la poudre de henné[29]. Un programme d'éducation de santé local a été mis en place pour empêcher l'utilisation de henné dans la petite enfance[26].

L'administration de lawsone à des rats de laboratoire induit également une réponse hémolytique, associée à des dommages oxydatifs aux érythrocytes, mais curieusement, des érythrocytes isolés exposés in vitro à la lawsone ne présentent pas ces dommages oxydatifs, ce qui suggère qu'in vivo, la lawsone ne devient toxique pour le sang qu'après avoir subi une métabolisation ou « bioactivation » extra-érythrocytaire[29].
La lawsone pourrait en fait n'être que faiblement hémolytique, sauf chez des personnes dont les défenses antioxydantes sont dégradées[29].

La lawsone a un effet hémolytique chez les sujets victimes d'un déficit en G6PD[30].

Henné synthétique

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Un henné noir synthétique ou partiellement synthétique, de plus en plus utilisé pour le tatouage éphémère peut être source de graves allergies[31],[32],[33],[34] nécessitant un traitement médical et de marques permanentes[35]. La molécule active du henné, la lawsone (2-hydroxy-1,4-naphthoquinone) semble aussi pouvoir être toxique pour les jeunes enfants recevant un tatouage éphémère au henné[36]. Ces allergies peuvent être durables[37] et ne sont pas uniquement dues à l'additif p-Phénylènediamine (PDD), (à juste titre) incriminé[38].

Compositions multiples

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Henné naturel ou Lawsonia inermis en poudre

Le henné naturel sans aucun mélange, ni additif est composé de 100 % de Lawsonia inermis. Pour nuancer sa couleur (éclaircissement, reflets, assombrissement, etc.) d'une teinture au henné naturel, ce dernier se mélange à d'autres extraits végétaux comme la senna ou cassia (dit « henné neutre » non-colorant), l'indigo, le brou de noix, le rhapontic, le curcuma, la camomille, etc. Ces mélanges ou associations restent naturels.

En revanche, d'autres paquets de henné vendus dans le commerce mélangent le Lawsonia inermis naturel à des composants chimiques tels que des sels métalliques (indiqués « sodium picramate ») ou du p-phénylènediamine (PPD)[39],[40] qui peuvent être allergènes, toxiques ou dangereux pour la santé selon leurs proportions ou utilisations[41].

Il appartient donc aux acheteurs de vérifier la composition de leur henné en fonction de leur exigence[42].

Galerie d'images (botanique)

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Galerie d'images (tatouages éphémères)

