1944 en Lorraine
événements chronologiques en Lorraine
Cette page est une liste d'événements qui se sont produits durant l'année 1944 en Lorraine.
Chronologies
1941 1942 1943 1944 1945 1946 1947 Décennies : 1910 1920 1930 1940 1950 1960 1970 Siècles : XVIIIe XIXe XXe XXIe XXIIe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Politique
modifier- 26 mai : le maréchal Pétain en visite à Nancy est accueilli [1] par une foule qui chante Maréchal nous voilà [2]. Pétain dans son discours : Acceptez les épreuves qu'on nous envoie ; ces épreuves seront terribles, mais elles le seront d'autant moins terribles que vous n'y prendrez pas part. Ayez confiance dans l'avenir de la France[3].
- 25 septembre : le général de Gaulle est accueilli à Nancy, Place Stanislas, par une foule dense [4].
- Marc Rucart, ancien député des Vosges de 1928 à 1940, est délégué par le Parti radical-socialiste à l'Assemblée consultative provisoire (1944-1945).
Événements
modifier- Printemps, la Luftwaffe se trouve en position défensive, tentant de protéger le Reich allemand de la campagne de bombardement stratégique alliée. Les chasseurs Messerschmitt Bf 109G de la Jagdgeschwader 26 (JG 26) sont déployés sur la Base aérienne 133 Nancy-Ochey afin d'intercepter les raids alliés.
- L'Écho de Nancy quotidien collaborationniste, sous direction allemande, est fermé à la Libération.
Janvier
modifier- Gilbert Grandval est nommé à la direction de la Région C afin de préparer l'insurrection finale[5].
Mars
modifier- : dissolution de la brigade indépendante Alsace-Lorraine (créée le ). Composée de maquisards alsaciens et lorrains, elle s’illustre dans les batailles des Vosges et d'Alsace.
Mai
modifier- Le camp de concentration de Thil, annexe du camp de concentration de Natzweiler-Struthof fournit la main-d'œuvre d'une usine de V2[5].
- 7 mai : l'Équipe fédérale Nancy-Lorraine remporte la Coupe de France de football face à l’Équipe fédérale Reims-Champagne, 4-0[6].
- 10 mai : début de l'activité du « camp de travail de Erz », camp de Thil-Longwy qui a fonctionné jusqu'au mois de septembre de la même année, date de son évacuation[7]. Le site de Thil est choisi en raison de la présence sur son territoire de la mine de Tiercelet, d'une superficie de 250 000 m2.
- 11 mai : la 8th Air Force bombarde Épinal[8].
- 26 mai : après sa visite à Nancy, le maréchal Pétain se rend à Épinal pour soutenir la population bombardée par les alliés[5].
- 27 mai : bombardement par l'aviation alliée de l'usine Hobus-Werke de Metz.
- 30 mai : visite officielle du maréchal Philippe Pétain à Nancy.
Juin
modifier- Juin : installation à Nancy-Ochey de la Kampfgeschwader 53 Kampfgeschwader 53 Legion Condor (KG 53) revenue du front russe et dont les He 111 furent utilisés pour lancer des missiles V1 contre l'Angleterre.
Juillet
modifier- Le camp Frontstalag 194Z Donop à Nancy, est en activité.
Août
modifier- Fuyant Vichy pour l'allemagne, les chefs de la collaboration passent par Nancy[5].
- Opération Waldfest. Le commandement SS de Strasbourg décide l'anéantissement des maquis des Vosges. 10000 déportés, 3000 fusillés, 8OOO personnes chassées de leurs domiciles, plusieurs villes détruites : Le Tholy, Gérardmer, Saint-Dié, Epinal, La Bresse[9].
- 1er août : un train de soldat déraille à Rambucourt à la suite d'un sabotage. Le bilan est de 79 morts[5].
- 17 août : le fort de Queuleu est évacué par les Allemands.
- 17 août : étape sur la route de l'Allemagne pour les autorités françaises d'occupation, Nancy est pendant quelques heures la capitale de la France Allemande[10].
