Naryu Virian (Online)

• Évis Marys: S'il vous plaît, je vous ai dit tout ce que je sais !
• Naryu Virian: Encore un mensonge, et je vous ferai taire. Pour de bon. Compris ?

Je refuse qu'un amateur perturbe mon enquête. Tournez les talons et allez-vous-en. Maintenant.
Que se passe-t-il ici ? Vous interrompez le fil de mes pensées, voilà le problème. Juste au moment où j'arrivais à mon passage favori. Je n'ai pas d'animosité envers vous. Enfin, pas encore. Alors, allez-vous-en.

Je travaille pour le conseiller Ralden et ça m'a l'air plutôt louche. Écoutez-moi attentivement. Nous sommes dans le même camp. J'ai été embauchée pour découvrir l'origine du fléau de Llodos.

Embauchée par qui ? Peu importe. Nous avons établi un lien entre des cargaisons étranges et ce messager. Il refuse de parler, mais je n'ai jamais rencontré d'homme que je ne pouvais briser... Apportez cette lettre au conseiller Ralden. Elle décrit comment les fioles de fléau étaient envoyées à Narsis.

Je ne crois pas. Pourquoi tout le monde dans cette ville est si entêté ? Je suis armée jusqu'aux dents et dangereuse comme pas deux. Et vous n'avez pas peur ? Même pas un petit peu ? Très bien. Vous avez de la chance que je n'aie pas envie de vous tuer aujourd'hui. Faites ce que vous avez à faire.

De quoi parlez-vous ? Peu importe. On va faire ça différemment. Par contre, écoutez-moi bien : nous avons retrouvé la trace des cargaisons de fléau de Llodos arrivées à Narsis, mais nous ne savons pas ce qu'elles sont devenues ensuite. Narsis court un grave danger.

• Naryu Virian: Écartez-vous de mon chemin. Vous êtes prévenu.
• Évis Marys: Hmm... Puis-je récupérer cette lettre ? J'apprécierais vraiment.

Vous n'abandonnez jamais, n'est-ce pas ?

Inutile de demander : oui, je vous ai suivi. Non, je n'ai rien à voir avec des disparus ou le fléau, et non, je ne viens pas me battre avec vous. Voilà qui est dit. Ça ira ? Maintenant parlons des raisons qui poussent Giron vous tuer.
Giron m'a envoyé tuer des troupes de Malmenaît afin de découvrir leur lien avec le fléau. Évidemment. Envoyer un étranger trop optimiste au beau milieu d'un camp rempli de Malmenaît est une vraie promenade de santé. Et s'ils vous tuaient, jamais vous ne découvririez qu'il a amené le fléau à Narsis, pas vrai ?

Comment savez-vous cela ? Cela fait des semaines que j'étudie Narsis. Nous avons même un agent infiltré dans la congrégation. Tout ce qui sort ou entre de Narsis est identifié, et ces caisses brisées sont clairement la propriété de Giron. La question est : pourquoi ? Qu'avez-vous découvert ?

C'est louche. Il doit y avoir une bonne raison pour que Giron décide de boucler Narsis et de vous envoyer à la mort. Retournez-y et découvrez-la.
Pourquoi m'aidez-vous ? L'organisation à laquelle j'appartiens a deux objectifs : trouver des cibles et éliminer des cibles. Ma cible s'avère être liée au fléau de Llodos. Disons que nous avons des objectifs complémentaires. Pas besoin d'en dire plus.

Qui traquez-vous ? Cela ne vous regarde pas. Souvenez-vous simplement de ce que je vous ai dit. Nous sommes dans le même camps. Et ne vous faites pas tuer, héros. Narsis a besoin de vous.

À quelle organisation appartenez-vous ? Désolée, mais c'est trop personnel et je ne vous connais pas assez pour vous dévoiler cela. Mais faites-moi confiance, nous voulons tous les deux stopper les Malmenaît.

Giron voulait vous éloigner de Narsis. Vous devez y retourner et découvrir pourquoi. Ne vous inquiétez pas pour ces caisses. La substance est diluée à présent. Vous vous ferez du souci s'ils trouvent un jour le moyen de renforcer le fléau.

Je vous jure, je ne peux pas terminer un contrat sans que vous ne veniez me compliquer la vie. Laissez-moi un instant, d'accord ? Je suis en plein quelque chose.
Varon m'a dit que vous aviez de nouvelles informations. Les documents que vous avez trouvés dans le camp des Malmenaît contenaient plusieurs noms, dont certains apparaissaient à multiples reprises. J'ai fait des recherches et j'ai réussi à relier un de ces noms à notre cible.

Pourquoi me dites-vous cela ? Parce que j'ai également appris que les troupes Hlaalu étaient tombées dans une embuscade tendue par des troupes Malmenaît supérieures en nombre, dans la gorge d'Obsidienne. Notre cible dirige ces forces. Nous voulons la tête de l'alchimiste. Notre contrat n'inclut pas le sauvetage des troupes Hlaalu. Mais peut-être qu'ensemble…

Nous pourrions faire les deux en même temps. Vous avez bien compris. Varon et moi, nous vous rejoindrons bientôt. Nous devons envoyer notre rapport et attendre nos prochaines directives. Soyez prudent. Nous nous reverrons bientôt, ami.

