Cheval de guerre (film)
Titre original | War Horse |
---|---|
Réalisation | Steven Spielberg |
Scénario |
Lee Hall Richard Curtis |
Musique | John Williams |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
DreamWorks SKG Reliance Entertainment Amblin Entertainment The Kennedy/Marshall Company |
Pays de production | États-Unis |
Genre | guerre |
Durée | 146 minutes |
Sortie | 2011 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Cheval de guerre (War Horse) est un film américain réalisé par Steven Spielberg et sorti en 2011. Il s'agit d'une adaptation de la pièce de théâtre du même nom par Nick Stafford. Elle-même adaptée d'un roman de Michael Morpurgo.
Le film rend notamment hommage aux huit millions de chevaux sacrifiés durant la Première Guerre mondiale. Il reçoit des critiques globalement positives et réalise de bons résultats au box-office.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Le jeune Albert vit avec ses parents dans une ferme louée dans le comté de Devon en Angleterre et assiste émerveillé à la naissance d'un joli poulain, qui malheureusement sera vendu. Quelques années plus tard, son père achète à prix d'or (30 guinées) un magnifique cheval, fasciné par cet animal ombrageux hors du commun. La mère accepte mal ce cheval, un demi-sang qui, a priori, ne pourra pas tirer la charrue, dit-elle. Mais Albert reconnaît le poulain et le nomme Joey. Albert parvient à apaiser le cheval. Ensemble, ils réussissent à labourer un champ. Un vrai exploit très important pour eux, car ils avaient promis au propriétaire de leur ferme de labourer le champ pour y faire pousser des navets afin de régler leur dette. Mais en ces temps de Première Guerre mondiale, l'animal est vendu à la cavalerie britannique et envoyé au front, il passe donc du champ de labour au champ de bataille. Albert se voit alors obligé de s'engager à son tour et vit une aventure atypique, côtoyant des soldats au front, il découvre l'horreur de la guerre. Une petite fille, vivant avec son grand-père, trouve Joey et Topthorn, son compagnon, tous deux échappés. Elle essaye d'apprendre à Joey à sauter, essaye de le monter, car elle n'a pas peur. Malheureusement, les Forces Allemandes arrivent et réquisitionnent de la nourriture et des ustensiles au grand-père. Pendant ce temps, la petite fille est partie cacher les deux chevaux dans sa chambre.
Le lendemain, elle rencontre à nouveau les soldats allemands qui emportent les chevaux pour les utiliser dans les combats. Le grand-père, très malheureux, est bien décidé à les retrouver. Durant son périple, Joey ne laisse personne indifférent car, par sa présence et son comportement, il donne espoir aux soldats qui l'entourent. Les deux amis, Albert et Joey, se retrouveront après bien des souffrances.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
- Titre original : War Horse
- Titre français : Cheval de guerre
- Réalisation : Steven Spielberg
- Scénario : Lee Hall et Richard Curtis, d'après la pièce de théâtre par Nick Stafford (en)
- Musique : John Williams
- Direction artistique : Andrew Ackland-Snow, Alastair Bullock, Molly Hughes, Neil Lamont et Gary Tomkins
- Décors : Rick Carter
- Costumes : Joanna Johnston
- Directeur de la photographie : Janusz Kamiński
- Montage : Michael Kahn
- Son : Richard Hymns
- Production : Steven Spielberg, Revel Guest, Kathleen Kennedy, Frank Marshall
- Coproduction : Adam Somner
- Sociétés de production : DreamWorks Pictures, Reliance Entertainment, Amblin Entertainment et The Kennedy/Marshall Company[1]
- Société de distribution : Walt Disney Studios Motion Pictures à travers la bannière de Touchstone Pictures[2],[3]
- Budget : 66 millions de dollarsUS[4]
- Pays de production : États-Unis, Inde
- Langue originale : anglais
- Format : couleur - 35 mm - 2,35 : 1 - son Dolby Digital
