Revel

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Voir aussi : revel

Français

Étymologie

(Communes françaises, nom de famille) De l’occitan Revel, apparenté à Ravel, ancien déverbal de ravaler (« remettre un mur en état »).

(Ancien nom de Tallinn) Du russe Ревель, Reveľ.

Nom propre 1

Revel \Prononciation ?\

(Géographie) Commune située dans le département de la Haute-Garonne, en France.
- Revel, (Géog. mod.) petite ville de France, dans le haut Languedoc, au diocèse de Lavaur, près de la riviere de Sor, à 2 lieues de S. Papoul : on l’appelloit anciennement la Bastide de Lavaur. Philippe-le-Bel l’érigea en ville, & la fit clorre de murailles. Les Calvinistes la fortifierent pendant les guerres de religion ; mais ses fortifications furent démolies en 1629. Cependant elle a continué de fleurir jusqu’à la révocation de l’édit de Nantes. — (« REVEL », dans Denis Diderot, Jean Le Rond d’Alembert, L’Encyclopédie, 1751 → consulter cet ouvrage)
(Géographie) Canton situé autour de cette commune^[1].
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
(Géographie) Commune située dans le département de l’Isère, en France.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

Gentilés et adjectifs correspondants

Dérivés

Traductions

Occitan : Revel (oc)

Nom de famille

Revel \Prononciation ?\ masculin et féminin identiques

Nom de famille.
- Nicolas Revel, directeur général de l’AP-HP, évoque le projet des Arches citoyennes : « Je suis ravi d’assister à la transformation de ce lieu fermé et austère, à l’installation de lieux de vie, même temporaires, où la mixité fonctionnelle et sociale est au centre ». — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 13 octobre 2023, page 5)

Traductions

Nom propre 2

Revel \Prononciation ?\ masculin

(Géographie) Ancien nom de Tallinn.
- REVEL, (Géog. mod.) grande ville de l’empire russien, dans la haute-Livonie, & capitale de l’Estonie, sur la côte de la mer Baltique, partie dans une plaine, & partie sur une montagne, avec une forteresse […]. Waldemar II. roi de Danemark, jetta les fondemens de cette ville au commencement du XII^e siècle. Elle a été anséatique jusqu’en 1550. Les Suédois la posséderent ensuite, & aujourd’hui les Moscovites à qui elle appartient, y entretiennent un beau commerce de grains. — (« REVEL », dans Denis Diderot, Jean Le Rond d’Alembert, L’Encyclopédie, 1751 → consulter cet ouvrage)