Discussion:Parti des travailleurs (France, 1991)
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Je lis : "Le dénominateur commun entre ses membres est l'attachement aux quatre points de sa charte qui sont : la reconnaissance de la lutte des classes ; pour la laïcité de l'école et de l'État ; pour l'abrogation des institutions « antidémocratiques » de la Ve République ; et pour l'indépendance vis à vis de l'État. et l'indépendance réciproque des partis et des syndicats." Je propose : "Le dénominateur commun entre ses membres est l'attachement aux quatre points de sa charte qui sont : la reconnaissance de la lutte des classes ; la laïcité de l'école et de l'État ; l'abrogation des institutions « antidémocratiques » de la Ve République et l'indépendance réciproque des partis et des syndicats." (désolé si je n'écris pas au bon endroit...) [armeurH]
Il faudrait voir l'ortho. de Trotskiste ou Trotskyme (suivant les articles, il y a les deux)
"Trotskyste" et "trotskysme" ne sont pas des graphies fausses, mais désuètes. ClaudeLeDuigou 9 février 2007 à 17:43 (CET)
si deux orthographes sont retrouvées, il est intéressant de créer deux pages. La page d'orthographe plus connue contient l'article. Celle moins connue sera redirigée vers la première. De cette facon, l'une et l'autre des orthog mene le lecteur a son but, et les deux sont référencées par les moteurs
Pour Larousse comme pour Word les bonnes orthographes sont : Trotskiste et Trotskisme.
Ne pas multiplier les adresses et sites des sections locales dans l'article
modifierL'article concernant le PT n'a pas vocation à accueillir la liste des adresses et sites des sections locales du PT, mais doit rester centré sur l'histoire et les idées de ce parti. les liens externes ne doivent être qu'un complément au contenu de l'article, dont notamment un lien vers le site du PT français, européen ou international, s'il existe. Cette attitude est la même quel que soit le parti concerné (ex : il n'est pas question de faire apparaître dans l'article les adresses et sites des sections locales du PS, de l'UMP ou du FN). --Pontauxchats Ier 2 avr 2004 à 11:39 (CEST)
Dans la rubrique Sites critiques ClaudeLeDuigou a rajouté d’office trois sites qui ont pour seule fonction de calomnier le PT et ses dirigeants. La procédure sur Wikipedia est d'avoir un "point de vue neutre". Les poubelles de l'histoire regorgent de ce genre. de calomnies Ne pouvant atteindre les militants qui sont engagés dans le combat révolutionnaire et qui assurent la continuité du marxisme, ils enragent et déversent leur haine du marxisme et de la classe ouvrière sur Internet. Comment vous pouvez indiquer site d’un ancien membre Comment vous pouvez le savoir. ! ! ! ! Alors que dans son site il dit le contraire. comment une encyclopédie sérieuse peut-elle se baser sur des calomnies Les. dirigeants de l'OCI n'ont pas été collaborationistes. C'est avéré, et c'est une des causes de la rupture de Lambert avec Molinier. A vous aussi de ne pas raconter "n'importe quoi". Quant au défaitisme révolutionnaire, n'oubliez pas qu'il s'accompagnait de sabotages dans les usines d'armement et que les trotskistes ont payé très cher (en terme de vies humaines) leur résistance. Alors, n'aimez pas les trotskistes si cela vous chante, mais évitez de faire de la propagande de bas étage.
- Réponse:
1. Vos suppressions ont été "revertées" par plusieurs contributeurs, dont moi-même, parce que vous avez procédé à des suppressions sans justification, point.
2. J'ai rétabli UN SEUL des liens vers les sites critiques : pour savoir qui fait quoi, allez dans l'historique, cela vous évitera de vous tromper.
3. Dans Trotskistes français durant la Seconde Guerre mondiale, j'ai fait cet ajout en juin dernier: * Fac-similé de "La Vérité" clandestine (1940-1944), suivi du Fac-similé de Arbeiter uns Soldat et des Thèses de la conférence européenne de la IVe Internationale; présentation et notes analytiques de Jean-Michel Brabant, Michel Dreyfus, Jacqueline Pluet; traduction d' Arbeiter und Soldatpar Jean-Jacques Bonhomme, EDI (Études et Documentation Internationales), Paris, 1978.
- Mes autres contributions où j'interviens sur les trotskistes en France:
Dans LCR André Fichaut, Sur le pont - Souvenirs d'un ouvrier trotskiste breton, Éditions Syllepse, Paris, 2003. Raymond Marcellin, L'importune vérité - Dix ans après mai 68, un ministre de l'Intérieur parle, Éditions Plon, Paris, 1978 ; voir plus particulièrement le chapitre XIV, « Ne pas se tromper d'époque : les forces révolutionnaires mondiales ». Dans Fichage Le fichage en France est notamment le fait: d'organismes militaires : la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), la DPSD, autrefois nommée "Sécurité Militaire"; en 1980, elle a été accusée par la Ligue (Française) des Droits de l'Homme (LDH) d'avoir fiché des civils ne relevant pas du Ministère de la Défense, par exemple des jeunes gens n'ayant pas encore été appelés au service national, plus particulièrement dans la région de Brest, et un dirigeant politique, Alain Krivine; Dans Lutte ouvrière
- Gabriel Cohn-Bendit et le journal Libération sont condamnés en appel en 2005 pour diffamation pour un article intitulé « Arlette n’est pas une sainte» paru dans Libération le 5 avril 2002, juste avant les élections présidentielles;
ClaudeLeDuigou 28 novembre 2006 à 21:52 (CET)
La page de contre-culture a été ajoutée par une IP, je n'ai fait que la placer dans une catégorie particulière. Bien qu'elle ne fasse pas dans la dentelle elle me parait légitime. De même les pages de la CNT et de Tardieu reflètent l'opinion qu'a une partie de l'extrème gauche au sujet du PT. Je ne partage pas nécéssairement (en fait pas du tout) leur idéologie mais je les ai ajoutées par souci d'équilibre avec les sites officiels. Bien entendu, leur analyse n'a pas sa place dans le corps du texte qui doit rester purement factuel mais personne n'a jamais contesté cela.
Pour ce qui est du texte de Tardieu, effectivement on ne peut être sûr qu'il était un ancien membre, j'ai mal interprété sa prose ( à ma décharge elle est loin d'être limpide) il n'en reste pas moins qu'il a été trés proche du PT. A noter qu'on peut difficilement l'accuser d'anti-trotskisme
Maintenant que le PT souhaite occulter ce genre de texte, ça ne m'étonne pas vraiment.