- 18 août : bombardement par l'aviation alliée de l'usine Hobus Werke de Metz, raid aérien visant principalement le dépôt de carburant de Woippy-Sainte-Agathe[11] situé à proximité immédiate du complexe industriel[12].
- 20 août : le terrain de Base aérienne 133 est libéré par les forces alliées.
- 27 août : 80 personnes sont raflées à Pexonne (54) qui seront envoyées en majorité à Mauthausen.
- 27 août au 13 décembre : la bataille de Metz oppose la 1re armée du général Knobelsdorff à la 3e armée du général Patton.
- 29 août : le 826th Engineer Aviation Battalion du IX Engineering Command de l'USAAF commence à déminer le terrain de la base aérienne 133 et à le remettre en état en vue d'une utilisation par l'aviation américaine. La base devint une base de la 9th Air Force américaine et est désignée Advanced Landing Ground A-96 Toul/Ochey Airfield.
- 29 août : les Allemands de la 3e division de Panzer-Grenadiers, une unité de la Wehrmacht, massacrent 86 habitants de quatre villages voisins : Robert-Espagne, Beurey-sur-Saulx, Couvonges et Mognéville[9],[13].
- 31 août :
- les SS qui assurent la garde du Camp de Woippy l'abandonnent.
- La 3ème armée de Patton libère Verdun et Bar-le-Duc[5]
Septembre
modifier- Septembre :
- pour libérer le passage sur la Moselle, le général Patton fait bombarder Pont-à-Mousson tenue par les blindés allemands.
- création de la Brigade Alsace-Lorraine[5].
- 1er septembre :
- début de la Campagne de Lorraine[14].
- Libération de Void et Saint-Mihiel[5].
- L'Écho de Nancy publie son dernier numéro imprimé sur les installations de L'Est républicain, mais il continue d'être imprimé en Allemagne jusqu'en [15].
- 3 septembre : dans la nuit, un incendie ravage la bibliothèque de l'Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson et une grande partie des bâtiments dont une fresque représentant la Cène due au peintre Joseph Gilles.
- 4 septembre : libération de Montmédy par les américains et de Toul avec l'aide des résistants[5].
- 4 au 7 septembre : les maquis vosgiens sont attaqués par les allemands qui subissent de lourdes pertes[5].
- 8 septembre : libération de Briey[5].
- 8 au 10 septembre : bataille de Dornot-Corny : la cinquième division américaine arrive à Dornot avec l'objectif de traverser la Moselle et de prendre le fort de Saint-Blaise. Les allemands lancent des contre-attaques qui rendent toute progression impossible. En 60 heures les pertes américaines se montent à 945 soldats tués, portés disparus et blessés sur 1200[16].
- 12 septembre : libération de Neufchâteau[5] et Thionville.
- 13 et 14 septembre : la 2e division blindée du Général Leclerc remporte une bataille de char à Dompaire[17].
- 14 septembre : libération de Mirecourt[17].
- 15 septembre :
- Ordonnance rétablissant la légalité républicaine en Alsace-Moselle annexée[18].
- libération de Nancy par les américains après l'insurrection nocturne des FFI[17].
- 16 septembre : libération de Lunéville[17].
- 16 au 21 septembre : bataille du pain de sucre à Agincourt et environs.
- 16 au 25 septembre : bataille de la Seille, au Sud de Metz[19].
- 17 septembre��: création de la brigade indépendante Alsace-Lorraine(dissoute le ). Composée de maquisards alsaciens et lorrains, elle s’illustre dans la Bataille des Vosges et d’Alsace.
- 18 au 24 septembre : Lunéville est réoccupée par les Allemands[17].
- 18 au 29 septembre : bataille d'Arracourt.
- 20 septembre :
- le Gauleiter Bürckel déclare la partie sud-ouest du CdZ-Gebiet Lothringen « zone des armées ». Il est par conséquent interdit de franchir une ligne allant d'Apach au Donon, et passant par Sierck, Courcelles, Faulquemont, et Sarrebourg[20].