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Notes et références

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  1. Encyclopédie de l’Islam, nouvelle édition, voir page 477
  2. M. Gast, « Henné », dans Encyclopédie berbère, Éditions Peeters, (ISBN 9782744901270, lire en ligne), p. 3437–3440
  3. Aubaile-sallenave F-R., “Les voyages du henné”, Journal d’Agriculture traditionnelle et de Botanique appliquée, 2, 1982.
  4. a b c d e f g h et i Gast, M. (2000). Henné. Encyclopédie berbère, (22), 3437-3440.
  5. M. Gast, « Henné », in Encyclopédie berbère, 22 | Hadrumetum – Hidjaba [En ligne], mis en ligne le 01 juin 2011, consulté le 12 décembre 2013. URL : http://encyclopedieberbere.revues.org/1717
  6. Maurin Garcia M (1992), Le henné, plante du Paradis, Edito Georges Naef SA, Genève.
  7. a et b Gobert E.-G, Tunis et les parfums, Revue africaine, t. 106, 1961, p. 295-322 ; t. 106, 1962, p. 75-118.
  8. Tauzin A (1998), Le henné, art des femmes de Mauritanie, Paris, Ibis Press.
  9. Maspero, G. (1886). Procès-verbal de l'ouverture des momies de Ramsès II et Ramsès III. Comptes-rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 30(2), 294-301 Voir pages 296-297.
  10. Renaut, L. (2009), Recherches sur le henné antique . Journal of Near Eastern Studies, 68(3), 193-212 (Introduction/extrait 1re page)
  11. a b et c ADIG (Association pour le Développement Intégré du Guidimakha) (2002) ; Étude sur la production de henné dans les villages de Taghade et de N’Doumely. GTZ/ECO-IRAM. Projet de Développement Rural Intégré du Guidimakha. Sélibaly, janvier 2002, République Islamique de Mauritanie
  12. a b et c Aweke, G. et Tapapul Lekoyiet, S (2005), Lawsonia inermis L. In: Jansen, P.C.M. & Cardon, D. (Éditeurs). PROTA 3: Dyes and tannins/Colorants et tanins. [CD - Rom]. PROTA. Wageningen, Pays - Bas [En ligne]. Adresse http://database.prota.org/PROTAhtml/Lawsonia inermis_Fr.htm
  13. a b c et d « Henné - Encyclopédie Atypique Incomplète », sur www.encyclopedie-incomplete.com (consulté le )
  14. a b c d et e Badreddine Belhassen (1976), Le tatouage maghrébin ; Communication et langages, Vol31, n° 31pp. 56-67 (PDF)
  15. Lemordant D. et Forestier J.-P, Usages médicaux traditionnels et propriétés pharmacologiques de Lawsonia inermis L., Lythracées, Journal d’Agriculture traditionnelle et de Botanique appliquée, XXX, 1, 1983.
  16. Kadiatou, malle (2011) Durabilité de la culture du henné dans la région de Koulikoro, au Mali : cas des communes rurales du Méguétan et de Banamba ; Mémoire de maîtrise en agroforesterie pour l’obtention du grade de maître ès sciences (M. Sc.) ; Faculté des études supérieures et postdoctorales de l’Université Laval - voir page 24 sur 119
  17. Khorrami, J. S. (1979) Dosage du Lawsone dans le Henné par la méthode colorimétrique. Pharmaceutical Biology, 17(3-4), 131-134 (http://informahealthcare.com/doi/abs/10.3109/13880207909065164 résumé])
  18. Bellakhadar J (), La pharmacopée marocaine traditionnelle. Médecine arabe ancienne et savoirs populaires, Paris, Ibis Press, 1997 (voir henné p. 381-382)
  19. Musa, A. E., Madhan, B., Madhulatha, W., RAGHAVA RAO, J., Gasmelseed, G. A., & Sadulla, S. (2009). Coloring of leather using henna-Natural alternative material for dyeing. The Journal of the American Leather Chemists Association, 104(5), 183-190.
  20. Voir J. Bellakhdar, op. cit.
  21. Mura, P., & Piriou, A. (1999). Le cannabis. Alcool, médicaments, stupéfiants et conduite automobile. Paris: Elsevier, 59-74.
  22. El-Etre, A. Y., Abdallah, M., & El-Tantawy, Z. E. (2005), Corrosion inhibition of some metals using lawsonia extract. Corrosion Science, 47(2), 385-395 (résumé)
  23. Trigui, M., Ben Souna, A., Hammami, I., Culioli, G., Ksantini, M., Tounsi, S., Jaoua, S. (2013). Efficacity of Lawsonia inermis leaves extract and its phenolic compounds against olive knot and crown gall disease. Elsevier, Crop protection, 45 (2013) 83-88.
  24. Babich, H., Stern, A. (1993) In vitro cytotoxicities of 1,4-naphthoquinone and hydroxylated 1,4-naphthoquinones to replicating cells. J. Appl. Toxicol. 13,353-358
  25. Uygur-Bayramicli, O., Dabak, R., Sargin, M. (2005) Acute chemical colitis resulting from oral intake of henna. J. Clin. Gastroenterol. 39,920-921
  26. a b c d et e Kandil, H. H., Al-Ghanem, M. M., Sarwat, M. A., & Al-Thallab, F. S. (1996), Henna (Lawsonia inermis Linn.) inducing haemolysis among G6PD-deficient newborns. A new clinical observation. Annals of tropical paediatrics, 16(4), 287-291. résumé Inist/CNRS
  27. Kok, A. N., Ertekin, M.V., Ertekin, V., Avci, B. (2204) Henna (Lawsonia inermis Linn.) induced haemolytic anaemia in siblings. Int. J. Clin. Pract. 58,530-532
  28. Zinkham, W. H., and Oski, F. A. (1996). Henna: A potential cause of oxidative hemolysis and neonatal hyperbilirubinemia. Pediatrics 97, 707–709.
  29. a b et c McMillan, D. C., Sarvate, S. D., Oatis, J. E., & Jollow, D. J. (2004). Role of oxidant stress in lawsone-induced hemolytic anemia. Toxicological Sciences, 82(2), 647-655
  30. Raupp, P., Hassan, J. A., Varughese, M., and Kristiansson, B. (2001). Henna causes life threatening haemolysis in glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency. Arch. Dis. Child. 85, 411–412
  31. Entrée henné noir dans google scholar
  32. lair, J., Brodell, R.T., Nedorost, S. T. (2004) Dermatitis associated with henna tattoo. “Safe” alternative to permanent tattoos carries risk. Postgrad. Med. 116,63-65
  33. Hardwicke, J., Azad, S. (2006) Temporary henna tattooing in siblings—an unusual chemical burn. Burns 32,1064
  34. Abdulla, K. A., Davidson, N. M. (1996) A woman who collapsed after painting her soles. Lancet 348,658 C
  35. Markos, K. (January 5, 2007) Scarred children ; Two North Jersey families are suing over permanent marks their kids got from temporary tattoos. The Bergen County Record, A.01
  36. Gerald Weissmann, Editor-in-Chief (2007), Apply directly to the forehead : Holmes, Nana, and hennapecia ; The FASEB Journal vol. 21 no. 4 963-965 ; Avril 2007 ; doi: 10.1096/fj.07-0401ufm
  37. Onder, M. (2003) Temporary holiday “tattoos” may cause lifelong allergic contact dermatitis when henna is mixed with PPD. J. Cosmet. Dermatol. 3,126-130
  38. Jung, P., Sesztak-Greinecker, G., Wantke, F., Gotz, M., Jarisch, R., Hemmer, W. (2006) The extent of black henna tattoo’s complications are not restricted to PPD-sensitization. Contact Dermatitis 55,57-57
  39. PPD nommé "Allergen of the Year" en 2006 par l'American Contact Dermatitis Society.
  40. Le site economie.gouv précise que le PPD est interdit dans les produits cosmétiques autres que les teintures capillaires où sa concentration doit être limitée à 6%.
  41. « L'Afssaps met en garde sur les tatouages noirs temporaires - ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé », sur ansm.sante.fr (consulté le )
  42. Liste des ingrédients sur La Vérité sur les cosmétiques qui décrypte les composants.

