Michaël Guigou
Michaël Guigou avec Montpellier en 2018 | ||
Fiche d’identité | ||
---|---|---|
Nationalité | France | |
Naissance | ||
Lieu | Apt (Vaucluse) | |
Taille | 1,79 m (5′ 10″)[1] | |
Masse | 78 kg (172 lb)[2] | |
Poste | Ailier gauche | |
Surnom(s) | Mika | |
Parcours junior | ||
Saisons | Club | |
1988-1998 | Handball Pays d'Apt | |
1998-1999 | SCO Avignon | |
1999-2000 | Montpellier HB | |
Parcours professionnel * | ||
Saisons | Club | M. (B.) |
2000-2019 | Montpellier HB | 605 (1993) |
2019-2022 | USAM Nîmes Gard | 84 (171 ) |
*Statistiques en compétitions nationales et continentales. | ||
Sélections en équipe nationale | ||
Année(s) | Équipe | M. (B.) |
2002-2021 | France | 307 (1021)[3],[4] |
Dernière mise à jour : 9 juin 2022 | ||
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Michaël Guigou, né le à Apt (Vaucluse), est sélectionneur de l'équipe masculine de France (U17)[5], c'était[6] un joueur français de handball, évoluant au poste d'ailier gauche et parfois de demi-centre.
Avec l'équipe de France, il a remporté chacun des trois titres majeurs au moins à trois reprises : il est triple champion olympique, quadruple champion du monde et triple champion d'Europe. Il est ainsi, avec Thierry Omeyer et Nikola Karabatic, le joueur international français le plus titré avec dix médailles d'or.
En club, il a évolué pendant 20 ans au Montpellier Handball, remportant notamment la Ligue des champions en 2003 et en 2018 et dix championnats de France dont il a été élu à onze reprises meilleur ailier gauche.
Il décide de prendre sa retraite en 2022[6] puis devient plus tard entraîneur[5].
Le 30 avril 2023, il entre dans le Hall of Fame du handball français[7].
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse
[modifier | modifier le code]Michaël Guigou commence le handball à l'âge de cinq ans dans le club de sa ville natale, Apt, où sa mère Christine et son père Richard sont entraîneurs. Au sein du club, il évolue dans une équipe de jeunes dont les éléments ont deux ou trois ans de plus que lui. Malgré cela, il se démarque des autres joueurs[8]. Il reste à Apt jusqu'en 1998, passe un an dans le club d'Avignon, puis rejoint à 17 ans le Montpellier Handball.
Montpellier
[modifier | modifier le code]En 1999, à 17 ans, il rejoint le Montpellier Handball pour y terminer sa formation. Au début de la saison 2000-2001, le club recrute Martin Frändesjö, l’ailier gauche suédois qui devient en vice-champion du monde en France avec la sélection nationale suédoise, mais il ne parvient pas à s'imposer à Montpellier où on lui préfère « un tout petit gamin du pôle et du centre de Marseille. Il s’appelait Michaël Guigou. », dixit Philippe Bana, DTN du handball[9]. Frändesjö quitte le club par la petite porte en cours de saison[10] et Michaël Guigou remporte son premier trophée, la Coupe de France 2001, mais doit laisser le titre de Champion de France à Chambéry[10].
Fidèle, Michaël Guigou est viscéralement attaché à Montpellier, un club qu’il n’a jamais quitté alors qu’il aurait pu aller exercer son talent à l’étranger. En effet, la saison suivante débute une domination quasiment sans partage de Montpellier sur le handball français. Il remporte ainsi un total 10 titres de champion de France, 11 Coupes de France, 10 Coupes de la Ligue et 2 Trophée des Champions, réalisant notamment un quadruplé historique lors de la saison 2011-2012. À titre personnel, il est élu à dix reprises meilleur ailier gauche du championnat de France entre 2003 et 2015.
Sur la scène européenne, la plus grande réussite est certainement la finale de Ligue des champions 2003 : après le match aller face à Pampelune de Jackson Richardson perdu sur le score de 27 à 19, peu de monde croit aux chances des montpelliérains de refaire leur retard lors du retour dans la salle du Palais des sports René Bougnol. Pourtant, à la 39e minute, Montpellier est revenu à égalité avec 20 à 12. À trois minutes de la fin, le score est de 28 à 18 lorsque sur une montée de balle, Grégory Anquetil transmet à Guigou, qui, dans l'action, se retrouve dos au but. Il déclenche toutefois son tir dans cette position et bat le gardien. Durant cette rencontre, il marque 10 buts[11], et Montpellier s'imposera 31 à 19, remportant la plus importante compétition européenne. Malgré les nombreuses participations à la Ligue des champions et les fortes ambitions du club à compter de 2009 avec le retour de Nikola Karabatic, Guigou et les montpellierains ne parviennent pas dépasser les quarts de finale. Lors de la saison 2013-2014, après quinze saisons consécutives en Ligue des champions, le club dispute la Coupe de l'EHF mais rate de peu l’opportunité de remporter un second titre européen en s’inclinant d’un but en finale.
