Wikipédia:Oracle/semaine 5 2009

Dernier commentaire : il y a 15 ans par TwoWings dans le sujet Règles pour le double n?

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Google Earth encore

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Bonjour,

Est-il autorisé d'utiliser des images issues de GH pour illuster Wikipédia?

J'avais essayé, et après plusieurs demandes d'aide, j'ai eu cela comme réponse:
D'après la faq google earth, il faudrait alors que l'image porte le logo de google, ce qui est incompatible avec la politique de commons si je me souviens bien. Tu peux essayer de poser une question sur le Village pump, où ils te répondront avec plus de précision, mais pour ma part je suis plutôt pessimiste.
Essayes plutôt de prendre toi-même des images de la ville, tu pourras alors utiliser la licence de ton choix plutôt que de subir celle des autres !
Donc à priori ca ne marche pas, sauf si depuis ca a changé Mitch-mitch (d) 26 janvier 2009 à 08:57 (CET)Répondre
En plus, il y a un problème de licence. La page concernant l'utilisation des images précise : « Vous pouvez exploiter une image issue de l'application pour votre usage personnel (par exemple, sur votre site Web, sur un blog ou dans un document Word) à condition de conserver toutes les mentions de copyright et autres informations légales », ce qui induit que ces images sont soumises au copyright, donc incompatibles avec les règles de Wikipedia. -O.M.H--H.M.O- 26 janvier 2009 à 11:25 (CET)Répondre
Bonjour
Il n'y a pas d'obstacle légal, parce que (1) la prise de photographies par des satellites ou des photos aériennes est un acte purement technique, qui par nature ne peut pas traduire la personnalité de son auteur, et de ce fait n'entraîne pas la création de droit d'auteur au sens légal. (2) Les images de Google Earth sont des bases de données publiquement accessibles, et la loi (Voir L342-3 CPI pour la loi française) dit que il est licite de recopier les images (libres de droit d'auteur) disponibles sur des bases accessibles par tout le monde.

Ceci étant, il peut y avoir des restrictions imposées par tel ou tel wiki, c'est une autre histoire. Michelet-密是力 (d) 26 janvier 2009 à 21:31 (CET)Répondre

En ce cas particulier, il y a cependant une mise en forme des images, non ? Et surtout, les images vraiment intéressantes de GoogleMaps sont, me semble-t-il, celles en 3D, qui sont une création. -O.M.H--H.M.O- 27 janvier 2009 à 13:09 (CET)Répondre
Cette interprétation me semble purement spéculative. (1) La jurisprudence n'est vraiment pas claire sur les droits d'auteur des reproductions techniques, et considère souvent que la personnalité de l'auteur se reflète dans les choix techniques (matériel, réglages de la prise de vue, correction etc.). C'est du pur pipeau et contraire à l'esprit de la loi, mais ce qui est de plus en plus protégé, c'est la création du nouveau support, qu'elle soit technique ou non, et pas l'originalité de l'oeuvre. (2) La loi dit qu'il est possible de recopier les données d'une base, mais (i) il n'est pas évident qu'une photo soit une donnée brute, et (ii) il n'est pas sûr qu'une photo ne soit pas une partie substantielle de la base de données --il est possible de recopier un nom dans le bottin, mais pas une double page. Donc c'est ouvert à interprétation, mais de facto, Google prétend que les images sont soumises au droit d'auteur (copyright partout sur les images). Dans un contexte de droit international pas clair du tout, je trouve assez dangereux de conseiller à quelqu'un de jouer au malin... Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 15:31 (CET)Répondre
Le contexte international est clair, puisque la loi française est la traduction directe du droit "sui generi" sur les bases de données, accepté par tous les pays de l'OMC (suite à l'Uruguay round, de mémoire). Donc, pas de problème particulier sur l'international non plus. Michelet-密是力 (d) 27 janvier 2009 à 17:56 (CET)Répondre
Ca m'étonnerait qu'une image satellite soit disponible comme ça sans droit d'auteur. Un satellite d'observation coûte plusieurs centaines de millions d'euros, si les images n'étaient pas protégées par un copyright personne n'en lancerait. Et il y a bel et bien un travail pour prendre la photo (choix de la zone à photographier, éventuellement des angles de prise de vue) et un travail une fois que la photo est prise (traitement de l'image, sélection des zones sans nuages, etc). Bref, l'interprétation de Michelet est erronée (ne le prenez pas mal, Michelet !) et les images Google Earth resteront sur Google Earth. Mais si vous voulez lancer votre propre satellite et donner les photos, faites vous plaisir : ça coûte cher au début mais la gratification morale n'a pas de prix !

Guerre et bêtise

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Je ne parviens pas à comprendre la manière dont on a fait la guerre il y a quelques siècles : rangs de fantassins immobiles face aux rangs ennemis, essuyant directement le tir de l'adversaire et attendant sagement l'ordre de tirer à leur tour... Du point de vue individuel, c'était accepter une mort fort probable ou du moins une forte probabilité d'être (gravement) blessé – et étant donné les conditions de soins de l'époque...–, du point de vue stratégique c'était perdre directement beaucoup d'hommes. Pire que de la bêtise àmha. Une pythie pourrait-t-elle parvenir à m'expliquer les raisons d'un comportement aussi... idiot ? Merci déjà pour la réponse ! --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 09:54 (CET)Répondre

La bêtise militaire est incommensurable. N'oublions pas aussi que la valeur (médiatique) d'une vie humaine n'a pas été la même au fil des temps, ni même suivant le lieu... Les officiers étaient des nobles, qui considéraient la piétaille (les fantassins et autres hommes de troupe) comme du bétail, dont la vie étaient moins importante que celles de leurs chevaux... Et même au 20ème siècle : La guerre de 14-18 (Voir les Sentiers de la gloire), les guerres coloniales où les indigènes sont des sous-hommes... quant aux guerres actuelles, cela n'a pas trop changé : ceux qui envoient des kamikazes, ceux qui emploient des enfants, ceux qui bombardent des villes, ne penses-tu pas qu'ils ne sont pas aussi cruels que les généraux des guerres d'il y a quelques siècles ? --Serged/ 26 janvier 2009 à 10:34 (CET)Répondre
L'exemple du général Nivelle est assez parlant, il "pensait" qu'en envoyant des milliers de soldat attaquer d'un coup ca pouvait marcher. L'article ne détaille pas trop, mais il a envoyé deux fois de suite des dizaines de milliers d'hommes, qui par deux fois ont tous été tués. La troisième demande d'hommes a été rejetée et il aurait répondu "c'est dommage, avec encore 100 000 hommes je suis sûr que ca aurait marché", ou un truc du genre. C'est bien la preuve qu'ils ne se rendent pas compte dans le feu de l'action de leur débilité. Lire aussi la bataille du chemin des dames Mitch-mitch (d) 26 janvier 2009 à 10:53 (CET)Répondre
Hum, je crois qu’en fait on n’a pas beaucoup fait la guerre comme ça. Ce que tu décris me semble correspondre à une courte période entre les guerres à l’ancienne (beaucoup de corps à corps, il fallait stopper une armée et donc aller l’affronter directement) et la guerre moderne ; il a fallu un certain temps pour que les stratégies s’adaptent aux progrès de l’armement (un des pires exemples étant la Guerre de Sécession : charger à cheval face à des canons et des mitrailleuses... ça n’est pas la bd des tuniques bleues qui a inventé cette bêtise...).
Enfin, cela coïncide grosso modo avec l’avènement de la conscription, où les hommes de troupe peuvent être remplacés rapidement : c’est donc une ressource qu’il est moins important de préserver. On n’envisage les vies humaines que comme un paramètre de coût comme un autre : il est beaucoup moins grave, dans une armée de 5000 hommes pourvue de 20 pièces d’artillerie lourde, de perdre 100 hommes que 2 canons ; et quand les 100 hommes peuvent être remplacés en quelques jours par des « hommes frais », la perte devient négligeable. À partir du moment où on pense comme ça, tout est possible. rv1729 26 janvier 2009 à 11:00 (CET)Répondre
Merci à vous. Oui la cruauté est toujours présente et les hommes aussi fous. Mais si je « comprends » qu'un certain nombre de personnes, par conviction ou endoctrinement, deviennent « kamikazes », j'ai du mal à comprendre que des milliers d'hommes aient accepté d'être en rang d'ognons des cibles claires et nettes... (Panurge et moi n'avons jamais fait bon ménage.) Amitiés, --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 11:15 (CET)Répondre
Ah, c’est une autre question... une vaste question... rv1729 26 janvier 2009 à 11:22 (CET)Répondre
L'utilitarisme n'est qu'une vision partielle des hommes. Il y a aussi le dévouement à la collectivité, la solidarité avec les camarades, le conformisme qui empêche de penser différemment des autres ou de se comporter différemment de ce qu'on attend de toi. Bref, il y a plein de raisons qui font qu'on se comporte différemment en groupe. Beaucoup de gens ont noté qu'un individu moyen, pris dans le contexte d'une tranchée, pouvait mourir pour la patrie sans hésiter. Lire aussi les premières pages de Voyage au bout de la nuit. Aujourd'hui, évidemment, dans une vie confortable et individualiste, on a du mal à imaginer cela. Mais n'as-tu jamais fait, avec un groupe de copains (ou de copines, ou de collègues), des choses que tu n'aurais jamais imaginé pouvoir/oser faire ? En bien ou en mal... Seudo (d) 26 janvier 2009 à 11:26 (CET)Répondre
Je suppose, peut-être à tort, qu’Égoïté a lu le Voyage.
On peut lire aussi Clavel Soldat de Léon Werth, Ceux de 14 de Maurice Genevoix, Le Feu d’Henri Barbusse... rv1729 26 janvier 2009 à 11:33 (CET)Répondre
Merci pour utilitarisme que je ne connaissais pas (je ferais plutôt partie des critiques !). Oui j'ai lu le Voyage et d'autres... Non, à titre personnel, je ne peux me baser sur une « expérience d'entrainement à quelque chose », je n'ai aucun souvenir de ce type même si je remonte à la maternelle   – sans doute fort isolée car trop occupée par de multiples apprentissages artistiques en plus de la scolarité, trop individualiste certainement, toujours en décalage critique vis-à-vis des autres... J'abhorre la foule (tu ne m'auras ni à une manif ni à un grand concert), le groupe ne m'intéresse pas (sauf pour l'examiner comme un entomologiste face à une colonie de fourmis – j'ai toujours aimé regarder vivre les fourmis), c'est avec l'individu seul que j'ai envie d'échanger. Les « grands emportements » en bien ou en mal, je les ai vécus seule – et je m'en réjouis. Au moins quand j'ai raison, je sais pourquoi et quand j'ai tort, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 12:29 (CET)Répondre
Même si ça nous paraît idiot, les différentes tactiques et dispositions militaires étaient plus ou moins justifiées au départ, mais il fallait du temps pour les faire évoluer en même temps qu'évoluaient les armes de l'ennemi. Y compris pour des raisons psychologiques et de schémas mentaux propres à l'époque. Parce qui si ous trouvez que la guerre moderne est plus intelligente... On continue à s'habiller en camouflage et à se mettre du noir sur la figure comme un guerrier zoulou, genre sauvage, alors que les systèmes de détection, de visée, devision nocturne et tout le bazar vont rendre ça totalement inutile. Morburre (d) 26 janvier 2009 à 12:45 (CET)Répondre
Il ne faut pas non plus oublier les histoires de code d'honneur, qui évoluent moins vite que les armements. Se planquer pendant la bataille pouvait être vu comme une lâcheté, alors que maintenant, un fantassin qui ne se couche pas derrière un obstacle sous le feu ennemi est considéré comme fou à lier. Arnaudus (d) 26 janvier 2009 à 13:55 (CET)Répondre
Je vous conseille de lire le très instructif livre de John Keegan Anatomie de la bataille (existe en édition de poche). Il y analyse le comportement du fantassin selon la période (Moyen Âge, Napoléon, WW1) Cordialement En passant (d) 26 janvier 2009 à 14:07 (CET)Répondre
C'est parce que tu crois que les armes à feu de l'époque était comparable à celle d'aujourd'hui. Or ce n'est pas le cas !
Il y a "quelques siècles", le tir d'infanterie ça ne tuait quasiment pas, et ça blessait à peine. Du coup, la capacité à impressionner l'adversaire par sa discipline ou son enthousiasme comptait bien plus que les tirs, avant l'engagement au corps à corps qui tuait un peu plus, et encore pas tant que ça (voir Bataille de Fontenoy ou Bataille de Fleurus (1794)) pour deux exemples typiques, sachant qu'il s'agit batailles majeures ) edit : Bataille de Valmy est encore plus démonstratif, justement parce qu'il n'y a pas eu de corps à corps : 20000 coups de canons (!) ont fait ... 184 morts .
Le plus éprouvant (et le plus mortel !) à la guerre ce n'était pas la bataille, mais les marches, le froid, les difficultés de ravitaillement, les maladies, etc. qu'on peut utilement comparer à la condition du paysan moyen...
Le progrès technique a été progressif et il a fallu plus d'un siècle ( de l'époque de Napoléon à la 1ere GM) pour que les généraux comprennent et integrent dans leur tactique les effets de plus en plus puissant du tir d'infanterie et de la multiplication du nombre et de la puissance des canons (Napoléon commence avec 1 canon pour 1000 fantassins, il termine avec 5 ou 10 fois plus -- pareil en face bien sur, à comparer Bataille de Verdun par exemple).
gem (d) 26 janvier 2009 à 14:25 (CET)Répondre
Merci à tous et particulièrement à En passant pour la référence et à Gem pour la logique. Il est vrai qu'en armes à feu, je n'y connais rien et j'avais oublié d'envisager leur inefficacité... --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 14:56 (CET)Répondre
Je ne sais pas à quel point il est réaliste, mais le jeu Cossacks II est basé là dessus. Les fusils sont efficaces seulement à courte porté et prennent très (trop) longtemps à recharger. Donc si 2 groupes de 100 homme se font face, si tu donne l'ordre à tes troupes de tirer à, mettons 60 mètres(trop loin), les 90 survivants adverses n'ont plus qu'a s'approcher pour tirer sa salve de prêt et réaliser un vrai massacre.
Enfin... tout est relatif. En accord avec les explication de Gem, tout cela n'est que le prélude au combat au corps à corps --Madlozoz (d) 26 janvier 2009 à 16:27 (CET)Répondre
Et dans ce corps à corps c'est la cohésion du groupe (discipline, moral et entrainement) qui fait la différence (d'où l'invention de la phalange puis de la légion romaine), et les écarts incroyables de pertes de certaines batailles entre les deux camps (voir la plupart des batailles de l'antiquité et Austerlitz par exemple). En passant (d) 27 janvier 2009 à 09:24 (CET)Répondre

Je pense que l'attitude en apparence "kamikaze" du fantassin s'explique aussi, tout bêtement, par la discipline et l'autorité. Je suppose que si le fantassin brisait les rangs par peur ou conscience de l'aberration de la chose, il était passé par les armes pour insubordination ou désertion, et ce de la main même des hommes de son propre camps. Il suffit que les officiers aient organisé la répression de telle sorte que la probabilité d'en réchapper soit plus faible que celle de survivre à la bataille pour que le choix du fantassin soit très clair; S'il refuse: peu de chances de survie, honte, ire de ses camarades, honte sur sa famille, etc...; s'il accepte: bonnes chances de survie avec gloire, décorations, avancement, estime de ses camarades, fierté de la famille, etc... à la clé. Dans ces conditions, moi même j'accepterais sans doute de marcher sur la ligne de front... .: Guil :. causer 27 janvier 2009 à 13:23 (CET)Répondre

Il est vrai que les alternatives sont difficiles : tirer-au-flanc — tentant mais punissable, et en 14-18 ça pouvait aller jusqu’au peloton ; se mutiner : sans avenir, même si on a la satisfaction d’abattre quelques officiers ; déserter : ça voulait dire tout quitter, s’enfuir à l’étranger ; se constituer prisonnier : risqué, en face on peut tomber sur un maboul qui tire à vue — et on peut être considéré comme déserteur, en 14-18 on condamnait à mort par contumace certains prisonniers ! je ne sais pas si ces sentences ont été exécutées après l’armistice. rv1729 1 février 2009 à 14:36 (CET)Répondre
Il ne faut surtout pas succomber à l'anachronisme. L'époque que tu décris, qui correspond au XVII et XVIIIe, est caractérisée par des armées de mercenaires. Ce ne sont plus les nobles qui sont en premières lignes (comme à l'époque médiévale) et pas encore les nations en armes, comme à partir de Valmy. Il n'y avait donc aucun "fou furieux" kamikazes : uniquement des individus du bas peuple, parfois recrutés de force, mais le plus souvent là de leur plein gré, et pour qui la guerre était leur métier. Or, comme l'indique Gem, la précision des tirs était incroyablement faible : s'il n'en avait pas été ainsi, il n'y aurait pas eu beaucoup de volontaire pour faire ce métier. Ces soldats ne montraient, par conséquent, aucun enthousiasme fanatique dans l'activité militaire. Ils faisaient le job, pour embaucher leur solde et piller ce qu'ils pouvaient piller. Ils n'avaient aucune espèce d'hostilité ou de haine envers l'ennemi, auquel il pouvait d'ailleurs passer à tout moment, et ils n'avaient, de même, aucun désir de sacrifice. Le vrai tournant, de ce point de vue, est constitué par la Révolution française, avec laquelle les soldats deviennent des volontaires ou des conscrits, qui se battent pour une idée et non plus pour l'argent : cela a introduit une dose de fanatisme inconnu jusque là dans les combats, et assuré la victoire de la France pendant près de deux décennies, c'est à dire jusqu'à ce que les autres nations européennes imitent le nouveau modèle d'armée. gede (dg) 1 février 2009 à 15:14 (CET)Répondre

Révisionnisme

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Autre question, chers amis et amies : Comment peut-on affirmer que les chambres à gaz des camps d'extermination nazis n'ont pas existé ? En admettant qu'ils n'aient pas existé, les personnes qui affirment cela pensent-elles que ce qui en reste a été édifié par certains pour induire le public en erreur ? Que les quand même assez nombreux survivants ont tous été drillés pour raconter des mensonges ? Cela dépasse mon entendement... Merci à vous, --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 10:02 (CET)Répondre

Certains pensent bien que la Terre est plate ou que l'alunissage de 1969 a été monté à Hollywood (j'ai déjà rencontré au moins une personne qui croyait ce second point, et impossible de l'en faire démordre). Pour le reste, voir Négationnisme. Seudo (d) 26 janvier 2009 à 10:25 (CET)Répondre
Mais oui, en gros, pour nombre d’entre eux l’Holocauste est une fable montée de toutes pièces pour discréditer les nazis et faire de la pub aux juifs. rv1729 26 janvier 2009 à 11:04 (CET)Que signifie « driller » ? Oups, le wikitionnaire répond à cette question. Est-ce que c’est un mot du nord ? de Belgique ?Répondre
Expression utilisée en Belgique comme synonyme de « éduqué, instruit, conditionné pour ». Ça doit venir de Drill (éducation) je suppose. --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 11:35 (CET)Répondre
Oui je sais (ma mère notamment a eu difficile d'admettre l'alunissage) mais comment un homme instruit (tel un certain évêque par exemple) peut-il résister à l'idée de l'ampleur (en temps, en cout, en travail de persuasion) d'une telle « mise en scène » Point exclarrogatif Quelqu'un aurait-il réussi à établir un moyen scientifique pour créer une « échelle de la connerie humaine » ?   --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 11:35 (CET)Répondre
Il existe des moyens pour mesurer la connerie : le conomètre par exemple. Il en existe différents modèles, mais il y a surement des tables de conversion pour uniformiser l'échelle... Mitch-mitch (d)
Pas mal, mais on a oublié le conomètre « au poids » et je trouve que la connerie pèse vraiment très lourd... --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 11:53 (CET)Répondre

Driller : utilisé à l'armée belge pour faire le drill. Drill est l'autre nom de l'exercice lorsque l'exercice est utilisé comme punition collective. Vous ferez 1 heure de drill. Aussi utiliser pour corriger quelqu'un je vais te driller à ma manière. Quelqu'un qui travaille bien sans perdre de temps, son chef dira "il est bien drillé"--Kkbs (d) 26 janvier 2009 à 12:16 (CET)Répondre