Ne pas recopier la présentation du parti par lui-même
modifierJe suis prêt à parier que la description de l'article est prise dans la doc du PT. Ce n'est pas très "point de vue neutre". David.Monniaux 15 jun 2004 à 14:20 (CEST)
neutralité
modifierSalut,
je confirme que le texte reproduit ici est la présentation d'un tract, ou celle de son journal. Je trouve que ce serait une bonne idée de garder ce passage dans un titre "comment se présente le parti des travailleurs", et de mettre pour chaque parti l'équivalent.
Concernant la neutralité, sur de tels articles, nous touchons à l'impossible neutralité !
B.
"neutralité" ?
modifier1) Les sources du PT ne trouvent pas seulement leurs racines dans la pensée trotskiste, mais également dans la pensée de la SFIO de 1905, de l'Anarchisme et du jeune Parti Communiste du congrès de Tours, qui tous reconnaissaient la lutte des classes.
D'ailleurs, même certains hommes politiques de droite et l'Église du 19ème siècle reconnaissaient l'existence de la lutte des classes (ne serait-ce que pour la juger néfaste de leur point de vue) En somme cette reconnaissance est loin d'être le privilège ou la caractéristique exclusive d'un courant politique...
2) LE PT NE SE REVENDIQUE PAS DE LA QUATRIÈME INTERNATIONALE !
Seul un de ses courants internes (le CCI) s'en revendique.
Affirmer que le PT se revendique de la IVème Internationale est aussi malveillant que d'affirmer que la CGT se revendique du communisme ou que la 1ère Internationale se revendiquait du marxisme... (alors qu'elle regroupait une alliance entre anarchistes, marxistes et plusieurs autres variétés de socialistes)
3) Pour les 80%, le conditionnel me fait sourire, mais je doute que vous puissiez fournir les sources de cette donnée numérique...
Henri, adhérent du PT
Henri, je ne suis pas adhérent au PT, masi je connais plusieurs dizaines d'adhérents du PT, et ils sont tous trostkystes lambertistes. Les autres 'courants' du PT ne sont qu'un mythe entretenu par le parti lui-même pour des raisons obscures (faire moins peur?).
Honnêteté...
modifierPuisque cela n'a pas été fait, j'ai donc corrigé là contre-vérité la plus flagrante de l'introduction. (le PT ne se réclame pas du trotskisme)
Henri, adhérent du PT
- Certes, mais qu'en est-il du CCI, ex-OCI, le courant largement majoritaire du PT?
- Le CCI se réclame de la Quatrième Internationale, je l'ai dis, je l'ai écris.
- La malhonnêteté c'est d'en déduire que le PT s'en réclamerait aussi, c'est aussi tendancieux que de dire :
- "puisque beaucoup de dirigeants de la CGT sont membres du PCF donc la CGT se réclame du communisme..."
- On peut cependant valablement dire, supposant cela, que la CGT est sous forte influence PCF. Je suis cependant d'accord qu'il y a une différence entre "la plupart des dirigeants et des adhérents du syndicat/parti X se réclament de l'idéologie Y" et "X se réclame de Y".
- Maintenant l'article de Wikipédia sur le CCI est un peu... dépassé. Pour informations le CCI diffuse deux publications disponibles par abonnement :
- - "La Vérité", revue théorique bimestrielle de la IVe Internationale (adresse: 87 rue du Faubourg St-Denis 75010 PARIS),
- - "La lettre de la Vérité", courrier hebdomadaire du CCI (même adresse).
- Maintenant l'article de Wikipédia sur le CCI est un peu... dépassé. Pour informations le CCI diffuse deux publications disponibles par abonnement :
- Henri
- PS : de toute façon il est difficile de ne pas remarquer que le rédacteur initial de l'introduction est hostile à la politique du PT. Quand on veut écrire un papier sur une formation politique le meilleur moyen de ne pas colporter les ragots à la mode, est de lire quelques exemplaires de sa prose pour se faire une idée de son orientation.
- Sans doute! Pour ma part, voici les informations dont je dispose, mais peut-être avez vous des données plus précises:
- - le courant anarcho-syndicaliste est très petit
- - le courant socialiste est peu important
- - le courant communiste (ex-OCI, Trotskyste) est très largement majoritaire.
- Sinon, que pensez-vous de l'entrisme supposé ou réel du PT et plus particulièrement du CCI dans les formations syndicales, notamment FO?
- J'ai modifié cette histoire de pseudos et d'entrisme. Les pseudos car ils étaient propres aux trotskistes, afin de rester discret sous l'oeil de fer des staliniens mais aussi du pouvoir bourgeois. Quand à l'entrisme, il n'a eu court qu'à l'OCI jusqu'aux débuts des années 80. Cette histoire de FO est rapportée par les journaux dont j'ai donné les noms. Il se trouve qu'il n'y a aucune politique d'entrisme du PT dans FO. Chacun peut être syndiqué & politisé. Qui va se plaindre des cartes UMP, UDF et PS chez la CFDT ? Personne ? Alors, quoi ? --Bartlebooth 24 sep 2004 à 14:02 (CEST)
- Cette histoire de FO est également confirmée par des constatations de terrain, qui manquent certes de généralité statistique. Quant aux comparaisons avec l'UDF, l'UMP et le PS chez la CFDT (enfin bon, je doute qu'il y ait beaucoup d'encartés UMP à la CFDT): le PS est un grand parti en termes d'adhérents, il est donc peu surprenant qu'il y ait de nombreux adhérents du PS dans la CFDT, un syndicat qui semble avoir des idées proches. Il est plus surprenant de voir, comme cela arrive dans certaines branches de FO, tous les meneurs venir comme par hasard du même parti ultra-minoritaire, le PT. David.Monniaux 25 sep 2004
La déontologie
Pour ce qui concerne l’entrisme dans les syndicats (fo),comme parti nous avons un point de vue sur l’évolution des syndicats, mais en ce qui concerne la vie des syndicats, c’est aux syndicats de déterminer eux-mèmes la manière dont ils résolvent les problèmes auxquels il sont confrontés, nous sommes pour l’indépendance réciproque des partis et des syndicats . Il serait nécessaire de rectifier votre article ,qui sans preuve est un tissu de contre- vérités,divulguées par certains médias. La déontologie veut que sur quelque événement sur lequel on enquête on cherche à puiser dans des sources contradictoires et rendre compte des faits de la manière la plus exacte possible. Pour être objectif il serait souhaitable de rajouter Le Parti des Travailleurs et pour l’indépendance réciproque des partis et des syndicats.