Paré au combat ? Une fois que les archers auront ouvert le feu, les Malmenaît envahiront ce surplomb. Faites-moi signe quand vous serez au point.
Dites aux archers de commencer à tirer. Visez les caisses.

Archers ! À vos positions ! Dès que les flèches seront tirées, ils seront sur nous. Les voilà !

On l'a fait ! Très bien, retour à la grotte.

Changement de plan ! Les caisses que les archers ont détruites… le fléau se répand plus vite que le souffle d'un dragon. Impossible d'aller par là.
Comment cette substance peut-elle se propager si rapidement ? Hé, je ne suis pas alchimiste. Je ne peux que vous rapporter ce que Varon m'a confié. Cette chose est extrêmement dangereuse. Elle se répand comme une traînée de poudre. Elle transforme tous ceux qui s'en approchent en âmes-creuses.

Parlez à Varon des prochaines étapes. Pour l'instant, mes brillantes idées n'ont pour put que d'échapper au fléau.

Il y a une différence entre savoir se battre et être invincible. Souvenez-vous-en. Pas que je m'en soucie. Mais soyez prudent. Ou pas. À vous de voir.

Je vous l'avais dit, Varon. Notre champion survit !

Vous êtes très surprenant. Non pas que j'aie douté de vous. Merci de votre aide.
Vous êtes enfin prête à me révéler votre véritable identité ? Vous savez, je crois que vous avez mérité de connaître la vérité. Toutefois, c'est un sacré secret que je m'apprête à vous révéler. Êtes-vous sûr d'être prêt à l'entendre ?

Je ne trahirai pas votre confiance. Je le sais. Approchez-vous. Et que cela reste entre nous. Varon et moi faisons partie de la Morag Tong.

Qu'est-ce que c'est ? Vous êtes un peu naïf, non ? La Morag Tong. Le crime organisé ? La guilde des assassins ? Nous faisions partie du gratin autrefois, mais notre réputation en a pris un coup ces derniers temps. Enfin, certains chefs de maisons font encore appel à nos services.

Oh, cette Morag Tong-là. Ne parlez pas si fort ! Le simple fait d'être associée à la Morag Tong peut me valoir la peine de mort. Nous sommes ici sur ordre de Longsanglot, vous comprenez ? Allez, sortez d'ici maintenant. Nous nous reverrons sans doute bientôt.

Il vaut peut-être mieux que cela reste un secret. J'aime votre façon de penser ! Très bien, gardons nos petits secrets. Pour le moment. Par contre, à notre prochaine rencontre, nous allons avoir une longue conversation privée, vous et moi.

Alors c'est vous dont tout le monde parle ? Je vous imaginais plus grand.
Vous m'attendiez ? Non, j'aime juste me promener dans le Temple. J'aime toute cette hypocrisie et ces grincements de dents. Oui, évidemment que je vous attendais. Bon, ne vous emballez pas. Il y a des problèmes en vue et je n'ai pas de contrat, alors je ne peux pas être impliquée officiellement.

Quel genre de problème ? Les Malmenaît sont dans la ville. J'ai vu ce qu'ils ont fait subir à Narsis et je ne veux pas que la même chose se produise à Longsanglot. En théorie, e ne devrais pas me mêler de tout ça, mais je deviens sentimentale. Vous connaissez suffisamment de monde pour trouver quelqu'un d'influent qui puisse vous aider à enquêter.

Almalexia veut me parler. Attendez, vous avez rendez-vous avec la Dame sacrée ? Vous m'impressionnez. Bon, parlez-lui des Malmenaît. Elle vous permettra peut-être d'enquêter sur eux. Je n'aime pas l'idée de faire appel à elle, mais c'est important. Et Almalexia tient à cette ville.

Je vais lui parler. Je vais voir si je peux découvrir la cachette des Malmenaît. Je vous retrouverai au Nix enflammé, la taverne au sud-est d'ici. Au fait, écoutez-moi bien : ne dites pas un mot sur moi à Almalexia. Promettez-le-moi, et je vous aiderai à sauver Longsanglot.

Je vous le promets. Allez-y, rencontrez la déesse. On se retrouve au Nix enflammé quand vous aurez terminé. Oh, et ne faites rien que je ne ferais moi-même. Oubliez ça. Il n'y a probablement rien que je ne m'empêcherais de faire.

Salut. Ravie de voir que vous vous en êtes tiré en un seul morceau. Je sais que, parfois, Almalexia ne ménage pas ses jouets. Pendant que vous preniez vos aises avec la déesse, j'ai découvert quelque chose d'intéressant.
Qu'avez-vous appris ? Les gardes de la ferme de la maison Drès située en dehors de la ville ont l'air d'être sur le qui-vive. Je les ai vus agresser des gens sans réelle raison. Ils font appel à un messager du nom de Thauravil pour porter des pots-de-vin à des chefs de maison et des fonctionnaires de la ville. Je pense qu'ils dissimulent quelque chose.