- Genre : guerre, drame historique
- Durée : 146 minutes
- Dates de sortie[5] :
- États-Unis :
- Belgique :
- France :
- Classification[6] :
Distribution
[modifier | modifier le code]- Jeremy Irvine (VF : Donald Reignoux ; VQ : Gabriel Lessard) : Albert Narracott
- Tom Hiddleston (VF : Alexis Victor ; VQ : Nicolas Charbonneaux-Collombet) : le capitaine Nicholls
- Benedict Cumberbatch (VF : Fabien Jacquelin ; VQ : Frédéric Paquet) : le major Stewart
- Emily Watson (VF : Isabelle Gardien ; VQ : Valérie Gagné) : Rose Narracott, la mère d'Albert
- David Thewlis (VF : Lionel Tua ; VQ : Denis Gravereaux) : Lyons
- David Kross (VF : Alexis Tomassian ; VQ : Nicolas Bacon) : Gunther
- Geoff Bell (VF : Jean-François Vlérick ; VQ : Benoît Rousseau) : le sergent Sam Perkins
- Peter Mullan (VQ : Manuel Tadros) : Ted Narracott, le père d'Albert
- Niels Arestrup (VF : lui-même ; VQ : lui-même) : grand-père
- Patrick Kennedy (VF : Yoann Sover) : le lieutenant Charley Waverly
- Nicolas Bro : Friedrich
- Toby Kebbell (VF : Damien Boisseau ; VQ : Pierre-Yves Cardinal) : Colin « Geordie »
- Rainer Bock : Brandt
- Robert Emms (VF : Jean-Christophe Dollé) : David Lyons
- Céline Buckens (VF : elle-même) : Émilie, la jeune fille française
- Leonhard Carow (en) : Michael
- Matt Milne (VF : Brice Ournac) : Andrew Easton
- Eddie Marsan (VF : Gérard Darier) : le sergent Fry
- Gary Lydon (en) (VF : Michel Dodane) : Si Easton
- Tony Pitts (en) (VF : Sylvain Lemarié) : le sergent Martin
- Irfan Hussein : le sergent-major Singh
- Pip Torrens : le major Tompkins
- Peter O'Connor (V. F. : Axel Kiener) : Peter
- Gerard McSorley (VF : Vincent Grass) : un participant aux enchères
- Liam Cunningham (VF : Georges Claisse) : le médecin militaire
- Hinnerk Schönemann : le soldat allemand dans le no man's land
- Sebastian Hülk : l'officier allemand dans la ferme
- Philippe Nahon (VF : lui-même) : le commissaire priseur
- Jean-Claude Lecas (VF : lui-même) : le boucher de Cambrai
- Justin Brett (de) : le motocycliste
- Maximilian Brückner : l'officier d'artillerie allemand
Source et légende : Version française (VF) sur Voxofilm[7] et Version québécoise (VQ)
Production
[modifier | modifier le code]Genèse et développement
[modifier | modifier le code]En 2009, Kathleen Kennedy, productrice régulière de Steven Spielberg depuis E.T., l'extra-terrestre (1982), est séduite par la pièce de théâtre Cheval de guerre jouée à Londres et tirée du roman du même nom de l'auteur britannique de littérature jeunesse Michael Morpurgo. Elle déclare notamment « J'y avais emmené mes enfants. J'ai adoré et j'en ai parlé à Steven. » Lui aussi ému par la pièce, le cinéaste décide de porter à l’écran cette émouvante histoire d’amitié entre un jeune garçon et son cheval[8]. Le producteur Frank Marshall, époux de Kathleen Kennedy et qui lui aussi avait beaucoup aimé la pièce s'étonne alors que personne n'ait acquis les droits pour en faire un film[9],[10].
Fin 2009, il est annoncé que DreamWorks a acquis les droits du livre. Steven Spielberg déclare alors : « Dès le moment où j'ai lu le roman War Horse de Michael Morpurgo, j'ai su que c'était un film que je voulais que DreamWorks fasse… Son cœur et son message fournissent une histoire qui peut être ressentie dans tous les pays[11],[12]. »
Stacey Snider de DreamWorks suggère alors d'engager Richard Curtis pour retravailler le script, après avoir collaboré lorsqu'elle travaillait chez Universal Pictures[13]. Fan de sa série La Vipère noire, Steven Spielberg n'avait alors jamais rencontré Richard Curtis[14]. Tout d'abord réticent à participer au projet, ce dernier se laisse convaincre après une rencontre avec Steven Spielberg[14]. Richard Curtis explique que le scénario est plus proche du livre que de la pièce[15]. Il fera une douzaine d'ébauches en trois mois[16].