- Comme par exemple le CVSE, le comité pour un vrai syndicat étudiant, composé uniquement de membres du PT ?Vos propos sont donc soit ignorants, soit mensongés, visant à cacher une vérité qui, de mon poitn de vue, n'a rien de dérangeant.
Il refuse le financement des partis politiques par l’État, attaché à l’indépendance financière, condition de l’indépendance politique, le Parti des travailleurs reverse intégralement l’argent de l’État à un Fond d’aide ouvrière internationale, qui sert exclusivement à aider les militants, groupes et organisations en butte à la répression des patrons, des gouvernements et des États.
un adhérent du parti des travailleurs ROBERT
- J'ai modifié l'article. Vous convient-il maintenant? David.Monniaux 25 sep 2004 à 19:49 (CEST)
NON , il faudrait supprimer cette phrase qui est un mensonge basé sur les ont dit :
<<Selon certaines sources, cette entrisme se poursuivrait, notamment dans les syndicats, en particulier Force ouvrière>> :
comment une encyclopédie sérieuse peut-elle se baser sur des expressions<< comme selon certaines sources>> et ne pas les donner.. les membres du parti des travailleurs sont adhérents à la CGT,à la CGT-FO ,la FSU ,ect. pour défendre les intérêts des travailleurs , comme l’ensemble des militants ouvriers qui combattent pour leur classe . Je demande au modérateur d’intervenir afin de rétablir la vérité
un adhérent du parti des travailleurs ROBERT
Il n'y a pas de modérateur sur Wikipédia (encore moins pour « rétablir la vérité », chose insaisissable), tout le monde est éditeur, enregistré ou anonyme. Je n'ai pas d'a priori sur l'entrisme du PT à FO, mais la démarche sérieuse n'est pas de supprimer une allégation sous pretexte qu'aucune source n'est donnée, mais de chercher si ces sources existent pour ensuite soit les donner, soit retirer l'allegation. Turb 26 sep 2004 à 19:17 (CEST)
Puisque cela n'a pas été fait, j'ai donc corrigé là contre-vérité
Faites attention, votre modification annule une neutralisation (enlever un aspect non-neutre). Je la reverte. Turb 26 sep 2004 à 23:51 (CEST)
La procédure sur Wikipedia est d'avoir un "point de vue neutre". Cela implique que sur un organisme / parti politique / pays / entreprise donné, Wikipedia ne va pas recopier la ligne officielle du dit organisme – ou du moins ne pas se contenter de donner celle-ci. Actuellement, la position du PT est donnée, celle de ses accusateurs également. Cela me paraît assez équilibré. David.Monniaux 28 sep 2004 à 07:23 (CEST)
Comment adhérer ?
Quelques incohérences et remarques
modifierLa phrase "L'importance du Parti des travailleurs dans le paysage politique français et européen est relativement faible : aucun député..." traite de l'influence électorale du PT.
Parler de paysage politique européen est absurde pour le PT, ce dernier n'est pas un parti européen (d'ailleurs aucun des partis politiques implantés en France ne se présente aux élections dans les autres pays d'europe).
- Vous avez raison. Je suppose que la personne qui a écrit cela voulait faire allusion à des résultats aux élections européennes; ou peut-etre voulait-elle dire que le PT et les éventuels partis auxquels il est associé dans d'autres pays européens n'ont d'importance globalement?
Le PT n'est pas le seul a ne pas avoir de députés ; de nombreuses formations politiques en France n'en ont pas (sauf lorsque les partis traditionnels leur font la courte échelle).
- Par contre, on peut retenir les scores électoraux très modestes:<1%.
L'influence relative du PT dans les organisations syndicales CGT et CGT-FO, s'explique tout simplement par le degré très élevé de décomposition du PS et du PCF (beaucoup d'électeurs, mais peu de militants).
Comme de nombreux militants aujourd'hui membres du PT furent en leur temps exclus de la CGT, il est normal de les retrouver à la CGT-FO, ce d'autant plus que la direction de la CGT sous la houlette de Thibault apparaît de plus en plus conciliante avec le gouvernement et le patronat ces dernières années.
Henri, militant du PT
Non neutralité de point de vue
modifierIl y a un sérieux problème de NPOV dans cet article qui a tendance a faire de l'hagiographie par endroits. La bibliographie liste Philipe Campinchi, mais l'article tronque volontairement l'histoire et en particulier, omet la période 1939-45 que Les lambertistes : un courant trotskiste français décrit sans complaisance (l'auteur fut exclu du parti).
C'est à la limite du négationnisme d' oublier de parler du fait que l'entrisme s'est aussi exercé dans des partis collaborationnistes et d'oublier de parler de la promotion du défaitisme révolutionnaire quand une partie des bourgeois et des communistes (apres 1941) résistaient, eux, au nazisme. Soig 16 avr 2005 à 23:14 (CEST)
A ce propos, j'ai ajouté une phrase précisant que les futurs dirigeants de l'OCI n'ont pas été collaborationistes. C'est avéré, et c'est une des causes de la rupture de Lambert avec Molinier. A vous aussi de ne pas raconter "n'importe quoi". Quant au défaitisme révolutionnaire, n'oubliez pas qu'il s'accompagnait de sabotages dans les usines d'armement et que les trotskistes ont payé très cher (en terme de vies humaines) leur résistance. Alors, n'aimez pas les trotskistes si cela vous chante, mais évitez de faire de la propagande de bas étage... Je ne connais pas cet ouvrage, donc pas son auteur (puisque vous ne le nommez pas), mais est-il bien "neutre", puisque telle est la question ? J'en ai profité pour retirer un lien externe qui n'est plus à jour, l'animateur du site ayant modifié ses positions à l'égard du PT.
On doit à la vérité de dire que Lambert était dans l'opposition interne à Testu. Il n'en reste pas moins que son défaitisme révolutionnaire s'est exercé en 1940 à l'encontre de la troisième république. On peut difficilement qualifier cela d'antifascisme. Quant aux citations du POI ou du PCI, elles sont indéniables.
L'ouvrage de Campinchi, il est sans complaisance sur les travers du PT mais pas vndicatif et ne renie pas son engagement passé. On discerne même parfois une pointe de nostalgie.
entrisme
modifierIl aurait peut-être été plus approprié et plus hônnête de parler de l'entrisme dans le PS qui existait dans les années 70-80 et peut-être encore en 2005, et dont les militants n'avaient jamais entendu parler, jusqu'à la "révélation" par la presse de l'appartenance de Jospin et d'autres à la fois à l'OCI et au PS.