J'imagine que vous voulez que j'aille fouiller la ferme ? Vous me connaissez si bien ! Mais d'abord, il nous faut la clef du messager. Il récupère du vin ici, avant de le distribuer un peu partout en ville. Il a toujours une bouteille ou deux sur lui lorsqu'il se déplace. C'est le genre de chose qui peut nous être utile.

Qu'avez-vous en tête ? Du poison ! Ne me regardez pas comme ça, ce n'est pas un poison mortel. Il va juste plonger dans profond sommeil. Suivez-le et, une fois qu'il aura pris une gorgée de sa bouteille, attendez qu'il tombe pour ramasser sa clef.

Glisser le poison dans une bouteille ouverte, attendre qu'il tombe et prendre la clef. Compris. Ne jouez pas au héros. La réputation de la maison Drès est au plus bas et ses agents sont tous à cran. Si le messager pense qu'il est suivi, il pourrait prendre peur. Il faut qu'il se sente suffisamment à l'aise pour boire un coup, compris ? Alors, restez à distance.

Vite, descendez et introduisez le poison dans une bouteille de vin. Une des vertes qui portent le sceau de la maison Drès. J'ai remarqué des bouteilles entreposées au-dessus des caisses dans le cellier.

[Persuasion] Vous êtes une femme d'une intelligence rare. Vous avez sûrement pensé à un meilleur moyen de récupérer la clef. Vous n'êtes pas avare de compliments, hein ? Bon. Descendez et prenez une bouteille de vin pour moi. Je m'occuperai du reste.

Donnez-moi cette bouteille de vin avant que je ne change d'avis. Je vais avoir besoin d'un bon bain chaud quand tout cela sera fini.

Quel est le rapport avec les Malmenaît ? Je ne suis pas sûr de moi, mais j'ai un mauvais pressentiment concernant la ferme Drès. Je pense que tout est lié. Les Drès et les Malmenaît. Quand on y pense, ce n'est pas une idée si aberrante, n'est-ce pas ?

Comment est le vin en bas ? Avez-vous trouvé la cuvée spéciale ?
J'ai versé le poison somnifère dans la bouteille de vin. Bien ! À présent, attendons que le messager vienne la chercher. Évitons d'attirer l'attention. Restez près de moi. Le voilà. Allez, rapprochez-vous !

Où est-il ? Non, regardez devant vous ! C'est moi que vous regardez. Comportez-vous comme un ami proche. Rapprochez-vous. J'ai dit quelque chose de drôle. Riez. Il vient de passer. Il a le vin. Cette vision de rêve vous plaît ? Évidemment que oui. Il est presque à la porte. Continuez à me regarder. Parfait, il est sorti. Allez-y !

Vous êtes un peu trop proche, vous ne trouvez pas ?

C'est allé vite. Dites-moi que tout s'est bien passé.
J'ai perdu de vue le messager. Merveilleux. Je ne pensais pas avoir affaire à un tel débutant. Bon, vous avez de la chance. Le messager est revenu chercher du vin. Vous connaissez la manœuvre. Regardez-moi dans les yeux. Restez concentré sur moi. Rapprochez-vous. Laissez le messager repartir. Et allez-y !

L'avez-vous eu ? Je vais avoir besoin de ce vin si nous voulons que notre ruse fonctionne.
Voici le vin que vous avez demandé. Très bien, très bien. Pourquoi vous tenez-vous toujours si proche ? Reculez et laissez-moi travailler. Je vais l'attirer à l'étage. Attendez un moment, puis suivez-nous. Quand je donnerai le signal, allez-y et prenez la clef.

• Naryu Virian: Hé, beau mâle ! Est-ce vous qui m'avez envoyé cette excellente bouteille de vin ?
• Thauravil Drès: Hein ? C'est à moi que vous parlez ?
• Naryu Virian: Non, je parle à l'autre type séduisant de la maison Drès, là-bas. Écoutez, si ce n'est pas vous, dites-le franchement et j'offrirai ma gratitude à quelqu'un d'autre.
• Thauravil Drès: Eh bien, je suis le seul messager de la maison Drès à livrer du vin dans Longsanglot, donc cette bouteille doit provenir de ma réserve. Elle vous va bien, d'ailleurs. Vous avez parlé de gratitude. Quel genre de gratitude exactement ?
• Naryu Virian: Pourquoi ne viendriez-vous pas le découvrir à l'étage ? Il faut bien que quelqu'un m'aide à boire ce vin.

Agenouille-toi, mon amour. On va bien s'amuser.

C'était génial ! Hé ! N'avez-vous pas vu mon signal ? Allez chercher la clef !

La clef est probablement sur lui. Allez la chercher. Pouah ! Il empeste le raisin pourri. Il va falloir que je me lave. Je vous retrouverai à la ferme.

Maintenant, j'ai besoin d'un bain. Une bonne et longue baignade avec quelques verres de cet excellent vin. Ne vous en faites pas. Je vous rejoindrai à la ferme.
Vous avez besoin d'aide pour boire ça ? Hmmm... Tentant... Mais vous avez un travail à accomplir pour l'instant. Ce n'est vraiment pas le bon moment, champion. Je vous verrai à la ferme.

J'y suis arrivée ! Vous ai-je manqué ? Avez-vous trouvé quelque chose d'intéressant avant que j'arrive ?

