Aizier
Aizier | |
L'église Saint-Pierre Classé MH (1913) Inscrit MH (1961). | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Roumois Seine |
Maire Mandat |
Arnaud Maupoint 2020-2026 |
Code postal | 27500 |
Code commune | 27006 |
Démographie | |
Gentilé | Aiziérois |
Population municipale |
154 hab. (2021 ) |
Densité | 65 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 25′ 52″ nord, 0° 37′ 38″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 117 m |
Superficie | 2,36 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bourg-Achard |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.aizier.fr |
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Aizier est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Aizier est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure, limitrophe de celui de Seine-Maritime. Elle appartient traditionnellement au pays de Roumois. Située au cœur du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande, entre la forêt de Brotonne à l'est et le Marais-Vernier à l'ouest, elle fait partie de la région naturelle de la vallée de la Seine. L'atlas des paysages de Haute-Normandie la classe même plus précisément au sein de l'unité paysagère de la boucle de Brotonne[1]. Le territoire de la commune est marqué par un paysage très boisé, typique des coteaux pentus de la vallée de la Seine, et par la présence de haies bocagères. À vol d'oiseau, le bourg se situe à 12 km au nord-est de Pont-Audemer[2], à 12 km au sud-est de Lillebonne[3], à 33,5 km à l'ouest de Rouen[4] et à 59 km au nord-ouest d'Évreux[5].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est riveraine de la Seine.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 4 km à vol d'oiseau[10], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Aizier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (15,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,2 %), eaux continentales[Note 2] (23,8 %), prairies (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), terres arables (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Aizier est attesté sous la forme latinisée Aysiacus en 1025 (Fauroux 34)[19], Aisi ou Aisium en 1215[20]. Le village s'est appelé Aisy jusqu'au XVe siècle[21].
D'après les formes anciennes, il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain en -acum, composé avec un anthroponyme non attesté *Asius.
Cependant, ce nom de personne est postulé par son identification dans de nombreux toponymes analogues : Ezy-sur-Eure (Aisiaco 1033), Aisy (Asiacus 1126), Azé, Azay-le-Rideau, etc.[22]. L'anthroponyme *Asius n'est pas directement attesté, mais un élément assu- de signification obscure est bien identifié dans l'onomastique personnelle gauloise : Assu-talus, Assu-le, Ati-assu et surtout Asus, Assuius, Asucius[23], etc. Il est probable qu'il s'agisse du même radical anthroponymique. En outre, le toponyme peut très bien s'analyser en As-iacum au lieu de Asi-acum, la finale -ius (autrement -ios) ayant été souvent confondue avec le suffixe dans les faits, d'où la création d'un nouveau suffixe -iacum. On peut alors reconnaître dans le premier élément As-, le nom de personne gaulois bien attesté Asus (de *Asos).
Aizier est un des seuls toponymes gallo-romans en -acum qui subsiste encore dans le Roumois[24] ; cette région ne recèle d'ailleurs que très peu de noms de lieux antérieurs à l'installation des colons anglo-scandinaves.
Histoire
[modifier | modifier le code]Aizier est un ancien port gallo-romain où aboutissaient les voies antiques menant à Lillebonne[25]. Voir également Vieux-Port, commune contiguë.
Le comte de Meulan, Robert II (v. 1142-1204) confirmera à l'abbaye de Fécamp la possession des bois et du domaine d'Aizier[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 154 habitants[Note 3], en évolution de +17,56 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune de Aizier compte cinq édifices inscrits au titre des monuments historiques :
- la pierre percée Inscrit MH (1999)[34]. Il s'agit d'un bloc de calcaire, percé d'un trou bien circulaire qui semble être un élément d'une allée couverte ;
- l'église Saint-Pierre (XIIe et XVe siècles) Classé MH (1913) Inscrit MH (1961)[35]. La tour, qui est un bel exemple de construction étagée, et l'abside en cul-de-four datent du XIIe siècle, ainsi que la plus grande partie du mur nord. Ils sont bâtis en pierre de Caen. Le mur sud est gothique et la façade, un peu rude, est réalisée en gros moellons de pierre calcaire locale. Un vieil if subsiste derrière le cimetière, dans l'ancien enclos funéraire ;
- la croix de cimetière (XVIe siècle Inscrit MH (1965)[36] ;
- la maladrerie Saint-Thomas-Becket (XIIe siècle) Inscrit MH (1993)[37]. La maladrerie, juchée sur la colline boisée surplombant Aizier, à l'écart, est une ancienne léproserie qui ne comptait guère plus de dix malades, établissement modeste dont subsistent les substructions de bâtisses à colombage et surtout le pignon du mur est de la chapelle Saint-Thomas-de-Cantorbéry, ainsi que quelques autres vestiges. Entre 2001 et 2003, des bénévoles de l'association Chantiers Histoire et Architecture Médiévales participèrent à la restauration de la maladrerie[38]. En 2015, l'ancienne léproserie a fait l'objet d'une restauration qui s'élève à 500 000 €[39]. Dans le bois environnant, poussent des arbres aux branches nouées, œuvres de couples désirant perpétuer la flamme de leur amour ;
- le quai antique Inscrit MH (1993)[40], vestige du port antique[25],[41].
