dosse
Étymologie
modifier- (XIVe siècle) Dérivé féminin de « dos ».
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
dosse | dosses |
\dɔs\ |
dosse \dɔs\ féminin
- Planche de bois débitée au début et à la fin du sciage en long d’une grume, dont la face bombée est encore recouverte d’écorce si la grume n’a pas été préalablement écorcée.
Une grande porte, faite d’épaisses dosses, située tout près de la source, et qui se repliait sur elle-même, fermait le fort.
— (Bayrd Still, Pionniers vers l'ouest, traduction d’Éric Deschodt, Seghers, « Vent d’ouest » no 5, 1965, page 62)Deux kilomètres de faux plat dans le fracas du torrent qu’il traversa et retraversa sur de solides petits ponts en dosses de sapin puis la pente s’accentua et il sentit ses jarrets se tendre sous l’effort.
— (Bernard Minier, Glacé, XO Éditions, 2011, chapitre 10)Désignant d’un geste large le terrain, à dix pas, clôturé de plusieurs rangées de dosses de sapin grises qu’épaulaient des broussailles de framboisiers et des fourrés d’orties plus hautes qu’un homme.
— (Pierre Pelot, Bienvenu les canpeurs, in : Fluide glacial no 446, août 2013, p. 30b)
Dérivés
modifierVocabulaire apparenté par le sens
modifier- dosse figure dans le recueil de vocabulaire en français ayant pour thème : charpente.
Traductions
modifierPrononciation
modifier- Aude (France) : écouter « dosse [Prononciation ?] »
Anagrammes
modifier→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi
modifier- dosse sur l’encyclopédie Wikipédia
Références
modifier- « dosse », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
Étymologie
modifier- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun
modifierdosse \Prononciation ?\
- (Macey (Aube)) (Sainte-Maure) (Salon (Aube)) (Cuisine) Gousse d’ail.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Variantes dialectales
modifierNotes
modifier- Le mot est attesté chez Prosper Tarbé dans Recherches sur l’histoire du langage et des patois de Champagne (1851)[1] et chez Pierre-Jean Grosley dans Éphémérides troyennes (1761)[1].
Références
modifierSources
modifierBibliographie
modifier- Jean Daunay, Parlers de Champagne, 1998