Il faut voir la chose sur plusieurs plans : celui des producteurs de négationnisme, celui des diffuseurs, enfin celui des récepteurs.
Ce troisième aspect est le plus simple : des tas de gens croient à des tas de choses invraisemblables, de la plus générale (Dieu / les dieux, l'astrologie, le créationnisme, les OVNI, etc.) à la plus particulière (toutes les légendes urbaines qui ne cessent de circuler) en passant par des faits anecdotiques mais de plus grande ampleur, comme les histoires autour des alunissages ou des attentats du 11 septembre 2001. Ces personnes ont des raisons diverses d'adhérer à ces croyances, les trois plus courantes étant le panurgisme (adhérer aux croyances de son groupe d'appartenance), la crédulité et son pendant, l'incrédulité non argumentée, l'une et l'autre allant souvent de pair avec un tropisme vers l'acceptation de tout ce qui peut ressembler à une théorie du complot. Dans le cas précis du négationnisme, rentrent aussi en compte une tendance plus générale à relativiser l'action des nazis après 1933 voire une admiration pour leur régime et leur idéologie, l'antisémitisme, et le refus de « l'Histoire officielle ».
Les producteurs de récits négationnistes ont des motivations diverses. Pour certains, tel Bruno Gollnisch, ça répond à un positionnement idéologique – je cite ici une personnalité d'extrême-droite mais on trouve aussi des personnalités dites d'« ultra-gauche », comme Serge Thion, dont le motif principal est de mettre en doute tout ce qui provient des « autorités », en ce cas, encore une fois, l'« Histoire officielle ». D'autres, comme Robert Faurisson dont on parlait ce matin sur France Culture, ont pour principale motivation le désir de publicité, et ont compris que la plus efficace manière d'y parvenir est de défendre des thèses aberrantes allant à contre-courant de celles les plus courantes, en adoptant un ton polémique. Si tu jettes un œil sur l'article le concernant, tu constateras que bien avant de s'orienter vers le négationnisme, il s'illustra en développant des discours plus que douteux dans le domaine de la littérature ; pour anecdote, en plus de ses idées curieuses concernant Rimbaud et Lautréamont, il s'ingénia à « réhabiliter » Céline et à débiner le Journal d'Anne Frank. Probablement, un triste sire de ce genre n'adhère même pas à ses thèses, son but étant donc de faire parler de lui – et, pas de problème, ça a marché. In fine, tu peux considérer que pour la plupart, les producteurs de discours négationnistes sont des filous ou des propagandistes qui ne croient pas à ce qu'ils écrivent ou disent, mais croient en l'efficacité politique ou/et médiatique d'un tel discours. Je parle bien sûr des producteurs initiaux, et non de ceux qui vont relayer leurs « hypothèses ».
Les diffuseurs sont aussi divers que le sont les producteurs et les récepteurs. En gros, on peut postuler trois catégories principales : les « naïfs », les « idéologues » et les « profiteurs ». Les premiers correspondent assez aux récepteurs : des personnes prêtes à admettre des thèses aberrantes par une tendance à la crédulité ou à une fausse incrédulité qui n'est qu'une forme paradoxale de naïveté. Les idéologues et les profiteurs ressemblent plus aux producteurs, qu'ils adhèrent ou non aux thèses négationnistes leur but est de diffuser ces discours à but de propagande, pour les idéologues, ou parce que c'est un « bon filon » pour les profiteurs – ces derniers ne différant guère de tous ces gens qui font leur beurre avec l'astrologie, la psychologie de bazar ou les « mystères de... » (au choix, l'Atlantide, les Pyramides ou plus récemment, les pyramides bosniennes, les Aztèques, l'Île de Paques, etc.).
Il n'est donc pas si étrange que des personnes défendent des « théories » indéfendables. M'étonne plus de constater qu'en notre siècle éclairé il reste tant de gens prêts à croire n'importe quoi, alors pourquoi pas une chose aussi improbable, ça n'en fait qu'une parmi bien d'autres – voir par exemple la cryptozoologie, dont l'article de Wikipédia rend compte avec un manque de distance critique de très mauvais aloi...
Pour ta dernière interrogation la réponse est non : hélas, la connerie humaine est incommensurable, donc on ne peut pas la mesurer. C'est ainsi. -O.M.H--H.M.O- 26 janvier 2009 à 12:43 (CET)Répondre
+ 1. Notre siècle n'est pas plus « éclairé » que les autres, et on a parfois le sentiment qu'il l'est beaucoup moins. Le besoin de croire est inhérent à la nature humaine, le problème est qu'on confond croyance et connaissance. Morburre (d) 26 janvier 2009 à 12:50 (CET)Répondre
Très clair Olivier, merci. Question subsidiaire : Peut-il actuellement y avoir une action juridique en Argentine contre un révisionniste ? Il semble que Richard Williamson soit encore dans ce pays... --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 13:15 (CET) Puisqu'il semble aimer la diffusion, autant qu'il profite de celle d'une condamnation...Répondre
Pas révisionniste : négationniste. Autant que je sache, il n'y a que dans certains pays d'Europe qu'existent des lois permettant de condamner des écrits ou propos négationnistes, ou faisant l'apologie du nazisme – voir notamment la partie « Comparaison avec d'autres textes » de l'article sur la Loi Gayssot. -O.M.H--H.M.O- 26 janvier 2009 à 13:35 (CET)Répondre
On a une loi similaire, au Canada, 'condamnant les propos racistes ou haineux', dont la portée a été interprétée par la Cour Suprême du Canada comme s'appliquant au négationnisme et apologie du nazisme . Dhatier jasons-z-en 26 janvier 2009 à 16:42 (CET)Répondre
Une suggestion : tu devrais mettre à jour l'article sur la loi Gayssot. J'avais vu qu'on y parlait de cette loi, mais sans préciser cette extension de la portée de la loi. -O.M.H--H.M.O- 26 janvier 2009 à 17:16 (CET)Répondre
Tu pourrais tout aussi bien demander : "Comment peut-on ne pas croire ce qu'on demande à tout le monde de croire" ? Réponse : parce qu'on est méfiant ; parce qu'on ne fait pas comme tout le monde, spécialement pas comme l'exige les autorités ; parce qu'il s'exerce une sélection positive (de la simple congratulations de gens sympathiques ou du groupe, ou inversement réprobation mais venant de gens qu'on méprise, jusqu'à la forte audience avec gros retour financier) plus forte que la sélection négative ;parce qu'accepter le fait nié devrait nous amené à accepter une autre chose qu'on ne veut pas absolument pas (ex : Israël), et que par un renversement parfaitement logique (contraposition), on préfère nier le fait ; etc. etc.
gem (d) 26 janvier 2009 à 15:01 (CET)Répondre
La Turquie continue à nier le génocide des Arméniens, et les nationalistes russes le Holodomor. Les responsables du génocide au Cambodge meurent pour la plupart paisiblement dans leur lit, ainsi que ceux du Rwanda, le tout avec la bénédiction de la communauté internationale. Quelle est la différence avec le fait de nier les chambres à gaz nazies ? Félix Potuit (d) 26 janvier 2009 à 17:59 (CET)Répondre
Tu as totalement raison Félix. Aucune différence. Mais j'ai plus de mal à admettre cette position quand elle émane d'un prêtre, théoriquement chargé de l'éducation morale de ses ouailles, que de politiciens sur lesquels je me fais peu d'illusions ou de dirigeants militaires tels que tu cites sur lesquels je n'ai plus aucune illusion. Comme quoi je ne suis pas encore assez... désabusée. Je vous embrasse, amis précieux. --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 23:08 (CET)Répondre
Cher vieux Félix, je t'aime bien mais parfois tu crains grave :
  1. l'existence d'autres crimes de guerre ou/et contre l'humanité ne relativise pas l'entreprise génocidaire des nazis, donc je ne vois pas trop l'intérêt de ton propos ;
  2. hormis la poignée de responsables condamnés lors des procès de Nuremberg plus quelques autres ici et là, la quasi-totalité des responsables ou hauts-exécutants de la politique nazie sont morts « de leur belle mort » après avoir bien été recyclés dans l'administration ou avoir fait une belle carrière politique après guerre ;
  3. ne vois-tu vraiment aucune différence entre un crime commis par un pouvoir contre sa propre population, le plus souvent dans un contexte de guerre civile ouverte ou larvée, et une entreprise systématique, concertée et planifiée dont le but est l'élimination totale d'une certaine population au niveau mondial ? Si c'est le cas, ça m'attriste.
En outre, au cas où tu l'ignorerais, en France la loi permet aussi de condamner le négationnisme quand il vise les génocides des Arméniens, des Tutsis et des Khmers non rouges. -O.M.H-��-H.M.O- 27 janvier 2009 à 02:36 (CET)Répondre

Benoit XVI

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Bonjour cher bénévole,

J'aimerais savoir, si ce n'est point trop complexe, la date à laquelle la mère de notre honoré papa Benoit XI a-t-elle vidé ses entrailles de cet enfant qu'est aujourd'hui notre guide spirituel.


Je vous prie d'acccepter, très cher, l'expression de mes sentiments les plus distingués. Le dévouement dont vous faites preuve pour cette extraordinaire encyclopédie dépasse l'entendement !

Merci par avance.

Benoît XI ou Benoît XVI ? Félix Potuit (d) 26 janvier 2009 à 18:02 (CET)Répondre
(conflit d'édition)
Chère questionneuse, cher questionneur,
Nous viendrais-tu, par miracle, directement du XIVe siècle, époque où Benoît XI devint pasteur de l'Église catholique après l'avoir été de son troupeau de Panurge Trévise ? Car notre actuel pape (enfin, ce n'est pas le mien, mais bon...) est ce cher Benoît XVI, « né Joseph Alois Ratzinger le à Marktl en Allemagne », nous dit l'article de Wikipédia, et il n'y a pas de raisons de ne pas le croire. -O.M.H--H.M.O- 26 janvier 2009 à 18:10 (CET)Répondre

Diantre ! J'ai malencontreusement écrit Benoit XI en place de Benoit XVI, naturellement ! Quel homme attentif !

Lutte contre la pollution olfactive...

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Bonjour, j'ai appris ce week-end qu'on luttait activement contre les nuisances olfactives autour des décharges et des installations de traitement des eaux usées... Que la quantité de produits utilisés dépendait des circonstances : matières et processus en cause, météorologie,... Des techniques d'olfactométrie seraient également mises en oeuvre... Quelqu'un connait-il les produits utilisés? Il y a longtemps, il me semble me souvenir de quelqu'un qui mettait du sulfate de fer dans son 'puits perdu' (rouge!? tiens? serait-ce un belgicisme?)... Ça fonctionne? Comment cela élimine-t-il les mauvaises odeurs?... Merci. -- Xofc [me contacter] 26 janvier 2009 à 17:57 (CET)Répondre

En ce qui concerne le sulfate de fer, je sais que mon père l'utilisait dans des "toilettes sèches", et ceci à la campagne dans les années 1960/70, lorsque les toilettes ressemblaient encore à la "cabane au fond du jardin" (Parodie de L.Gerra, sur la chanson de Cabrel). Cela permettait effectivement d'éliminer quelques odeurs, et parait-il, activait la décompostion. Curtane.
Non puits perdu n'est pas un belgicisme. Voir CNRTL : « Puits perdu. Synon. de puisard. Le sol s'était effondré, le dallage avait croulé, l'égout s'était changé en puits perdu (Hugo, Misér., t. 2, 1862, p. 518) » Bien à vous, --Égoïté (d) 27 janvier 2009 à 07:57 (CET)Répondre
Ou alors, la Belgique s'étend au moins jusqu'en Bourgogne et au Berry, où l'on dit communément « puits perdu » et sinon jamais, du moins rarement, « puisard »  . -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 00:27 (CET)Répondre

Merci pour 'puits perdu', je vais donc réfléchir à la création d'un article... Il existe certainement plein de choses à dire. Par exemple sur les différents types (j'ai vu des puits en tubes de béton de 10 mètres de profondeur, des 'chambres' en parpins non jointifs,...) et il doit sûrement y avoir des règlementations particulières en fonction des pays et des conditions géologiques. Cela m'étonne d'ailleurs que ce soit encore permis... Et, la lutte contre les mauvaises odeurs? Des idées? Y-a-t-il d'autres produits que le sulfate de fer? Et quel est son mode d'action? -- Xofc [me contacter] 29 janvier 2009 à 10:45 (CET)Répondre

Le tout-à-l’égoût est obligatoire sauf pour les habitations isolées. Comment faire pour raccorder une ferme perdue dans la forêt, à des kilomètres de tout village ? (Cela m’étonne d’ailleurs que ça soit encore permis d’habiter dans des endroits pareils.)
Une installation d’assainissement individuelle (fosse septique et puits perdu) bien faite ne génère pas de mauvaises odeurs (ou exceptionnellement). rv1729 29 janvier 2009 à 12:48 (CET)Répondre
de nos jours on appelle ça assainissement non collectif (bleu ? rouge ?) et c'est de nouveau permis (je crois que c'était plus ou moins interdit, à une époque) voire encouragé en zone d'habitat dispersé (là où une installation collective n'aurait aucun sens, ni écologique ni économique) gem (d) 29 janvier 2009 à 14:58 (CET)Répondre
a) un des principaux responsables des mauvaises odeurs est H2S ;
b) en présence d'ion métallique (de fer par exemple), H2S se décompose avec précipitation d'un sulfure (de fer dans l'exemple) (en:Hydrogen_sulfide#A_precursor_to_metal_sulfides) ;
par conséquent enrichir la solution en ions métallique (avec un sulfate de fer notamment) est une méthode pour éviter le dégagement du gaz fétide.
gem (d) 29 janvier 2009 à 14:58 (CET)Répondre
Merci -- Xofc [me contacter] 31 janvier 2009 à 16:28 (CET)Répondre

Sèche cheveux

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Bonjour à tous, Je voudrais connaître la vitesse de l'air à la sortie d'un sèche cheveux Babyliss de type 551, à 50hz et 1200W.

Merci d'avance.

Transféré de semaine 4 Dhatier jasons-z-en 26 janvier 2009 à 18:02 (CET)Répondre

Attrapper une petite roue à souffler (vous savez, le machin coloré qui tourne quand on souffle dessus), la placer à l'entrée du sèche-cheveux et compter le nombre de tours en une minute (faire une petite marque pour compter plus facilement). Il suffit ensuite de multiplier par la circonférence de la chose pour avoir une mesure (approximative) de la vitesse de l'air. Arnaudus (d) 26 janvier 2009 à 18:17 (CET)Répondre
tiens, c'est dommage on a rien dans notre ventilateur. un truc à combler à l'occasion, avant l'été par exemple...
Disons, à la louche que votre engin crache 35 W (oui, pas plus, le gros de la puissance étant consacré au chauffage), ce qui est la puissance du ventilateur domestique que j'ai sous la main.
si j'en crois en:Fan (mechanical) un ventilo de 10 W peut brasser 400 l/s ; ça doit certainement varier en fonction de la vitesse, mais l'ordre de grandeur reste bon si on dit que votre engin crache 1 400 l / s = 1,4 m3/s
Disons que la bouche est un disque de 8 cm de diamètre, soit à approximativement 50 cm² = 1/200 m². Pour cracher 1,4 m3/s il faut faire du 280 m/s ... rha, non, c'est n'importe quoi, zut. Mais c'est un majorant. La puissance doit être moindre (10 W ? ) et y' a des pertes plus lourde.
Bon
On le refait avec un ventilateur de boitier d'ordinateur, dont la taille est plus comparable : avec seulement 1 W il crache déjà 10 à 20 l par seconde, disons 15 l (et on ne sens rien !). Soit 150 l/s pour 10 W. 30 m/s. oui, déjà plus raisonnable.
+ : disons que la sensation est très comparable à celle qu'on ressent à en passant la tête hors d'une voiture, sachant que 108 km/h ça fait 30 m/s. Oui à la sensation d'un vent très puissant (même chose)
bref : je vous le fais à 30 m/s, environ 100 km/heure si vous préférez.
gem (d) 26 janvier 2009 à 19:39 (CET)Répondre
Pas mal, j’achète. rv1729 26 janvier 2009 à 20:51 (CET)Répondre
Y'a un problème dans ton calcul gem, et à mon avis c'est le chiffre que tu as piqué sur le wp anglais qui est faux de plusieurs ordres de grandeur. 400L d'air ça fait une masse de 400g, tu imagines un moteur de 10W accélérer 400g d'air de 0 à 30m/s toutes les secondes? J'ai la flemme de faire le calcul, et en plus ça sent le calcul différentiel ce truc, mais à vue de nez, un ventilateur de portable sort moins d'un litre par seconde, et un ventilateur de bureau, 10L à tout péter. Y'a qu'à faire l'expérience avec des sacs en plastique, même en experience de pensée on sent bien que c'est quelque chose comme ça (mon ventilateur soufflant me sort à peu près un sac en plastique (à peu près 5L) par secondes, mais y'a des fuites :-) ). La sortie d'un sèche cheveux n'est "cinglante" que quand on met le bitonio en forme de tubulure de fusée; à mon avis le machin sort dans les 10L par seconde, si la vitesse atteint 20m/s c'est déja beaucoup. Arnaudus (d) 26 janvier 2009 à 22:56 (CET)Répondre
Un sèche-cheveux qui projette à 100 km/h, ça doit probablement donner une coiffure assez amusante. Un peu comme sortir la tête de la voiture sur l'autoroute, et sans se faire décapiter. Philippe Giabbanelli (d) 27 janvier 2009 à 06:34 (CET)Répondre
Bonjour a tous , j'ai peut être loupé quelque chose, mais quelqu'un a t-il parlé de ce qui me semble tout de même assez important => la surface de sortie de l'air ? ceci me parait relativement important tout de même, car peu importe le débit , la surface de sortie est en relation directe avec la vitesse de sortie de l'air. Juste pour ajouter autre chose : un ventilateur d'ordinateur débite environ 15 litre/sec ( c'est une moyenne, comptez 30 CFM pour un ventilateur de base soit (30*.0.5) l.sec-1) Cordialement PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 27 janvier 2009 à 10:22 (CET)Répondre
Une autre petite chose gem : Soit 150 l/s pour 10 W. 30 m/s. oui, déjà plus raisonnable. Comment passes-tu de 150 l/s à 30m/sec? Si l'air passe par une cheminée ou par une paille , il aura la même vitesse ? PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 27 janvier 2009 à 10:46 (CET)Répondre
15L/s voudrait dire que le volume de la tour est renouvelé plusieurs fois chaque seconde? J'ai du mal à imaginer que c'est le cas. Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 11:48 (CET)Répondre
Et bien je ne vais pas faire ici la pub pour tel ou tel site de vente en ligne , mais les données constructeur indiquent bien 35-40 CFM en moyenne pour un ventilateur de 120 * 120mm, ensuite j'ai simplement usé de la formule disponible sur Wikipédia soit 1 CFM = 0,471947443 litres par seconde (l/s). Ça me parait a la fois beaucoup, et en même temps, l'air étant invisible et la peau relativement peu sensible aux débits d'air faible, il est normal que l'on ne s'en rende pas compte. Personnellement, mon ventilateur extracteur d'air fait virevolter les rideaux alors ... aussi , et sans vouloir m'avancer sur une notions qui me dépasse , l'air ne vient pas forcément de votre boitier, je veux dire par la que ce n'est pas uniquement l'air aspiré de l'autre coté du ventilateur qui est rejeté. Je n'ai pas d'explications scientifique , mais je suis sur d'une chose , si vous prenez par exemple une boite en carton fermée et imperméable , vous faites un trou pour placer un ventilateur qui expulse l'air en dehors du carton , votre ventilateur soufflera de l'air , et cette air, si votre boite est bien hermétique ne viendra pas de la boite en elle même mais bien d'ailleurs. Tout ceci pour dire que je parlerais plutôt de brassage d'air que de renouvellement d'air. En gros , et pour finir, un ventilateur ( du marché actuel ) brasse environ 15L d'air par seconde. PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 27 janvier 2009 à 12:46 (CET)Répondre
en adaptant un débitmètre ou un spiromètre, vente en pharmacie. Dam63 (d)
Pour la boite en carton, vous vous trompez, le ventilateur va souffler un peu d'air au début, jusqu'à ce que la pression à l'intérieur de la boite soit faible et que l'extraction de l'air par le ventilateur compense exactement le rappel de l'air dans la boite par des différences de pression. Si le ventilateur fait vraiment passer 10L/s dans le boitier, il y a exactement 10L par seconde qui ressortent (autrement, barrez-vous, le boitier va exploser :-D). Pour le reste, je suis bien d'accord avec votre conversion, mais je suis toujours étonné car je n'arrive pas à imaginer un tel débit possible. Un ballon de baudruche contient combien, 1L? Avec la pression, peut-être l'équivalent de 2L d'air à pression normale? Et pourtant ça fait du vent, du bruit etc., bien plus qu'un petit ventilateur de rien du tout. Franchement, je n'arrive pas à imaginer l'expérience du sac plastique avec un ventilateur d'ordinateur (un sac de 20L rempli en moins de 2 secondes?). il y a probablement quelque chose de faux quelque part, mais je ne vois pas où...Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 13:57 (CET)Répondre
pas de mystère, ces mini ventilo sont incapable d'assurer une forte différence de pression (tout le contraire d'une pompe à vélo ou du ballon de baudruche par exemple), le débit doit chuter monstrueusement vite à la moindre baisse de pression à l'intérieur de la boite.
@arnaudus (1). Le ventilo de la wiki anglaise brasse de l'air, mais pas forcément à haute vitesse (c'est un machin solaire...). Si on a 10 W pour brasser 400 l/s, on a droit au maximum à 10 joules, soit pour 400 g une vitesse v telle que 1/2mv² = 10, soit v² = 20/400 = 1/20, v = 0,22 m/s. Ca fait pas lourd. 20/0,400 = 5, v = 7 m/s. edit ; merde, j'ai foiré, remercions Arnaudus infra De toute façon c'était la base du chiffre que j'ai jeté, celui qui donnait une vitesse délirante...
Mais tu as raison, j'aurai du tenir compte de l'énergie et pas seulement de la quantité de mouvement.
Pour mon calcul je retenais 150 l, soit 150 g. Si on accélère ça de 0 à 30 m/s ça fait une énergie cinétique de 1/2mv² = 0,075 * 900 J = 67,5 J. Et il faut 67,5 W, et même plutôt 100 W avec les pertes, c'est beaucoup mais ce n'est quand même pas un délire. Admettons que 30 m/s c'est trop, ça reste un ordre de grandeur correct. Avec 20 m/s le débit baisse aussi à 100 l/s, soit 100 g, et il ne faut plus que 0,050 * 400 kg.m²/s²= 20 J. 20 W efficace, c'est dans les cordes du souffleur.
20 m/s soit 72 km/h, c'est mon dernier prix. gem (d) 27 janvier 2009 à 15:41 (CET)Répondre
Tiens, le g est une unité SI? :-) ton ventilateur industriel devrait souffler à 7 m/s, ce qui est un très bon courant d'air pour 10W ... Mais je reste sur le principe qu'on rate un ordre de grandeur quelque part. Quand le ventilo tourne, il génère une dépression derrière et une surpression devant, ça doit être extrêmement handicapant pour le débit non? Bon, je ne vois qu'une solution, c'est de gonfler un grand sac poubelle avec un sèche cheveux. Si le débit de 100L/s est correct, ça devrait prendre 1/2s de remplir 50 litres (pas de problème de surpression, un sac n'est pas un ballon de baudruche!). J'ai franchement l'intuition qu'il faut beaucoup plus que ça, peut-être 10 fois plus (5 secondes?). Malheureusement, je n'ai pas de sèche-cheveux, quelqu'un peut-il essayer? Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 16:55 (CET)Répondre
--conflit d'édit --Alors voila d'où viens ce phénomène , c'est la différence de pression qui fait re-rentrer l'air dans le carton. Sinon , gem ça m'intrigue encore ton histoire , je n'ai pas regardé en détails tes calculs , pour ma part , je ne passerai pas par l'énergie cinétique, qui n'as pas vraiment de rapport avec le débit d'un ventilateur , mais plutot la pression statique de son flux d'air. Pour calculer la vitesse de sortie de l'air théorique , il faudrait et je le redis encore prendre en compte la forme de sortie de ce flux . je vais surement me repeter , mais faire passer 15Litres d'air dans une paille et 15 Litres d'air dans une cheminée ne demandera surement pas de propager l'air a la même vitesse .... Cordialement PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 27 janvier 2009 à 17:16 (CET)Répondre
passer par les pressions suppose d'utiliser le Théorème de Bernoulli, or c'est équivalent à passer par l'énergie puisque c'est justement comme ça qu'on démontre ce théorème : tu retrouveras la même chose. Le problème est seulement d'estimer l'apport d'énergie, c'est là que ça coince le plus. Pour transformer le débit en vitesse j'ai fait une hypothèse sur la section du sèche-cheveu (50 cm²). Le flux sort sous forme de cylindre, c'est connu, faut pas chercher midi à 14 h.

