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Combat de la forêt de Serma (2019)

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Combat de la forêt de Serma

Informations générales
Date -
Lieu Forêt de Serma
Issue Victoire française
Belligérants
Drapeau de la France France Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans
Forces en présence
Inconnues Inconnues
Pertes
Aucune ~ 15 morts[1],[2]
5 prisonniers[2]

Guerre du Mali

Batailles

Coordonnées 14° 51′ 25″ nord, 2° 15′ 48″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Mali
(Voir situation sur carte : Mali)
Combat de la forêt de Serma
Géolocalisation sur la carte : Afrique
(Voir situation sur carte : Afrique)
Combat de la forêt de Serma
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
Combat de la forêt de Serma

Le combat de la forêt de Serma a lieu du au pendant la guerre du Mali.

Forces en présence

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Début janvier 2019, l'armée française mène plusieurs opérations dans la forêt de Serma, près de la ville de Boni, dans le Cercle de Douentza[1],[2]. Celles-ci sont conduites par le groupement tactique désert (GTD) Picardie et avec l'appui des hélicoptères du groupement tactique désert aérocombat (GTD-A)[3]. Les Français mènent l'attaque en coordination avec l'armée malienne et mobilisent des éléments des commandos de montagne et des commandos parachutistes[2].

L'offensive est menée contre la katiba Serma, affiliée au Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans[4].

Déroulement

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Dans la nuit du 4 au 5 janvier, deux opérations héliportées appuyées par une frappe aérienne sont effectuées au nord et au sud de la forêt[1]. Des djihadistes sont neutralisés au cours de l'une d'entre elles[1],[2],[3],[5].

Une nouvelle opération est effectuée dans la nuit du 8 au 9 janvier[1]. La zone boisée est fouillée, une zone d'entraînement et une base logistique sont découvertes[1]. Plusieurs véhicules, des engins explosifs improvisés, de l'armement et des munitions sont saisis[1],[3].

Selon l'état-major des armées françaises, une vingtaine de terroristes ont été mis « hors de combat » — tués ou capturés — lors des opérations[1],[2],[3]. Selon RFI, cinq djihadistes ont ��té faits prisonniers, dont un cadre de la katiba Serma et des membres de sa garde rapprochée[2].

Références

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