- Si vous avez des informations sourcées, n'hésitez pas à modifier l'article. Turb 22 juillet 2005 à 12:41 (CEST)
Bibliographie
modifierJ'ai mis une référence au livre de Marcellin, même s'il parle très peu des lambertistes... Par contre, il est très significatif de l'état d'esprit du pouvoir. ClaudeLeDuigou 13 janvier 2006 à 17:59 (CET)
Inexactitudes & suggestions
modifierSi Pierre Boussel dit Lambert a toujours sa carte au PT, et est membre du Bureau National, il ne dirige pas et n'a jamais dirigé le PT.
Le terme "lambertiste" se rapporte au courant trotskiste du PT.
Je modifierais, dans la chronologie, "Le PT appelle à voter NON à la Constitution Européenne, affirmant ainsi défendre les revendications et les acquis des travailleurs qu'ils considère mis à mal par l'Europe de Maatricht par tous les gouvernements, qu'ils soient de gauche ou de droite." par "Le PT appelle à voter NON à la Constitution Européenne, affirmant ainsi défendre les revendications et les acquis des travailleurs qu'ils considère mis à mal par l'Europe de Maatricht et par tous les gouvernements successifs, de gauche comme de droite, ayant appliqués la politique de l'Union Européenne."
Enfin, la chronologie concerne visiblement plutôt l'OCI que le PT. Il suffirait peut-être de dire que le PT est à l'initiative du MPPT (avec un lien sur un article MPPT) lui-même à l'initiative de l'OCI (avec lien sur un article OCI/CCI) devenu CCI au sein du PT, et que le PT est désormais "ouvert" depuis 1991 aux militants de toutes tendances, trotskistes ou non, socialistes, communistes, anarcho-syndicalistes, et en général à tous les travailleurs sur la base de la reconnaissance de la lutte des classes et des quatre points de la charte.
--Bartlebooth 2 février 2006 à 14:33 (CET)
J'ai modifié les deux premiers points dont je parle, et je confirme qu'il est inexact d'associer ainsi dans le même article les chronologies de l'OCI et du PT, sauf à réduire cette chronologie de la manière que j'ai proposé ci-dessus. --Bartlebooth 7 février 2006 à 15:55 (CET)
Je retranscris ici un message envoyé à Soig qui a rétabli l'erreur que j'avais corrigée:
Si Boussel est une figure historique du mouvement trotskiste il est actuellement "simple" membre du bureau national comme près de dix autres "figures historiques" moins connues. Mais il ne dirige plus rien depuis 1991, date à laquelle Gluckstein a été élu, et réélu depuis, comme secrétaire national du PT. C’est pour cette raison que je maintiens que dire que Boussel dirige le PT est une erreur
Quant à sa dernière candidature à la présidentielle elle remonte à 88 ! En 95, aucun candidat ne s'est présenté pour le PT. En 2002 c'était Gluckstein. Il y a eut d'autres candidatures, à d'autres élections, avec Gluckstein comme représentant (europe, législatives, cantonales) et en 89 le MPPT présentait Gauquelin aux Européennes.
Voilà ce que je peux apporter comme précision pour le moment, si tu peux recouper mes informations, je te laisse supprimer le passage erroné de l’intro.
--Bartlebooth 7 février 2006 à 23:26 (CET)
J'ajoute qu'à propos du "on les nomme les lambertistes", il faudrait définir ce "on". Je sais que c'est le cas de certains médias et de certains députés de droite, mais il se trouve que, techniquement, ce terme ne s'applique pas au PT, mais au courant communiste internationliste. Il faudrait sans doute, pour avoir un article plus précis, mentionner l'existence de ce terme qu'on trouve parfois dans les journaux, utilisé là dans son acceptation large mais erronée.
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Petite incoherence dans l'historique :
- 30 novembre - 1 décembre 1985 : le PCI s'élargit en Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT)
- 10-11 novembre 1991 : le Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT) devient le Parti des travailleurs (PT)
et
- mai 1992 : le PCI devient le Courant communiste internationaliste du PT
Si on éclaircit ce point (le PCI est il vraiment à la base du PT ou represente t'il seulement un courant du PT ?), on pourrait corriger l'intro qui fait débat. Il me semble, et c'est ce que des membres du PT m'ont dit, que le parti n'est pas majoritairement lambertiste et qu'il faudrait modifier voire supprimer la phrase "Le PT est souvent désigné par l'appelation « parti lambertiste », et ses militants appelé « lambertistes » car l'organisation dont il est issu (OCI) fut fondée et longtemps dirigée par Pierre Boussel, dit Lambert."
--Bernard Black 11 février 2006 à 22:36 (CET)
-- Le PCI est à la fois à l'origine du PT, et désormais un de ses courants sous le nom CCI (le P remplacé par le C de Courant). Quant à la désignation lambertistes, elle est effectivement erronnée, mais néanmoins utilisée par les journaux, radios, TV; d'où sa mention ici. Il manquerait alors la précision que, vu le nombre de lambertistes, vu l'orientation du PT de rassembler des militants de toutes tendances autour de la charte en 4 points et non autour du CCI, il est erronné de dire que PT et lambertiste sont analogues ou équivalents.
Par ailleurs, si quelqu'un sait faire un joli encadré comme l'ont les autres partis du portail politique française, ce serait plutôt bien. Un de ces 4, je m'y pencherai si ce n'est alors pas fait. --Bartlebooth 12 février 2006 à 22:22 (CET) --
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Trois remarques :
1) Mélanger l'historique du Courant Communiste Internationaliste et l'histoire du PT dans la même rubrique ne vise qu'à un seul objectif : empêcher ce dernier de regrouper des militants d'origines socialiste, communiste ou anarchiste en insinuant qu’ils doivent passer sous les fourches caudines du programme des trotskystes pour adhérer au PT.
2) Détailler les errements de Moliner en 1940 dont les conséquences historiques ont été proches de zéro et "oublier" de donner les raisons de la rupture des trotskystes français en 1952 avec leur direction internationale qui leur dictait d’adhérer aux partis communistes, -rupture dont les conséquences historiques se traduisent encore aujourd’hui par l’existence de la LCR et de ses homologues dans de nombreux pays- est digne d’un diplômé d’une école de cadres du Kremlin des "belles années".