peut être , mais passer de W a vitesse de débit de l'air , ça me semble tout de même assez farfelu , ne serait-ce que par le rendement du moteur , la forme précise du sèche cheveux . Vous oubliez aussi qu'avant de sortir du sèche cheveux, l'air passe a travers une résistance qui n'est pas sans contraindre ça vitesse ; Alors midi a 14h peut être pas, mais de la a appliquer une formule scientifique qui vous parait inconnue, je pense que vous pouvez retourner cherchez un peu , ne serait -ce que midi a 12h30 si ceci vous parait faisable . Bonne journée ;-) PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 29 janvier 2009 à 13:01 (CET)Répondre

L'air se tamponne de ces détails, et moi avec lui : seule compte l'énergie cinétique effectivement transférée en sortie. Si pour 10 W reçu il a fallu bouffer 12, 50 ou 100 W électrique, si l'air en a paumé une partie à l'intérieur de l'engin, après l'hélice, à cause de résistances, etc. c'est sans importance. Or il n'y a aucun moyen théorique, au vu des maigres données, de savoir précisément quelle est la puissance reçue. D'où la solution de l'estimation à partir d'exemple réels. Mon calcul sert seulement à vérifier qu'on a un ensemble cohérent, et compatible avec la conservation de l'énergie.
cela dit, y'avait plus simple : consulter un catalogue avec une requête telle que "sèche cheveux vitesse air km/h", qui vous donne des vitesses allait de 84 à près de 292 km/h (! mais c'est un gros machin de pro), et plusieurs autour de 100 m3/h ( = 30 l/s ) et 100 km/h.
gem (d) 29 janvier 2009 à 15:32 (CET)Répondre
La seule chose étonnante dans tout vos calculs ( dont je ne conteste en rien les résultats) c'est que aucunement sur un séche cheveux , il est noté que la puissance du ventilateur est de X watts. Pour preuve de l'incohérence des résultats , vous dites que un séche cheveux moyens débite environ 30 l/s , précédemment, vous disiez 100 l/s ca fait quand même plus de 300% de marge d'erreur , chose me semble t-il, inacceptable pour fournir un résultat, ne serait ce qu'approximatif. D'ailleurs , une incohérence de plus , vous dites 30 l/s et 100Km/h . Dans vos calculs , vous trouviez pour 100 l/s une vitesse de 72km/h( Notez bien que je ne vous en veux absolument pas et que je ne cherche pas a démonter tel ou tel calcul ) PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 29 janvier 2009 à 20:55 (CET)Répondre

vasovasostomie

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Bonjour, j'ai lu plein d'articles sur le sujet, j'aimerais savoir ceci; la VASECTOMIE consiste a ligaturer le conduit pour arreter la conductibilite des spermatazoides, mais pourquoi la vasovasostomie ne permet pas la conduction spontane des spermatazoides...Pourquoi ca prend un delai, pouvez vous m'expliquer ce que je n'ai pas compris. bien a vous

Très très schématiquement... parce qu’il faut que « ça cicatrise » avant ? rv1729 26 janvier 2009 à 20:54 (CET)Répondre

Je parle de VASOVASOSTOMIE....un fois le "rebranchement" effectué.... 26 janvier 15h42

Une explication sommaire sur vasovasostomie. Bien à vous, --Égoïté (d) 26 janvier 2009 à 23:10 (CET)Répondre
Ben oui, j’avais compris que vous parliez de VASOVASOSTOMIE. Je me trompe peut-être, mais il me semble que ça nécessite une cicatrisation. rv1729 27 janvier 2009 à 07:14 (CET)Répondre

Je crois que les chances sont proportionnelles aux taux d'anti-corps produits (vasovasostomie) ...Car la production de spermatazoides n'est jamis cesse, mais bien le passage est interrompu par la vasectomie..27 janvier 15h41

Plus simple... Faut le temps que les coureurs arrivent :/
Triste, mais vrai, un spermatozoïde n'avance pas à 300 km/h. Et si l'on considère que la durée de "vie" d'un spermatozoïde à 37°C n'excède pas quelques jours, considérez que n'étant en aucune façon stockés dans les voies spermatiques, ils reprennent la course au départ, au niveau des testicules, et qu'ils doivent donc recommencer l'intégralité du trajet (soit de l'ordre de 60 cm, ce qui pour une cellule de moins de 100 microns représente à l'échelle humaine une distance de l'ordre de la centaine de kilomètres...).
Alphos [me pourrir la vie] 31 janvier 2009 à 07:07 (CET)Répondre

Perle de langouste

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Bonjour

Je cherche de l information sur les perles de langoustes . J'en ai reçu une du Honduras avec très peu d info excepté que c est très rare et proviennent des grosses, très grosses langoustes.

J'ai une photo mais je ne suis pas capable de la mettre sur ce site.

Quelqu'un connais cette perle.

Merci Micheline G.

Perle de lambi semble plus approprié.--Doalex (d) 26 janvier 2009 à 21:58 (CET) D'après ceci [1] la langouste peut-être un prédateur du lambi pendant sa première année, mais celà n'est pas suffisant, je pense, en terme de temps pour que le lambi puisse développer une perle (rose), ce qui, en plus est très rare.--Doalex (d) 26 janvier 2009 à 22:14 (CET)Répondre
C’est pas un peu comme la soie de cactus ? rv1729 27 janvier 2009 à 07:12 (CET)Répondre
On pourrait dire ça mais cette perle existe vraiment, en supposant que les pêcheurs locaux de langoustes en profitent pour remonter ce coquillage dont la pêche est contrôlée dans beaucoup d'endroits et trouvent une perle (ce qui est vraiment rare) on peut imaginer que l'expression perle de langouste soit utilisée (en dehors du terme culinaire) parce que les lambis sont souvent à proximité des endroits où les pêcheurs (en fait ce sont des plongeurs)trouvent des langoustes.--Doalex (d) 27 janvier 2009 à 10:38 (CET)Micheline on peut vous aider pour la photoRépondre

La cote du peintre Atlan dans les années 1950-1960

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Bonjour, quelqu'un pourrait-il me dire quelle était, dans les années 1950-1960 la valeur marvchande, la cote, des toiles du peintre Atlan. Merci. jbdepradines (d)

Bonjour il faut regarder dans une bibliothèque spécialisée les annuaires des ventes comme le Mayer. J'essaye de le faire à la bibliothèque des Arts décoratifs, Paris. Philippe Nusbaumer (d) 27 janvier 2009 à 10:45 (CET)Répondre
Plusieurs résultats des ventes entre le Ier septembre 1961 et le 31 décembre 1962: 116 par 73 : 16 000 FF, 81 par 54 8,600 FF,54 par 65 6,100 FF, 91 par 60 13,00 FF, 81 par 65 10 600 FF, Etc.. Philippe Nusbaumer (d) 27 janvier 2009 à 11:42 (CET)Répondre

Merci beaucoup pour ces précieuses indications. Serait-ce abuser de vous demander si vous trouveriez des indicationsde prix pour les années 56 , 57...Merci encore. Cordialement. jbdepradines (d) 27 janvier 2009 à 13:52 (CET)Répondre

REVUE ?

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Bonjour à tous

Mise en garde : je ne fais pas de publicité ici c'est pourquoi je n'utilise pas mon pseudo !

Je voudrais éditer une revue annuelle, au départ 150 exemplaires prévus, mais le nombre de souscriptions augmentant chaque jour, je crois que je vais publier à plus de 300 exemplaires. Je n'ai aucun cadre juridique (ni association, ni entreprise, ni coopérative), je suis seulement une personne privée qui édite sur mes fonds personnels et grâce aux souscripteurs.

Comment déclarer au fisc ses ressources supplémentaires ? quelles sont les obligations de dépôts ? Suis-je obligé de disposer d'un ISSN ?

je suis déjà allé sur le site du Centre National du Livre, mais je n'ai pas bien compris ce qu'il racontait.

Je vous remercie de votre aide.

Cordialement

Salut, 86.208.147.192 (d · c · b). Au départ j'ai songé à l'édition à compte d'auteur mais ton cas ressort plutôt de l'auto-édition. D'après l'article, « les formalités administratives et juridiques sont très limitées ». Il donne une référence qui pourrait t'être utile : 150 questions sur l'édition, Marc Autret, L'oie plate, 2005.
Trouvé ce site en faisant cette recherche. Un autre guide de l'auto-édition, et juste en dessous un de plus. Bon, je ne vais pas faire toute la liste ! Je pense qu'en suivant le lien indiqué tu trouveras tous les renseignements utiles. Bonne chance ! -O.M.H--H.M.O- 27 janvier 2009 à 13:43 (CET)Répondre

Crottes d’yeux

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Bonjour

Comment dit-on enlever les "peaux" sur les yeux près de chaque côté du nez, en se levant du lit ?

Je souhaite connaître le verbe correspondant.

Merci.

Bonjour. Votre question m’intrigue.
Est-ce qu’on peut savoir ce qui vous fait penser qu’il existe un tel verbe ? Je suis vraiment curieux de votre réponse.
rv1729 27 janvier 2009 à 15:12 (CET)Répondre
Moi je dis «décrotter», mais ça marche aussi avec le nez --et étrangement, pas avec euh... enfin voyez quoi. Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 15:20 (CET)Répondre
Se dessiller les yeux ? Je me suis toujours demander ce que ce verbe signifiait. Je consulte le TLFi pour voir.
Mouais... Un peu excessif, peut-être, mais ça pourrait faire l'affaire :
« P. ext. [En parlant d'un animé humain] Séparer les paupières jointes. Elle crut que ce qu'elle voyait était un rêve de la nuit et elle frotta ses yeux pour les dessiller (FRANCE, Balthazar, 1889, p. 199) ».
Ça t'aura-t-il dessillé les yeux ? -O.M.H--H.M.O- 27 janvier 2009 à 15:55 (CET)Répondre
En gascon, le verbe existe, c'est eslagagnà (eslaganhar) : enlever la chassie (des yeux). Morburre (d) 27 janvier 2009 à 16:07 (CET)Répondre
Casser la croûte ? Plus sérieusement je pense que l'article Liquide lacrymal explique bien le rôle du liquide sans dire, à part avoir les yeux rouges le matin, mais on peut le supposer, que le résidu finit par sécher et nettoyer les yeux devrait suffire (celles et ceux qui ont de jeunes enfants le font tous les matins).  --Doalex (d) 27 janvier 2009 à 16:42 (CET)Répondre
Suggestion de néologisme : déchassier. Cela forcerait au moins à se rappeler ce qu'est la chassie et ce qu'est chassieux.   --Égoïté (d) 27 janvier 2009 à 16:55 (CET) Bonjour, mais dans ce cas il faut préciser que c'est le résultat d'une infection des paupières et non d'un état normal, sinon certains ne s'inquiéteront pas et d'autres s'affoleront.--Doalex (d) 27 janvier 2009 à 17:21 (CET) Tu es certain de l'obligation d'infection ? Notre ami Littré indique « Humeur onctueuse et jaunâtre sécrétée sur le bord de chaque paupière par les glandes de Meibomius »... Bisous à toi, et   pour rv ci-dessous. --Égoïté (d) 27 janvier 2009 à 19:10 (CET) soit, mais notre bon wiktionnaire qui confirme [2] n'en donne pas une définition qui soit un état normal des paupières, d'ailleurs le début de la question porte sur un endroit bien précis et au moment du réveil, les réponses ont fait dévier le sujet, mais comme d'habitude on apprend tellement de choses en suivant d'autres chemins, un exemple voir [3]. --Doalex (d) 27 janvier 2009 à 21:46 (CET) Le ouictionnaire n’en donne pas non plus une définition qui en fait un état pathologique. Je suppose que tout est question de quantité et de qualité de la chassie, chassie saine et chassie malsaine, pâtes au logis. rv1729 Voici quelque chose de plus probant [4]. --Doalex (d) 28 janvier 2009 à 10:42 (CET)Répondre
Alors je propose échassier, hihi. rv1729 27 janvier 2009 à 18:22 (CET)Répondre
Étant donné le résultat fort probant obtenu par Doalex dans ses recherches (voir ci-dessus en petit), je retire ma proposition de néologisme ; se nettoyer les yeux semble donc l'expression la plus adéquate (à moins que... se dégraisser les yeux ?) --Égoïté (d) 28 janvier 2009 à 12:14 (CET)Répondre
Le petit Robert confirme, je suis vaincu. rv1729 28 janvier 2009 à 13:48 (CET)Répondre
 J'ai utilisé le verbe dessiller:Amener quelqu’un à voir ce qu’il ignorait ou voulait ignorer [5]  .--Doalex (d) 28 janvier 2009 à 15:05 (CET)Répondre
Ouais, mais dans sa forme pronominale le verbe conserve son sens littéral de « s'ouvrir les yeux », voir plus haut l'acception du TLFi. Pour info, le sens original s'applique à une cruelle pratique de vènerie :
« vieilli [Correspond à ciller B 2] Découdre les paupières d'un faucon, d'un oiseau (de proie). Je te croyais faucon décillé et prêt à prendre ton vol vers le néant (BOREL, Champavert, 1833, p. 227) ».
Où l'on voit que les chasseurs sont doux envers leurs auxiliaires animaux... -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 15:42 (CET)Répondre
Je me demande si c'était vraiment une pratique courante. Aller à la chasse avec le fil, les aiguilles et les ciseaux... On leur mettait plutôt un chaperon sur la tête, aux faucons. Ça ma fait penser à la croyance selon laquelle on clouait les pattes des oies pour les engraisser. Morburre (d) 29 janvier 2009 à 11:39 (CET)Répondre
J'ai grande confiance dans le TLFi, et s'il indique ça comme pratique de vènerie, ça doit être vrai. Pourquoi le faire ? Aucune idée. Mais il y a sans doute une raison. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 13:23 (CET)Répondre
Lu sur cette page :
« Pour dresser les faucons, on leur cousait les paupières, ce qui les rendait temporairement aveugles. Quand on leur ouvrait les paupières, on les décillait, (13e siècle) ».
En gros ce que j'avais cru comprendre. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 14:16 (CET)Répondre

Taille du capteur en photo numérique

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Je voudrais faire une traduction de

Dans ce site, il y a un tableau des tailles des capteurs des appareils photo numériques. Le tableau comporte une colonne "Dia. refers to the diameter of the tube size". Je ne comprend pas le rapport entre le "tube size" et la taille de la diagonale du capteur. Existe-t-il une traduction normalisée en français de "tube size" ? De "crop factor" ?--Seymour (d) 27 janvier 2009 à 22:15 (CET)Répondre

Recherches en cours. Apparemment, « crop » appliqué à la photo concerne le cadrage. Cet article explique assez bien, semble-t-il, ce qu'est le « crop factor », mais n'en propose pas de traduction. En ce qui concerne « tube size », il semble que ça réfère à la longueur de l'objectif – plus ou moins la « distance focale » réelle ou nominale. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 09:07 (CET)Répondre
En regardant le schéma juste au-dessus du tableau, c'est tout de suite plus clair !
En effet, le capteur est de diagonale inférieure au diamètre intérieur du plus petit élément de l'objectif (s'il est en plusieurs éléments). Et si les dimensions indiquées pour le capteur indiquent bel et bien les dimensions... du capteur, indiqué sur ce schéma (dans ses différentes dimensions) en vert, la diagonale étant représentée en rouge. Le plus petit diamètre intérieur de l'objectif est indirectement affiché sur ce schéma par le gros rond de couleur indistincte (rose pâlichon ? jaunâtre canari peroxydé ? blanc cassouillé ?) qui entoure chacun des trois capteurs : ce disque est simplement la projection dans le plan du capteur de l'objectif lui-même  
En espérant avoir répondu à ta question, et qui plus est correctement de préférence,
Alphos [me pourrir la vie] 31 janvier 2009 à 07:48 (CET)Répondre

Instruments transpositeurs

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Tiens, je chercherais un érudit en instruments à vent transpositeurs --ou non d'ailleurs.

Contexte
Les bois et les cuivres sont définis par leur tonalité, qui varie en fonction de leur taille et de leur nature. Parce qu'il fallait bien pourrir la vie de quelqu'un, qu'il vaut mieux faire un malheureux plutôt de beaucoup, et qu'il y a plus de musiciens que de chefs d'orchestre, il a été décidé de garder le nom des doigtés constants; ainsi, les partitions de la plupart des instruments sont transposées, c'est à dire que quand on lit un do sur la partition, on fait un doigté de "do" sur l'instrument... qui correspond à un ré sur une trompette en ré, à un mi bémol sur un saxophone en mi bémol, à un fa sur un cor en fa, et un do sur un hautbois en ut, parce que les hautboïstes étant plus neuneus que les autres musiciens, on a décidé que les hautbois sonnaient en ut comme ça ça serait plus facile pour eux. Hum… faux (si j'ose dire) pour le basson et le contrebasson en ut, ce doigté correspond à un fa, le do est joué en bouchant les 3 premiers trous.
Prémisse
À ce que j'ai pu glaner çà et là, il semble évident (et relativement logique d'ailleurs) de nommer la tonalité de l'instrument en fonction de la note la plus basse qu'il peut émettre puisque cette note correspond à la fondamentale de l'instrument (pour les cuivres, parce que pour les bois c'est un peu différent, sauf quand même qu'on nomme l'instrument selon sa note la plus grave). En bref, la note la plus grave est donc toujours un do pour l'instrumentiste Non : pour le hautbois en ut c'est un sib, pour le hautbois d'amour en la c'est un sol#), pour le cor anglais en fa c'est un mi ou un mib suivant les modèles, le basson et le contrebasson descendent au sib ; tous les sax descendent un ton en-dessous de leur tonalité, les mib (alto, baryton) au réb ou les sib (soprano, ténor et basse) au lab. (sur un instrument transpositeur, pas pour les rigolos de flutistes à bec par exemple, qui disent qu'ils font un "fa" sur une flute en fa quand ils jouent un do, ouh les emm... qui font rien pareil que les autres).
Question
alors si tout est si logique (mouais…) pour tous les hautbois, les cors, les trompettes, les flutes (pas à bec), les saxophones et les saxhorns, pourquoi, mais pourquoi est-ce que c'est tellement le bordel pour les clarinettes? Parce que voila, la clarinette, elle transpose dans des tonalités à la con (il faut bien le dire, Si bémol et Mi bémol pour les modèles les plus courants comme les sax), sans rien respecter du tout de ce que j'ai dit avant. Prenons par exemple une clarinette en si bémol. Jouons un doigté de sol (pouce + 3 doigts de la main gauche). Qu'entend-ton? Un horrible couinement. Demandons donc à un vrai musicien de le faire pour nous. L'instrumentiste joue ce qui est pour lui un do donc comme le basson et le contre, mais aussi somme la flûte à bec sopranino, alto ou basse. Certains cor anglais pensent aussi ainsi quand ils jouent "à l'oreille", et donc un si bémol pour le reste de l'orchestre. La note la plus basse de la clarinette en Si bémol est un mi (donc un ré pour celui qui ne joue pas de la clarinette, vous suivez là ou pas? oui  ), ce qui n'a, avouons-le, que peu de rapport avec le Si bémol de la tonalité de l'instrument voir au-dessus. Bref, c'est un peu n'importe quoi, puisque ni les doigtés ni les notes ne correspondent à ce qui est marqué sur la boite, ce qui pourrait justifier le renvoi de l'objet dans la tronche de l'expéditeur si c'était autre chose qu'une clarinette. Bon, quand même, pour pas faire mon mauvais esprit, il faut bien remarquer que le mystère perd un peu de sa profondeur quand on s'aperçoit que le Si bémol de la tonalité correspond à la note qu'on entend quand on joue un doigté de do dans le registre du clairon, donc dans la troisième harmonique de l'instrument qui, comme tout le monde le sait, quintoie en fait, on devrait dire qu'elle "douzoie" : une quinte + une octave (8+5 = 12 en musique   ) quand on presse de son petit pouce boudiné la clé d'octave qui, du coup, n'est pas une clé d'octave mais une clé de quintdouzoiement. Enfin, pour le coup, il faut chercher très très loin l'explication de l'origine de la chose, surtout qu'on sait que la clarinette dérive du chalumeau, et que le chalumeau correspond à la première harmonique (donc les graves). Personnellement, si on m'avait demandé sans me le dire avant, j'aurais pu affirmer d'un ton péremptoire que la clarinette jouait en mi bémol (obtenu en réalisant un doité de do -- tous les trous bouchés avec les doigts normaux -- dans le registre du claironchalumeau), et d'ailleurs j'ai encore la certitude que la clarinette joue en mi b bien qu'elle transpose en si bémol. Donc, dans ce cas, le basson est en fa… Ah oui, la question : mais pourquoi donc? Y-a-til une explication rationnelle, ou bien est-ce simplement une sorte d'erreur historique?
Question facultative
un ventilateur d'ordinateur débitant 10L par seconde est-il suffisant pour la construction d'un robot joueur de clarinette?
Question facultative numéro 2
Il eut été dit que monsieur Clarinet aurait eut 15 doigts, ce qui lui aurait permis de jouer de l'instrument mal foutu qui porte son nom. Est-ce vrai?