Lors de la saison 2017-2018, Michael Guigou participe à son premier final four de la Ligue des champions, après avoir fini en tête de la poule basse et avoir éliminé le FC Barcelone en huitième de finale puis le SG Flensburg-Handewitt en quart de finale. Au cours d'un week-end inédit, durant lequel trois représentants d'un même pays sont en demi-finale (le HBC Nantes et le PSG en plus de Montpellier), les montpellierains éliminent le Vardar Skopje en demi finale avant de venir à bout du HBC Nantes en finale. Michaël Guigou, alors capitaine, soulève pour la seconde fois la prestigieuse coupe d'Europe, 15 ans après celle de 2003.
À l'intersaison 2018, Michaël Guigou se fait opérer du genou gauche puis est destitué de la fonction de capitaine qu'il détenait depuis 2012[12],[13]. Puis, alors que Guigou a fait part de sa volonté de prolonger sa carrière de joueur jusqu'aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020 et de jouer au moins une année supplémentaire, le Montpellier Handball et Patrice Canayer annonce lors de la conférence de presse du qu'il ne sera pas conservé comme joueur, mais que le contrat de trois ans qui lui est promis comme entraîneur à l'Académie du MHB est maintenu[14],[15]. Après avoir terminé le championnat du monde 2019, il règle ses comptes avec le club et Patrice Canayer le [16], stigmatisant notamment « cette attitude affligeante, voire pathétique, à l’égard des anciens qui ont contribué au destin du club »[17],[18].
Nimes
[modifier | modifier le code]Le , sa signature à l'USAM Nîmes Gard est officialisée pour une durée de deux ans et une reconversion au sein du club[19].
Il prolonge finalement son contrat d'une saison, soit jusqu'en [20]. Il joue ainsi le dernier match de sa carrière le [21].
Équipe de France
[modifier | modifier le code]Michaël Guigou connait sa première sélection en équipe de France en contre le Japon. Il doit toutefois attendre les Jeux olympiques de 2004 à Athènes pour participer à sa première compétition majeure. Malheureusement, la défaite en quart de finale face à la Russie est un mauvais souvenir pour Guigou et les Français.
Lors du mondial 2005 en Tunisie, il fait partie de la sélection française qui participe à la dernière compétition internationale de Jackson Richardson. La France termine finalement à la troisième place, offrant une dernière médaille à son capitaine et une première à Guigou.
L'année suivante, la sélection remporte la dernière médaille qui manque à son palmarès : le championnat d'Europe disputé en Suisse. Guigou remporte à cette occasion son premier titre avec les Bleus. Lors de la demi-finale du mondial 2007, disputé en Allemagne, Guigou fait l'objet d'une décision qui laissera un goût amer aux Français : alors que les Allemands mènent d'un but à quelques secondes du terme de la deuxième prolongation, Michaël Guigou intercepte une balle, se débarrasse d'un adversaire et marque. Mais à la stupeur du camp français, les arbitres refusent le but pour une faute sur le Français. Le coup franc qui suit ne donnera rien et la France est éliminée[22]. Elle termine finalement à la quatrième place.
Opéré à la cheville après également avoir souffert de périostite tibiale, il ne peut participer au championnat d'Europe 2008. Malgré son manque de préparation et de compétition, il est retenu pour les Jeux olympiques de 2008 de Pékin. Toutefois, bien que la France remporte son premier titre olympique, Guigou ressent un certain sentiment d'échec sur le plan personnel : blessé à une cheville pendant la compétition, sa contribution à son équipe ne répond pas à son attente.
Avec Jérôme Fernandez, lui aussi très motivé après sa blessure de Pékin, Michaël Guigou est l'un des éléments majeurs du succès de l'équipe de France lors du mondial 2009 disputé en Croatie. La France dispute la finale face à l'autre grand favori de la compétition : la sélection croate qui évolue à domicile. La France remporte la finale sur le score de 24 à 19. Guigou pour sa part marque 10 buts sur 12 tirs tentés, dont un sept sur sept au jet de sept mètres. Il termine la compétition avec 52 buts et meilleur marqueur français. Il est également élu meilleur ailier gauche du tournoi.