Bibliographie

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  • Kadiatou, malle (2011) Durabilité de la culture du henné dans la région de Koulikoro, au Mali : cas des communes rurales du Méguétan et de Banamba ; Mémoire de maîtrise en agroforesterie pour l’obtention du grade de maître ès sciences (M. Sc.) ; Faculté des études supérieures et postdoctorales de l’Université Laval
  • Aweke, G. et Tapapul Lekoyiet, S. (2005) Lawsonia inermis L. In: Jansen, P.C.M. & Cardon, D. (Éditeurs). PROTA 3: Dyes and tannins/Colorants et tanins. [CD-Rom]. PROTA. Wageningen, Pays-Bas inermis_Fr.htm. Database en ligne
  • Forestier JP (2002) Henné ; Absorption de la lawsone par les cheveux ; International Journal of Cosmetic Science 4: 153-114.
  • Leclerc L., Traité des simples par Ibn Beithar (Al-Jami’ al-mufradat). Traduction parue dans Notices et Extraits des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale, 3 tomes, Paris, 1877-1883, réédité par l’Institut du Monde Arabe, Paris.
  • Khorrami, J. S. (1979) Dosage du Lawsone dans le Henné par la méthode colorimétrique. Pharmaceutical Biology, 17(3-4), 131-134 (http://informahealthcare.com/doi/abs/10.3109/13880207909065164 résumé])
  • Gupta, D. B., & Gulrajani, M. L. (1994) Kinetic and thermodynamic studies on 2‐hydroxy‐1, 4‐naphthoquinone (lawsone). Journal of the Society of Dyers and Colourists, 110(3), 112-115 (résumé)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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