J'ai hâte de sentir la chaleur du rayonnement de vos lumières bienveillantes sur ma modeste personne et sur mon esprit chagriné par ce problème peu soluble dans l'oxyde de dihydrogène, dans l'alcool j'ai pas encore essayé mais ça ne saurait tarder. Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 22:38 (CET)Répondre


Bonjour, en tant que clarinettiste je me dois de répondre à toute ces questions.
Déjà, le prémisse est faux, vous prenez les choses à l'envers. Je m'en vas expliquer tout ça tout de suite !!
En fait, s'il y a des instruments transpositeurs c'est simplement pour simplifier la vie des instrumentistes, puisque ça permet de conserver les doigtés (et ça c'est classe !). Si je prends ma clarinette en la au lieu de ma sib chérie, par exemple, et que je veux jouer le Concerto de Mozart (écrit pour clarinette en la), que j'ai travaillé avec ma clarinette sib, eh bien je n'ai strictement rien à changer. Les doigtés restent les mêmes. Par contre, le son change.
Bin oui, puisque la clarinette n'est pas la même, faire la même chose donnera un son différent. Si je joue un do (par exemple, mais pas par hasard), sur ma clarinette sib, on entendra le sib du piano. Sur ma clarinette en la, on entendra le la du piano. Et si il me prend l'envie de jouer un do sur une clarinette en mib, on entendra le mib du piano.
Là j'éspère que tout s'est éclairé : les notes correspondant aux différents doigtés sont complètement arbitraires, mais on s'est dit un jour que ce serait bien d'avoir une cohérence d'un instrument à l'autre, que le doigté du do soit toujours le même etc. (et même d'une famille d'instrument à l'autre, c'est pour ça que le saxophone ténor est en mib, mais il a les doigtés du hautbois à quelques différences près). Mais du coup quand je fais le doigté du do sur des instruments différents, on entend forcément une note différente. C'est cette note-là qui donne le nom de la tonalité dans laquelle joue l'instrument considéré.
Ca marche pareil pour les cuivres j'imagine, mais je m'y connais moins.
Pour les questions facultatives, je sèche. Enfin pour la deuxième j'aurais bien une idée mais je laisse ça aux autres spécialistes :) --DJMiki (d) 27 janvier 2009 à 23:17 (CET)Répondre
OK. Soit je me suis laissé emporté par ma verve, soit vous avez été désarmé par ma prose, mais dans tous les cas vous venez de répéter exactement mon prémisse presque mot pour mot :-) Sauf que vous éludez la question, puisque vous dites : " Si je joue un do sur ma clarinette sib, on entendra le sib du piano." ce qui n'est pas juste; quand on joue un do (doigté standard: pouce + 3 doigts main gauche + 4 doigts mains droite sur les 4 premiers trous), la clarinette en Si b joue un Mi b piano. Il faut monter dans le registre du clairon pour avoir un Si b piano, ce qui me fait dire que la clarinette en Si b devrait être transposée en Mi b (et donc que la clarinette en Mi b devrait être transposée à la quite inférieure, euh, La b). Le mystère c'est qu'on utilise le registre du clairon comme base de transposition, alors que le clairon n'est que la 3e harmonique du flutiau. Arnaudus (d) 27 janvier 2009 à 23:26 (CET)Répondre
Ca y est, j'ai compris votre question. Ce n'était pas clair, car pour moi il est évident que le doigté que vous appellez "do standard" correspond à un fa dans le registre normal et du coup je ne voyais pas où vous vouliez en venir.
Par contre, je n'ai malheureusement pas de réponse à votre question. Il n'y a peut-être pas de raison précise d'ailleurs, ça arrive parfois aussi :) --DJMiki (d) 28 janvier 2009 à 00:00 (CET)Répondre
Les facteurs d'instruments à vent à l'origine fabriquaient flûtes (traverso ou à bec), hautbois, clarinettes essayant d'adapter les mêmes techniques aux différentes familles. Les sopranos des familles, clarinettes comprises, étaient en ut et mesuraient autour de 60 cm (des recherches empiriques ont fixé des dimensions assez précises). Mais la perce cylindrique de la clarinette, cause du fameux "douzoiemnet", faisait descendre le registre grave d'une quarte, enfin d'une onzième pour être précis (c'est dans ce sens qu'il faut le penser : longueur de l'instrument des sopranos- phénomène acoustique d'un cylindre fermé à une extrémité. Voir la fabrication des tuyaux d'orgue pour bien comprendre ce phénomène). Il manquait même quelques notes intermédiaires aux premières clarinettes/chalumeaux, Vivaldi dans ces premiers concertos pour l'instrument a su "jongler" avec ce "handicape". Par la suite, la clarinette s'est allongée, descendant d'un ton pour les sib (sonorité plus brillante, plus ample) ou d'un ton et 1/2, clarinette en la (sonorité sourde, plus feutrée). On fabrique encore des clarinettes en ut, mais elles sont plus "pédagogiques" pour les petites mains d'enfants. — Hautbois [canqueter] 29 janvier 2009 à 20:30 (CET) NB Pour les longueurs d'instruments, les flûtes à bec font encore exception, divisant par deux leurs dimensions (en fait, la ténor a la tessiture d'un soprano).Répondre
Ahhhh okok merci, je crois que j'ai compris. C'est basé sur la longueur de la colonne d'air, pas sur les doigtés! Le fait est que pour les intruments à perce conique, à colonne d'air identique -> doigté identique, et note identique. Mais du fait de la perce cylindrique de la clarinette, la colonne d'air est virtuellement doublée dans le registre du chalumeau (équivalent à un tuyau fermé). Donc le fa chalumeau, avec son doigté de "do", correspond à une colonne d'air de ~ 120 cm (enfin si la taille de l'instrument est bien 60 cm). Elle est doublée aussi dans le clairon, mais puisqu'on est à l'harmonique supérieure, c'est comme si elle n'était pas doublée, et on entend la note qu'on entendrait avec un hautbois! Je me coucherai moins bête ce soir! Merci cher ami.
Pour le basson, je ne savais pas --j'étais naïvement parti sur l'idée que c'était analogue au duo clarinette/clarinette basse, qui sont toutes les deux en sib avec les mêmes doigtés, mais qui jouent à un octave d'écart. Ça veut donc dire qu'un bassonniste est dans la même situation qu'un flutiste et qu'il doit apprendre deux séries de doigtés (en do et en fa) s'il veut aussi jouer du hautbois. Pourquoi le basson n'est pas transpositeur? J'imagine que ça, c'est un mystère de l'histoire de la musique, non? Arnaudus (d) 30 janvier 2009 à 11:28 (CET)Répondre

Projet contesté

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bonsoir, je viens de prendre connaissance de votre projet de réforme du contrôle des informations mises en ligne . le contrôle a priori va non seulement retarder la publication mais va progressivemen constituer "un comité de lecture " qui va vérouiller les infos . vous n êtes pas l academie française !! , votre qualité unanimment reconnue est la spontanéité : ce qui veut dire vitesse , largeur d esprit,universalité . que diable,les médias ,papier et tv , ont montré leur vulnérabilité dans la diffusion d infos erronnées . vérifier les sujets de l'actualité dans leurs aspects strictement factuels : oui MAIS , de grâce ,PAS LE RESTE sinon , c'est la porte ouverte aux discussions byzantines entre spéciialistes qu'il y ait une imprécision sur les inventeurs des iconophores ne doit pas provoquer des vérifications A PRIORI des spécialistes de l' édition ancienne leur ajout en compement dans l'article suffit . Réflexions de l'IP 86.206.123.3 mises en forme par Père Igor (pour comprendre quelque chose à l'histoire)

Il ne faut pas toujours croire les journaux. L'idée n'est qu'une idée, semble-t-il pour les seuls articles aux vandalismes récurrents (actuellement semi protégés), qui est loin d'être accepté par la communauté de la Wikipédia francophone. Donc, n'ayez pas peur  . HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 00:40 (CET)Répondre
Voir à ce sujet le bistro (où votre remarque aurait été mieux placé que sur l'Oracle dédié aux questions "encyclopédiques" : Wikipédia:Le Bistro/27 janvier 2009#Règles de publication. HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 00:47 (CET)Répondre
De mon côté, je suis partisan du blocage définitif des IP qui massacrent la syntaxe. Malheureusement, j’ai peu de chances d’être entendu. rv1729 28 janvier 2009 à 06:00 (CET)Répondre

Chanson

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Bonjour chers oracles, je fais appel à vous aujourd'hui pour trouver le nom d'une chanson récemment apparu dans le top 5 franco de MusiquePlus. La vidéo nous montre un homme/adolescent qui au fil de la vidéo, remonte en haut d'une horloge. J'ai beau cherché, je n'arrive pas à retrouver le nom de la toune.

« je voudrais prendre mon envol pour pouvoir libérer mes ailes » En espérant que vous puissez m'aider, merci et cordialement, --Sniff (d) 28 janvier 2009 à 01:23 (CET)Répondre

Cool, je l'ai trouvé: Kodiak - Angle Mort   Hum, la citation ne pouvait pas aider, c'est pas les même paroles   Mais en plus, la vidéo m'a permis de retrouver une autre chanson : Koriass - Le poids du monde   Merci quand même, --Sniff (d) 28 janvier 2009 à 01:35 (CET)Répondre
De rien, c'est avec plaisir que nous t'avons laissé répondre à ta question  . -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 15:25 (CET)Répondre
conflit d'éditMais non, ne nous remerciez pas, c'était peu de chose, on en voudrait tellement des questions comme celle-ci  --Doalex (d) 28 janvier 2009 à 15:31 (CET)Répondre

relance investissement

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bonsoir à tous ; bonsoir aussi à toi oracle :oui je sais ya plein de pages sur la relance par l'investissement;mais y a t-il quelqu'un qui peut me l'expliquer de façon trés concentré.Merci d'avance et passez une bonne nuit. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 92.128.107.243 (discuter), le 28 janvier 2009 à 1:29 (UTC)

:Les banques se pretent de l'argent entre elles habituellement. Elle ne le font plus : elles ont peur. Elle ne prêtent plus aux entreprises. Les entreprises peuvent moins acheter à d'autres entreprises. Les entreprises font moins d'activité. Les entreprises licencient. Les gens ont moins d'argent. Les gens achètent moins. Les entreprises vendent moins. L'État donne de l'argent aux banques et aux entreprises et aux gens pour relancer la machine comme un coup de starter en s'endettant. L’État récupérera l’argent une fois que les entreprises les banques et les gens seront repartis. Très simpliste, assez faux, mais je vois pas faire plus concentré.Eystein (d) 28 janvier 2009 à 02:24 (CET)Répondre

Qu’est-ce qui est simpliste et faux, ton explication ou ce que tu expliques ? rv1729 28 janvier 2009 à 05:58 (CET)Les deux mon capitaine. J'ai mal lu la question je repondrai plus a des heures pareilles avec de l'alcool dans le sang.Eystein (d) 28 janvier 2009 à 10:00 (CET)Répondre
La relance par l'investissement, c'est hypothéquer un peu plus l'argent des générations futures pour préserver les dividendes des actionnaires d'aujourd'hui, et autant que possible, les juteux fromages des dirigeants (sauf quand leur incompétence fait vraiment trop tache, dans ce cas on est obligé de les remercier à son de trompe, quitte à leur retrouver discrètement une petite sinécure une fois les caméras éloignées). Les bétonneurs par exemple devraient profiter de la relance par l'investissement : on va construire des autoroutes (tiens ? comme avant la guerre de 39-45 en Allemagne et en Italie), des ponts, des ronds-points et des cages à lapins avec l'argent de nos descendants. A ce propos, demain, il y a grève, au cas où ça intéresserait quelqu'un d'autre que les seuls clients de la SNCF. Félix Potuit (d) 28 janvier 2009 à 06:18 (CET)Répondre
Toute relance a le même principe : un peu d'argent injecté est dépensé plusieurs fois, et donc pour 1000 E injectés par exemple, on arrive à des flux d'argents qui augmentent de 3000E, par l'effet du multiplicateur keynésien. Deux types de relance existent : la relance par la consommation (faire en sorte que les consommateurs dépensent plus en les aidant -primes auto-, ou en rendant moins intéressant l'épargne -baisse des taux-) ou par l'investissement (faire en sorte que les entreprises dépensent plus, en réduisant les aidant -baisse d'impots sur les investissements, baisse du cout des emprunts...-). L'avantage actuelle de la relance par l'investissement par rapport à celle par la consommation, est que théoriquement l'investissement est d'avantage dépensé en France qu'à l'étranger, alors que la conso des ménages est largement européenne et mondiale (d'où l'échec des politiques de relance de Mitterrand, et de la nécessité d'une coordination internationale dans ces plans de relance). Le désavantage est que l'effet multiplicateur est plus faible pour l'investissement que pour la conso. L'idée générale de cette rance par la demande (de conso ou d'investissement) est qu'en augmentant les dépenses de l'état et des agents économiques, les revenus augmentent, et qu'une partie de ses revenus nouveaux sont réinjecté dans la consommation, ce qui produit une hausse de la production et de nouveaux revenus, à nouveau consommé, etc. Cette théorie s'oppose à la relance par l'offre, défendu par la loi des débouchés de JB Say et les libéraux, qui dit que l'offre crée sa propre demande, pour qui il faut augmenter l'incitation à l'emploi (baisse des aides, et du SMIC par ex). HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 10:45 (CET)Répondre
(conflit d'édition)
Il faut voir la chose sous deux aspects, celui « politique » et celui économique.
  1. L'expression politicienne « relance par l'investissement » employée par les gouvernants, ceux qui les soutiennent et ceux qui les contestent, n'a pas de sens particulier, ça fait partie du vocabulaire habituel de la propagande ordinaire, où l'on utilisera aussi bien « relance par la consommation » ou « relance par une politique de grands travaux » ou autre variante, le seul intérêt étant, dans tous les cas, d'affirmer qu'on va agir vigoureusement et efficacement pour (excusez l'expression) « relancer la relance ». Les discours de ce type sont toujours en relation à un contexte politico-économique difficile, habituellement dénommé « crise », sous-entendu « crise économique », même quand il n'y a pas de crise économique réelle.
  2. D'un point de vue objectif, toute relance de l'économie est la conséquence d'un investissement financier direct (grands travaux, soutien aux entreprises) ou indirect (redistribution vers les « consommateurs »), c'est-à-dire le transfert d'un capital monétaire ayant pour but, in fine, de provoquer « une augmentation de l'activité économique et une réduction du chômage lors des périodes de faible croissance ou de récession ».
Ce que les politiciens dénomment « relance par l'investissement » désigne un mode d'action particulier, l'investissement direct par l'État de ce capital dans des entreprises ou des organismes financiers, privés ou publics, soit pour leur permettre d'améliorer leurs capacités de production de richesse, soit pour éviter une chute de productivité. En ce second cas, la relance des discours politiques ne correspond pas à la notion économique puisqu'il s'agit, non pas de « relancer l'économie » mais de limiter ou éviter la récession en permettant à certaines entreprises de ne pas se mettre en faillite, ce qui ferait augmenter brutalement le nombre de chômeurs, contribuerait à augmenter le déficit extérieur et réduirait les ressources de l'État et des collectivités locales.
Parler alors de « relance par l'investissement », de « relance par la baisse des impôts » ou de « relance par la consommation » n'a donc pas de signification évidente, ça dénote simplement de l'orientation de l'effort financier de l'État à un instant donné en direction d'un public donné, sans qu'on puisse en déduire que la volonté effective du gouvernement est proprement de mener une politique de relance. Comme le précise l'article de Wikipédia, la relance requiert nécessairement une politique économique de type keynesien ; si les investissements faits ne s'accompagnent pas de mesures contraignantes sur l'usage de ces fonds et d'une politique monétaire d'un certain type, ce n'est techniquement pas de la relance. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 11:13 (CET)Répondre

Les ongles de nos ancêtres...

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Bonjour!

Suite à un rêve bizarre cette nuit - qui l'eut cru - une question m'est venue et me hante (un peu) : comment nos ancêtres (homo sapiens, premières tribus etc.) se coupaient-ils les ongles?? (j'ai rêvé d'un homme avec de trèèèès longs ongles des pieds, cqfd).

Merci si vous connaissez une début de réponse à cette farfelue demande, de me dire quoi.

--Pytra (d) 28 janvier 2009 à 09:54 (CET)Répondre

Sans alcool dans le sang ce coup la, je dirai par usure ? Et puis ca se coupe bien avec les dents aussi. Oui ceux des pieds aussi.Eystein (d) 28 janvier 2009 à 10:08 (CET)Répondre
oui les dents c'est très probable ; même si elles tombaient plus vite �� l'époque... pour un passé plus récent, je pense que les dents ont été complétées pas les ciseaux (??) puisque selon l'article : "Les ciseaux à lames croisées pivotant sur un axe central, comme ceux connus de nos jours, existaient il y a deux mille ans dans l'Empire romain (inventés vers 100 apres J-C) et en Extrême-Orient." et "Leur usage se généralisera en Europe au XVIe siècle.". Bon, après je pense que la manucure est apparue plus tardivement, même si "Le vernis à ongles semble avoir été inventé par les Chinois vers 3000 avant JC, toutefois Japonais et Italiens pensent avoir été les premiers à utiliser le vernis à ongles."
--Pytra (d) 28 janvier 2009 à 10:31 (CET)Répondre
Réponse simple: les ongles ça s'use quand on s'en sert. Arnaudus (d) 28 janvier 2009 à 11:41 (CET)Répondre
et puis pourquoi les couper? il y a toujours cette solution -> http://www.ananova.com/news/story/sm_2015171.html
 
Avant l'invention des ciseaux...
Et pour les cheveux, la barbe etc. ? --Serged/ 28 janvier 2009 à 13:52 (CET)Répondre
Les cheveux ne sont pas eternels. Si on estime la pousse des cheveux a 1 centimetre par mois, et que chez l'homme ils sont une duree de vie de 3 ans ca fait... 36 centimetres max. Chez les femmes le cheveu pousse plus longtemps. Donc si on a des cheveux lents petite chevelure, si on a des cheveux rapides grande chevelure (theorique et si personne ne coupe les cheveux en quatre). La barbe... je dirai que ca doit etre pareil... Moi je plafonne vers les 40 centimetres (de cheveux hein ? pas de barbe :P).Eystein (d) 28 janvier 2009 à 14:40 (CET)Répondre
Hmm... déjà vu des cheveux descendant jusqu'aux fesses, voire plus bas... Combien de cm ? Pour la barbe -> [6] --Serged/ 28 janvier 2009 à 16:32 (CET)Répondre
Quand à lui... (image à droite). --Serged/ 28 janvier 2009 à 16:38 (CET)Répondre
Lui il triche il se fait des locks. Pour le cas du jusqu'en bas du dos oui c'est possible, par exemple chez les femmes la duree de vie du cheveux est plus longue (6 ans ?) donc on peut arriver a 80 centimetres ce qui correspond a peu pres au bas du dos ?Eystein (d) 28 janvier 2009 à 17:28 (CET)Répondre
Avais tu regardé cette [videohttp://www.tuxboard.com/?record-des-ongles-de-mains-les-plus-longs-du-monde-video] avant d'aller au lit ? Si non, désolé pour le nouveau rêve (cauchemard ?) Dam63 (d)

Dessin, blason

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Bonjour,

J'ai dessiné le blason du Guilvinec : comment le faire apparaître dans le fichier correspondant ?

