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Porcelette

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Porcelette
Porcelette
Une vue du village de Porcelette.
Blason de Porcelette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Marie-France Guerriero
2020-2026
Code postal 57890
Code commune 57550
Démographie
Gentilé Porcelettois
Population
municipale
2 472 hab. (2021 en évolution de −0,92 % par rapport à 2015)
Densité 184 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 26″ nord, 6° 39′ 23″ est
Altitude Min. 213 m
Max. 342 m
Superficie 13,44 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Porcelette
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Avold (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Avold
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Porcelette
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Porcelette
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Porcelette
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Porcelette

Porcelette est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Lorraine, dans la grande région administrative Grand Est. Elle est localisée dans la région naturelle du Warndt et dans le bassin de vie de la Moselle-Est.

Géographie

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Le village de Porcelette se situe entre les agglomérations de Saint-Avold et de Creutzwald, au cœur d’une profonde vallée entourée de forêts, dans le massif du Warndt.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Bisten et le ruisseau de Diesen[Carte 1].

La Bisten, d'une longueur totale de 15,8 km en France, est une rivière franco-allemande qui prend sa source dans la commune de Bisten-en-Lorraine et conflue avec la Sarre, en rive gauche, à Wadgassen, en Allemagne[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Porcelette.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement délimité par un triangle formé par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[2]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Bisten, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Porcelette est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Porcelette[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,2 %), zones agricoles hétérogènes (15 %), zones urbanisées (12,9 %), prairies (9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), mines, décharges et chantiers (3,8 %), zones humides intérieures (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Du patronyme Porcelet + e, doit son nom à M. des Porcelets de Maillane, évêque de Toul[17].
  • Porceletz (1628), Porcelet (1688), La Porcelette (1756), La Pourcelette (1756), Porzelet (1915–1918), Grünwald (1940–1944).
  • En francique lorrain : Porzelett.

Les vestiges d’une voie romaine ont été découverts sur le ban de la commune, menant au village voisin de Boucheporn, centre important de production de céramique sigillée durant l’époque gallo-romaine. De plus, une nécropole gallo-romaine se situe sur son ban, ce qui confirme une occupation du lieu depuis l’Antiquité.

Le nom du village rappelle celui de son fondateur, Jean des Porcelets de Maillane, évêque de Toul et abbé commendataire de l’abbaye bénédictine de Saint-Avold (1581-1624). Le sanglier présent sur le blason du village rappelle également les armoiries de la famille des Porcelets. Le terrain sur lequel est fondé le village de Porcelette appartenait aux domaines fonciers de l’abbaye de Saint-Avold, dont Mgr des Porcelets de Maillane autorise le défrichement pour les promoteurs notables de Boucheporn et Saint-Avold, contre certaines redevances. Ainsi est créé sur le domaine royal de chasse de l’évêque de Metz, en 1611, un village d’une trentaine de maisons, au lieu-dit Krienwald ou Crewald. En 1621, on compte déjà cinquante-cinq chefs de famille, bourgeois, laboureurs, propriétaires et journaliers.

La guerre de Trente Ans (1618-1648) décime la localité et ce n’est qu’après le traité de Nimègue de 1678 et le traité de Ryswick en 1697 que la paix s’installe de façon durable dans la région. Le repeuplement et la réorganisation foncière peuvent alors se rétablir. Durant la révolution de 1789, le village fait partie du district de Sarrelouis, qui prend le nom de Sarrelibre. Il dépend tour à tour du canton de Berus en 1790, de Bisten-en-Sarre en 1795, de Sarrelouis en 1802 et enfin de Bouzonville en 1815. Ce n’est qu’en 1829 qu’il est définitivement rattaché au canton de Saint-Avold, avec le village de Diesen comme annexe de 1811 à 1954.

Après l’annexion de l’Alsace-Moselle au Reich en 1871, les mouvements migratoires s’accélèrent vers les colonies et vers la région parisienne. Durant les deux guerres mondiales, la germanisation et l’évacuation provoquent la dispersion d’un grand nombre d’habitants dans toute la France, et ce jusqu’à la libération en 1945. Le nom de la commune en allemand est Grünwald.

Depuis 1950, l’expansion des Houillères du Bassin de Lorraine, puis la création de la plate-forme chimique à Carling-Saint-Avold, apportent la prospérité et dynamise l’urbanisation par la création de plusieurs lotissements. Le puits de Vernejoul, dont les travaux débutent en 1954, est opérationnel dès 1959, mais la conjoncture économique de l’époque le maintiendra à l’arrêt. Il sert cependant de puits d’aération pendant de longues années. Transformés en centre aéré dans les années 1960, les bâtiments accueillent pour la journée les enfants du personnel des HBL, des villages et cités du bassin houiller. Démonté et reconstruit entre 1980 et 1985, il sert de puits principal de remontée du charbon, pour l’unité d’exploitation de la Houve. Un lavoir ultra moderne est également installé à proximité. Ces installations fonctionnent jusqu’en 2004, fin de l’exploitation minière. Le puits de Vernejoul et le lavoir sont démolis le [18]. Ils sont remplacés par le parc d’activités Composite Park.

Politique et administration

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Liste des maires

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Les maires de la commune depuis la Révolution française[19].