Par ailleurs, plusieurs autres édifices sont inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel :
- la chapelle Saint-Thomas-de-Canterbury (XIIe siècle)[42]. Cette chapelle a été fondée par l'abbaye de Fécamp ;
- une maison du XVIIIe siècle[43] ;
- une ferme du XVIIe siècle[44].
-
La dalle percée.
-
L'église Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé: au 1er de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'argent à trois branches de laurier rangées en fasces, posées en pal, celles des flancs ayant leurs tiges jointes en pointe et à trois mitres d'argent bordées d'or brochantes, au 3e d'argent à trois corneilles de sable becquées et membrées de gueules, au 4e de gueules au quai antique du lieu d'argent, maçonné de sable, sommé d'arbres au naturel et posé sur des ondes d'azur, elles-mêmes chargées du logo du "Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande" d'argent et à l'aigle romaine au vol abaissé d'or empiétant une dalle à trou d'homme d'argent chargée de l'inscription de sable « AIZIER MXXVII », et brochant sur le quai et les arbres. |
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Détails | Les deux léopards d'or des armoiries d'Aizier rappellent les armoiries de la Normandie. Création Ben Bailly. Reçu officiellement le 17 Janvier 2016. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Virginie Michelland, « Vieux-Port et Aizier : deux escales historiques et romantiques », Patrimoine normand, vol. 101, (lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Aizier sur le site de l'Institut géographique national
- Aizier sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « La boucle de Brotonne », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Pont-Audemer »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Lillebonne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Rouen »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Distance à vol d'oiseau entre Aizier et Évreux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Aizier et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 50.
- Dans le cartulaire de l'abbaye de Préaux.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- ibidem
- Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 57.
- François de Beaurepaire, op. cit, p. 197.
- « Port », notice no IA27000300.
- Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 69.
- Aurore Coué, « Municipales. Le maire d’Aizier, Benoît Gatinet, annonce sa candidature à Bourg-Achard : Annoncé depuis plus d’une semaine, le maire d’Aizier et président de Roumois-Seine se lance en campagne pour les municipales. Déjà deux listes sont annoncées. Une arrivée qui divise la population », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales 2020. À Aizier, le conseiller municipal sortant Arnaud Maupoint est tête de liste : Le conseiller municipal sortant sous la majorité de Benoît Gatinet se présente comme tête de liste aux prochaines élections municipales avec son équipe « Aizier, fort et vert ! », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoit Galley, « Municipales 2020 : à Aizier, Arnaud Maupoint a pris la succession de Benoît Gatinet : À Aizier, Arnaud Maupoint, ancien collaborateur à la Communauté de communes Roumois Seine, a succédé à Benoît Gatinet, élu conseiller à Bourg-Achard », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « La liste « Aizier, fort et vert ! » a été élue dès le premier tour de scrutin ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Sépulture mégalithique », notice no PA27000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Pierre », notice no PA00099296.
- « Croix de cimetière », notice no PA00099295.
- « Maladrerie Saint-Thomas-Becket », notice no PA00125430.
- « Association CHAM | présentation, historique, chantiers de bénévoles », sur cham-asso (consulté le )
- « Une ancienne léproserie restaurée à Aizier, dans l’Eure », sur France 3 Haute-Normandie (consulté le ).
- « Quai antique », notice no PA00125429.
- Le port romain d'Aizier (Eure) : principaux résultats de la campagne 2011, en ligne [1].
- « Chapelle Saint-Thomas-de-Canterbury », notice no IA00018905.
- « Maison », notice no IA00018908.
- « Ferme », notice no IA00018907.