3) les guillemets systématiques autour du mot antidémocratique lorsqu’il est question des institutions de la 5ème république, prête à sourire, tant il dévoile les opinions du rédacteur… Quand on cite une déclaration, c’est la totalité de la déclaration que l’on met en italique ou entre guillemets afin de bien signifier qu’elle n’engage pas les opinions du rédacteur. Placer entre guillemets les seules qualification que l’on désapprouve c’est naïvement indiquer que l’on a peur de se bruler avec sa plume. (ou son clavier pour être plus précis dans ce cas)
Je passe sur les inexactitudes et mensonges divers. (Insinuer qu’Olivier Spithakis aurait été membre du PCI en 1986 ne vise qu’à mouiller ce dernier dans le scandale de la MNEF. Bravo, vous avez du être major de promotion !)
Henri, (excédé par la répétition de tant de mauvaise foi et de malveillance...)
Tentatives de censure
modifier"Des" Ip anonymes effacent un ou deux liens critiques régulièrement, sans même chercher à motiver. Ca commence à bien faire... « Lutte de classe » Cordialement. ClaudeLeDuigou 20 février 2007 à 13:14 (CET)
Historique
modifierLe PT a été fondé en 1991. Il n'est probablement pas nécéssaire de remonter à 1940 pour son historique. A la limite faire mention d'évènements et renvoyer vers les pages en qquestion (Pierre Boussel, OCI) mais surement pas tout détailler ici. C'est du gonflage artificiel. J'entreprends un nettoyage, je vous propose ici une solution bientôt.--Hayek 2 septembre 2006 à 21:25 (CEST)
Version actuelle:
- 15 février 1940 : Pierre Boussel, alors soldat de deuxième classe, est arrêté avec seize militants se réclamant de la quatrième internationale. L'inculpation mentionne le chef d'accusation suivant : « infraction au décret du 1er septembre 1939 sur la publication de textes de nature à nuire au moral de l'armée et de la population ». Le rapport de police se termine ainsi «...se réclame ouvertement du marxisme-léninisme intégral, du défaitisme révolutionnaire et de l'antimilitarisme ». Il est condamné à trois ans de prison mais s'évade à la faveur de l'invasion allemande.
- Durant la guerre et sous l'occupation, les trotskistes sont émiettés, désorientés, perdus. Le principal dirigeant, Testu (Henri Molinier), ne « voit de solution que dans les organisations fascistes et staliniennes qui naîtront du triomphe du pacte germano-soviétique ». Testu préconise de poursuivre le travail d'entrisme, mais dorénavant dans les mouvements collaborationnistes. Une fraction clandestine pénètre le Rassemblement national populaire de Marcel Déat (Testu y prendra même la parole lors d'un meeting). En 1940-1941, Lambert, futur dirigeant de l'OCI, s'oppose à l'orientation de Testu sans toutefois quitter le parti.
- En 1943, Pierre Boussel dit Lambert est exclu avec sa compagne pour avoir tenté d'organiser des jeunes stagiaires pour le compte de l'opposition interne. Il demande alors son adhésion, en décembre 1943, à un autre groupe : le Parti ouvrier internationaliste (POI) qui développe l'idée du défaitisme révolutionnaire quand d'autres choississent la résistance. « Derrière un soldat nazi se cache un travailleur allemand ! » explique la thèse de ralliement.
- Janvier 1944 : les groupes trotskistes s'unifient dans le Parti communiste internationaliste (PCI), section française de la quatrième internationale, dont l'organe est La Vérité, pour qui « le fascisme est le fruit naturel du capitalisme, et on ne peut le finir qu'en abattant le capitalisme ». Le PCI se démarque notamment en se prononcant contre l'union sacrée aussi bien extérieure (les Alliés et l'URSS) qu'intérieure (De Gaulle et le PCF). Cette attitude leur vaudra l'inimitié farouche du PCF qui les qualifie d'« hitléro-trotskistes ».
- 13-14 juillet 1952 : dissidence « lambertiste » (Pierre Boussel alias Lambert, Marcel Gibelin, Marcel Favre-Bleibtreu, Michel Lequenne, Michèle Mestre) du Parti communiste internationaliste (PCI) : création de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), qui participera le 23 novembre 1953 à la création du Comité International de la Quatrième internationale (CI)
- mars 1955 : exclusion d'une minorité (Marcel Favre-Bleibtreu, Michel Lequenne) favorable à un rapprochement avec André Marty (exclu du Parti communiste français) au sein de Comités de redressement communiste. les exclus formeront le Groupe bolchévique-léniniste puis rallieront le Parti socialiste unifié (PSU)
- 1961 : création par l'OCI du Comité de liaison des étudiants révolutionnaires (CLER)
- avril 1968 : le CLER devient la Fédération des étudiants révolutionnaires (FER)
- 12 juin 1968 : dissolution (voir Les dissolutions du 12 juin 1968) de l'OCI et de la Fédération des étudiants révolutionnaires (FER). L'OCI devient l'Organisation trotskyste. la Fédération des étudiants révolutionnaires (FER) devient l'Alliance des jeunes pour le socialisme (AJS) et l'Alliance des étudiants pour le socialisme (AES)
- 4 juillet 1970 : annulation par le Conseil d'état du décret de dissolution, redevient l'OCI
- février-mars 1971 : éclatement de l'UNEF :
- UNEF-Unité Syndicale contrôlée par l'Alliance des jeunes pour le socialisme (AJS/OC) ;
- UNEF-Renouveau contrôlée par l'Union des étudiants communistes (UEC/PCF).
- octobre 1980 : devient l'OCI unifiée (OCI-U) après le ralliement de la Ligue communiste internationaliste (LCI, Daniel Gluckstein) pro-Nahuel Moreno, dissidente de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR)
- décembre 1981 : devient le Parti communiste internationaliste (PCI)
- 13 mai 1984 : Exclusion d'une quarantaine de membres du parti dont Stéphane Just suite à l'affaire dite "Mélusine". Création du Comité pour le redressement politique et organisationnel du PCI (Stéphane Just). Hostiles à l'élargissement du PCI et à la ligne de démocratie, le comité publie à partir de juillet 1984 Combattre pour le socialisme et deviendra en janvier 1987 le « Comité pour la construction du Parti ouvrier révolutionnaire, pour la reconstruction de la IVème internationale » puis en novembre 1991 le « Comité pour la construction du Parti ouvrier révolutionnaire, la construction de l’Internationale ouvrière révolutionnaire ». Le comité, qui attirera plusieurs scissions du PCI, éclatera après le décès de Stéphane Just le 12 août 1997.