Maires depuis la Révolution française[19]
Période Identité Étiquette Qualité
1792   Hénin Nicolas    
An VIII (1800)   Jean-François Couturier    
1808 1812 Nicolas Hénin    
1813 1824 Charles Genvot (Genevaux)    
1824 1829 Nicolas Hénin (fils)    
1829 1830 Pierre Muller    
1830 1837 Mathias Weber    
1837 1843 Jean Kirchmann    
1843 1848 Jean-Pierre Dorr    
1848 1852 Julien Wagmann    
1852 1855 Nicolas Genvo (Genevaux)    
1855 1858 Louis Dorr    
1858 1871 Pierre Ney    
Les données manquantes sont à compléter.
Maires sous l’occupation allemande (maires nommés)[19]
Période Identité Étiquette Qualité
1871 démissionne Genvot Henry (Genevaux)    
1872 1873 Lambert Nicolas    
1873 1876 Jean-Georges Dorr    
1876 1879 Jean Bourger    
1879 1881 Nicolas Hochard    
1881 1883 Jean Baldauff    
1883 1886 Déchoux    
1886 1889 Jean Baldauff    
1889 1897 Dorr    
1897 1900 Dorr    
1900 1902 Genevaux    
1902 1911 Nicolas Fischer    
1911 1920 Pierre Nicolas    
Les données manquantes sont à compléter.
Maires élus (depuis 1920)[19]
Période Identité Étiquette Qualité
1920 1932 Henri Wermeister    
1932 1940 Nicolas Genevaux    
1940 1945 La commune est rattachée à L'Hôpital
et administrée par le commissaire allemand Edelmann
   
1945 1953 Auguste Baroth    
1953 1981 Pierre Baroth    
1981 mars 2008 René Olier SE  
mars 2008 juillet 2020 Eddie Muller SE[20].
DVD[réf. nécessaire]
Préparateur en pharmacie[réf. nécessaire]
juillet 2020 septembre 2020 Alain Risch   agent de maîtrise retraité
septembre 2020 En cours Marie-France Guerriero    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 2 472 habitants[Note 4], en évolution de −0,92 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871 1875
5326549021 1461 1921 1021 1561 0581 137
1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926
1 1321 0011 0581 0361 0981 2501 3261 3251 443
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
1 4631 4531 5031 1831 5531 6591 9182 0972 322
1999 2006 2008 2013 2018 2021 - - -
2 4582 4662 4692 5282 4802 472---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24]. |recens-prem=2008 |.)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Passage d'une voie romaine.[réf. souhaitée]
  • Nécropole gallo-romaine.[réf. souhaitée]
  • Moulin de Porcelette.
  • Puits de Vernejoul (fermé en 2004, démoli le [18], remplacé par le parc d’activités Composite Park).
  • La ferme Collmann qui est la plus ancienne maison de la commune (1611) : ancien monastère (jusqu'en 1789) devenu une ferme. Lors de la 2ème guerre mondiale, elle a été utilisée comme prison.

Édifices religieux

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  • L'église de la Croix Glorieuse[25] est construite dans le style néogothique entre 1885 à 1887, avec des plans de l'architecte C. Wahn[26]. Elle est érigée sur l’emplacement d’un premier édifice datant de 1622, dont seuls la tour-clocher subsiste, bien que consolidée et agrandie durant le XVIIIe siècle. Il s’agit d’un édifice de type église-halle de style néogothique, de plan allongé avec trois vaisseaux. L’église est couverte d’une voûte d’ogives et d’un toit à longs pans, avec croupe et flèche polygonale.
  • La chapelle Notre-Dame est reconstruite en 1826, à l’emplacement d’un édifice qui est dit ruiné en 1751, avant d’être très restaurée en 1884. Il s’agit d’un édifice en grès et pierre de taille, couvert d’un toit à longs pans avec croupe[27].
  • Une croix de chemin, au lieu-dit Neugelande auf der Hohe, date en 1740. Elle est érigée au carrefour d’anciens chemins, en un lieu alors appelé Glockenberg et réputé pour être le lieu des supplices[28].
  • Une réplique de la Grotte de Lourdes, Chemin Notre Dame.
  • Une croix derrière la réplique de la Grotte de Lourdes, Chemin Notre Dame.
  • Une croix de chemin, Rue de Ham.

Édifices civils

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  • La Mairie, Rue de Saint-Avold.
  • L'école primaire, Rue de l'école.
  • L'école maternelle, Rue de Diesen.
  • Le complexe sportif et le terrain de football avec tribune, Rue de Ham.
  • La salle polyvalente, Place de la Mairie.
  • La salle paroissiale Sainte-Barbe, Rue de Boucheporn.
  • Le monument aux morts, Place du 27 novembre 1944.
  • L'ancien monument aux morts, au cimetière municipal.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique et logotype

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Blason de la commune de Porcelette

"De gueules à la crosse d'or et à l'épée basse d'argent, garnie d'or posées en sautoir, surmontées d'une lampe de mineur d'argent, allumée du champ, un sanglier de sable brochant sur le tout."[19],[30]
Porcelette possède également un logo depuis 2008.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Porcelette » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « la Bisten »
  2. « SAGE Bassin Houiller », sur gesteau.fr (consulté le ).
  3. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Porcelette et Seingbouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Porcelette », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Porcelette ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Toponymie générale de la France: Tome 3, Formations dialectales - Ernest Nègre.
  18. a et b Vidéo: Démolition du Puits et du Lavoir de Vernejoul (20 avril 2005)
  19. a b c d e et f Abbé N. Baroth, Porcelette Cité du Warndt et son ancienne annexe de Diesen, villages agricoles reconvertis en cités minières, 1968.
  20. Eddie Muller est inscrit dans la catégorie SE aux élections municipales de 2008 et 2014
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Patrimoine religieux de Porcelette
  26. Description de l’église paroissiale dans la base de données du ministère de la culture.
  27. Description de la chapelle Notre-Dame dans la base de données du ministère de la culture.
  28. Description de la croix de chemin dans la base de données du ministère de la culture.
  29. �� Biographie de Jean-Pierre Couturier, Assemblée nationale.
  30. Blason de PORCELETTE, U.C.G.L. Union des Cercles Généalogiques Lorrains.