Bien, bien, bien. Vous voyez ça ? C'est une trappe impressionnante pour le cellier d'une petite maison. J'aime lorsque mes intuitions se révèlent être justes.
Que pensez-vous que nous devrions faire ? N'est-ce pas évident ? Ouvrez la porte ! Ils doivent cacher quelque chose d'intéressant là-dessous. Allons jeter un œil !

Je suis surprise que la maison Drès soit parvenue à faire quoi que ce soit alors que les Ordonnateurs sont en alerte maximale. Peu de choses leur échappent.
Que pensez-vous trouver sous cette trappe ? Une partie de moi espère que nous ne trouverons rien de plus que de vieilles caisses insignifiantes. Mais j'ai un mauvais pressentiment. Et je suis convaincue que les Malmenaît sont derrière tout cela.

Souhaitez-vous toujours me venir en aide ? Entre ce que je souhaite et ce que je fais, il y a un monde, ami. Descendons voir ce qui se trame là-dessous. Avec un peu de chance, nous en aurons terminé lorsque la taverne servira le civet de Nix de ce soir. Et je paierai nos verres.

Dans ce cas, allons tirer cela au clair.

Qu'attendez-vous ? Une invitation ? Nous devons explorer ce qui se trouve sous cette trappe !

Il était temps que vous arriviez. Qu'est-ce qui vous a pris si longtemps ? Venez. Allons voir ce qu'il y a là-dessous. Non, ce n'est pas possible. Bon sang ! Ces tunnels étaient censés être scellés. Bon, droit dans la gueule du loup et compagnie. Suivez-moi.

Cela ne va pas. Si seulement Varon, mon partenaire, était là. Il saurait quoi faire. Hmm, en fait, non. Varon me tordrait le cou pour l'avoir coincé dans ce trou. Donc, hmm, soyez averti. Cela pourrait tourner au vinaigre.
De quoi parlez-vous ? Le réseau de grottes. Il est relié directement aux égouts sous Longsanglot. Enfin, pour partie. Les égouts sont plus étendus que vous pouvez le croire. C'est pourquoi je n'ai pas pu trouver les Malmenaît ! Ils peuvent se déplacer dans ces tunnels sans se faire remarquer.

Vous semblez en savoir long sur ces tunnels. Disons simplement que j'ai passé plus que mon temps à me faufiler sous les villes. Quand on a vu un égout, on les a tous vus.

Mais comment les Malmenaît parviennent-ils à éviter les Ordonnateurs ? Des protections ont été placées ici-bas pour cacher des gens. Des gens qui ont du sang sur les mains. Des gens... comme moi. S'ils ont trouvé le moyen d'activer à nouveau les glyphes daedriques, alors les Malmenaît disposent d'un chemin caché pour nous atteindre.

Des glyphes daedriques ? Pourquoi n'en avoir rien dit, Naryu ? Peu importe pour l'instant, héros. On se concentre ! Trouvez les Malmenaît et découvrez ce qu'ils mijotent. Après, nous pourrons parler de mon passé sordide et pourtant si intrigant.

Des alits ? Vraiment ? Fouillez les environs. Il doit y avoir une porte dans les environs. Je vais faire le guet.

Je vais attendre juste ici. J'ai une aversion naturelle aux alits et je ne crains pas de l'admettre. Prévenez-moi quand vous aurez trouvé la porte cachée.

Laissez-moi deviner. La porte refuse de s'ouvrir ? Il doit y avoir un mécanisme qui la gouverne. Regardez aux alentours. Et prenez garde à ces créatures. Elles sont... hideuses.

Bon travail ! Je savais que vous étiez à la hauteur. Retrouvez-moi à l'intérieur.

Les glyphes. Ils sont actifs ! C'est impossible. Personne ne dehors de mon... organisation... n'est censé pouvoir les activer. Si les Malmenaît utilisent cette base, toute la ville est en danger !
Votre organisation ? Elle pourrait être impliquée ? Non, impossible. Peut-être un groupe dissident ? Je ne sais pas quoi penser. Nous n'avons pas tous la même façon de voir notre situation actuelle, mais rejoindre les Malmenaît ? C'est totalement idiot.

Qu'est-ce qui pourrait activer les glyphes sinon ? Je suppose que n'importe qui bercé dans les arts daedriques en serait capable. Je ne suis pas experte en magie, vous savez. Je dois avertir quelqu'un. Varon doit être mis au courant.

Que font les glyphes, déjà ? Les glyphes ont recours à la magie daedrique pour protéger ces tunnels contre la magie de scrutation. Ça marche même contre le Tribunal, de ce qu'on m'a dit. Quiconque se trouve ici est pratiquement invisible depuis la cité, en haut.

Que dois-je faire ? Faites ce que vous faites de mieux. Foncez dans le tas en faisant tournoyer vos armes et en lançant vos sorts comme si c'était la fin du monde ! Si vous trouvez qui a activé les glyphes, arrangez-vous pour qu'ils disent ce qui se passe ici.

Je vais trouver ce qui se passe ici. Je sais. C'est pourquoi je vous ai bousculé lorsque vous alliez au temple. Je vais donner un tuyau anonyme aux Ordonnateurs. Peut-être même en toucher un mot à notre déesse adorée. J'espère bien que quelqu'un viendra vous aider. Évitez de me faire le coup du décès, d'accord ?