En vous remerciant. Avec mes meilleurs salutations

P.Loth (Sui)

(demande de 85.0.120.24 (d · c · b) - 28 janvier 2009 à 11:06)

Salut, 85.0.120.24 (d · c · b) : cette question ne concerne pas l'Oracle, je la transfère donc sur la page des questions techniques où je tenterai de te répondre. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 11:30 (CET)Répondre
l'utilisateur ayant signé avec son nom, je ne vois pas l'utilité de mettre en avant son adresse IP ainsi. N'a-t-il pas le choix des données personnelles qu'il laisse dans sa question ? HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 13:56 (CET) – Puisqu'il n'a pas de compte, le nom ne suffit pas. Si on veut pouvoir discuter avec lui on doit bien en passer par la PDD de son IP. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 14:05 (CET)   Puisqu'on répond ici, et (presque) jamais sur les PDD, ma foi, je ne vois pas trop... Mais c'est pas grave. HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 14:17 (CET)Répondre

Épinceur

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Bonjour à tous (sauf à elle parce que si vous vous y mettez aussi... le serveur de WP va sauter !). Pourriez-vous me trouver la traduction en néerlandais (et en anglais et wallon, j'en aurai besoin plus tard) de « épinceur » (Ouvrier qui façonne les pavés à l'aide de l'épinçoir (ou épincette) dit le CNRTL) ? Mille grâces déjà, --Égoïté (d) 28 janvier 2009 à 14:03 (CET)Répondre

P.S. Si l'un(e) de vous est inscrit sur WP nl et manie très bien le néerlandais, pourrait-il/elle faire comprendre, avec courtoisie mais fermeté et persuasion, aux rédacteurs(trices) l'importance d'insérer au moins une fois "het" ou "de" dans tous les articles ? On fait comment pour accorder quand on lit "een jaardicht" et que son propre dictionnaire ne connait ni ce mot et ni le substantif "dicht" ?   Merci déjà  Par exemple on utilise son synonyme chronogram [7],le sens des 2 mots jaar et dicht étant à peu près, année compactée, non ?--Doalex (d) 28 janvier 2009 à 18:40 (CET)Répondre

Épinceur n'est pas dans mon petit dico Van Dale (aussi, c'est pas un nom pour Wikipédia, Van Dale) Morburre (d) 28 janvier 2009 à 17:32 (CET)Répondre
Il me semble assez probable, même si non certain, que tu ne trouveras pas de synonyme pour ce terme de métier : ce n'est guère qu'un tailleur de pierre spécialisé dans l'ajustement des cubes de grès à usage de pavé et pour qu'il y ait un synonyme il faudrait une spécialisation des tâches équivalente, ce qui n'est pas évident. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 18:52 (CET)Répondre
  Je suis bien d'accord avec toi mais comme l'espoir fait vivre... Je tente en fait de trouver la traduction correcte pour "marteau d'épinceur" (j'ai déjà renoncé pour la bisaigüe, voir [8]) --Égoïté (d) 28 janvier 2009 à 19:08 (CET)Répondre
  Malgré mon pessimisme en paroles, je suis un optimiste par l'action, donc je continue à chercher, parce que ça m'intrigue. Sur cette page de catalogue on voit la tête de l'instrument. Pour moi, ça ressemble assez à une massette trapézoïdale (précisément, en forme de Parallélogramme). Le poids de l'engin est impressionnant : 1,2kg. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 19:53 (CET)Répondre
J'ai trouvé un vieux terme dans cet article anglais [9] il s'agit de beedle mallet qui semble aussi un terme obsolète après recherches sur google U.K. mais il y a une certaine analogie concernant l'usage de cet outil.--Doalex (d) 28 janvier 2009 à 20:03 (CET)Répondre
Merci à vous et pour   Olivier ( ) ! La massette est une bonne piste, le beedle mallet moins (car "It was used by paviours for punning paving stones into position when bedding. " il ne sert donc pas à tailler comme l'épinçoir). J'ai trouvé le mot wallon dans Jean Haust : spincieû ! (Hélàs sans croquis, et pas d'image sur Google) Par curiosité, en quelle matière est selon vous l'instrument trouvé par Olivier ? Et à toutes fins utiles pour d'autres recherches, je vous signale ce site (qui ne m'a pas aidée cette fois) Musée des techniques anciennes. Bonne journée ! --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 06:31 (CET)Répondre
Difficile à dire. Probablement en acier, sauf pour les angles « épinceurs » visiblement d'une autre matière, peut-être du fer, plus doux que l'acier. D'un autre côté son volume n'est pas si important, environ 168 cm², moins le gros trou pour le manche, environ 42 cm³, soit quelques 126 cm². Reste à déterminer si un tel volume d'acier pourrait peser 1,2 kg. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 10:20 (CET)Répondre
J'ai la réponse à une de mes interrogations : la densité de l'acier est d'environ 8, donc à volume équivalent il est huit fois plus pesant que l'eau ; un morceau d'acier de 126 cm³ devrait donc peser environ 1.000 grammes. Mon estimation du volume de l'objet étant probablement en-dessous de la réalité, ça donne à penser que cet objet est effectivement en acier. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 12:04 (CET)Répondre
Une piste pour l'anglais : « cobble hammer » ou « cobbler hammer », qui pourrait correspondre à épinçoir / épincette. Et incidemment, s'il existe un « cobbler hammer », c'est qu'il existe un « cobbler », savoir si ça désigne l'épinceur ou le paveur... -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 13:15 (CET)Répondre
Zutre !   Rien à voir : le « cobbler hammer » est un marteau de cordonnier et le « cobble hammer » est un caillou, une sorte de galet. Mais   je ne désespère pas de trouver ta réponse. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 13:20 (CET)Répondre
(conflit d'E...dison)   Mon petit Harrap's me dit que cobbler = cordonnier... et le Collins confirme.  
Mais grand merci pour l'acier ; c'est ce que je supposais et j'avais lu acier où il est dit que 1/ « Les Hittites sont considérés comme les inventeurs de l’acier. » et 2/ « L’acier est apparu, avec l’évolution de la métallurgie, vers 1786. » et Histoire de la production de l'acier ne parle nullement des hittites mais des Grecs... Bizarre, vous avez dit bizarre ? Il faudrait qu'un contributeur compétent corrige (ou précise) un petit peu... Qui se lance ? --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 13:33 (CET)Répondre
J'ai une hypothèse : l'acier en tant que résultat d'un procédé industriel volontaire doit être assez récent, et daterait alors de la fin du XVIIe siècle ; en revanche l'acier « naturel » (si dire se peut...) est probablement plus ancien, puisqu'il ne s'agit guère que de fer avec adjonction de carbone, et que la fusion du fer a du provoquer naturellement la chose à date assez ancienne, sans que les forgerons fassent une distinction entre fer et acier. Pour preuve, la fonte, nous dit l'article de WP, « fut découverte en Chine durant la période des Royaumes combattants (IVe siècle av. J.-C.) », or les fontes de fer sont aussi des alliages fer-carbone. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 14:10 (CET)Répondre
Piste d'explications pour l'acier [10] (Arcelor pourrait mieux écrire, mais enfin...) --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 05:55 (CET)Répondre

Légende urbaine ? Savoir pseudo-scientifique ?

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Bien le bonjour,

J'ai lu plus d'une fois des affirmations comme celle émise plus haut par Eystein : « Si on estime la pousse des cheveux a 1 centimètre par mois et que chez l'homme ils sont une duree de vie de 3 ans, ça fait... 36 centimètres max ». voir aussi l'article de Wikipédia sur cette pilosité crânienne : « Chez la femme, la durée du cycle de croissance est de 5 ans environ, contre 3 ans chez l'homme. Les cheveux poussent également plus vite chez la femme que chez l'homme ». Même postulat pour la vitesse de pousse : « La croissance des cheveux est [...] en moyenne de 1 cm par mois ». Disons 1,5cm pour les femmes, puisqu'ils « poussent plus vite ». Pour les femmes on a donc 1,5x12x5=90cm maximum, pour les hommes à pousse capillaire rapide et durable, 1,25x12x4=60cm.

Qui a vu des reportages sur les sâdhus aura vu que le plus souvent ils ont des cheveux trèèèès longs, bien plus que les 60cm promis – voir la photo illustrant la précédente discussion. Et ça n'est pas du toc : quand ils se les lavent dans le Gange ou autre fleuve local, ont voit qu'ils sont plus longs mouillés que secs...

Bref, le constat empirique vient en contradiction de ces affirmations reprises par l'article de Wikipédia sur la durée de vie et la vitesse de pousse d'un cheveu. Quelque pythie, quelque augure pourraient-ils m'expliquer pourquoi on retrouve partout cette idée qui se révèle à l'évidence fausse ?

Merci d'avance pour toute réponse sérieuse et circonstanciée. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 18:01 (CET)Répondre

Peut-être que si on ne se les lave pas ils vivent plus longtemps ? Peut-être les locks permettent-ils de garder ces cheveux morts en les emmêlant aux jeunes cheveux ? Peut-être faut-il les garder dans un turban ? rv1729 28 janvier 2009 à 18:19 (CET)Répondre
Je n'ai jamais vu de sadhu se baigner dans le gange mais sur ton image il porte des "dreadlocks". Donc ce ne sont pas des cheveux de 3 metres. La chevelure parait faire trois metres mais les cheveux relies au cuir chevelu sont plus courts. Je sais, j'ai pas de sources et je peux me tromper, qu'il y a un facteur genetique dans le cycle de pousse des cheveux et leur vitesse. De mon experience personnelle je ne me coupe plus les cheveux depuis plus de 6 ans, et bien ca fait deux ans que j'ai atteinds ma taille maximale de cheveux. (je les ai mesures, c'est pas une affirmation de comptoir). Par contre je comprends pas "plus longs sec que mouilles". Je vais chercher des sources serieuses, comme un dermato ou un cours de dermato sur la pousse des cheveux. Eystein (d) 28 janvier 2009 à 21:07 (CET)Répondre
Mais non ! C'est le contraire : plus long mouillés que secs. J'ai le souvenir vif d'un reportage sur des sadhus où, à un moment, ils font leur toilette dans je ne sais pas quel fleuve, entre autres celle de leur chevelure, et à ce moment-là, de la manière la plus évidente leurs cheveux, habituellement tire-bouchonnés « façon dreadlocks », sont plus détendus, donc apparaissent plus longs. Et en outre, on voit à cet instant que ce sont bien leurs cheveux.
Ta remarque est assez juste : j'ai laissé pousser les miens depuis à-peu-près autant de temps (depuis fin 2002 ou début 2003) et de fait, depuis environ trois ans ils ont peu progressé mais ils continuent à s'allonger. Je le constate surtout après les avoir laver, moment où je peux le mieux constater leur longueur. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 21:46 (CET)Répondre
Oui pardon, je pensais qu'ils ne les demelaient pas donc mouilles = moins de boucles= parraissent plus long. Je n'ai pas plus d'explications... :/ Eystein (d) 28 janvier 2009 à 21:59 (CET)Répondre
Confirmation du cycle de 3 à 4 ans sur en:Hair follicle (bel article, soit dit en passant). rv1729 28 janvier 2009 à 21:23 (CET)Répondre

Reponses humoristiques... (reprennons un peu les traditions qui font que les reponses serieuses viennent en premier puis apres on peut plaisanter dans la bonne humeur.)

C'est bien connu les femmes vont plus souvent chez le coiffeur que les hommes, donc les cheveux des femmes poussent plus vite. cqfd ? Eystein (d) 28 janvier 2009 à 20:42 (CET)Répondre

Geographic Video Sex

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Je souhaiterais voir la video sur la transplatarion du sexe passée sur National geographic ce 25 Janvier 2009.Merci.

Cherchez sur google, transplatarion du sexe. rv1729 28 janvier 2009 à 19:29 (CET)Répondre

Valeurs de wikipedia?

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Bonsoir cher Oracle,
Une terrible question me taraude l'esprit, est-ce que wikipedia a des valeurs? Les principes fondateurs encadrent les recommandations et règles qui sont par définition normatives même si le dernier principe est censé mettre un frein à toute bureaucratie. Pourtant ces principes ne me semblent pas permettre de dégager une éthique.
Il est évident que la réponse ne coule pas de source. Je serai reconnaissant à toute pythie émettant un avis, une piste de réflexion, une pointe d'humour, un quolibet (dans la mesure où il apporterait un sens bien entendu) ou m'indiquant une référence traitant du sujet.--Walpole (d) 28 janvier 2009 à 19:50 (CET)Répondre

Les valeurs sont probablement plus à chercher dans la philosophie du libre : La cathédrale et le bazar pour l'organisation, et l'exception culturelle pour « la culture n'est pas une marchandise »  . HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 20:13 (CET)Répondre
En tout cas, la garniture du frein à la bureaucratie n’a pas l’air fraîche. rv1729 28 janvier 2009 à 21:14 (CET)Répondre
C'est une question. En fait on se la pose depuis la nuit des temps la création de Wikipédia. L'encyclopédie a, comme tu le dis, des principes, mais autant que je le comprenne, pas de valeurs sinon celles de la Wikimedia Foundation impliquées dans la définition de sa mission :
« La mission de la Wikimedia Foundation Inc. est d'inciter des gens du monde entier à réunir et à développer du matériel éducatif à contenu libre ou du domaine public, et de diffuser ce matériel à l'échelle mondiale ».
Les valeurs lisibles dans cette définition sont entre autres l'attachement à la diffusion libre du savoir, la volonté de contribuer à l'éducation des tous, celle de construire une œuvre collaborative universelle, qui implique qu'on aspire à l'harmonie entre les humains et entre les peuples. La philosophie de base est humaniste et, en un certain sens, libérale.
Cela posé, on ne peut pas vraiment dire qu'il y ait des valeurs bien fixées et explicites au sein de Wikipédia, ni même une volonté formelle de faire adhérer les contributeurs au projet de la manière indiquée par l'énoncé de la mission de Wikimedia. Les nombreuses discussions sur ce que doit être l'encyclopédie, sur la manière de rédiger les articles, sur ce qui est admissible ou non, sur les règles, les recommandations, le fonctionnement général, les diverses institutions (admins, arbitres, stewards, etc.) montrent assez, je pense, que pas mal de contributeurs ne se reconnaissent pas vraiment dans l'énoncé de cette mission, tels la trouvant trop rigide, tels trop floue.
Fondamentalement, et toujours tel que je le comprends, le système de valeurs implicite est celui en vigueur dans la majeure partie des démocraties libérales, un mixte entre les principes énoncés dans la Déclaration d'indépendance des États-Unis, dans les Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 et de 1793 et dans la Déclaration universelle des Droits de l’Homme.
Les contributeurs n'adhèrent pas tous à ce système de valeurs mais, par nécessité, l'encyclopédie s'y conforme pour la raison simple qu'elles structurent explicitement ou implicitement l'appareil légal des pays où sont installées les structures opérationnelles (serveurs, administration) et légales (Foundation, diverses associations Wikipédia) responsables de ses contenus. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 21:29 (CET)Répondre
Merci à tous pour vos réponses qui m'ont éclairé. Je n'ai pas toutefois bien compris l'argument de l'exception culturelle pour wikipédia qui est international sans frontière et qui ne craint pas les droits de douane.--Walpole (d) 30 janvier 2009 à 09:35 (CET)Répondre
Moi non plus, mais c'est pas grave  . Pour être sérieux, c'est en lien à l'usage commun de l'expression dans les médias français quand on veut tourner ça en dérision. L'exception culturelle est alors décrite non comme une législation visant à protéger un marché national des biens culturels mais comme la volonté naïve et franchouillarde de mettre la culture librement (entendu comme : gratuitement) à la portée de tous. Bref, le contraire de ce que c'est, mais les discours propagandistes n'ont pas pour but de d'informer sur la réalité des choses. -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 11:55 (CET)Répondre
Je diverge sur ton ironie mais merci d'expliquer ma pensée. Je ne parlais pas de législation ou de son application à l'OMC, mais simplement pour l'idée qui la nourrit, pas si franchouillarde que ça, que la culture n'est pas un produit comme un autre, qu'elle n'est pas monnayable, que le savoir doit être partagé sans répondre aux contraintes purement marchandes. Ca ne signifie pas gratuitement obligatoirement, mais le refus d'une logique seulement comptable du secteur culturel. Or, il me semble que les projets de Wikimedia applique dans une certaine mesure cette idée que des contenus culturels (images, livres, encyclopédie, dictionnaire...) peuvent sortir de la logique marchande, sans la nier. HaguardDuNord (d) 30 janvier 2009 à 12:09 (CET)Répondre

Photo des groupes de rock

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Bonjour, je cherche souvent des photos de groupes de rock ou de personnalités de rock plus ou moins mythiques (les Beatles, Led Zep, Pink Floyd, Dire Straits, Bob Dylan, etc...), mais à mon grand désarroi, Wikipédia et les Commons ne proposent que des photos récentes de ces célébrités aujourd'hui vieillissantes, et non des photos à l'apogée de leur art. -Pourquoi ? -Où puis-je trouver de telle photos en bonne qualité ? (genre pas du 640*480)

Merci.

Google images propose différentes tailles, à toi de choisir.--Doalex (d) 28 janvier 2009 à 22:06 (CET)Répondre
Le problème avec les photos anciennes mais pas trop est celui des droits et des licences : à partir de la fin des années 1990, la multiplication des appareils de prise de vue numériques jointe au développement des licences libres a fait que de plus en plus d'images sont directement disponibles pour Wikimedia Commons ; avant cette période, la majeure partie des photos publiques sont dues à des professionnels et sous une licence incompatible avec celle de Wikipédia, d'où la présence massive d'images récentes et la rareté de celles plus anciennes. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 23:01 (CET)Répondre
Merci bien. Je vais jeter un œil sur Google Images.
Tu peux aussi aller sur le wiki anglais, où ils sont plus "laxistes" au niveau des licences (ils acceptent le fair use par exemple). --Serged/ 29 janvier 2009 à 09:53 (CET)Répondre

Verveine

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Bonjour, une plante toxique peut-elle transférer ses toxines à sa voisines ? En fait, puis-je consommer de la verveine qui pousse sous un laurier rose ?? Merci. combien de feuilles de verveine conseille-t-on pour une tasse ? Merci.

Si on vous répond par l’affirmative et que vous mourez empoisonné, votre famille portera plainte contre nous. Vous pensez bien que dans ces conditions, nous ne pouvons vous renseigner   rv1729 29 janvier 2009 à 10:30 (CET)Répondre
La réponse à la question générale, « une plante toxique peut-elle transférer ses toxines à ses voisines ? », est : ça dépend. La réponse à la question spécifique, du laurier-rose vers la verveine, est : probablement non. Mais sans pouvoir le certifier.
Pour le cas général, ça dépend de la localisation du toxique de la plante. Par exemple, la toxine du sumac vénéneux se trouve dans un suc que la plante dépose sur la surface de ses feuilles, donc une plante d'autre sorte qui serait en contact avec un sumac pourrait très bien s'en trouver enduite. Dans le cas qui te préoccupe, la toxine du laurier-rose n'est pas en surface donc il n'y a pas de raisons de penser qu'elle pourrait, comme par magie, passer du laurier à la verveine. Cela dit sans certitude mais avec du bon sens : je n'ai jamais constaté de transfert des qualités d'un plante vers une autre qui est proche, et pourtant dans un jardin elles sont très souvent les unes contre les autres.
Pour ton autre question, il n'y a pas de réponse exacte, il en va ici comme pour toute infusion : c'est une question de goût. C'est comme le café, par exemple : je l'aime assez léger, mon frère en revanche l'apprécie très fort, et pour la même quantité d'eau il utilise pratiquement deux fois plus de café que moi. -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 03:09 (CET)Répondre

Oque. Merci pour ta réponse. Je vais tester sur ma femme.

Question de grève

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Ô digne Oracle, en ces temps de lutte finale et autres grèves générales, je me pose une petite question...

Comme tu le sais Ô Racle, la loi sur le service minimum d'accueil dans les écoles demande à ce que les maires mettent en place un service d'accueil. J'habite dans une grande-ville-à-maire-socialiste, donc depuis le début de l'année il n'y a pas de service d'accueil les jours de grève. Le maire, les 3 grèves précédentes, nous avait même envoyé un courrier expliquant pour quelles raisons il ne mettrait pas en place ce service.

La question que je me pose est la suivante : la position de la mairie a l'air bien arrêtée et cette fois-ci, j'avais prévu depuis 3 semaines de "réserver" ma baby-sitter pour la journée de demain, afin de ne pas me retrouver coincée. Mais, systématiquement, la mairie ne donne sa position officielle (fermeture totale des écoles) que moins de 48 h avant le début de la grève. Pourquoi donner cette décision seulement moins de 2 jours avant la grève, si par principe le maire ne veut pas mettre en place ce service ?

J'en suis arrivée à me demander s'il n'y a pas pour le maire un risque de réquisition forcée par le préfet, et donc que le maire ne donne l'avis de fermeture des écoles que le plus tard possible, et dans un délai faisant qu'il n'est pas possible d'organiser une autre alternative. As-tu connaissance, cher Oracle, de quelque chose comme cela ?

Cela ne changera pas grand chose pour moi de le savoir, les écoles seront toujours fermées et mon salaire passera encore dans la poche de ma baby-sitter, mais au moins j'aimerais savoir si le maire a une raison particulière de procéder ainsi ou s'il s'agit d'un hasard, ou d'un manque d'organisation de la mairie, ou d'une complète indifférence aux problèmes des parents qui bossent.