- Eisenhower arrête Patton qui se dirigeait vers les Vosges à la poursuite de l'ennemi qui, regroupé, présente un danger important[17].
- 22 et : la libération d'Épinal commence par un duel d'artillerie particulièrement tragique pour la ville dont le centre est durement éprouvé.
- 23 septembre : libération de Remiremont[17].
- 24 septembre : libération d'Épinal après deux jours de combats[17]. Vers 17 h 30, le premier char américain de la 7e Armée américaine, commandée par le général Patch entra par le sud dans la ville.
- 27 septembre: début de la Bataille du Fort Driant à quelques kilomètres de Metz (lors de la Bataille de Metz)[21].
Octobre
modifier- Verdun devient un des deux plus grands centres de ravitaillement de l'armée américaine.
- Signe de l'importance des combats lors de la bataille de Metz, Hitler créée la bande de bras « Metz 1944 », ou Ärmelband Metz 1944, insigne distinctif créé en octobre 1944, pour distinguer les combattants allemands ayant participé à cette bataille.
- Radio Nancy est créée à la Libération de Nancy. La station émet grâce à un émetteur de 50 watts installé dans un camion de l'armée américaine situé sur le plateau de Gentilly. Elle est devenue France Bleu Sud Lorraine.
- 1 octobre : un Douglas C-53D Skytrooper (DC-3) de l'united States Army Air Force rate son atterrissage sur le terrain de la Croix de Metz à Toul. Il n'est pas réparable[22].
- Reformée autour de la 112e brigade blindée, la 21e Panzerdivision est envoyée en Lorraine, dans le secteur de Charmes - Épinal, pour contrer l'offensive Alliée. Alors qu'il est Kampfkommandant de Baccarat, où stationne sa division, le général Feuchtinger est obligé de battre en retraite devant la 2e DB du Général Leclerc, qui attaque en force le 30 octobre.
- 21 octobre : mise en service du 21st General Hospital à Mirecourt[23].
- 31 octobre : Baccarat est libérée par la 2e division blindée.
Novembre
modifier- Novembre : le 415th Night Fighter Squadron (en) de la 12th USAAF, s'installe à Nancy-Ochey avec ses Bristol Beaufighter jusqu'en , menant des missions de chasse de nuit contre la Luftwaffe.
- 3 novembre : le 50th Fighter Group (en) s'installe à Nancy-Ochey avec ses trois escadrilles de P-47 Thunderbolt.
- 8 novembre : reprise de l'offensive, Patton traverse la Moselle près de Metz[17].
- 9 novembre : les Allemands font évacuer la partie nord de Saint-Dié et se livrent au pillage[24]
- 14 au 17 novembre : les Allemands, engagés dans la Bataille de Bruyères[17], incendient la partie évacuée de Saint-Dié et dynamitent la cathédrale[24]. Gérardmer subi le même sort[17].
- 15 au 18 novembre : Anould souffre : sur les 551 maisons qu'elle comptait avant-guerre, les Allemands en détruisirent 490, par le feu ou par la dynamite. Le nombre de sinistrés fut de 1 725. La commune est titulaire de la Croix de guerre 1939-1945. L'église, la mairie et le groupe scolaire ont été détruits. Les papeteries du Souche, parmi les plus importantes des Vosges, furent anéanties.
- 17 novembre :
- la 2e division blindée se dirigeant vers Strasbourg, libère Badonviller[25]
- La IIIe armée de Patton libère Château-Salins[26] pendant la Campagne de Lorraine.
- 20 novembre : libération de Rozérieulles.
- 22 novembre : libération de Metz par le XXe Corps Américain du général Walton Walker[17].
- 23 novembre : restauration de la République française en Moselle par Paul Rebourset, commissaire de la République[17].
- 24 novembre : « Le 24 novembre 1944, une conférence secrète réunit à Saint-Dié-des-Vosges les plus grands chefs de l’US Army en Europe. Le général Eisenhower, commandant suprême des troupes alliées, prend ce jour-là une décision politique et militaire parmi les plus graves de la guerre : ne pas passer le Rhin. »[27].