- 17 juin 1984 : élections européennes. La liste Pour un Parti des travailleurs conduite par Marc Gauquelin obtient 0,90 %
- 30 novembre - 1 décembre 1985 : le PCI s'élargit en Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT)
- avril 1986 : scission de 400 militants qui fondent Convergences socialistes. Le 29 septembre 1986 Convergences socialistes rejoint le Parti socialiste (PS). Le contrôle du syndicat étudiant UNEF-ID passe du PCI au PS. Les dissidents les plus connus sont :
- Jean-Christophe Cambadélis (président de l'UNEF-US puis de l'UNEF-ID entre 1978 et 1984)
- Marc Rozenblatt (président de l'UNEF-ID entre 1984 et 1986)
- Philippe Darriulat (président de l'UNEF-ID entre 1986 et 1988)
- Philippe Campinchi (président de l'UNEF-ID entre 1991 et 1994)
- Olivier Spithakis
- 24 avril 1988 : premier tour de l'élection présidentielle : 0,38 % pour Pierre Boussel
- 18 juin 1989 : élections européennes. la Liste pour l'Europe des travailleurs et de la démocratie soutenue par le MPPT conduite par Marc Gauquelin obtient 0,60 %
- 10-11 novembre 1991 : le Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT) devient le Parti des travailleurs (PT) sur la base d'une charte en quatre points :
- reconnaissance de la lutte des classes ;
- laïcité de l'école et de l'État ;
- indépendance réciproque des partis et des syndicats ;
- abrogation des institutions « antidémocratiques » de la Ve République.
- mai 1992 : le PCI devient le Courant communiste internationaliste du PT
- 12 juin 1994 : élections européennes. la Liste pour l'Europe des travailleurs et de la démocratie soutenue par le PT conduite par Daniel Gluckstein obtient 0,44 %.
- 1er février 1997 : création du Comité national pour l'abrogation du Traité de Maastricht, réunissant le PT et des « orthodoxes » du PCF (Rémy Auchédé, Jean-Jacques Karman).
- 21 avril 2002 : premier tour de l'élection présidentielle : 0,47 % pour Daniel Gluckstein
- Le PT a refusé d'appeler à voter Chirac
- Le PT appelle à voter NON à la Constitution européenne, affirmant ainsi défendre les revendications et les acquis des travailleurs qu'il considère mis à mal par l'Europe de Maastricht et par tous les gouvernements successifs, de gauche comme de droite, ayant appliqué la politique de l'Union européenne.
Version proposée:
- Pour l'histoire des mouvements antérieurs voir sur la page du [Parti communiste internationaliste lambertiste|Parti Communiste Internationaliste]
- décembre 1981 : Formation du [Parti communiste internationaliste lambertiste|Parti Communiste Internationaliste] (PCI)
- 13 mai 1984 : Exclusion d'une quarantaine de membres du parti dont Stéphane Just suite à l'affaire dite "Mélusine". Création du mouvement dissident Comité pour le redressement politique et organisationnel du PCI par Stéphane Just. Hostiles à l'élargissement du PCI et à la ligne de démocratie, le comité publie à partir de juillet 1984 Combattre pour le socialisme . Le comité, qui attirera plusieurs scissions du PCI, éclatera après le décès de Stéphane Just le 12 août 1997.
- 17 juin 1984: Aux élections européennes, la liste Pour un Parti des travailleurs conduite par Marc Gauquelin obtient 0,90 %
- 30 novembre - 1 décembre 1985 : le PCI devient le Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT)
- avril 1986 : scission de 400 militants qui fondent Convergences socialistes.
- 24 avril 1988 : premier tour de l'élection présidentielle : 0,38 % pour Pierre Boussel
- 18 juin 1989 : élections européennes. la Liste pour l'Europe des travailleurs et de la démocratie soutenue par le MPPT conduite par Marc Gauquelin obtient 0,60 %
- 10-11 novembre 1991 : le Mouvement pour un Parti des travailleurs (MPPT) devient le Parti des travailleurs (PT) sur la base d'une charte en quatre points :
- reconnaissance de la lutte des classes ;
- laïcité de l'école et de l'État ;
- indépendance réciproque des partis et des syndicats ;
- abrogation des institutions « antidémocratiques » de la Ve République.
- mai 1992 : le PCI devient le Courant communiste internationaliste du PT
- 12 juin 1994: Aux élections européennes la Liste pour l'Europe des travailleurs et de la démocratie soutenue par le PT et conduite par Daniel Gluckstein obtient 0,44 %.
- 1er février 1997: création du Comité national pour l'abrogation du Traité de Maastricht, réunissant le PT et des « orthodoxes » du PCF (Rémy Auchédé, Jean-Jacques Karman).
- 2002: Au premier tour de l'élection présidentielle Daniel Gluckstein obtient 0,47%. Le PT refuse d'appeler à voter Chirac au second tour.
- Le PT appelle à voter Non à la Constitution européenne, affirmant ainsi défendre les revendications et les acquis des travailleurs qu'il considère mis à mal par l'Europe de Maastricht et par tous les gouvernements successifs, de gauche comme de droite, ayant appliqué la politique de l'Union européenne.
Sauf que la "fondation" de 1991 relève largement du trompe-l'oeil. Le mouvement s'est constitué aprés la crise "pabliste" en 1952 et ni la direction, ni le discours n'ont changé depuis. Seul le nom l'a fait, et à plusieurs reprise pou des motifs divers. C'est la raison pour laquelle les observateurs extérieurs et les exs (deus catégories qui se recoupent) parlent de lambertistes plutôt que de tel ou tel parti. Par ailleurs, le parti étant structuré autour de son fondateur et dirigeant historique Pierre Boussel, dit Lambert, retracer son itinéraire n'est pas forcément inopportun.
--Damien Perrotin 3 septembre 2006 à 19:05 (CEST)
- Le parti des travailleurs comporte aussi des socialistes, des communistes et des anarcho-syndicalistes au contraire de l'OCI. Remarquez que ce simple "trompe l'oeil" a provoqué le départ d'une partie des militants de l'OCI qui sont parti fonder le CSP sous la direction de Just. La création du Parti des travailleurs posait à l'évidence des problèmes théoriques au mouvement, ce qui empèche de la réduire à un simple "changement de nom".--Sol@l 30 décembre 2006 à 20:52 (CET)
- Vu la fréquence des exclusions chez les lambertistes ... Plus sérieusement Just n'était pas d'accord avec la statégie du parti, et a donc été exclu. Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de continuité dans l'idéologie et l'organisation entre le PT, le MPPT et l'OCI. Pour le reste Campichni dit que les courants sont largement fantomes même si l'opacité du parti rend la vérification difficile. D'ailleurs la constitutions de ces "courants" est dans la logique du "front commun ouvrier" trotskiste nihil novi sub sole, même si Campichni l'interpréte comme le signe d'une fermeture, voire d'une dérive sectaire. Maintenant s'il y a d'autre études venant de gensextèrieurs au parti...