Lors de la finale du Championnat d'Europe 2014 contre l'équipe du Danemark évoluant à domicile, il finit meilleur marqueur du match avec 10 buts.
Lors du Championnat du monde 2019, il est nommé capitaine de l'équipe de France a la suite de l'annonce du forfait de Cédric Sorhaindo[23]. Si ce dernier reprend le capitanat au Championnat d'Europe 2020, la contreperformance française et la saison perturbée par la pandémie de Covid-19 conduit Sorhaindo à se mettre en retrait en , Michaël Guigou devenant alors le nouveau capitaine de l'équipe de France[24]. Il étrenne ainsi son nouveau rôle à l'occasion des deux matchs de qualification pour l'Euro 2022 qui ont précédé le Championnat du monde 2021.
Pour ses deux premiers matchs en un an depuis le fiasco de l'Euro 2020 et la nomination de Guillaume Gille, la France rate cette double confrontation face à la Serbie (une défaite et un nul) et part alors avec pleins d'inconnues en Égypte. Mais les Bleus réalisent un premier match parfait face à la Norvège et enchaine 6 victoires pour atteindre les quarts de finales de la compétition. Opposée à la Hongrie, la France rate son début de match (1-7 à la 11e minute) avant que Guigou ne marque 5 buts en l'espace de 10 minutes pour remettre les Français dans le match (7-9)[25]. Finalement qualifiés pour les demi-finales, Guigou et les siens s'inclinent face à la Suède puis l'Espagne pour terminer au pied du podium.
Fin , à l'occasion du match de qualification pour l'Euro 2022 disputé en Grèce, Michaël dépasse la barre symbolique des 1 000 buts pour son 298e match en équipe de France[4]. Il rejoint le cercle très fermé des meilleurs réalisateurs français où l'attendaient Jérôme Fernandez (1 463 buts), Nikola Karabatic (1210) et Frédéric Volle (1016).
Lors des Jeux olympiques de Tokyo 2020, il est le capitaine de l'équipe de France qui remporte son troisième titre olympique le 7 août 2021 en battant le Danemark en finale (25-23).
Poste
[modifier | modifier le code]Droitier, il évolue sur le poste d'ailier gauche. Il figure sur ce poste parmi les meilleurs joueurs au monde.
Ses entraîneurs, tant Patrice Canayer à Montpellier que Claude Onesta avec la France, utilisent ses qualités de vitesse et de technique sur le poste de demi-centre. Il a, en effet, occupé de manière prioritaire cette position avec Montpellier lorsque ce dernier club ne possédait pas de réel demi-centre de métier dans son effectif. En plus de ses qualités physiques et techniques lui permettant d'évoluer comme demi-centre, il aime faire jouer et réussir ses coéquipiers, ce qui le prédispose à jouer à ce poste[8].
Avec la France, il est souvent utilisé à ce poste lorsque les Français jouent en infériorité numérique. Son agilité et sa qualité technique, lui permettent de gagner ses duels, ce qui lui permet soit de marquer directement, soit de libérer un espace pour les deux autres arrières.
Il est décrit par son entraîneur de club Patrice Canayer comme étant « pas très expansif, plutôt timide et plein de retenue »[8].