- 30 novembre : le Menuet de Baccarat. Le général Leclerc libère Baccarat par une manœuvre d'une habileté telle qu'elle est encore enseignée dans les écoles militaires sous le nom de menuet de Baccarat[9].
Décembre
modifier- 6 décembre : libération de Sarreguemines.
- 9 décembre : la 9th Air Force installe les P-51 et P-47 des 358th, 50th et 27th Fighter Group sur ce qui deviendra plusieurs années après Toul-Rosières Air Base. Le terrain, surnommé « Rosy » est désigné par le code A98 et est équipé d'une piste en PSP[28] de 1 500 mètres.
- 13 décembre: fin de la bataille de Metz; défaite des allemands. Gravelotte est libérée.
- 14 décembre : libération du camp de prisonniers de Sarreguemines.
Inscriptions ou classements aux titre des monuments historiques
modifier- En Meurthe-et-Moselle : Cour administrative d'appel de Nancy[29], Hôtel de la Monnaie (Nancy)[30]; Hôtel de Lenoncourt à Nancy[31]; Hôtel de Lillebonne à Nancy[32]; Hôtel de Ludre à Nancy[33]; Palais des ducs de Lorraine à Nancy[34]; Hôtel de Chastenoy à Nancy[35]; Hôtel de Martigny à Nancy[36]; Maison Lecreulx à Nancy[37]; Hôtel de Stainville à Nancy[38]; Hôtel de Spada à Nancy[39]
Naissances
modifier- à Metz : Beatrix Wittschell , artiste contemporaine allemande[40]. À la fois peintre et sculpteur, elle travaille indifféremment le bronze et la céramique.
- Roland Albert (né à Sarrebourg en 1944), artiste contemporain allemand. À la fois peintre et sculpteur, il expose depuis 2004 aux États-Unis.
- 20 janvier à Metz : Volker Hassemer, homme politique allemand (CDU). Son frère aîné est Winfried Hassemer, Vice-président de la Cour constitutionnelle fédérale.
- 11 février à Saint-Dié-des-Vosges : Christian Didier, mort dans sa ville natale le , est connu pour avoir assassiné en 1993 René Bousquet, l'ancien chef de la police de Vichy. Il s'est d'abord fait connaître par ses apparitions inopinées sur les plateaux de télévision.
- 20 février à Nancy : Michel Hommell, grand patron de presse français.
- 1 mars à Sarrebourg : Roland Albert , artiste contemporain allemand. À la fois peintre et sculpteur, il expose depuis 2004 aux États-Unis.
- 6 avril à Jonville-en-Woëvre (Meuse) : Jean-Louis Dumont est un homme politique français, ancien député de la deuxième circonscription de la Meuse.
- 10 avril à Sarrebourg : Aloys Geoffroy, homme politique français.
- 29 mai à Thiaucourt (Meurthe-et-Moselle) : Denis Jacquat, homme politique français.
- 16 juin à Frebécourt : Henri Richelet, mort à Paris le [41], peintre figuratif français.
- 18 juin à Thionville : Jean-Henri Jaeger, mort à Fréjus[42] (Var) le [43], chirurgien français professeur des universités aux hôpitaux universitaires de Strasbourg. Spécialiste des membres inférieurs, il a opéré de nombreux footballeurs. Jean-Henri Jaeger a développé une technique chirurgicale de reconstruction du ligament croisé antérieur (LCA) qui utilise le fascia lata comme autotransplant, méthode opératoire permettant une bonne stabilisation rotatoire tout en préservant les chaînes musculaires.
- 13 août à Commercy : Dominique Desseigne, homme d'affaires et milliardaire français. Il est président-directeur général du groupe Lucien Barrière et président de la Société fermière du casino municipal de Cannes. Sa fortune, combinée à celle de sa famille, est estimée à 1,5 milliard d'euros en 2019, ce qui le classe 32e fortune de France. Elle n'est cependant plus que de 610 millions d'euros en 2020 du fait de la crise du Covid-19[44].