Alors c'était une base de la Morag Tong ? Autrefois. Mais nous n'avons pas utilisé ces couloirs depuis très, très longtemps. Pas depuis notre disgrâce.

Qu'y a-t-il ici-bas ? C'est tout. Il ne devrait rien avoir ici. Plus rien. Par le passé, quand les glyphes étaient actifs, nous employions cet endroit pour aller et venir à notre guise. Il n'y avait pas de meilleure cachette pour un groupe d'assassins mercenaires dévoués.

Si les Malmenaît ont trouvé une façon de réactiver ces glyphes, c'est qu'ils ont des alliés plus puissants que nous le pensions. À présent, soyez sur vos gardes et mettez votre joli postérieur en branle.

Oh, que puis-je faire pour vous ? Voulez-vous que j'arrange votre oreiller ? Ou que je vous coupe votre viande ? Oh, attendez ! Je vous ai déjà vu, vous... à Deshaan ! Ne dites rien. Personne ne doit savoir qui je suis.

Pourquoi êtes-vous habillée comme une servante ? Je pensais que vous étiez un agent du... Chut ! Personne ne doit le savoir. Varon m'a confié mon premier contrat en solo. Une mission spéciale. La cible est quelque part dans les parages, mais je ne l'ai pas encore repérée. D'où le déguisement. Ce n'est pas ma tenue favorite, mais elle remplit son office.

Pouvez-vous m'aider ? Je m'efforce à convaincre Gelds de coopérer avec le prince. Gelds est un idiot et le prince est... Eh bien, c'est le roi des idiots. Ensemble, ils risqueraient d'aggraver les choses plutôt que de résoudre le problème. Mais puisque c'est demandé si gentiment, vous pouvez compter sur moi. Qui sait ? J'y trouverai peut-être mon compte, moi aussi.

Que pouvez-vous faire ? Je sais me montrer convaincante quand le besoin se fait sentir. Surtout dans cet accoutrement. Le jarl conserve ses meilleurs crus en sûreté dans la caserne. Dérobez-lui une ou deux bouteilles pour moi, mais soyez prudent. Les gardes n'apprécient guère les visiteurs.

Des astuces pour s'y infiltrer ? Quelques conseils d'ami, peut-être ? Je regrette de cacher un si joli minois, mais il va vous falloir un uniforme. Un uniforme de garde. J'ai vu un de ces imbéciles patauger dans la rivière, il n'y a pas longtemps. S'il y est encore, vous pourrez peut-être emprunter son armure.

Et une fois à l'intérieur, vous auriez un conseil ? Vous savez, entre amis ? Je suis toujours là pour mes amis. L'un des gardes déteste les chats. Tout à l'heure, j'en ai aperçu un qui s'engouffrait dans le bâtiment. Le garde l'a pourchassé pendant une heure. Apportez un chat, cela pourrait s'avérer utile. J'en ai vu tout un groupe qui suivait les Argoniens à la trace. C'est peut-être votre chance.

Un peu de furtivité, un peu de destruction. Faites ce qu'il faudra pour sortir ce vin de la caserne. Mais que personne ne vous voie, surtout.

Si Gelds vous envoie me demander quelque chose, dites-lui d'aller se faire pendre.

Mais vous êtes une servante, non ? Je suis assistante, pas esclave. J'ai déjà brisé la main d'un garde un peu trop entreprenant. Une bonne sueur froide et tout est rentré dans l'ordre. Alors, en quoi puis-je vous aider ? Si c'est pour vous « réchauffer », sachez que votre main sera bientôt le cadet de vos soucis.

Je dois convaincre Gelds de retourner à la réunion du prince. Ce n'est manifestement pas l'idée du prince. Ce Nordique n'est qu'un s'wit pleurnichard et trop gâté. Il ne s'abaisserait jamais à solliciter l'aide des races « inférieures ». Qu'est-ce que ça cache ?

Je ne peux pas entrer dans les détails, mais le roi Jorunn a besoin de rassembler toutes ses forces. Le roi est un homme respectable. Il y a plus de bon sens dans son petit doigt que le prince n'en aura jamais. Quand on pense qu'ils appartiennent à la même lignée... Alors pourquoi pas ? J'accepte de vous aider.

Comment une servante pourrait-elle m'aider ? Assistante. Par les Trois, personne ne m'écoute, par ici. Et disons simplement que je connais un moyen de convaincre Gelds de reprendre les pourparlers. C'est tout ce que vous avez besoin de savoir pour l'instant.

Et qu'attendez-vous en retour ? Je veux une bouteille de vin de la caserne. C'est là qu'ils conservent la réserve personnelle du jarl. J'en ai par-dessus la tête de boire cette vinasse qu'ils nous fournissent. Prenez garde. Le lieu est interdit et les gardes ne font pas de cadeau aux intrus.

Je ferai mon possible.

Eh bien, en route, alors. Cet uniforme vous va bien, mais je n'ai toujours rien à boire. Faites attention. Peu importe ce que vous portez, s'ils vous prennent en train de chiper le vin du jarl, ils vous donneront une belle correction.