--Damien Perrotin 31 décembre 2006 à 14:29 (CET)
- Monsieur Perrotin si d'aventure vous passez quelques jours à Paris, faîte un tour le mercredi soir vers 18h (heure de la prise d'Information ouvrière, journal autours duquel est structuré le PT) au 87 rue du faubourg St-denis. Vous pourrez juger de « l'opacité du parti » et constater de visu l'existence des différents courants tenant séance à l'occasion. Si vous avez raison de dire que la création du PT résulte de la stratégie du front unique ouvrier (c'était ouvertement la perspective du MPPT)cela implique justement une ouverture à d'autres courants de la gauche sur des principes qui n'appartiennent pas seulement au trotskysme mais à l'ensemble du mouvement ouvrier (avec tout ce que ca implique du point de vue de la structure de l'organisation). La LCR ou LO dénoncent régulièrement dans la création du PT, une démarche des ex-militants de l'OCI les conduisant tout droit à la défense de mots d'ordres "bourgeois" tels que « la défense de la République ». --Sol@l 7 janvier 2007 à 02:11 (CET)
Tentatives de censure
modifier"Des" IP anonymes effacent régulièrement un ou deux liens critiques, sans le moindre mot d'explication. ClaudeLeDuigou 20 février 2007 à 13:16 (CET)
Ajout d'une référence bibliographique critique
modifierJ'ai pris la liberté d'ajouter une référence bibliographique critique mais interressante d'une ancien membre du PT, etudiant en histoire, décédé en 2005. Je ne connais pas l'éditeur, il n'est pas indiqué sur les livres. Voici un lien vers une librairie qui le propose :
http://www.la-breche.com/catalog/product_info.php?products_id=1512&osCsid=rc21alum8d9ea3evju642e30s4
Ashram, 8 mai 2007.
honèteté
modifierle pt a 11000 adherants la lutte ouvriere et la lcr ne reconnaissent pas la lutte des classes malgrèsle fait qu'ils se soient autoproclamé apartenant à la 4eme internationnale pour la lcr. le pcf est née de l'explosion au sein de la 2eme internationnale à cause des crédit de guerre voté par le sfio en 1914 le troskysme est née de l'explosion au sein de la 3eme internationnale à cause de la politique stalinienne que le pcf accepté ,apres les executions en masse des trotskyste par tout dans le monde par staline (notament trotsky en 1940 au mexique) ce qui à créé la 4eme internationnale. A cause de pablo qui a décrété que la 4eme internationnale n'avait pas lieu d'etre ( car staline provoquerai la révolution dans le monde pour lui) la cission de la 4eme internationnale s'est faite ce qui a donné en france la lcr de pablo et le cci(forme final) de trotsky
3 révocations
modifierFargie, c'est à toi, qui ajoute des informations (fausses, ce qui fait que tu ne pourras pas les sourcer) de sourcer tes contributions. Ce n'est pas à moi de sourcer des non-contributions, idée aberrante, tu le concevras. En attendant, je n'irai pas au 3ième revert, et je demande donc aux contributeurs réguliers d'examiner la situation.
Je remarque par ailleurs que tes autres contributions contiennent beaucoup d'insinuation, et peu de faits, au moins pour celles qui concernent le courant de pensée du PT. Socialist organizer 8 septembre 2007 à 13:56 (CEST)
courants
modifierJe n'ai jamais trouvé, dans aucune publication, et notamment pas celles du PT lui-même, de chiffres permettant de situer l'influence des différents "courants" au sein de ce parti. Il donc légitime, à défaut de mettre en cause leur existence (encore que...) de signaler ce fait étonnant, plutôt que de prendre pour argent comptant les déclarations des dirigeants du PT lui-même. Je signale que tous les partis démocratiques qui revendiquent l'existence en leur sein de modes d'expression collectifs publient les résultats de des votes des adhérents, ce qui permet à l'observateur extérieur de situer l'importance des uns et des autres. C'est le cas, évidemment, dans les partis organisés en courants (comme le Parti Socialiste ou les Verts), mais aussi, et c'est plus récent, dans d'autres organisations qui se réclament d'un autre mode de fonctionnement (l'UMP par exemple, avec l'élection directe du président par les adhérents, l'UDF, et même le PCF).
Afin d'éviter que les soucis continuent, je propose que la phrase que j'ai ajoutée soit modifiée ainsi. "Si le PT revendique sa structuration en courant, il ne publie pas de chiffres permettant de déterminer l'importance relative des différents courants en son sein. Les plus hauts responsables ont cependant toujours appartenus au courant communiste internationaliste."
Cela dit, je m'inclinerai si on me cite une seule source citant des chiffres...
En passant, je ne suis pas "troskyste" et ne défend aucune chapelle politique.
Utilisateur:Fargie 8 septembre 2007 à 19:10 (CEST)
- Je ne prends ni le PS, ni l'UMP ou l'UDF comme référence de fonctionnement démocratique. Par ailleurs, dans Informations Ouvrières sont régulièrement publiées des pages des courants. Je ne suis pas d'accord avec la deuxième phrase de ta proposition : des militants comme Marquiset sont des "hauts" responsables, et ne sont pas trotskystes. La première phrase me semble inutile (elle n'est pas informative), mais, si elle te fait plaisir, pourquoi pas...
- Tu confonds par ailleurs courant et tendance (à ma connaissance, il n'y a pas de courant dans le PS ou chez les Verts) : un vote de motion exprimant une tendance a un sens, pas un vote de courant. Les courants existent, ont leur structuration (et des désaccords entre eux !), mais ils se retrouvent dans le PT sur un socle commun qui leur permet de travailler ensemble. On ne vote pas pour savoir si le PT doit être trotskyste ou socialiste : le PT regroupe des militants de ces deux courants (ainsi que d'autres), et ces courants sont d'accord avec cela.
- Quant au fait que tu ne sois pas trotskiste, je ne vois pas ce que cela fait là : tu attends des félicitations pour cela ? Tu n'auras pas les miennes (moi, je le suis, et je n'attends ni félicitation, ni réprimande, d'ailleurs). Quant à ne pas défendre une chapelle politique, tes dernières contributions semblent indiquer que tu préfères colporter des ragots sur une organisation politique, ce qui ne t'attirera pas spécialement ma sympathie (et ce indépendamment de celle à laquelle tu t'attaques).