- 6 septembre à Nancy : Jean-Paul, Maurice Jaeger, ordonné prêtre le pour le diocèse de Lille. Nommé évêque coadjuteur du diocèse de Nancy-Toul le , il a été consacré le suivant et est devenu évêque titulaire le de la même année. Depuis le , il est évêque d'Arras, succédant à Mgr Henri Derouet.
- 9 septembre à Épinal : Bernard-Nicolas Aubertin, évêque catholique français. Cistercien, ordonné prêtre en 1972, il est abbé de l'abbaye de Lérins de 1989 à 1998, puis évêque de Chartres de 1998 à 2005, et archevêque de Tours de 2005 à 2019.
- 21 septembre à La Bresse : Gilbert Poirot, mort le à Chamonix[45], de maladie, est un sauteur à ski français. Il a consacré sa vie au saut à ski[46].
- 24 septembre à Nancy : Bernard Haillant , chanteur français mort à Paris le .
- 25 septembre à Anould : Hélène Ploix, administratrice et dirigeante française d'entreprises.
- 28 octobre à Freyming-Merlebach : Henri Atamaniuk, footballeur et entraîneur français. Il est, depuis le , entraîneur du FC Lausanne-Sport, à cause d'un empêchement administratif d'exercer la fonction d’entraîneur en Suisse de Marco Simone.
Décès
modifier- 10 février à Nancy : Alfred Bachelet (né à Paris le ), compositeur français, chef d'orchestre et enseignant.
- 2 mars, mort au combat près de Montmédy : Egon Mayer, né le à Constance , As allemand de la Seconde Guerre mondiale.
- 16 mars à Vandières : Léon Zéliqzon, né à Vantoux près de Metz (Moselle, France) le , éminent spécialiste du patois lorrain roman.
- 18 août près de Dombasle-en-Argonne : Günther von Kluge, parfois appelé Hans von Kluge, né le à Posen[47] (à l'époque en Allemagne), militaire allemand. Il a atteint le grade de Generalfeldmarschall au début de la Seconde Guerre mondiale.
- 31 août à Verdun : François De Kinder, né à Anvers le , résistant belge. Il est le beau-frère du ministre Hubert Pierlot, qui fut notamment chef du gouvernement belge en exil à Londres de 1940 à 1944.
- 3 septembre à Merviller :
- Thérèse Stutzmann, née le à Copenhague [48], résistante française, membre des Forces françaises de l'intérieur. Elle est fusillée par les Allemands à Merviller.
- Andrée Gadat (ou Andrée Calba), née le à Besançon, institutrice et résistante des Forces françaises de l'intérieur (FFI). Arrêtée par le Sicherheitsdienst, elle est fusillée.
- 1er novembre à Baccarat - Mort pour la France[49]: Paul Batiment, né à Strasbourg le , un militaire français, Compagnon de la Libération.
- 18 novembre à Badonviller, mort pour la France[50]: Alphée Maziéras, né le à Évaux-les-Bains , militaire et résistant français, Compagnon de la Libération. Officier Saint-Cyrien en poste en Afrique au début de la Seconde Guerre mondiale, il décide de se rallier à la France libre et combat au Gabon et en France où il est tué lors de la bataille des Vosges.
- 19 novembre au col de Lafrimbolle en Moselle : Yves Guellec, né le à Ploaré-Douarnenez, sous-officier des Forces françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale, Compagnon de la Libération.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- L'année 1944 dans le monde
- 1944 en France, 1944 en Suisse, 1944 en Italie
- Bibliographie de la Chronologie de la Lorraine
Liens externes
modifierNotes et références
modifier- Jean-Marie Flonneau, « L’évolution de l’opinion publique sous Vichy », in Jean-Pierre Azéma, François Bédarida, Vichy et les Français, Paris, Fayard, 1992, p. 512.