Alors qu'il avait songé à n'être que producteur du film, Steven Spielberg décide de le réaliser après avoir lu le script de Richard Curtis[17],[18].
Attribution des rôles
[modifier | modifier le code]La majorité des acteurs est annoncée en juin 2010[19],[20]. Alors que des rumeurs liaient Eddie Redmayne au rôle d'Albert Narracott[21], c'est finalement l'inconnu Jeremy Irvine qui est choisi. Steven Spielberg explique qu'après avoir vu des centaines de jeunes garçons, le jeune homme est entré et a fait une lecture à froid avec une « performance [...] très naturelle, très authentique[22]. »
Steven Spielberg réunit une distribution européenne[23] : des Britanniques des Français et des Allemands jouant des personnages des mêmes nationalités[24]. Robert Emms, qui jouait Albert Narracott dans la pièce à West End, est engagé pour interpréter David Lyons[25].
La petite-fille du capitaine Budgett, qui a en partie inspiré le roman original, est figurante lors du tournage à Castle Combe[26]. L'auteur Michael Morpurgo fait lui-même un caméo avec son épouse[27],[28].
Tournage
[modifier | modifier le code]Le tournage dure 64 jours et débute en août 2010[29]. L'un des premiers lieux utilisés est le château Stratfield Saye House dans le nord du Hampshire[30].
Les prises de vues ont également lieu dans la région montagneuse du Dartmoor dans le Devon[31], notamment à Meavy, Sheepstor, le Burrator Reservoir (en), Widecombe-in-the-Moor ou encore Haytor[32],[33]. La Ditsworthy Warren House (en), monument classé, est utilisée pour la maison de la famille Narracott[32],[34],[35].
Le film est également tourné à Castle Combe, un petit village situé à quelques kilomètres de Bristol en Grande-Bretagne, dans le comté de Wiltshire, considéré selon les touristes qui s'y rendent comme étant « le plus beau village d'Angleterre ». Steven Spielberg a décidé d'y tourner car le village paraît encore d'époque, et la nature y est laissée sauvage, ce qui offre de très bonnes conditions pour tourner un film d'époque, ici sur la Première Guerre mondiale. D'ailleurs, des scènes de films récents, tels que Wolfman, Stardust, le mystère de l'étoile et, plus ancien, L'Extravagant Docteur Dolittle, y ont été tournées[36]. L'équipe de tournage a également utilisé les Longcross Studios dans le Surrey[37].
Ce film nécessite 400 personnes qui travaillent sur le plateau[36]. Plus de 300 chevaux sont utilisés pour le film dont 14 pour Joey[38].
-
La Ditsworthy Warren House à Dartmoor
-
Burrator Reservoir
Bande originale
[modifier | modifier le code]Original Motion Picture Soundtrack
Sortie | 18 novembre 2018 |
---|---|
Durée | 65:26 |
Genre | musique de films |
Format | CD, digital |
Compositeur | John Williams |
La musique du film est composée par John Williams, fidèle collaborateur de Steven Spielberg.
- Liste des titres
- Dartmoor, 1912 - 3:35
- The Auction - 3:34
- Bringing Joey Home, and Bonding - 4:42
- Learning the Call - 3:20
- Seeding, and Horse vs Car - 3:33
- Plowing - 5:10
- Ruined Crop, and Going to War - 3:29
- The Charge and Capture - 3:21
- The Desertion - 2:33
- Joey’s New Friends - 3:30
- Pulling the Cannon - 4:11
- The Death of Topthorn - 2:45
- No Man’s Land - 4:35
- The Reunion - 3:55
- Remembering Emilie, and Finale - 5:07
- The Homecoming - 8:06
Sortie et accueil
[modifier | modifier le code]Accueil critique
[modifier | modifier le code]Site | Note |
---|---|
Metacritic | 72/100[39] |
Rotten Tomatoes | 74 %[40] |
Allociné | [41] |
Périodique | Note |
---|---|
20 Minutes | [41] |
Écran Large | [41] |
Le Monde | [41] |
Télérama | [41] |
La Croix | [41] |
L'Express | [41] |
Libération | [41] |
Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 74 % d'opinions favorables pour 235 critiques[40]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 72⁄100 pour 40 critiques[39].