Merci ! --Serein [blabla] 28 janvier 2009 à 22:12 (CET)Répondre

Sans vouloir faire de politique sur la page de l'Oracle, ton édile municipal a de bonnes chances (ou un grand risque) de faire partie des « parents qui bossent », et son action (ou son inaction) doit lui poser autant de problèmes qu'à ses administrés. Pour le reste, je n'ai pas (ou pas encore) de réponse mais ton hypothèse me paraît assez probable. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 23:12 (CET)Répondre
Un peu plus tard. Je pense avoir trouvé la raison de la chose, elle se trouve dans le premier alinéa de l'article L133-4 du Code de l'éducation : « Dans le cas où un préavis de grève a été déposé dans les conditions prévues par l'article L. 2512-2 du code du travail et en vue de la mise en place d'un service d'accueil, toute personne exerçant des fonctions d'enseignement dans une école maternelle ou élémentaire publique déclare à l'autorité administrative, au moins quarante-huit heures, comprenant au moins un jour ouvré, avant de participer à la grève, son intention d'y prendre part ». En toute hypothèse, ton maire ne sait s'il y a nécessité à mettre en place un service minimum, et donc ne peut prévenir qu'il ne le fera pas, que trois ou quatre jours avant la grève. Quant aux réquisitions forcées par voie préfectorale, cette information montre que les préfets savent anticiper, même si (ô paradoxe !..) ils le font avec retard. -O.M.H--H.M.O- 28 janvier 2009 à 23:38 (CET)Répondre
[conflit... social]48h, c'est le délai pour la déclaration des grévistes. La mairie ne peut pas savoir qu'elle ne peut pas organiser le service minimum avant de savoir combien d'enseignants, d'auxiliaires et de fonctionnaires territoriaux sont en grève. Car même si la décision est prise avant, la municipale, légalement obligée de l'organiser, ne peut que se couvrir par "l'impossibilité manifeste" d'organiser l'accueil. HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 23:42 (CET)Répondre
Merci de vos réponses, en effet je n'avais pas pensé à ce délai de 48h, puisqu'au sein de l'école, cela fait plus d'une semaine que les enseignants souhaitant faire grève nous avaient prévenus. Idem pour la cantine et la garderie, nous savions depuis la semaine dernière qu'il n'y en aurait pas. Sinon je ne souhaite pas faire de politique, ça n'est pas ça, je voulais juste comprendre pourquoi la mairie prévient si tard des fermetures d'écoles. --Serein [blabla] 29 janvier 2009 à 00:07 (CET)Répondre
Bon, bon, j'avais oublié la signalétique : sans vouloir faire de politique sur la page de l'Oracle  , (etc.). Bien à toi. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 00:10 (CET)Répondre

Tiens, du coup, j'ai une question corolaire : pour mettre en place le service d'accueil, les collectivités doivent piocher dans ses caisses, soit en déplaçant des fonctionnaires territoriaux dans ces fonctions, soit en embauchant (heures sup), tandis que l'Etat, lui, fait des économies. Donc est-ce que la mise en place de ce service d'accueil est compensé, ou est-ce que finalement, l'Etat a trouvé un moyen (supplémentaire) de transférer des dépenses ? HaguardDuNord (d) 28 janvier 2009 à 23:50 (CET)Répondre

Légifrance, il n'y a que ça de vrai quand on veut une information de cet ordre. Voici ce que dit le décret n° 2008-901 du 4 septembre 2008 relatif à la compensation financière de l'Etat au titre du service d'accueil là-dessus : « Pour chaque école dans laquelle a été organisé un service d'accueil dans les conditions définies à l'article L. 133-4 du code de l'éducation, le montant de la compensation financière mentionnée à l'article L. 133-8 du même code est déterminé selon les modalités suivantes. Son montant est égal à 110 € par jour et par groupe de quinze élèves de l'école accueillis ». Viennent ensuite toutes les modalités pour obtenir ce montant compensatoire, et franchement, c'est l'usine à gaz... -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 10:02 (CET)Répondre
Merci ! Me voila rassuré   HaguardDuNord (d) 29 janvier 2009 à 23:32 (CET)Répondre

Oui dailleurs, cette loi sur le service minimum n'est-elle pas vaine? Pour assurer le service minimum il faut des gens qui ne fassent pas grève... Si tout le monde fait grève, l'état ne peut pas obliger quelqu'un de ne plus le faire: ça irait contre le droit individuel à la grève. Et si tout le monde ne fait pas grève alors il y a de toute façon un service minimum puisque certaines personnes travaillent... Bref j'ai du mal à piger cette loi bizarre. L'oracle peut-il m'expliquer patiemment? .: Guil :. causer 29 janvier 2009 à 17:07 (CET)Répondre

Je peux te répondre de manière empirique suivant ce que je peux voir dans l'école de mes enfants : qu'il y ait ou non des personnels non grévistes ne change pas le fait que le service minimum soit ou non organisé, du moins dans ma ville. Les élèves des classes d'enseignants grévistes ne sont pas acceptés dans les classes des non-grévistes (en primaire), et pour la maternelle, elle est complètement fermée, sans que je sache si tous les personnels sont grévistes ou pas. Mais effectivement si une part importante du personnel est en grève, je vois mal comment on peut mettre en place le service. Avant cette loi, les maîtresses demandaient à ce qu'on fasse le maximum pour garder les enfants, et accueillaient dans les classes des non-grévistes les enfants dont les parents n'avaient pas trouvé de solution. Personnellement je n'ai jamais vu la totalité des enseignants en grève. Un taux de 50 % comme aujourd'hui est déjà très haut (non, les profs ne passent pas leur vie à faire la grève, halte aux idées reçues  ). Serein [blabla] 29 janvier 2009 à 22:56 (CET)Répondre
Il y a toujours des non grévistes. L'interet de la loi est que le personnel enseignant est remplacé par la fonction publique territoriale, donc rarement en grève en même temps. Il y a toujours des jaunes, et si les jaunes ne suffisent pas, il y a les surveillants en CAE, payés au SMIC avec des contrats de 8 mois, + des heures supp pour animateurs de centres aérés, etc, employés qui peuvent pas vraiment refuser. Ce qu'apporte la loi c'est des conditions plus large d'accueil : pas d'obligation d'encadrants diplomés, pas de limite du nombre d'élèves par encadrant... En pratique, il est clair que ceux qui accueillait déjà le font toujours, et ceux qui ne le voulait pas ou ne pouvait pas avant ne le font pas plus après. Mais il repousse la faute sur la multitude des décideurs locaux, alors que les gouvernants peuvent dire qu'ils ont donner les moyens de répondre aux préoccupation de la masse laborieuse prise en otage par les syndicats irresponsables... Mais reste la solution de Lefebvre : réquisitionner parmi les grévistes pour tout service public ! HaguardDuNord (d) 29 janvier 2009 à 23:32 (CET)Répondre

Ma plante a des goûts de luxe

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Bonjour. J'ai dans mon laboratoire une plante 'grasse', et je suis parti en vacances (donc sans l'arroser) pendant 5 semaines. Elle était un peu déconfite en revenant, c'est à dire à plat et brunâtre. Comme je bois du thé au labo mais que je ne peux pas jeter ce qui reste dans la poubelle, je me suis dit que je pouvais toujours utiliser la plante pour ça. Après quelques fonds de tasses balancés dans la plante, celle-ci est redevenue très verte et semble même vouloir grandir à présent. Une explication sur l'addiction de ma plante au thé ? Philippe Giabbanelli (d) 28 janvier 2009 à 23:44 (CET)Répondre

Peut-être pas le thé, mais le sucre qu'il y a avec
Un truc de jardinier est de balancer du thé (liquide ou feuilles) et du café (liquide ou marc) au pied des plantes pour leur donner de la vigueur. Par contre, ne pas mettre trop de marc de café : ça les brûle. Probable que la théine et la caféine (qui sont en fait la même molécule) ont aussi un effet stimulant sur les plantes. J'espère qu'un wikipédien chimiste ou biologiste ou jardinier affûté pourra t'expliquer le pourquoi, tout ce que je peux te dire est que ça marche très bien. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 00:22 (CET)Répondre
Un vague souvenir à vérifier : il me semble que le thé est un insecticide. --Madlozoz (d) 29 janvier 2009 à 01:04 (CET)Répondre
Aucune compétence scientifique mais une empirique : je balance régulièrement du marc de café au pied de trois vieux rosiers qui sont fortement taillés une fois par an et ils atteignent plus de 2 m de haut... sans insectes. --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 06:40 (CET)Répondre
ni humains non plus, le propre d'un rosier c'est de sentir la rose ! / DC2 • 30 janvier 2009 à 14:07 (CET)Répondre
Le purin d'orties est un très bon engrais, lui aussi... Simple chimie : plante vivante aimer azote ; feuilles de thé bouillies être plantes mortes pleines d'azote ; donc plante vivante aimer feuilles de thé bouillies. Pour le marc de café, je pencherais plutôt pour la notion de torréfaction, qui rend le marc potentiellement acide, ce que toutes les plantes n'apprécient pas. Je vous renvoie aux notices des sacs de terre que vous achetez ; la tourbe est notablement basique, tandis que la terre de bruyère est plutôt acide elle-même : essayez donc le marc de café ou la lie de vin (assez acide aussi, puisqu'elle a tendance à tourner aigre comme tout vin exposé à l'air) sur une plante vivant en terre de bruyère, le résultat sera sans doute intéressant.
Attention, ça ne marche pas avec n'importe quelle plante ; l'infusion d'écorce de saule (contenant de l'acide salicylique, l'ancêtre - connu déjà des Romains goutteux et arthritiques comme anti-inflammatoire et antalgique - de l'aspirine) a par exemple une fâcheuse tendance, lorsque déposée sur la surface des feuilles de la plupart des plantes - le saule au moins mis à part -, à provoquer une réaction de défense localisée, qui finit par rendre la zone exposée complètement desséchée, puis morte, avant de tomber en miettes. Cette même réaction de défense a été d'ailleurs observée lors du dépôt sur des plants de tabac d'un soluté contenant une forte concentration virale en virus mosaïque. Le plant perd une partie d'une feuille, mais sauve le reste...
A chaque plante son engrais, mes amis... Même si le purin d'ortie constitue une bonne exception, puisque si correctement préparé il convient à un large éventail de plantes de tous milieux.
Alphos [me pourrir la vie] 31 janvier 2009 à 07:25 (CET)Répondre

Approvisionnement en Monnaie de la Palestine

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Bonsoir,

Officiellement, qui fournit à l'autorité palestinienne sa monnaie ?

Merci

Bonjour. Israël : c'est indiqué dans l'encadré sur la droite dans l'article sur l'autorité. De rien. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 01:59 (CET)Répondre
Complément de demande : le monde entier est en crise financière ; apparemment ni Israël ni le Hamas puisque l'armement coute cher... Pourquoi ? --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 06:42 (CET)Répondre
Pour Israël, la diaspora juive mondiale et surtout américaine lui fournit pas mal de subsides. En ce qui concerne le Hamas, je crois qu'il faut regarder du coté de l'Arabie Saoudite et de l'Iran. Curtane
Merci mais peut-on supposer que la crise financière va faire diminuer les "subsides" ? Il y a des moments où on souhaiterait que soit rétabli le jugement de Dieu qui, même si Dieu se trompe..., limite la mort à une personne ! --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 07:29 (CET)Répondre
Il ne faut pas raconter n'importe quoi, "Curtane" : il y a beau temps que l'Arabie séoudite ne supporte plus le Hamas, ni financièrement ni d'autre manière, et depuis quelques quatre ans que la Bande de Gaza est sous blocus et les comptes du Hamas sous séquestre, l'aide financière et logistique de l'Iran ne lui parvient plus ; pour Israël, s'il reçoit en effet une aide – officielle – de la part des États-Unis, ces subsides « qui étaient de l'ordre de 1,2 milliard de dollars par an depuis les années 1970, ont diminué continuellement d'environ 120 millions de dollars par an depuis 1998 », autant dire qu'aujourd'hui elle est presque nulle (ce n'est pas exactement vrai, mais du moins a-t-elle fortement baissé). L'insertion d'Israël dans les échanges internationaux le place « au 47° rang mondial » pour son revenu national et « au 18° rang mondial » pour son PNB par habitant, et si en effet beaucoup d'argent lui vient de l'étranger ce n'est pas celui de la diaspora mais celui d'investisseurs avisés qui comptent obtenir un excellent retour sur investissement (progression du PIB supérieur à 5% jusqu'en 2007, dans un contexte où la majorité des pays développés naviguaient entre 0% et 2% de croissance).
De toute manière, la question n'était pas là, et il s'agissait de savoir « qui fournit [officiellement] à l'autorité palestinienne sa monnaie », et officiellement la monnaie légale de cette autorité est le shekel, lequel est émis par la Banque d'Israël. Cela dit, comme dans beaucoup de pays pauvres dans le monde, les monnaies circulantes sont plutôt le dollar américain et, plus récemment, l'euro. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 16:32 (CET)Répondre
 
Bon sang !   J'oubliais ta question, Égoïté ! Et bien il y a deux réponses. La première est circonstancielle : ils utilisent les armements qu'ils ont en réserve, achetés avant la crise, donc ça ne leur coûte rien, même si ça leur a coûté et ça leur coûtera (pour se réarmer). La seconde est éternelle : as-tu jamais entendu parler d'une période de crise qui aurait empêché les conflits ? Je dirais plutôt, pour mon compte, que quand on manque de ressources pour tout le reste, on n'en manque jamais pour faire la guerre. Allons bon ! Mon pessimisme fondamental qui revient... -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 16:39 (CET)Répondre
Ce ne me semble pas être du pessimisme : j'ai beau chercher, je ne trouve pas. Mais je persiste à me demander si la crise actuelle ne va pas changer les donnes... Rendez-vous dans 10 ans sur l'Oracle pour la réponse.   --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 06:04 (CET) gai c'est bien plus rapide à taper que sourire ! -- Et en plus, ça a un rapport étroit avec le savoir  . -O.M.H--H.M.O-Répondre
Ceci n'est pas un propos politique (voir discussion sur la grève). Ça change la donne, et ça ne la change pas – pour info, je n'ai pas d'ascendances normandes... La « donne », déjà modifiée au cours de la décennie précédente, a changé en 2006, lors des incursions assez désastreuses de l'armée israélienne au Liban. Je parle ici du désastre en matière d'image, sans considérer celui qu'a subi la population libanaise durant cet épisode.
Quelque opinion qu'on puisse avoir de l'usage des armes par Israël avant cela, du moins les commentateurs s'entendaient sur deux points : son armée ne se déployait que face à une menace sérieuse et réelle, et ses interventions aboutissaient à l'accomplissement des buts visés. Avec l'affaire du Liban de 2006, d'une part la menace visée ne pouvait être considérée comme réellement sérieuse et elle aurait pu se résoudre par une attaque ciblée sur les bases du Hezbollah dans le sud-Liban, de l'autre les buts que le gouvernement s'était fixé n'ont pas été atteints – ce qui a d'ailleurs causé une grave crise politique.
L'intervention récente de l'armée israélienne dans la bande de Gaza pose un problème similaire : même si les buts affichés ont évolué entre le début et la fin de cette intervention, ils n'ont visiblement pas été atteints, puisque le Hamas n'a pas été considérablement affaiblie sur un plan « militaire » (si l'expression s'applique ici) et qu'il a en contrepartie été renforcé au plan politique, à l'image de ce qui est advenu pour le Hezbollah en 2006. Par contre les dirigeants Fatah de l'autorité palestinienne en Cisjordanie ont été décrédibilisés puisqu'ils se sont révélés incapables de faire face à la situation, tant par rapport à Israël que par rapport à leur population. La conséquence immédiate est que, dans les tentatives de règlement diplomatique de cette crise par le biais de l'Égypte, le seul interlocuteur valable, et que visiblement les autorités israéliennes sont en train d'admettre, est le Hamas.
Le changement de donne est donc le suivant : au cours du dernier lustre, Israël a démontré que, après la reconfiguration du contexte initiée par le gouvernement Barak et poursuivie par le gouvernement Sharon, il ne lui était plus possible de résoudre ses crises internes avec une « bonne guerre » puisque désormais il n'a plus d'adversaires crédibles (je veux dire : dont on peut croire qu'ils constituent une réelle menace) à ses frontières. Cette crise comme celle de 2006 ont montré que l'opinion mondiale et, par conséquence, celle des dirigeants, est de plus en plus critique sur cette manière violente de « régler le problème », ce qui affaiblit considérablement la position des gouvernants israéliens dans les négociations qui suivent.
De l'autre côté, si le Hamas s'en sort bien sur le plan politique il se trouve dans une situation ou sa position radicale envers Israël n'est plus soutenue par la population palestinienne et en toute hypothèse il va devoir, à l'image du Hezbollah, changer à la fois de pratique et de discours – ce qui est déjà en cours puisque ses principaux dirigeants ont, ces derniers temps, été amenés à admettre devoir négocier avec Israël, ce qui implique qu'ils devront reconnaître la légitimité de l'État, et les conduira in fine, à l'instar de ce qui s'est passé précédemment pour l'OLP, à reconnaître le droit des Israéliens à avoir un État.
Tel que je le comprends, l'intervention israélienne dans la bande de Gaza est en toute probabilité la dernière du genre, ce qui induit que désormais il n'y a qu'une seule voie, celle de la négociation et des concessions. En plus, et sans faire d'angélisme envers lui, l'élection récente de Barack Obama me semble un gage que, dans les prochaines années, les autorités des États-Unis agiront dans le même axe que lors des mandats de Clinton (Bill, s'entend : tu sais, le gars qui est marié avec Hillary  ) : ne pas oublier que pour l'essentiel c'est pendant ses deux mandats que l'on a vu les plus grands changements de ligne des deux côtés, et qu'on a abouti à la création de l'autorité palestinienne et au retrait d'Israël des territoires occupés. Et que c'est durant les deux mandats suivants, pour l'essentiel, que la situation s'est de nouveau dégradée.
Désolé, tu ne trouveras probablement pas cette analyse en dehors de cette page, mais ce n'est pas du TI, juste un résumé et une compilation des analyses actuelles les plus conséquentes. Mais elle est contestable, comme toute analyse, d'autant pour celles « optimistes ». Cela dit, il ne faut pas se faire d'illusions et si l'on voit « le bout du tunnel » (comme disait Giscard), sa sortie est encore loin.
Sinon, la crise économique actuelle n'a pas vraiment d'incidence sur le conflit israélo-palestinien, sinon que les pauvres seront plus pauvres et les profiteurs de guerre plus riches. Ce qui est bon pour le commerce... -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 07:33 (CET)Répondre

Deleuze

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Bonsoir, Deleuze est-il un grand philosophe ? A-t-il changé notre manière de voir le monde ? La philo serait-elle différente aujourd'hui s'il n'avait pas existé ? Je ne pense pas. Pour moi, il a inventé plein de concepts très creux qui n'approfondissent pas notre compréhension du monde. Peut-être pourriez-vous me convaincre du contraire ?

Merci

En la matière, la subjectivité est reine : tout philosophe a ses partisans et ses détracteurs, ses laudateurs et ses dénigreurs. Malgré tout, il y a des éléments objectifs pour déterminer si tel a eu un rôle important dans son domaine, un impact sur tel domaine de la pensée, une influence sur la société.
Concernant Deleuze, avec son copain Guattari il a écrit L'Anti-Œdipe qui, à l'époque de sa publication, eut un immense retentissement très au-delà des cercles de la philosophie et de la psychothérapie et influa fortement sur l'évolution des pratiques de la psychiatrie en France dans les années 1970. Ne serait-ce que pour cet ouvrage, on peut affirmer sans équivoques qu'il a « changé notre manière de voir le monde », du moins le monde de la folie, autant que Michel Foucault.
Même pour ceux qui ne le connaissent pas ou qui, comme toi, considèrent qu’« il a inventé plein de concepts très creux qui n'approfondissent pas notre compréhension du monde » (incidemment, pourquoi nous demander un avis, quand tu en as déjà un et très tranché ? Passons), donc, même pour ceux-là, il eut, au même titre que d'autres penseurs français, une influence sur tout un pan de l’intelligentsia nord-américaine qui, à partir d'eux, élabora ce qu'on appelle la « french theory » (je me demande qui dans Wikipédia a décidé que « philosophie postmoderne » est un synonyme de « french theory » – passons encore...). Lui et les autres ont fortement contribué, par leurs concepts fumeux (je le dis pour toi, mon opinion est autre), au développement des gender studies, cultural studies et autres queer studies, qui, par un effet de retour, on imprégné la réflexion des intellectuels français au cours du dernier quart de siècle.
Au fait, qu'est-ce que tu as lu ou entendu (car nombre de ses cours et séminaires sont accessibles en audio) de Gilles Deleuze pour pouvoir affirmer aussi crûment ce que tu dis de lui dans ta question ? -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 01:06 (CET)Répondre
J’aimerais aussi demander à notre questionneur quels sont, pour lui, les « grands philosophes » les plus récents de l’histoire de la philosophie. rv1729 29 janvier 2009 à 10:27 (CET)BHL? xD Dam63 (d)Répondre

Merci pour la réponse. Je ne veux pas polémiquer, je me demandais juste si j'avais une raison de changer d'avis. Quand je lis Deleuze, j'ai l'impression de lire un poète sous LSD, pas un philosophe. Même l'article wikipedia le concernant reflète le caractère creux de ses oeuvres. Un grand philosophe moderne pour moi, c'est Théodore Adorno par exemple, pour sa critique de la culture de masse, ou Althusser.