- « Voyage du Maréchal Pétain à Nancy, Epinal et Dijon » [vidéo], sur Ina.fr (consulté le ).
- « Pétain (Philippe) », sur 1ber.free.fr (consulté le ).
- « Mariot Nicolas », sur ens.fr (consulté le ).
- Laurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN 9782355780387), p. 186.
- L'EST REPUBLICAIN - 130 ANS D'ACTUALITES - 1889-2019 - ISSN 2608-0591 - Page 88
- « Struthof, camp de concentration nazi - 4.3. Le Kommando Thil », BS Encyclopédie.
- https://www.vosgesmatin.fr/edition-epinal/2020/05/10/le-11-mai-1944-epinal-etait-sous-les-bombes
- L'EST REPUBLICAIN - 130 ANS D'ACTUALITES - 1889-2019 - ISSN 2608-0591 - Page 89
- Henry Rousso, Petain et la fin de la collaboration : Sigmaringen, 1944-1945, , 441 p. (ISBN 978-2-87027-138-4, lire en ligne), p. 235.
- Ce dépôt était en 1939 une réserve de carburant pour la base aérienne de Frescaty, mais alimentait toutes les troupes du secteur. Ce fut l’un des rares dépôts en France à être saboté lors de la retraite de juin 1940. Ce dépôt, remis en état par les Allemands, était visé par l’aviation américaine, mais les bombes tombèrent massivement sur le complexe Hobus-Werke (René Caboz, p. 84, note 2).
- René Caboz, La Bataille de Metz. 25 août - 15 septembre 1944, Sarreguemines, 1984. (p. 77-84)
- « Vallée de la Saulx : un crime de guerre impuni », sur BLE Archives (consulté le ).
- La libération de Verdun et de Bar-le-Duc par la IIIe armée américaine, les 31 août et 1er septembre 1944 est acquise dès le début de la campagne de Lorraine.
- « Un journal de propagande », sur kiosque.limedia.fr (version du sur Internet Archive).
- « Récit d'un drame Lorrain et américain : la sanglante bataille Dornot-Corny », sur histoire-lorraine.fr (consulté le ).
- Laurent Martino, Histoire chronologique de la Lorraine : des premiers Celtes à nos jours, Nancy, Editions place Stanislas, , 221 p. (ISBN 9782355780387), p. 187.
- Bulletin Officiel de la Moselle du 15 09 1944
- « De la Bataille de la Seille », sur BLE Archives (consulté le ).
- 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994. (p. 35)
- World War II in Europe : An Encyclopedia, Routledge, (1re éd. First published 1999), 1550 p. (ISBN 978-1-135-81242-3, lire en ligne), « Chronology of World War II in Europe ».
- « ASN Aircraft accident Douglas C-53D Skytrooper (DC-3) 42-68831 Toul-Croix de Metz », sur safety.net (consulté le ).
- (en) « 21st General Hospital - WW2 US Medical Research Centre », sur med-dept.com (consulté le ).
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- La 2e DB - De Douala à Berchtesgaden
- Recensement préfectoral de 1994 sur les dates de libération
- « Saint Dié le 24 novembre 1944, le jour où le cours de la guerre a changé... - Saint-Dié Info », sur Saint-Dié Info, (consulté le ).
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- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106120
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106304
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106112
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106122
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106242
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106125
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00106123
- Beatrix Wittschell sur initiative-kunst.de
- « Hommage à Henri Richelet, peintre du temps qui passe », sur vosgesmatin.fr, (consulté le ).
- État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
- « Le décès de Jean-Henri Jaeger », sur dna.fr, .
- « Dominique Desseigne et Famille Desseigne-Barrière ».
- Disparition de Gilbert Poirot , ledauphine.com, 1er février 2012.
- (en) French Poirot passed away
- Aujourd’hui Poznań en Pologne.
- « Dossier individuel de personnel de STUTZMANN, MARIE THERESE | Service historique de la Défense », sur servicehistorique.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche sur le site "Mémoire des Hommes" »
- « Alphée Maziéras », sur Mémoire des Hommes