En France, le site Allociné propose une note moyenne de 3,5⁄5 à partir de l'interprétation de critiques provenant de 30 titres de presse[41].
Box-office
[modifier | modifier le code]Même s'il n'est pas l'un des plus gros succès commerciaux du réalisateur, Cheval de guerre récolte plus de 177 millions de dollars dans le monde pour un budget de 66 millions[4].
Pays ou région | Box-office | Date d'arrêt du box-office | Nombre de semaines |
---|---|---|---|
États-Unis, Canada | 79 884 879 $[4] | [42] | 19[42] |
France | 715 975 entrées[43] | - | -
|
Total mondial | 177 584 879 $[4] |
Distinctions
[modifier | modifier le code]Nominations et récompenses
[modifier | modifier le code]Six nominations lors de la 84e cérémonie des Oscars () :
- Meilleur film (Steven Spielberg et Kathleen Kennedy)
- Meilleure direction artistique (Rick Carter et Lee Sandales (en))
- Meilleure photographie (Janusz Kaminski)
- Meilleur montage de son (Richard Hymns et Gary Rydstrom)
- Meilleur mixage de son (Gary Rydstrom, Andy Nelson, Tom Johnson et Stuart Wilson)
- Meilleure musique de film (John Williams).
Commentaires
[modifier | modifier le code]Analyse
[modifier | modifier le code]À mille lieues des films à effets spéciaux, Steven Spielberg renoue avec une vraie esthétique picturale, aussi simple que travaillée. En effet, le film est structuré autour d'épisodes, de tableaux qui racontent de petites histoires qui, mises côte à côte, forment un récit plus large. Le décor est donc acteur à part entière du film. Bien plus, il permet de traduire ce qu'éprouve et ce que vit le cheval[44].
Inexactitudes historiques
[modifier | modifier le code]Le film perpétue une idée fausse : lorsque Joey est blessé en 1918, un médecin affirme : « Il n'y a pas de vétérinaires. Il ne reste quasiment plus de chevaux. » Si le cheval n'est plus employé par la cavalerie en 1918, on s'en sert toujours comme animal de traction. Les belligérants emploient en fait plus de chevaux à la fin de la guerre qu'au début[45].
Anachronisme
[modifier | modifier le code]Les soldats allemands ne peuvent pas avoir en 1914 un casque Stahlhelm. Ce modèle n'est apparu qu'au début de 1916.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Compagnies de production - Internet Movie Database
- Justin Chang, « War Horse: Review », Variety, (lire en ligne, consulté le )
- Claudia Eller, « DreamWorks gets Disney cash in distribution deal », Los Angeles Times, (lire en ligne)
- (en) « War Horse », sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Release info » (dates de sortie), sur l'Internet Movie Database
- « Parental guide » ((en) guide parental), sur l'Internet Movie Database
- « Fiche doublage V. F. du film » sur Voxofilm, consulté le 22 mars 2012
- « Le cheval de guerre par Steven Spielberg », blog clic-cheval.com.