Dites vous bien que le champs des pensées possibles est infini, différent de celui des pensées nécessaires (c'est à dire : dont il était inévitable que quelqu'un les produise un jour ; et ça inclut quantité de pensées même pas digne de ce nom, car ignobles et fausses, mais aussi des pensées "creuses" ; et aussi des pensées qui ne mènent qu'à des cul-de-sac, ) ou de celui des pensées grandes (dans le sens que vous évoquez). Un philosophe est effectivement un genre de poète, un type qui produit du possible et même du nécessaire, qui explore ; parfois il ne conduit qu'à des cul-de sac, mais qu'il fallait bien que quelqu'un explore pour qu'on le sache, et on peut remercier ceux qui l'ont fait ; c'est toujours facile, après, de décréter qu'ils n'étaient que des médiocres sans intérêt. Il est, aussi, inséré dans une époque, et il est nécessairement accordé à l'époque qui l'écoute (la sienne... ou une autre, postérieure) ; ceci pour expliquer l'ambiance "LSD".
Il n'y a pas de raison de lier la grandeur de la pensée et le fait de changer le monde ou même juste notre façon de le voir. Des pensées triviales ou même carémment fausses~et nuisibles changent le monde, en philosophie comme dans les autres domaines, alors que l'effet de pensées valablespeut rester en germe longtemps, voire éternellement.
Plus profondément, quel est l'intérêt de votre question ? Je veux dire : à quoi bon juger un auteur ?
Vous cherchez un guide qui pourra vous aider à séparer les bons auteurs des mauvais ? Poser la question sur le mode fermé ("je trouve Deleuze nul, pourriez-vous me convaincre du contraire ?") a peu de chance de donner de bon résultat, en tout cas, je crois, moins que sur un mode ouvert ("que trouvez-vous de bien chez Deleuze ?"). Et l'Oracle me semble moins indiqué qu'un quelconque forum philo, ou même une recherche internet de cours SUR Deleuze (à faire avant de regarder les cours DE Deleuze). gem (d) 30 janvier 2009 à 13:10 (CET)Répondre

Musique

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Bonjour à tous je recherche un morceau de musique classique dont je ne connais ni l'auteur ni le nom ni la tonalité. je sais juste l'air du début (qui a peut-être été transposé) :

            ___         ___                     ___                 ___________     
   |   |   |   |   |   |   |   |     |     |'  |   |   |   |   |   |   |   |   |    | 
  @   @   @   @   @   @   @   @     @ .   @   @   @   @   @   @   @   @   @   @    O 
 ré  ré  fa  mi  ré  do# ré  mi  réééé    mi ré  mi  fa  fa  fa  mi  ré  do# ré  miii
            ___         ___                                                  ___________
   |   |   |   |   |   |   |   |     |      |   |   |   |     |    |'   |'  |   |   |   |    |
  @   @   @   @   @   @   @   @     @ .    @   @   @   @     O    -    @   @   @   @   @    O
 ré  ré  fa  mi  ré  do# ré  mi  réééé   sol  fa  mi  ré  miii    -   ré  do# si  do# ré  miii

Si je me rappel bien, c'est un morceau pour orchestre avec piano, et qu'au début, il y a juste le piano qui joue (l'ai ci dessus). voila, j'ai vraiment chercher partout et je me tourne donc vers l'oracle de wikipedia. j'espère que vous saurez m'aider. Merci d'avance. Jav 81.245.158.143 (d) 29 janvier 2009 à 01:00 (CET)Répondre

Dans plus d'indications sur le tempo, je pourrais en faire une marche funèbre personnellement. Une idée un peu plus précise du genre faute d'avoir mon piano sous la main ? Philippe Giabbanelli (d) 29 janvier 2009 à 01:31 (CET)Répondre
Il y a plus ou moins 80 noires par minutes ... ça donne une idée du tempo. Jav
3e concerto de Rachmaninov, 1er mouvement ? Calame (d) 29 janvier 2009 à 14:33 (CET) lienRépondre
Oui ! [Voir là en pdf - imslp] C'est original comme partition  Hautbois [canqueter] 29 janvier 2009 à 18:56 (CET)Répondre
OUI !! merci les amis, c'est ça :-P. Jav
Au moins, je sais maintenant pourquoi je n'ai pas reconnu en ce morceau le jouant sur ma gratte... -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 14:13 (CET)Répondre

saponification de la gomme laque

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Bonjour !

Je me pose une question restée là sans réponse : quel est le procédé de saponification de la gomme laque ??

Merci de me répondre !

Un PDF : Gomme laque saponifiée. Donne la méthode pour obtenir la chose.
Pour info, c'est le premier résultat de cette recherche Google :
saponification gomme laque
Sans vouloir médire... -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 01:58 (CET)Répondre

Démêlez-moi à propos de ceci

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Lorsqu'une onde voyage dans le vide, qu'est-ce qui est en mouvement? Des électrons? une onde a elle une masse? Merci!

Je suppose qu’il s’agit d’une onde électromagnétique.
Rien n’est en mouvement.
Une onde n’a pas de masse.
rv1729 29 janvier 2009 à 10:23 (CET)Répondre
Bonne question ; rien n'est en mouvement, semble-t-il, mais on cherche encore. En fait on ne sait pas grand chose sur le vide, sinon que ce n'est pas le néant. Consultez aussi éther (physique), ça vous donnera une étendue du mystère et de ce qu'on en comprend.
Une onde ne voyage pas. Elle exprime qu'un "truc" varie localement, sous des influences diverses dont la valeur du truc "juste à coté", ce qui fait qu'on a l'impression que le truc bouge (au sens déplacement) alors qu'il ne fait que varier. Le truc qui varie est caractéristique du type d'onde, parfois il y a un support matériel bien évident (ex : la hauteur d'eau pour une vague) et des fois non (ex : Onde gravitationnelle).
Une onde a une énergie et, à ce titre, elle a bien une masse. Elle a une particule associée : photon, phonon, etc. (voir dualité onde-corpuscule
gem (d) 29 janvier 2009 à 12:52 (CET)Répondre
Mince alors, si elle a une masse alors elle va moins vite que la lumière ! cq mais fd ? rv1729 29 janvier 2009 à 13:53 (CET) Curieusement, dans photon : « Le photon est une particule de masse nulle (...). L’énergie d’un photon de lumière visible est de l’ordre de 2 eV (...) ». Faut-il comprendre que toute l’énergie est dans l’impulsion ? oui, tout l'énergie est bien dans l'impulsion ; sa masse est nulle dans son référentiel propre (quoi ? c'est rouge ??? incroyable !), et seulement là a priori ; sans "masse" point de lentille gravitationnelle (encore qu'il n'y a plus vraiment de masse dans cette affaire, juste un espace courbé, et j'ai l'impression que non seulement je n'éclaircis rien mais j'embrouille , alors j'arrête ). gem (d) 29 janvier 2009 à 16:44 (CET)Répondre
Bon, alors (1) ce qui bouge dans une onde électromagnétique, c'est le champ électromagnétique (2) Une onde (un photon) a de l'énergie hν, et donc (puisque E=mc2 on a m=E/c2) une masse hν/c2 (3) La masse d'un photon est nulle au repos, mais justement, il ne se repose jamais. La masse d'une particule tendant vers la vitesse de la lumière tends vers « l'infini fois la masse au repos ». Quand la masse au repos est nulle, on a une indétermination 0 x ∞, qui peut prendre n'importe quelle valeur - ici, c'est hν/c2, pas de quoi fouetter un chat. Michelet-密是力 (d) 29 janvier 2009 à 17:20 (CET)Répondre
Allons bon, voilà que la masse dépend du référentiel. J’avoue que ne suis pas encore très familier de cette théorie (c’est décidé : je m’y mets sérieusement), mais il me semble bien que quand on n’a pas une particule au repos, E² = m²c⁴ + p²c². La valeur de l’énergie dépend du référentiel, la masse (définie par m² = E²/c⁴ - p²/c²) est invariante. Corriger le contenu Relativité restreinte#Équivalence de l'énergie et de la masse au repos avant de hurler que j’ai rien compris : je ne fais que reformuler un tantinet ce qui y est dit. rv1729 29 janvier 2009 à 19:47 (CET)Répondre
Oui, bon,... la « masse apparente dans le référentiel de l'observateur », par rapport à la masse au repos, alors?
Euh ?! Je ne comprends pas bien, et je crois que ça dépasse mes compétences... rv1729 29 janvier 2009 à 22:43 (CET)Répondre
Mais alors, comment une onde peut être générée, non, pas de la façon où vous l'entendez, mais plutôt c'était fait de quoi avant de gagner du mouvement? Cela ne peut pas être «de rien», car vous me dites après que c'est fait de photon. Auquel cas d'où les photon viendrait? encore une fois, la réponse ne peut être «de rien», et si ce n'est pas rien, cela doit avoir une masse(ché pas vous vous êtes physiciens, si possible me corriger avec des mots au lieux de formules svp). Merci encore!--Plastique hurlant (d) 30 janvier 2009 à 19:07 (CET)Répondre
Quand je pense qu'on nous a caché, en plus, que le spin du photon est 1 et que c'est un vulgaire boson, il vaut mieux demander une simplification sur la page de discussion de photon Discuter:Photon. --Doalex (d) 30 janvier 2009 à 20:33 (CET) Répondre

french touch

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Bonjour à tous ceux qui pourront me répondre, je suis à la recherche d'une définition précise de la french touch autre que sur la musique, les jeux videos ou encore l'informatique. Pour moi, la french touch, c'est ce petit plus qu'offre la france par rapport aux autres pays, quelquechose d'unique, d'indémodable et de non reproduisable. Pouvez vous me donner votre avis sur la question? Je fais un mémoire de fin d'étude sur ce sujet. Merci d'avance. Cordialement

Julie

Dans le Wikipédia anglophone, en:French touch est une simple redirection vers en:French house, ce qui semblerait indiquer que le terme n'est vraiment utilisé hors de nos frontières que pour ce genre de musique. Les autres emplois ne sont-ils pas des réappropriations du terme par les Français eux-mêmes ? Autrement dit, s'agit-il vraiment d'une spécificité française ou est-ce plutôt la manière que nous avons de toujours vouloir nous voir comme légèrement différents des autres (plus inventifs, plus fantaisistes sans pour autant sortir d'une certaine rationalité, en un mot plus XVIIIe siècle...) ? Je sais, vous veniez ici pour des réponses et moi au lieu de répondre je pose d'autres questions... Seudo (d) 29 janvier 2009 à 09:33 (CET)Répondre
la French touch, c'est ce petit plus qui transforme le "reproductible" en "reproduisable"  Cobra Bubbles Dire et médire 29 janvier 2009 à 17:14 (CET)Répondre

Numérotation des chapitres dans un traitement de texte

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Bonjour, j'ai déjà passé des dizaines d'heures à essayer de comprendre comment fonctionne la numérotation automatique des chapitres dans Word, sans résultat flagrant, et maintenant que je suis sous Open Office je m'aperçois que c'est exactement la même pagaille, sinon pire. J'ai beau utiliser les titres (Titre1, Titre2, etc) et lui préciser le type de numérotation que je veux (lettres, chiffres romains, chiffres arabes...), il n'en fait qu'à sa tête, n'arrête pas de me casser toute ma présentation, et refuse absolument d'admettre qu'après le chapitre B (niveau Titre1) je m'attends à ce que le chapitre suivant s'appelle C (il préfère l'appeler D ou A, ou n'importe quoi, ou rien du tout). Quelqu'un connaît-il une astuce pour se dépêtrer de ce bourbier, et question annexe, les concepteurs de traitements de textes sont-ils fous ? Est-ce vraiment si compliqué de proposer une numérotation cohérente des chapitres et des sous-chapitres ? (genre A, A.1, A.2, A.3, B, B.1, B.1.1 etc ?) J'en suis à envisager de faire une fois de plus toute la numérotation à la main, en sanglotant abondamment. Merci d'avance de vos conseils avisés. Félix Potuit (d) 29 janvier 2009 à 09:49 (CET)Répondre

Oui, c’est vraiment chiant. Je subodore que la solution la plus rationnelle est de passer par des modèles (templates) de documents, malheureusement la distribution par défaut n’en fournit pas pour writer (du moins pas chez moi). Bref, il faut apprendre à en créer un, peut-être en trouver sur le web qui correspondent à peu près à tes goûts et ensuite les modifier... bon courage, tiens nous au courant, je suis intéressé. rv1729 29 janvier 2009 à 10:10 (CET) Surtout depuis que j’ai découvert OOolatexRépondre
Le point 2.5.b de [PDF] Utiliser Styles et Modèles avec OpenOffice.org indique que http://fr.openoffice.org/Documentation/How-to/writer/NumChapitres.odt parle spécifiquement de ce sujet. -- Xofc [me contacter] 29 janvier 2009 à 10:31 (CET)Répondre
J’ai aussi trouvé ce livre. rv1729 29 janvier 2009 à 10:35 (CET)Répondre
Que le feu Saint-Antoine arde les concepteurs de logiciels qui veulent à tout prix imposer au peuple leurs propres idées et conceptions. Je passe mon temps à aller désactiver les automatismes, les correcteurs d'orthographe et le Times par défaut. Ce n'est même plus Word, ce sont tous les logiciels, y compris Mac, qui vous obligent à utiliser leurs modèles. Ou alors il faut suivre des stages, ou chercher des réponses, qu'on ne trouve pas, sur internet, ou acheter cher des gros bouquins où on ne trouve pas les réponses non plus. L'informatique bouffe du papier, et notre vie avec, et nous pousse à l'alcoolisme. Quelqu'un veut boire un coup ? Morburre (d) 29 janvier 2009 à 11:33 (CET)Répondre
D'un autre côté, les concepteurs de logiciels font ce qu'ils veulent, et toi tu changes de logiciel si tu n'es pas content. Il n'y a que dans l'esprit tordu d'Apple ou de Microsoft que le logiciel est universel et doit être utilisé par tout le monde. Je me rappelle d'une stagiaire dont le rapport de stage comportait des fautes de typographie assez étranges, avec des titres de niveau équivalent qui n'étaient pas de la même taille. Je me suis dit "tiens, il doit falloir maitriser les styles vachement bien pour faire ça, parce que personnellement, je ne sais pas faire." Ma curiosité a été récompensée: pour faire un titre, la stagiaire tapait les mots du titre, surlignait à la souris, et faisait "Gras, Police -> 16, Couleur -> Mauve". Aaaahhhh! Pourquoi pas utiliser une machine à écrire tant qu'on y est! Ça vaut vachement le coup d'utiliser un logiciel de traitement de texte qui prend 100 Mo de mémoire vive quand on ne sait même pas que les styles existent :-) Heureusement que j'avais imprimé en noir et blanc, je n'avait pas vu le mauve :-) Arnaudus (d) 29 janvier 2009 à 12:03 (CET)Répondre
Que le maulubec les trousque ! Oui, je veux boire un coup. rv1729 29 janvier 2009 à 12:07 (CET)Répondre
Bon, eh bien je vois que je ne suis pas le seul, ça me rassure. En tout cas, ce n'est pas un problème Microsoft, puisque là, je suis sous Open Office. Pour le document qui m'occupe actuellement, j'ai complètement renoncé à la numérotation automatique (ce que j'aurais dû faire immédiatement si j'étais moins naïf), je me la tape systématiquement à la main dans les titres. Vous devriez essayer, on gagne un temps fou ! Il suffit d'y penser. Félix Potuit (d) 29 janvier 2009 à 12:31 (CET)Répondre
Je trouve le système pas si mal fait, ce que je reprocherais à OpenOffice c’est surtout de ne pas avoir inclus une série de modèles. Il y a un modèle par défaut (sans numérotation), et basta. Si on veut (ce qui me semble une exigence raisonnable) taper son document en 12 points avec les titres en 14 et les sous-titres en 13, pour la version de travail, et obtenir un document définitif en 10 points avec les titres en 12 et les sous-titres en 11, il faut (la première fois qu’on le fait) passer une ou deux heures à fabriquer des modèles. Ce qui fait que je n’ai jamais pris le temps de le faire, pour ma part. rv1729 29 janvier 2009 à 12:54 (CET)Répondre
Si je ne suis pas content, je change de logiciel, et j'ai la même chose, à quelques variantes près. Mais comme mes documents ne sont pas des arbres de Noël, je préfère utiliser la méthode stagiaire, au moins tout ce que je fais est voulu, choisi, à chaque étape, et les fautes de typo ne tiennent pas à l'usage ou non des styles. Ceci dit, si j'étais tenu à la productivité et à la rentabilité, je me paierais une formation costaud. Morburre (d) 29 janvier 2009 à 13:09 (CET)Répondre
Je plussoie et Félix et rv et Morburre et la stagiaire. (intelligente, cette petite...) --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 13:17 (CET)Répondre
Sur openoffice 2.4 la gestion des titres est moins problematique je trouve. En effet en haut a gauche il y a le style du texte, avec trois niveau de titres par defaut. Si on en veut plus il a l'option autre qui fait afficher une deuxieme fenetre de style ou chacun des styles est parametrable. Donc on applique les niveau de titre sur le texte des tites uniquement sans affecter de nnumerotation. Puis on edite le style en appliquant la numeroation 1 (les autres jouent pas sur la forme mais plutot sur le niveau de numerotation). Enfin on choisi le menu puce et numeroation de l'onglet format puis on choisi la forme de numeroation que l'on souhaite pour ce niveau de titre.J'ai pas de solution miracle pour les niveau de titre, pour faire un rapport ou finalement n'importe quelle lettre je n'utilise plus que LateX. Et honnetement avec un petit bouquin en quelques heures on arrive faire des trucs qui prendrai des heures. (Moi je suis pas typographe autant laisser le logiciel s'occuper des espaces et de la mise en forme en detail, je lui donne juste des directives et il se debrouille tres bien.)Eystein (d) 29 janvier 2009 à 13:32 (CET)Répondre
Mmouais, j’ai le parcours inverse : j’ai 14 ans de TeX et LaTeX dans les pattes, pendant très longtemps je n’ai utilisé que ça (c’est le premier traitement de texte que j’ai connu. Et oui, je tape mes sources avec vi.), et je t’assure qu’on s’en lasse. Je me suis mis à OpenOffice depuis 2 ou 3 ans, et je m’en porte pas si mal. En particulier j’ai décidé d’arrêter définitivement d’utiliser LaTeX pour les présentations, ça prend beaucoup plus de temps que Impress (OpenOffice) pour un résultat pas si clairement meilleur. Avec le plugin OOolatex je peux avoir des formules mathématiques propres sans prise de tête, tout va bien. rv1729 29 janvier 2009 à 13:46 (CET)Répondre
Pour les presentations j'ai tendance a etre d'accord avec toi. Apres ca reste un gout, et tous les gouts sont dans la nature. C'est a essayer apres si ca plait pas je comprends :).Eystein (d) 29 janvier 2009 à 14:42 (CET)Répondre
ah oui ça devait être parce qu'il me manquait le plugin chOOcoLaTex. Bon, en tout cas Open Office m'a fait perdre une heure entière ce matin pour un truc a priori ultra-simple (je voulais que le chapitre suivant le chapitre B s'appelle C, ce n'est tout de même pas une exigence démesurée, si ?) (il a fini par planter, d'ailleurs, en plus, de sorte que j'ai pu me recogner tout ce que j'avais pas sauvegardé), alors pour moi, Word, Open Office, tout ça, c'est du même tonneau, je n'ai pas de préférences. (rv, rassure-moi, tu plaisantes quand tu dis que tu utilises vi, n'est-ce pas ? Il n'y a qu'à Sainte-Anne ou à Charenton qu'on trouve des clients pour ce truc, ou alors au cimetière, parce qu'ils étaient informaticiens en fin de carrière dans les années 1960, non !?) Félix Potuit (d) 29 janvier 2009 à 18:21 (CET)Répondre
Le plugin en question n'est à recommander qu’aux gens qui connaissent déjà LaTeX, et qui ont besoin d’insérer de grosses méchantes formules mathématiques dans leurs documents.
Oui, j’utilise vi, ou plutôt vim, je m’y suis mis il y a quelques années parce qu’emacs me gonflait, et j’y suis resté. Je ne m’en porte pas plus mal, les fonctions d’auto-indentation et de coloriage du code C ou Perl sont au poil, c’est tout ce que je demande. rv1729 29 janvier 2009 à 19:36 (CET)Répondre
Perso j'utilise AbiWord pour des modestes courriers, j'ai viré Word (trop lourd) au cours d'une énième installation de XP, ensuite j'ai mis OpenOffice (pas léger non plus et incessantes mises à jour sans compter les intrusions de JRE) et je suis content (genre neuneu) avec mon petit logiciel qui fait 22 Mo tout mouillé.--Doalex (d) 29 janvier 2009 à 19:44 (CET) Répondre
Ca m'arrive souvent de faire des modifs de code sous vi. Pour faire du code sous windows j'utilise... notepad2. Une merveille 500ko tout mouille indentation au poil et coloration syntaxique.Eystein (d) 29 janvier 2009 à 21:44 (CET)Répondre

le mot "halberge"

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Bonjour, je ne trouve pas trace du mot "HALBERGE" dans cette encyclopédie d'après Balzac, ce serait un abricot sauvage voir dans "Eugénie Grandet" je voulais plus d'information sur cet arbre fruitier et notamment s'il est encore "cultivé" et où? merci de votre réponse

Le Wiktionnaire y voit, sous l'orthographe alberge et en reprenant le dictionnaire de l'Académie française, une « sorte d’abricot dont la pulpe est très adhérente au noyau. ». Avec l'orthographe que vous donnez, le Glossaire de la langue romane donne plutôt la définition suivante : Maison, habitation, manoir. Et celui-ci y voit tout simplement une auberge. Seudo (d) 29 janvier 2009 à 10:18 (CET)Répondre
Conflit d’édition
Jamais le maître n’avait reproché à la servante ni l’halleberge ou la pêche de vigne, ni les prunes ou les brugnons mangés sous l’arbre.
Apparemment l’orthographe classique est alberge, il s’agirait d’un mot provençal. Notre article abricotier mentionne ce fruit comme récolté en août. rv1729 29 janvier 2009 à 10:20 (CET)Répondre
dans le texte (d'après Eugénie Grandet sur wikisource), Balzac l'orthographie halleberge... --Serged/ 29 janvier 2009 à 11:31 (CET)C’est curieux, j’aurais juré que ça apparaissait clairement dans ma réponse. rv1729 29 janvier 2009 à 12:05 (CET)Désolé: 1) J'avais lu en diagonale 2) J'ai cité ma source. --Serged/ 29 janvier 2009 à 14:20 (CET)C’est vrai que c’est mieux... rv1729Répondre

Musique (bis)

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Bonjour Oracle,

M'inspirant d'une autre question plus haut, et connaissant ta virtuosité sur les pistes de danse, je te serais reconnaissant de m'indiquer d'où vient cet air qui est :

  • dans ma tête depuis longtemps
  • un gros tube d'il y a quelques années (le genre que les profanes comme moi reconnaissent mais ne connaissent pas)
  • de style techno ou quelque chose dans ce genre (peut-être d'un DJ genre Benny Benassi ou Bob Sinclar).
                               ___________
  |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |
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do  do  do  do  si  si  do  ré  mib do  mib

   _______________________________________________
  |   |   |  -|   |   |   |   |   |   |   |   |   |
 @   @   @.  @   @   @   @   @   @   @   @   @   @
fa  mib mib ré  ré  do  si  sol ré  mib ré  do  do  (reprise du passage en croches)

Les noires au début sont assez accentuées et le rythme est soutenu sans être très rapide (dans les 100 ou 130 à la noire). Ma transcription est bien sûr approximative... Merci ! Seudo (d) 29 janvier 2009 à 10:12 (CET)Répondre