Palmarès
[modifier | modifier le code]Sélection nationale
[modifier | modifier le code]- 5e place aux Jeux olympiques de 2004 à Athènes
- Médaille d'or aux Jeux olympiques de 2008 de Pékin
- Médaille d'or aux Jeux olympiques de 2012 de Londres
- Médaille d'argent aux Jeux olympiques de 2016 de Rio de Janeiro
- Médaille d'or aux Jeux olympiques de 2020 de Tokyo
- Médaille de bronze au Championnat du monde 2005 en Tunisie
- 4e place au Championnat du monde 2007 en Allemagne
- Médaille d'or au Championnat du monde 2009 en Croatie
- Médaille d'or au Championnat du monde 2011 en Suède
- 6e place au Championnat du monde 2013 en Espagne
- Médaille d'or au Championnat du monde 2015 au Qatar
- Médaille d'or au Championnat du monde 2017 en France
- Médaille de bronze au Championnat du monde 2019 au Danemark et en Allemagne
- 4e place au Championnat du monde 2021 en Égypte
- Médaille d'or au championnat d'Europe 2006 en Suisse
- Médaille d'or au Championnat d'Europe 2010 en Autriche
- 11e place au Championnat d'Europe 2012 en Serbie
- Médaille d'or au Championnat d'Europe 2014 au Danemark
- 5e place au Championnat d'Europe 2016 en Pologne
- Médaillé de bronze au Championnat d'Europe 2018 en Croatie
- 14e place au Championnat d'Europe 2020 en Autriche, en Norvège et en Suède
Club
[modifier | modifier le code]- Compétitions internationales
- Vainqueur de la Ligue des champions (2) : 2003, 2018
- Finaliste de la Coupe de l'EHF en 2014
- Compétitions nationales
- Vainqueur du Championnat de France (10) : 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012
- Vainqueur de la Coupe de France (11) : 2001, 2002, 2003, 2005, 2006, 2008, 2009, 2010, 2012, 2013, 2016
- Vainqueur de la Coupe de la Ligue (10) : 2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011, 2012, 2014, 2016
- Vainqueur du Trophée des Champions (3) : 2010, 2011, 2018
Distinctions
[modifier | modifier le code]- Chevalier de la Légion d'honneur (14 novembre 2008)[26] puis Officier de la Légion d'honneur (8 septembre 2021)[27]
- Officier de l'ordre national du Mérite[28]
- Élu meilleur ailier gauche du championnat de France (11) : 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2009, 2010, 2011, 2014, 2015, 2018
- Élu meilleur ailier gauche du Championnat du monde 2009 en Croatie[29]
Statistiques en club
[modifier | modifier le code]Saison | Club | Championnat | Coupe nationale | Coupe de la Ligue | Supercoupe | Compétition(s) continentale(s) |
Total | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Division | M. | M. | M. | M. | Comp. | M. | M. | ||||||||
1999-2000 | Montpellier Handball | Division 1 | 0 | 0 | - | - | C1 | 0 | 0 | ||||||
2000-2001 | Montpellier Handball | Division 1 | 8 | 0 | - | - | C1 | 0 | 8 | ||||||
2001-2002 | Montpellier Handball | Division 1 | 20 | 0 | - | - | C2 | 0 | 20 | ||||||
2002-2003 | Montpellier Handball | Division 1 | 20 | 0 | - | - | C1 | 12 | 32 | ||||||
2003-2004 | Montpellier Handball | Division 1 | 18 | - | - | - | C1 | 5 | 23 | ||||||
2004-2005 | Montpellier Handball | Division 1 | 24 | 0 | - | - | C1 | 11 | 35 | ||||||
2005-2006 | Montpellier Handball | Division 1 | 24 | 0 | 2 | - | C1 | 10 | 36 | ||||||
2006-2007 | Montpellier Handball | Division 1 | 24 | 0 | - | - | C1 | 8 | 32 | ||||||
2007-2008 | Montpellier Handball | Division 1 | 8 | 1 | - | - | C1 | 4 | 13 | ||||||
2008-2009 | Montpellier Handball | Division 1 | 21 | 2 | 1 | - | C1 | 9 | 33 | ||||||
2009-2010 | Montpellier Handball | Division 1 | 25 | 2 | 3 | - | C1 | 13 | 43 | ||||||
2010-2011 | Montpellier Handball | Division 1 | 20 | 0 | 1 | 2 | C1 | 11 | 34 | ||||||
2011-2012 | Montpellier Handball | Division 1 | 26 | 1 | 1 | - | C1 | 4 | 32 | ||||||
2012-2013 | Montpellier Handball | Division 1 | 21 | 1 | 1 | - | C1 | 8 | 31 | ||||||
2013-2014 | Montpellier Handball | Division 1 | 19 | 0 | 3 | 0 | C3 | 5 | 27 | ||||||
2014-2015 | Montpellier Handball | Division 1 | 25 | 3 | 1 | 2 | C1 | 11 | 42 | ||||||
2015-2016 | Montpellier Handball | Division 1 | 24 | 3 | 3 | 0 | C1 | 14 | 44 | ||||||
2016-2017 | Montpellier Handball | Starligue | 17 | 3 | 0 | 2 | C1 | 12 | 34 | ||||||
2017-2018 | Montpellier Handball | Starligue | 25 | 3 | 2 | 2 | C1 | 18 | 50 | ||||||
2018-2019 | Montpellier Handball | Starligue | 19 | 4 | 4 | 0 | C1 | 9 | 36 | ||||||
Sous-total | 1273 | 66 | 73 | 18 | - | 563 | 1993 | ||||||||
2019-2020 | USAM Nîmes Gard | Starligue | 28 | 1 | 3 | - | C3 | 10 | 42 | ||||||
2020-2021 | USAM Nîmes Gard | Starligue | 27 | 0 | 2 | - | C3 | 13 | 42 | ||||||
Sous-total | 113 | 0 | 15 | - | - | 43 | 171 | ||||||||
Total sur la carrière | 1386 | 66 | 88 | 18 | - | 689 | 2247 |
Galerie
[modifier | modifier le code]-
En 2010
-
En 2010
-
En 2012
-
En 2018
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Fiche de Michaël Guigou en coupes d'Europe », sur Site officiel de l'EHF (consulté le ).