- Alison Rowat, « Legend in his own lunchtime », The Herald, Glasgow, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Jo Wadham, « Interview with author Michael Morpurgo », The National, Abu Dhabi, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Jay A. Fernandez, « DreamWorks goes to 'War' », The Hollywood Reporter, Los Angeles, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Lucy Bannerman, « Theatre hit heads for Hollywood as Steven Spielberg buys War Horse rights », The Times, London, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- « War Horse (2011) » [archive du ], Classic FM (consulté le )
- (en) Ian Freer, « Spielberg Special Part Two: War Horse », Empire, , p. 100–106 (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Randee Dawn, « Born on Broadway isn't a sure pedigree », Los Angeles Times, Los Angeles, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Stephen Galloway, « 'War Horse': The Making of Steven Spielberg's WWI Epic », The Hollywood Reporter, Los Angeles, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Peter Newcomb, « The Auteur and the Executive », Wall Street Journal, New York, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Pamela McClintock, « Spielberg rides with 'War Horse' », Variety, Los Angeles, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Ian Freer, « Exclusive: War Horse Cast Announced » [archive du ], sur Empire, (consulté le )
- « Steven Spielberg announces War Horse cast », BBC News Online, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Mathew Tyler, « Spielberg Casts Eddie Redmayne As 'War Horse' Lead » [archive du ], sur Thefilmstage.com, (consulté le )
- (en) Laura Jacobs, « Horseplay », Vanity Fair, , p. 138
- Jerome Taylor, « Europe's finest join up for 'War Horse' », The Independent, London, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Harry Haun, « PLAYBILL ON OPENING NIGHT: War Horse — The Neighs Have It » [archive du ], sur Playbill.com, (consulté le )
- « Robert Emms » [archive du ], sur Curtis Brown Literary and Talent Agency (consulté le )
- Andy Bloxham, « War Horse author Michael Morpurgo's chance meet with granddaughter of story's inspiration », Daily Telegraph, London, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Nigel Powlson, « From West End to Hollywood as John's songs woo Spielberg », Derby Telegraph, Derby, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Jo Wadham, « Interview with author Michael Morpurgo », The National, Abu Dhabi, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Stephen Schaefer, « Spielberg on 'War Horse' », Boston Herald, Boston, US, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Marcus Armytage, « Jockeys jump at the chance to help Spielberg », The Daily Telegraph, London, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- « Steven Spielberg arrives in Devon to film new movie War Horse », Small World News Service, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- « Experience the War Horse landscape in Dartmoor National Park », Dartmoor National Park Authority (en), (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- Emma Pearcy, « The day Steven Spielberg came to see our piglets », Herald Express (en), Torquay, (lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (en) « Dartmoor News: War Horse at Ditsworthy » [archive du ], Dartmoor News Magazine (consulté le )
- « Plymouth Ramblers: Pictures and Maps from some of our walks » [archive du ], Plymouth Ramblers (consulté le )
- Christophe Carrière, « Sur le tournage du Cheval de guerre de Steven Spielberg », sur L'Express, (consulté le )
- « Filming & production » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database
- Secrets de tournage - Allociné
- (en) « Cheval de guerre Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
- (en) « Cheval de guerre (2011) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
- « Cheval de guerre - critiques presse », sur Allociné (consulté le )
- (en) « War Horse - weekly », sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Cheval de Guerre », sur JP's Box-office (consulté le )
- Émilie Combes, « Le Genre Humain », le 27 février 2012, analyse et critique de Cheval de guerre, à lire sur L'Intermède.
- Gene Tempest, Spielberg à cheval, in : L'Histoire, no 372, février 2012, p. 31.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Frédéric Strauss, « Le cheval de bataille de Spielberg. Albert ne quitte jamais son cheval Joey. Mais vient la guerre, qui les sépare... Un conte où le réalisateur dit toute son aversion pour les champs d'horreur. », Télérama no 3284-3285, Télérama SA, Paris, p. 89, , (ISSN 0040-2699)
- Jacques Morice, « Cheval de guerre », ibid., p. 144
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste de films sur la Première Guerre mondiale
- Cheval durant la Première Guerre mondiale
- Rôle du cheval dans la guerre
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Film scénarisé par Richard Curtis
- Film américain sorti en 2011
- Film dramatique américain
- Film de guerre américain
- Film sur la mort
- Film à énigme
- Film sur la Première Guerre mondiale
- Film réalisé par Steven Spielberg
- Film avec une musique composée par John Williams
- Adaptation d'un roman britannique au cinéma
- Adaptation d'un roman de jeunesse au cinéma
- Film mettant en scène un cheval
- Film se déroulant dans les années 1910
- Film se déroulant en Belgique
- Film se déroulant dans le Devon
- Film se déroulant en France
- Film tourné dans le Devon
- Film tourné dans le Hampshire
- Film tourné aux Longcross Studios
- Film tourné dans le Surrey
- Film tourné dans le Wiltshire
- Film tourné aux studios de Twickenham
- Film nommé aux Oscars
- Film nommé aux Golden Globes
- Film partiellement en noir et blanc
- Film de The Kennedy/Marshall Company
- Film d'Amblin Entertainment
- Film de DreamWorks
- Film classé PG-13 aux États-Unis