La caserne est interdite au public, alors il va vous falloir un déguisement. Un uniforme de garde fera l'affaire. Essayez du côté de la rivière. Même quand il fait froid, peu de Nordiques résistent à l'envie de se baigner. Parfois, ils pensent même à retirer leur armure avant.

[Persuasion] Et à quoi devrai-je faire attention, quand j'y serai ? Comment refuser quand c'est si gentiment demandé si gentiment ? L'un des gardes déteste les chats. Il ne peut guère les souffrir. Je l'ai vu courir après un chat qui s'était introduit dans la caserne pendant plus d'une heure. Je vous suggère donc d'apporter un chat avec vous. Il y en a plus qu'à foison qui rôdent à proximité des Argoniens.

Diantre ! Quelle prestance ! Je dois dire que vous avez belle allure en uniforme.

Savez-vous ce que ce dépendeur d'andouilles m'a envoyé chercher pendant votre absence ? De la nourriture, dans la tente à côté. Comme s'il n'était pas fichu de faire cinq mètres. Mais j'y suis allée. Je lui ai ajouté un fruit spécial, aussi. Son ventre s'en réjouira.

Voici le vin que vous vouliez. Je savais que je pouvais compter sur vous. La fiabilité est une qualité admirable. J'en ai l'eau à la bouche. Voilà qui m'aidera à servir ce maudit roquet, là-bas. Et cela devrait suffire à terminer le travail.

Quel travail ? Il faut que Gelds se sente à l'aise. Ensuite je le convaincrai que la boisson qu'il a avalée était empoisonnée. Il a de la chance, car j'ai l'antidote. Évidemment. Il fera tout ce que je veux pour l'obtenir, nous allons bien nous amuser.

Vous allez le convaincre d'assister à la réunion de cette manière ? Bien sûr. Comment pensiez-vous que j'allais le convaincre ? Maintenant, rendez-moi service et ouvrez l'œil, dehors. J'ai vu assez d'ombres et de rictus confus pour savoir que quelque chose cloche à fort Amol. Mais c'est justement pour ça que je suis là, n'est-ce pas ?

Faites attention, hein ? Je m'en voudrais si quelqu'un que je... respecte... était blessé.

C'est étrange, de rester là à la vue de tous, vulnérable et tout. J'ai passé toute ma vie à rôder dans les ombres. À me cacher. C'est assez agréable, en fait.

• Naryu Virian: Si vous faites un geste ou un bruit, vous perdrez la langue. C'est simple, n'est-ce pas ?
• Seigneur Vurlop: Attendez ! Ne me tuez pas ! Je... Je peux vous aider. Jorunn est encore en vie. Vous avez besoin de moi !
• Naryu Virian: Personne n'aime les menteurs, Nordique. Personne.

Discutons un instant, héros. Pourquoi ai-je laissé Varon me convaincre de venir en Estemarche ?

Je vous avais dit que ça ne se passerait pas bien. Je ne voulais pas que vous entriez seul dans ce piège. Alors je vous ai suivi. Heureusement, hein ?

Vous savez ce qui se passe ici ? Depuis quelque temps, je suis la trace d'un illusionniste bréton répondant au nom de Dhalen. Le scélérat a semé la panique en assassinant des nobles à Longsanglot. Quand j'ai appris qu'il avait passé un contrat avec Fildgor, je l'ai suivi jusqu'ici.

Vous savez où il se trouve actuellement ? Pas vraiment, mais je parie qu'il est dans le donjon. J'ignore ce qui nous attend là -bas, mais il faudra faire vite. Dhalen a une longueur d'avance sur nous. Il a acheté Vurlop en lui promettant de l'or. Allez savoir qui d'autre il a rallié à sa cause.

Vous m'accompagnez ? Je dois m'assurer que nos alliés s'entendent bien, et ensuite, je vous rejoindrai. Après avoir enlevé cette maudite robe au profit d'une tenue adéquate. Comment font donc les femmes pour porter de telles frusques tout le temps ?

[Persuasion] C'est très seyant. Je, euh... Merci. Je pourrai peut-être m'habituer à porter de tels atours une fois hors de danger. Qu'est-ce que je raconte ? Entrez là-dedans et portez secours au roi Jorunn. Et que ça saute !

Quand vous serez dans la cour, vous aurez besoin d'une clef pour entrer dans le manoir du jarl. Ne vous inquiétez pas pour moi. Je vous retrouverai vite. Mais faites attention, d'accord ? Dhalen est dangereux.

• Naryu Virian: Êtes-vous simple d'esprit ? Nous sommes encerclés par l'ennemi !
• Sergent Vkor: Les grands méchants Poigne-tempête sont à l'extérieur ? Peut-être qu'on devrait aller à l'étage pour que je vous protège, comme il se doit.

Parfois, les gens m'irritent vraiment.

« On devrait peut-être aller à l'étage pour que je puisse vous protéger ? » Non mais quel culot. Il aurait pu me faire un compliment sur mes yeux. Ou mes... bon, bref. C'est un des gros bras de Dhalen. Aucun signe du roi, cela dit. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle.