- « Profil de Michaël Guigou en championnat de France », sur Site officiel de la LNH (consulté le ).
- « Fiche de Michaël Guigou »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Fédération française de handball (consulté le ).
- « Michaël Guigou dépasse les 1 000 buts en équipe de France », L'Equipe, (consulté le ).
- Ouest-France, « Handball. Michaël Guigou nommé sélectionneur de l’équipe de France masculine U17 », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
- Alexis CZAJA, « EN IMAGES. Handball : Michaël Guigou, une légende prend sa retraite », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
- « Cédric Sorhaindo, Michaël Guigou et Luc Abalo intronisés parmi les légendes des Bleus », sur L'Équipe (consulté le ).
- Laurent Moisset, « Guigou marche à l'ombre », L'Équipe, no 20650,
- « Bana : «Un système unique» », sur L'Équipe.fr, (consulté le ).
- « Le Championnat 2000-2001 est fini ! », sur Handzone.net, (consulté le ).
- « Ce sont des géants ! », le livre de l'année 2003, l'Équipe
- « Michaël Guigou n'est plus capitaine à Montpellier », L'Équipe, (consulté le ).
- « Le capitaine, c'est Canayer », L'Équipe, (consulté le ).
- « Montpellier et Guigou, c'est bel et bien (bientôt) fini », Midi libre, (consulté le ).
- « Montpellier prépare la suite sans Michaël Guigou », sur handzone.net, (consulté le ).
- « Michaël Guigou règle ses comptes avec le MHB et Patrice Canayer », Midi libre, (consulté le ).
- « Michaël Guigou règle ses comptes », sur handnews.fr, (consulté le ).
- « Michael Guigou "Je voulais être l'homme d'un seul club" », sur handzone.net, (consulté le ).
- « C'est officiel... Michael Guigou sera nîmois la saison prochaine », sur handzone.net, (consulté le ).
- « Handball : Guigou, à 39 ans, prolonge le plaisir d'une saison avec l'USAM », sur midilibre.fr (consulté le ).
- « La star du handball français, Michaël Guigou, joue son dernier match mercredi avec Nîmes, à 40 ans », sur eurosport.fr, (consulté le ).
- « Fiche du match Allemagne-France (Demi-finale CM2007) », sur Eurosport.fr (consulté le ).
- « Michaël Guigou est le nouveau capitaine de l'équipe de France », L'Équipe, (consulté le ).
- « Michaël Guigou succède à Cédric Sorhaindo qui s'éloigne des Bleus », sur Handzone.net, (consulté le ).
- « Ils souffrent, on souffre mais ils GAGNENT !!! », sur Handzone.net, (consulté le ).
- « Décret du 14 novembre 2008 portant promotion et nomination », Journal officiel du 15 novembre 2008 (consulté le ).
- https://www.legiondhonneur.fr/sites/default/files/lh_20210910.pdf
- « Décret du 14 mai 2013 portant promotion et nomination - », Journal officiel du 15 mai 2013 (consulté le ).
- (en) « Equipe-type du championnat du monde 2009 en Croatie », sur Site officiel de l'IHF, (consulté le ).
- « Fiche de Michaël Guigou », sur Handzone.net.
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives au sport :
- Handballeur international français
- Joueur du Montpellier Handball
- Joueur de l'USAM Nîmes Gard
- Champion olympique français
- Champion olympique de handball
- Médaillé d'argent olympique français
- Handballeur aux Jeux olympiques d'été de 2004
- Handballeur aux Jeux olympiques d'été de 2008
- Handballeur aux Jeux olympiques d'été de 2012
- Handballeur aux Jeux olympiques d'été de 2016
- Handballeur aux Jeux olympiques d'été de 2020
- Champion du monde français de handball
- Champion d'Europe de handball
- Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 2008
- Officier de l'ordre national du Mérite
- Naissance en janvier 1982
- Naissance à Apt