- Socialist organizer 8 septembre 2007 à 20:29 (CEST)
PT et trotskisme
modifierJuste pour clarifier les choses : Le PT dans son ensemble n'est pas trotskiste, c'est uniquement son courant majoritaire (le CCI) qui est trotskiste. Ceci est déjà bien détaillé dans l'article et confirmé sur le site officiel du PT.
A aucun moment le PT ne se revendique trotskiste. --Ian S 3 octobre 2007 à 12:12 (CEST)
- exactement. Jean-Jacques Georges, tu considères peut-être cela comme n'importe quoi mais les faits sont là. Le pt est un parti (certes petit) qui regroupe plusieurs tendances, le cci n'est qu'un courant (majoritaire) dans le PT. Il existe des communistes non trotskistes, des socialistes radicaux (tels que des maires) et des anarcho-syndicalistes qui forment des tendances absolument pas négligeables. Les sources abondent sur internet, il suffit d'une petite recherche, que cela soit vrai ou pas, quelle est la representativité des courants, on ne sait pas trop (comme le dit l'article) mais wikipédia n'est pas là pour faire des travaux inédits.--Black31 3 octobre 2007 à 12:49 (CEST)
- Il est néanmoins intéressant de noter dans l'article que les médias français citent couramment (à tort et à raison) le PT comme un parti trotskiste, par volonté de simplification ou non. Jean-Jacques Georges 5 octobre 2007 à 12:51 (CEST)
- OK pourquoi pas. Même si je ne sais pas si l'information est vraiment encyclopédique. (s'il faut relever toutes les erreurs et raccourcis effectués par les médias on n'a pas fini ) --Ian S 5 octobre 2007 à 14:05 (CEST)
- C'est intéressant, précisément parce que le grand public, du fait de ce raccourci, considère le PT comme un parti à 100% trotskiste, alors qu'il ne l'est qu'en grande partie. Jean-Jacques Georges 5 octobre 2007 à 15:20 (CEST)
- Je m'étais fait la même réflexion avant de changer d'avis, mais je ne vais pas rentrer dans les détails vu que ce n'est pas bien important. L'essentiel est qu'il n'y ait pas de fausses informations. --Ian S 6 octobre 2007 à 17:04 (CEST)
- C'est intéressant, précisément parce que le grand public, du fait de ce raccourci, considère le PT comme un parti à 100% trotskiste, alors qu'il ne l'est qu'en grande partie. Jean-Jacques Georges 5 octobre 2007 à 15:20 (CEST)
- OK pourquoi pas. Même si je ne sais pas si l'information est vraiment encyclopédique. (s'il faut relever toutes les erreurs et raccourcis effectués par les médias on n'a pas fini ) --Ian S 5 octobre 2007 à 14:05 (CEST)
- Il est néanmoins intéressant de noter dans l'article que les médias français citent couramment (à tort et à raison) le PT comme un parti trotskiste, par volonté de simplification ou non. Jean-Jacques Georges 5 octobre 2007 à 12:51 (CEST)
Paragraphe controverses
modifierEn ce qui concerne le paragraphe "contreverse" l'ebdomadaire INFORMATIONS OUVRIERES du PARTI des TRAVAILLEURS dans semaine du 10 au 16 avril 2008 N° 840 page 6 apporte une réponse au Canard enchainé sous le titre -Défense de la démocratie- et signée MARGUERITE LEUWEN pouvez -vous indiquer cette précision afin d'assurer l'objectivité de votre article— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.112.144.60 (discuter)
- Wikipédia:N'hésitez pas je doute que beaucoup de monde ait cet hebdomadaire sous la main, donc mieux vaut faire l'ajout vous même. --Ian 18 avril 2008 à 20:33 (CEST)
L'affirmation du Canard ne peut être qu'un sous entendu (donc sans valeur encyclopédique) soit une calomnie, le PT ne soutenant pas l'IUMM) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 83.114.141.111 (discuter)
site lutte de classe
modifierLe site Lutte de classe n'a rien à faire dans l'article, même en lien externe. D'après les principes de wp concernant les liens externes
- « un site externe doit avant tout apporter des informations [...] en étroite relation avec le sujet de l'article. » Or ce site ne traite pas seulement du PT ou du POI, mais également de la politique du gouvernement de la crise alimentaire 1 de la LCR et de LO 2, publie des articles classiques du marxisme etc.
- « La vocation de Wikipédia n'étant pas de devenir un annuaire ou une collection de liens externes (voir Ce que Wikipédia n'est pas), il est conseillé de limiter le plus possible le nombre de liens externes par article en ne conservant que les sites de référence apportant un complément significatif, pertinent et encyclopédique à l'article. » On peut difficilement considérer que Lutte des classes est un site de référence. Il n'est pas animé par une organisation se présente parfois comme un « courant », un « outil de réflexions », parfois comme un site par un homme « totalement isolé », qui n'a pas de qualification particulière.
Non-diffamation
modifierJe n'ai pas l'habitude d'intervenir sur des affaires me concernant mais sur ce point je suis le plus à même de donner des infos. Je n'ai pas encore les termes officiels du jugement - la justice est lente - mais mon avocat m'a communiqué le contenu de la version de travail à laquelle il à eu accès :
- seul le principe de dissolution du PT a été arrêté par le Congrès extraordinaire du 1er juin et une commission ad hoc a été mise en place,ce qui implique que cette dissolution n'est pas effective,
- sur le fond, le Tribunal a considéré :
- que l'expression "hitléro-trotskyste empruntée à l'appellation critique donnée par la CGT aux mouvements trostkystes ne peut constituer une diffamation
- que l'expression social-nationaliste ne pouvait se confondre avec la notion de national-socialisme au regard des écrits des politologes que nous avions produits,
- que les termes "racorni" et "croûte brunâtre" ne peuvent être considérés comme diffamatoires.
- Quant au passage sur les "premières amours", le Tribunal a relevé que cette expresion s'appliquait à BOUSSEL LAMBERT et qu'au demeurant le propos qui lui est attribué de n'avoir à choisir ni pour Roosevelt ni pour Hitler confirme qu'il ne lui était pas imputé de soutenir des thèses national-socialiste, le propos n'ayant pas le sens que voulait lui donner les plaignants.
Le Tribunal a donc prononcé une relaxe et débouté les parties civiles de leurs demandes.--Damien Perrotin (d) 27 octobre 2008 à 11:03 (CET)