Comment êtes-vous entrée ? Grâce à une invention formidable qu'on appelle fenêtre, très cher. Personne ne pense jamais à les fermer ! Je parie que vous avez vous aussi eu recours à ce subterfuge plus d'une fois au cours de vos aventures.

Où puis-je trouver le roi Jorunn ? J'ai trouvé deux portes mais elles sont toutes les deux fermées à clef. Je suis sûre que le roi se tient derrière l'une d'elles. Il faut trouver un moyen de les ouvrir.

Je vais jeter un œil sur les lieux. Je doute que vous trouviez une clef par ici, mais on ne sait jamais. Je vais fouiller le bas. Allez jeter un œil à l'étage, vous trouverez peut-être quelque chose.

Cherchez un indice qui pourrait nous aider à ouvrir ces portes. Je vais jeter un coup d'œil par là, pour être sûr qu'aucun gros bras de Dhalen ne viendra nous déranger.

Allez vous assurer que le roi Jorunn et les autres sont sains et saufs.

Je me doutais que vous seriez ici. Encore un contrat rempli par, eh bien, par vous, comme d'habitude. Je me demande si la Tong me met à l'épreuve. Enfin, toute réussite est bonne à prendre, non ? J'espère que je n'ai pas fait trop peur aux ambassadeurs.
(Première rencontre) Ah, vous voilà. Et en pleine forme, comme à mon départ. J'espère que je n'ai pas fait trop peur aux ambassadeurs, avec mon intervention héroïque.

Alors c'est vous qui avez sauvé les ambassadeurs ? Quand vous êtes entré dans la chambre forte, j'ai entendu les ambassadeurs chuchoter, à l'étage. Et soudain, des Poigne-tempête armés de haches ont assailli le manoir. Je m'apprêtais à rebrousser chemin...

Quand vous avez décidé d'agir en héroïne... Eh bien, je n'allais pas vous laisser vous amuser tout seul ! Sérieusement, vous devez comprendre. Mon organisation était respectable. Maintenant, nous sommes chassés pour ce que nous étions. Ce que nous représentions. La situation doit changer.

Vous leur avez dit que vous seriez aidée ? C'est de vous que je parlais, mais je me suis aussi dit que des renforts supplémentaires ne seraient pas de trop. Irnskar et ses gardes sont en bas. Ils se sont précipités dès que le combat a éclaté. Quant au roi Jorunn... Il n'a pas l'air dans son assiette. Croyez-vous qu'il survivra ?

Je l'ignore. C'est du poison daedrique. Fildgor ne recule devant aucune bassesse. J'aimerais pouvoir vous aider davantage, mais j'ai déjà enfreint les clauses de mon contrat. Je dois regagner Longsanglot. Une affaire impliquant un groupe rival requiert toute mon attention. Mais on a encore besoin de vous ici, héros.

[Persuasion] Si jamais vous avez besoin de moi... Vous ne vous lassez pas de jouer les héros, n'est-ce pas ? Je plaisante. Je saurai vous trouver en cas de besoin. En réalité, ça ne me déplairait pas. Allons, en route. Sauvez le roi Jorunn. Il a davantage besoin de votre aide que moi, actuellement.

Vous ne m'avez jamais fait faux bond, ce n'est pas le moment de commencer. Sauvez le roi Jorunn, héros.

Encore vous. On dirait que je vous croise à chaque fois que je suis sur le point de faire quelque chose de regrettable.

• Grive: Finalement, je suis content que tu sois là, Virian. Je vais avoir besoin que tu me rendes ce service.
• Naryu Virian: Alors vous m'avez fait venir avant de savoir si vous auriez besoin de moi, Grive ? De quoi avez-vous besoin ?
• Grive: Tu dois contacter les autres réseaux d'espions, les Yeux de la reine du Domaine aldmeri et le cercle des Dagues, de l'Alliance de Daguefilante.
• Naryu Virian: Un contact. Vous voulez dire avec la pointe de mes dagues. De manière répétée. Je me trompe ?
• Grive: Non, non, un contact diplomatique. Il n'y a personne à tuer.
• Vanus Galérion: Pardon d'être en retard.
• Naryu Virian: Quel gâchis, Grive. Vous auriez dû demander quelque chose dont vos laquais sont incapables. Après cela, nous serons quittes, vous et moi.
• Grive: Je sais, mais c'est important. Merci, Naryu. Je vais même vous accompagner jusqu'à Auridia. En route.

• Eoki: Celui-là est en vie, Naryu !
• Naryu Virian: Je vois cela. Venez, vérifions que tous vos membres sont intacts, après ce maudit naufrage.

Tiens tiens, mais regardez ce que la marée nous dépose ! Bienvenue à Vvardenfell, patrie des Elfes noirs, des coulées de lave et des esclaves en tout genre. Et puisque nous parlons d'esclaves, je vais vous retirer ces fers.
Comment allez-vous retirer ces liens ? Oh, héros, je ne manque pas de surprises, vous vous en rendrez compte ! J'ai justement ce qu'il faut. Tenez bon... et voilà !

