« Clinique Ambroise-Paré » : différence entre les versions
style |
|||
Ligne 15 : | Ligne 15 : | ||
== Histoire == |
== Histoire == |
||
En septembre 2009, un rassemblement dans un stade de la ville |
En septembre 2009, un rassemblement dans un stade de la ville contre la junte militaire a été violemment dispersé, des dizaines de personnes ont été tuées par les forces de sécurité. Les anciens premiers ministres [[Cellou Dalein Diallo]] et [[Sidya Touré]] ont été blessés et conduits à la clinique Ambroise Paré. Cependant, les militaires les ont retirés de la clinique et les ont emmenés au [[camp Alpha Yaya Diallo]], siège de la junte<ref>{{Lien web |titre='Dozens Killed' in Guinea Anti-Junta Demonstration |url=http://www.commondreams.org/headline/2009/09/28-9 |série=Agence France Presse |date=September 28, 2009 |consulté le=2011-03-18 |archive-url=https://web.archive.org/web/20091005190400/http://www.commondreams.org/headline/2009/09/28-9 |archive-date=October 5, 2009}}</ref>. |
||
== Voir également == |
== Voir également == |
Version du 9 mars 2023 à 12:31
Clinique Ambroise-Paré | |
Présentation | |
---|---|
Coordonnées | 9° 31′ 41″ nord, 13° 41′ 18″ ouest |
Pays | |
Site web | http://www.cliniqueambroisepare.com/ |
modifier |
La clinique Ambroise-Paré est un hôpital de Conakry en république de Guinée[1].
Nomination
L'hôpital porte le nom d'Ambroise Paré, le père de la chirurgie française.
Structure
Ambroise-Paré dispose d'une ambulance et est équipé pour la chirurgie[2]. Il est situé sur la Corniche Nord à côté de l'USAID, au sud-ouest du jardin botanique de Conakry.
C'est une propriété privée, offrant des soins de qualité à l'images de hôpitaux publics Ignace-Deen et Donka[3].
Histoire
En septembre 2009, lorsqu'un rassemblement dans un stade de la ville en protestation contre la junte militaire a été violemment dispersé, des dizaines de personnes ont été tuées par les forces de sécurité. Les anciens premiers ministres Cellou Dalein Diallo et Sidya Touré ont été blessés et conduits à la clinique Ambroise Paré. Cependant, les militaires les ont retirés de la clinique et les ont emmenés au camp Alpha Yaya Diallo, siège de la junte[4].
Voir également
Références
- Anthony Ham, West Africa, Lonely Planet, , 401 p. (ISBN 978-1-74104-821-6, lire en ligne)
- « Guinee », Le ministère des Affaires étrangères et européennes, France (consulté le )
- « Guinea: Medical facilities », MD Travel Health (consulté le )
- « 'Dozens Killed' in Guinea Anti-Junta Demonstration » [archive du ], Agence France Presse, (consulté le )