Vous voyez, c'est aussi facile que de charmer un netch avec du bon bœuf-nix ! Je pensais les garder pour plus tard, si ça ne vous dérange pas.
C'est quoi, cet endroit ? Vous avez été capturé par des esclavagistes, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué. Vous vous êtes peut-être cogné la tête lorsque votre bateau a fait naufrage sur la Côte de la Mélancolie. Les esclavagistes ont attiré votre navire avant de faire leur choix parmi les survivants.

Vous travaillez avec les esclavagistes ? Les esclavagistes ? Moi ? Non, j'ai prêté allégeance à d'autres personnes. Disons simplement que je suis là pour vous aider à vous enfuir d'ici. Vous pourrez alors reprendre ce que vous faisiez avant le naufrage provoqué par ces maudits esclavagistes.

Alors, comment nous tirons-nous d'ici ? Pas si vite, héros. Je veux être sûre que vous sachiez vous débrouiller au combat. Tout le monde ne se remet pas aussi vite après avoir frôlé la mort.

D'accord, testons mes talents au combat. Reprenons les bases du combat.

Je suis prêt.

Je vais bien. Je peux affronter le meilleur d'entre eux. Oh, tiens donc ? Dans ce cas, voyons comment vous réagissez à cela.

Frappez-moi, je veux savoir ce que vous pouvez faire !

Essayez de bloquer ça !

Impressionnant ! Vous êtes exactement ce qui me manquait pour mettre mon plan à exécution. La plupart des esclavagistes sont partis en expédition. Donc, c'est l'occasion rêvée pour nous évader.
De quoi avez-vous besoin ? Oh, pas grand-chose. Je veux que vous trouviez des vêtements d'esclavagiste, pour ne pas ressembler aux esclaves. De plus, il nous faut une clé du portail ou bien nous n'atteindrons jamais les quais. Tenez, il me reste un crochet, ça pourrait vous être utile.

Qu'allez-vous faire pendant que je m'empare de l'équipement et de la clef ? Il me reste plusieurs choses à voir avant de nous échapper. Faites votre part du boulot et je m'occupe de la mienne.

Nous avons un crochet, pourquoi s'embêter avec la clef du portail ? Certains verrous peuvent résister aux voleurs les plus chevronnés, car ils sont faits de matériaux de qualité, sans compter les mécanismes complexes. Comme celui du portail. Si j'avais tout le temps du monde, j'y arriverais sans doute, mais nous ne pouvons pas nous le permettre.

Vous savez où se trouvent ces esclavagistes ? Si je le sais ? Bien sûr. Il me faut juste une preuve pour satisfaire mes supérieurs. Ne vous inquiétez pas. Je suis sûre que nous aurons les choses en main lorsque nous nous reverrons.

Je vais chercher de l'équipement d'esclavagiste et la clef.

Retrouvons-nous ici lorsque vous aurez les vêtements et la clef. Puis nous libérerons le reste des prisonniers pour nous enfuir.
J'aimerais vous affronter de nouveau, pour m'entraîner. Si vous insistez. J'aime me frotter à un beau spécimen dans votre genre.

Je n'aurais guère fait mieux moi-même, héros. Bravo ! Il reste une chose à faire, si vous vous en sentez capable. Le temps est compté, mais j'ai quelque chose à vous dire. Vous l'avez bien mérité.
Qu'avez-vous à me dire ? Je suis un assassin, un agent de la Morag Tong venu remplir ma mission. L'ordre que je porte me donne l'autorité légale de mettre fin aux jours de ma cible, sans hésitation. Je viens tuer le capitaine Svadstar, chef de cette bande d'esclavagistes. Il est irrécupérable.

Pourquoi me dites-vous cela ? Parce que j'ai besoin de votre aide. Je peux tuer le capitaine, et dix de ses hommes, sans me fatiguer. Mais leur navire est plus rapide et plus solide que tout ce dont disposent les gens des environs. Si nous ne le sabordons pas, il reprendra aussitôt son trafic.

Pourquoi irais-je aider un assassin ? Ce n'est pas la gratitude qui vous étouffe, on dirait. Bon, j'ai prévenu Seyda Neen, mais personne n'arrivera à temps pour arrêter les esclavagistes. Avec votre aide, nous pouvons les mettre au chômage, sauver leurs prisonniers et couleur leur navire. Autrement, ces prisonniers sont comme morts.

Que voulez-vous que je fasse ? Rassemblez de la poudre ignifère et des sels de feu sur les quais. Ils vous permettront de préparer une bombe incendiaire. Le feu détruira le navire et forcera Svadstar à sortir au grand air, où je pourrai le tuer. Nous nous retrouverons lorsque vous aurez le nécessaire.

Je vais récupérer des sels de feu et de la poudre ignifère, puis je vous retrouve aux quais.

Par ici ! Enfilez votre tenue d'esclavagiste et embarquez.

• Naryu Virian: Le navire est attaqué ! Mêlez-vous à l'équipage, les esclavagistes ne vous verront peut-être pas.
• Brute esclavagiste: Ne sortez pas ! Ils bombardent le navire ! Attendez, qui... ?
• Naryu Virian: Descendez sous le pont et utilisez la bombe incendiaire. Je pars chercher le capitaine. Maintenant !

Super. On fait une bonne équipe. Et maintenant, quittons ce navire en flammes.