Je suis nul en solfège, mais as-tu tenté une recherche dans Musipedia à l'aide du Code Parsons ? --Serged/ 29 janvier 2009 à 15:27 (CET)Répondre
Je ne connaissais ni le code Parsons, ni Musipedia. Je viens d'essayer (code Parsons + recherche au clavier). Le système est très impressionnant, mais les résultats ne correspondent pas. Merci en tout cas ! Seudo (d) 29 janvier 2009 à 17:12 (CET)Répondre

Ce pauvre Charles

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Bonjour, Charles VI, le mari de cette dépravée d'Isabeau de Bavières est connu sous le nom de Charles le Fol nous indique l'article. Malheureusement, il n'y a quasiment rien dans l'article (sauf qu'il a tué quelques amis une fois) sur sa folie. Une pythie ayant quelques connaissances historiqes sit-elle de quelle façon se manifestait sa folie ? Merci de vos réponses Marcellus55 (d) 29 janvier 2009 à 10:45 (CET)Répondre

La page anglaise est plus diserte sur ces épisodes de folie. rv1729 29 janvier 2009 à 12:02 (CET)Répondre
Et le bal des ardents alors ? Ah la la ! L'Histoire n'est plus enseignée... C'est-il suffisamment développé pour un début de réponse à ton interrogation ? -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 12:20 (CET)Répondre
Cher -O.M.H-, j'avais lu l'article concernant bal des ardents (et je l'ai relu du coup), mais je n'y vois pas trace de folie de Charles VII: il a fait un bal, s'est déguisé en sauvages avec des siens amis. Nulle trace de folie là-dedans si ? Marcellus55 (d) 29 janvier 2009 à 12:55 (CET)Répondre
Cher Marcellus55, voici le chapeau de l'article :
« Le Bal des ardents désigne un charivari (aussi appelé momerie) organisé par Charles VI le 28 janvier 1393 qui tourna à la tragédie et provoqua la mort de cinq compagnons du roi. Déjà très fragile mentalement, le monarque sombre définitivement dans la folie après cet épisode ».
Où l'on parle donc bien de sa folie, et de la cause principale de celle-ci. -O.M.H--H.M.O- 29 janvier 2009 à 13:05 (CET)Répondre
... mais pas ou peu de la manière dont se manifestait cette folie, ce qui est l'objet de la question. La réponse est probablement dans cette émission de Canal-Académie, ou dans le livre auquel elle fait référence. Seudo (d) 29 janvier 2009 à 13:09 (CET)Répondre
Mais Marcellus demande comment elle se manifestait. L’article anglais parle de crises d’amnésies où il ne se savait plus roi et ne reconnaissait plus sa femme ; de périodes où il refusait de se laver et même de changer de vêtements ; et du fait qu’il se croyait parfois en verre et craignait de se rompre. rv1729 29 janvier 2009 à 13:12 (CET)Répondre
« Le mal du Roi commençait peu à peu, l'esprit lui baissait, il disoit des choses sans raison, & faisoit des actions indignes de la Majesté Royale. Le mal de l'esprit passoit ensuite au corps : il perdoit l'un apres l'autre l'usage de tous ses sens, tantôt il pleuroit & d'autres fois il faisoit des cris effroyables. Les accés de sa maladie étoient fort differens, il ne connoissoit personne, ni Freres, ni Oncles, ni même la Reine sa femme, qu'il repoussoit rudement & avec des paroles dures, quand elle vouloit lui rendre quelque petit service... Il avoit été quelquefois trois & quatre mois comme un autre, & donnoit de bons ordres ; mais on n'avoit jamais le temps de les executer. On publioit sous son nom dans la même année des Ordonnances toutes contraires , & le dernier qui lui parloit avoit toujours raison, & lui faisoit faire ce qu'il vouloit. Cette incertitude & ces continuels changemens dans le Ministere ruinoient le Royaume, chaque nouveau Favori vouloit profiter du temps qu'il avoit à gouverner.» (Abbé de Choisy, 1695) Attaleiv (d)
Bref, il était zinzin. rv1729 31 janvier 2009 à 08:53 (CET)Répondre
et il y a lieu de mettre la même intonation sur le mot zinzin que le faisait de Funès dans Oscar... ça a plus d'impact. Elsaesser (d) 2 février 2009 à 10:10 (CET)Répondre

Section d'article peu objective

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Bonjour,

Je cherche désespérement comment signaler qu'une partie du contenu d'une page semble très peu objectif, avec pour but vraisemblable d'attribuer à un produit des vertus qu'il n'a pas.

Faut-il la mettre en "à vérifier" ?

Merci,

JB

Je placerais {{Référence nécessaire}}. Cela indique qu'il y a doute sur la valeur de l'information tant que la référence n'est pas donnée. Bien à vous, --Égoïté (d) 29 janvier 2009 à 17:58 (CET)Répondre
Vous pouvez aussi faire une remarque dans la page de discussion (le lien "discussion", en haut à gauche, à coté de "article"). Mais si vous êtes sur de vous, vous pouvez aussi coriger vous même, évidement. Dans tous ces cas, je vous conseille de créer un compte utilisateur pour faciliter des discussion --Madlozoz (d) 29 janvier 2009 à 21:39 (CET)Répondre
Si les symptôme persiste vous pouvez aussi signaler un désaccord de neutralité. Garder à l'esprit que c'est un peu l'équivalent d'un signal d'alarme et qu'il vaut mieux, auparavant, voir avec les autres contributeur si les propos qui vous pose problème n'ont pas, quand même, une raison d'être. --Madlozoz (d) 29 janvier 2009 à 21:47 (CET)Répondre
Selon le contexte on peut aussi envisager de placer le meilleur modèle du monde!![non neutre] Mitch-mitch (d)

Cochon d'Inde vs England

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Bonjour,

Puis-je aller en Angleterre en train avec mon cochon d'Inde? Merci!

A priori, non. Tous les mammifère sont des porteurs possible de la rage, ils sont donc tenu de passer en quarantaine avant d'entrer en Angleterre.
Cette règle vaut d'ailleurs pour tout le royaume uni.--Madlozoz (d) 29 janvier 2009 à 23:35 (CET)Répondre
À moins bien sûr de lui procurer un passeport. Sinon, tout est expliqué ici en long, en large et en anglais... - Mu (d) 30 janvier 2009 à 11:30 (CET)Répondre
Demandez d'abord à votre cochon d'Inde 'il a envie de visiter l'Angleterre. --Seymour (d) 30 janvier 2009 à 14:10 (CET)Répondre

Junior & senior

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Bonjour,

Pouvez-vous me dire ce que signifie senior et junior placé devant un nom de poste dans une entreprise? Je suppose que ce n'est pas une indication d'âge... Merci de m'éclairer!

junior => chapeauté par un senior(je crois). --Madlozoz (d) 29 janvier 2009 à 23:36 (CET)Répondre
Bonsoir. Effectivement, junior doit faire ses preuves, sous la bienveillante attention de senior, qui a de l'expérience et normalement, gagne plus. Maintenant, dans certaines pyramides (s'il y a 20 fois moins de seniors par exemple), il est possible que, malgré des compétences affirmées, junior attende longtemps avant de pouvoir passer senior. Père Igor (d) 29 janvier 2009 à 23:44 (CET)Répondre
Junior, ça veut dire qu'il est payé des clopinettes pour faire le travail d'un senior, qui lui est payé royalement à rien faire. Depuis quelque temps, le mot junior est remplacé par stagiaire, qui lui n'est pas payé du tout. --Seymour (d) 30 janvier 2009 à 14:08 (CET)Répondre

Aide pour un anglophone confus

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Pardonnez-moi, je suis anglophone (américain, en train d'apprendre français) et je ne comprends pas quelque chose: pourquoi est-ce que les articles sont écrits dans le passé simple et pas le passé composé? Excusez-moi si ce discussion n'est pas l'endroit correct. Scetoaux (d) 30 janvier 2009 à 00:44 (CET)Répondre

Le passé simple et le passé composé sont équivalents. Mais le passé simple à un coté plus littéraire. A l'oral, on utilise généralement le passé composé et à l'écrit, généralement le passé simple. --Madlozoz (d) 30 janvier 2009 à 00:50 (CET)Répondre
Merci. Ma prof de français m'a dit que le passé simple n'est plus utilisé, donc ma confusion. Maintenant je comprends. :) Scetoaux (d) 30 janvier 2009 à 00:54 (CET)Répondre
Et on recommande autant que possible de rédiger les articles au présent, ce qui rend le texte encore plus vivant. Dhatier jasons-z-en 30 janvier 2009 à 01:11 (CET)Répondre
Pour moi, ces temps ne sont pas vraiment équivalents. Et l'usage est fonction du reste du texte. Pour reprendre l'exemple cité dans Passé simple : Dehors la tempête faisait rage, aucun voyageur ne s'aventurerait plus jusqu'ici. Il éteignit une à une toutes les lampes, rentra dans sa chambre, se déshabilla hâtivement et se glissa entre les draps, remplacer le passé simple par le passé composé serait une hérésie : Dehors la tempête faisait rage, aucun voyageur ne s'aventurerait plus jusqu'ici. Il a éteint une à une toutes les lampes, est rentré dans sa chambre, s'est déshabillé hâtivement et s'est glissé entre les draps... beurk ! --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 06:21 (CET)Répondre
Le passé composé est théoriquement un temps déictique, c'est-à-dire qu'il relie l'événement passé au présent du locuteur (ça s'est passé avant le moment où je parle/écris), il est d'ailleurs formellement similaire au present perfect, alors que le passé simple exprime simplement des événements accomplis successivement dans un passé réel ou fictif, sans marquer de lien avec le présent du locuteur, il est donc plus "neutre". Miuki (d) 30 janvier 2009 à 06:53 (CET)Répondre
Le passé simple et le passé composé sont très différents. Le fait que le passé défini ne soit plus utilisé est une « facilité » de la langue parlée et, aussi parfois, il faut bien le dire, une régression de la langue écrite car il a une subtilité particulière. Dire que c’est littéraire signifie qu’on ne s’intéresse pas à la littérature. Ce serait plus sincère. Là où l’anglais dit : « I wrote to him, yesterday » le français préfère dire: « Je lui ai écrit, hier. » Le français, par le passé indéfini, veut faire sentir la résonance de l’action, surtout une action intime comme la correspondance, comme si, par exemple, on attendait la réaction produite de la lettre. L’équivalent en anglais de: « I have written to him, so he knows everything ». Ce que Marcel Cressot (<le style et ses techniques) appelait le « maintien du temps en flux » (moins déictique toutefois que le « présent historique » par énallage). L’action est privilégiée et ne s’inscrit pas dans une série de faits et gestes : « Je lui écrivis donc une lettre, je la postai et je revins soulagé. » Un exemple d’écriture au passé indéfini est « L’étranger » de Camus qui prétend donner un caractère absurde aux événements et une certaine monotonie qui, malheureusement, sur presque tout l’ouvrage, devint une vraie monotonie de lecture et pour certains un défaut. Un ou plusieurs épisodes bien choisis (les démarches administratives, par exemple) auraient suffi, comme dans les films bien construits. Gide a écrit : « Je naquis le 22 novembre 1869. » (Si le grain ne meurt). On naît effectivement une seule fois. Mais habituellement on écrit : « Je suis né le... » en pensant que c’est le départ de son existence, que c’est le jour où l’on s’ouvre à la vie. Mais Gide a voulu signifier que cette naissance ne l’a pas spécialement marqué et la rejette comme un vague souvenir. Pour donner un autre exemple avec les deux temps: « La crainte fit les dieux, l’audace a fait les rois. ». On voit que le passé simple laisse en retrait, et résolument dans le passé, le premier fait qui n’a plus son importance, bien que ce fait ait encore ses conséquences, pour mettre en exergue le second qui est d'actualité. Attaleiv (d) 30 janvier 2009 à 16:31 (CET)Répondre
J'ai toujours eu du mal avec cette notion de "subtilité" apportée par telle ou telle construction grammaticale. Malgré l'utilisation intensive de passés simples, la plupart de la mauvaise littérature (en particulier les traductions d'ouvrages értangers) regorgent de passages peu subtils, confus ou laissant le doute entre plusieurs interprétations. Au contraire, un texte bien écrit peut être clair et subtil, même sans passé simple. D'ailleurs, c'est le cas sur Wikipédia, où l'on écrit les articles historiques au présent narratif, ce qui allège leur style et permet de jouer sur l'enchainement des actions à l'aide d'une grammaire beaucoup plus simple (alléger la forme pour rendre le fond plus accessible).
Le passé simple est un temps littéraire car il n'est acceptable que dans la littérature. L'utilisation du passé simple à l'oral est proscrite par les codes sociaux (évidemment, ça dépend qui on fréquente, mais je n'aimerais pas fréquenter des gens qui parlent au passé simple de toutes manières) et réservé à des tournures humouristiques ou grotesques, un peu de la même manière que l'imparfait du subjonctif. À l'écrit, le passé simple est encore parfois toléré, en particulier dans un contexte de langage soutenu, mais semble le plus souvent marquer une solennité maladroite --personnellement, j'aurais tendance à le considérer comme une faute de style dans une lettre, un rapport ou le récit d'un évènement réél (registre inadapté). Il est encore fréquent dans les récits de fiction, et y apporte un charme un peu désuet quand il est accompagné des éternels synonymes de «dire» ponctuant les dialogues (déclara-t-il, s'exclama-t-il, répliqua-t-il, répondit-elle, leur fit-il remarquer...), une forme de convention littéraire voulant qu'on accepte dans ce contexte un style indubitablement usé par deux siècles de conformisme stylistique (saperlipopette, quand je fais attention à ce que j'écris, j'ai des mots compliqués qui viennent. Il faut que j'arrête, je vais finir au passé simple :-) ). Arnaudus (d) 30 janvier 2009 à 19:28 (CET)Répondre
Je ne suis peut-être qu'un vieux croûton, qui manie sans problème les différences entre passé simple et composé, entre imparfait du subjonctif et conditionnel passé deuxième forme... Quand je dois rédiger un texte officiel, il est généralement au présent, parce que la nuance temporelle est alors non pertinente. Mais s'il faut gérer le passé, il y a plusieurs temps, et ils dénotent des nuances différentes : le passé composé marque une action passée qui a encore des effets connexes dans le présent (ou qui est répétitif), alors que le passé simple marque une action passée close, qui n'a plus d'effet sur le présent. Pour répondre à notre anglophone, c'est probablement pour ça que les articles utilisent le passé simple : ce qu'ils racontent n'a plus d'incidence sur le présent, parce que c'est dans un passé lointain qui n'est pas répétitif et est sans incidence sur le présent. Et, bon, j'eusse aimé que les collaborateurs de WP y fussent plus attentifs... Michelet-密是力 (d) 30 janvier 2009 à 20:56 (CET)Répondre
Je me suis tapé tout un bouquin de Harlan Coben, dans lequel la traductrice avait pris le détestable parti pris de mettre tous les verbes au passé composé, eh bien c'était absolument insupportable (déjà que même en-dehors des questions de traduction...) Après, on s'étonne que les gens deviennent méchants. Félix Potuit (d) 30 janvier 2009 à 22:14 (CET)Répondre
Moi rien dire sur sujet, mais moi en penser pas moins. Morburre (d) 31 janvier 2009 à 03:43 (CET)Y en a d’accord avec toi. rv1729 31 janvier 2009 à 08:50 (CET)Répondre

Pas halberge, malberge...

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Bonjour. Commençons la journée en fanfare : je n'ai trouvé qu'une référence pour expliquer « tribunal malbergique », expression que je ne connaissais pas : ([11]) Pourriez-vous faire mieux ? Merci déjà, --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 06:14 (CET)Répondre

T'as beaucoup cherché ? Un simple coup de Google :
  • Dictionnaire des noms de lieu en Belgique: "Un des sièges probables du tribunal malbergique (germ. *mathla « tribunal » et *herga « hauteur »):..."
  • Les mérovingiens et la loi salique: «Cette glose est dite "malbergique" du nom du mallus, le tribunal qui réunit les législateurs.»
  • Dico en ligne: «Gloses malbergiques, mots non latins qu'on rencontre dans les manuscrits de la loi salique ; ainsi dits parce qu'ils y sont accompagnés de la notation malberg ou malb»
etc. --Serged/ 30 janvier 2009 à 09:42 (CET)Répondre
Ben...   ton premier lien, c'est celui que j'ai indiqué   et les autres parlent de « glose malbergique ». C'est l'expression « tribunal malbergique » que j'aimerais retrouver ailleurs...   --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 09:47 (CET)Répondre
Tu veux aussi des traductions ?   --Doalex (d) 30 janvier 2009 à 09:51 (CET)Répondre
Oh oui, ce serait très très bien ! Je compte sur toi...  --Égoïté (d) 30 janvier 2009 à 11:02 (CET)Répondre
Dans la page que tu signalais sur books.google.fr il y a cette explication « cotes-d'armoresque[1] » pour l'autre Hermalle, celui sous Argenteau : « Un des sièges probables du tribunal malbergique (germ. *mathla “tribunal” et *berga “hauteur” : tribunal des rois francs, assemblée de sages de deux regiones contiguës, qui devait régler les conflits de territoire et les “viols de marches” selon le droit oral traditionnel francique) ». Un peu avant on signale que *mathla signifie aussi « assemblée ». -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 11:33 (CET)Répondre
[1] Cotes-d'armoresque, adj. : se dit d'un nom où la même notion est répétée récursivement. Ex. : tribunal malbergique. Vient de « Côtes d'Armor », anciennement « Côtes du Nord », où Armor signifie « littoral », « bord de mer » ==> « Côtes de Côtes ».
Au fait, sais-tu comment on appelait la tente dressée pour accueillir ce haut tribunal ? La toile à mathla... -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 12:33 (CET)Répondre
Une source précieuse, ma chère : ce document Excel qui pour ce que j'en comprends, donne toute une liste de d'étymologies pour des toponymes belgo-néerlandais, avec leur sens et, merveille ! En néerlandais ! Ou en flamand : vu que c'est un site en .com, on ne peut savoir. Il donne entre autre :
*mathla, *mathal volksvergadering, gerechtsplaats Harmelen (U), Harmelerwaard (U), Hermalen (NB), Malburgen (Gl), Malden (Gl), Mallem (Gl),
Ce qui correspond donc aux sens donnés dans le "google book". -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 14:05 (CET)Répondre
Merci Olivier. proz.com est aussi une (bonne) découverte avec une liste de glossaires impressionnante... qui devrait bien m'être utile   --Égoïté (d) 1 février 2009 à 07:49 (CET)Répondre

Actions Privilégiées

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Bonjour doctes Wikipédiens. On peut lire dans nos journaux des avis contradictoires sur les droits exerçés par l'Etat sur les banques auxquelles il prête de l'argent.selon certains la prise d'actions privilégiées assortie à ces prets donneraient des droits de regard sur la gestion, selon d'autres, il n'en est rien. Qu'en pensez-vous  ?

Cher/chère questionneur/euse, désolé de ne pas suivre cette actualité, ni d'avoir d'informations de première main pour savoir ce que compte faire l'État-actionnaire dans les banques où il investit mais du moins, s'il obtient des actions privilégiées, ça ne lui donnera nul « droit de regard » supplémentaire, juste le droit d'être en tête pour le versement des dividendes. cette page donne la définition suivante :
« Une action privilégiée est une action de type particulier qui rapporte régulièrement un montant fixe puisé à même les profits de l'entreprise, ou dividendes. On les appelle actions privilégiées, car elles donnent aux porteurs priorité sur les actionnaires ordinaires en ce qui concerne le paiement des dividendes ».
Je te conseille donc d'écrire aux journaux, télés ou radios qui dissertent sur « les actions privilégiées de l'État » dans le sens que tu indiques pour les inviter à un peu mieux savoir de quoi ils parlent. -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 12:29 (CET)Répondre

mille merçi pour cette réponse très claire,mais je complete ma question : Y a t'il un moyen pour l'Etat de vérifier l'usage fait des fonds pretés et pourquoi,semble t'il,il n'y est pas fait appel?

Comme dit, je n'ai pas trop suivi mais j'écoute beaucoup la radio, et j'ai tout de même capté quelques infos sur cette supposée crise et sur les solutions mises en œuvre par les divers États. J'ai de ce fait cru comprendre qu'il y a eu deux stratégies totalement différentes : les gouvernements qui ont décidé de prendre des participations dans les entreprises secourues, et ceux qui jouent un rôle de « bancassurreurs », à la fois prêteurs et garants de ces sociétés. Les États ayant opté pour la seconde solution ne sont donc pas actionnaires, et de ce fait se privent de la possibilité d'exercer un contrôle interne direct et d'orienter les choix industriels et commerciaux de leurs emprunteurs.
Dans la première catégorie, on trouve notamment les États-Unis, la Grande-Bretagne et, si j'ai bien compris, l'Espagne ; dans la seconde figurent entre autres la France, l'Allemagne, la Belgique et, si j'ai bien suivi là aussi, l'Italie. Il s'agit donc à la fois d'un choix politique et contextuel : certains gouvernements ont, contre l'évidence, choisi de rester dans une ligne « ultralibérale » dogmatique et rigide, et décidé que l'État n'avait pas à devenir décisionnaires dans les entreprises secourues, mais aussi, pour certains ils doivent tenir compte de l'état de leurs finances et des contraintes qu'ils subissent.
Le gouvernement français par exemple, au-delà de sa position dogmatique, se trouve dans une situation où il n'a aucune marge de manœuvre budgétaire et n'est pas maître de sa politique monétaire : il a donc décidé de devenir prêteur / assureur parce que ça ne l'oblige pas à débloquer réellement et immédiatement les sommes promises, alors que s'il avait décidé d'entrer dans leur capital il aurait du les débourser tout de suite, ou au moins dans un assez court terme.
Tout ceci t'explique, je pense, pourquoi les rodomontades de Nicolas Sarkozy sur les obligations des banques et des constructeurs automobiles secourues sont de nul effet. La seule chose que l'administration est en état de faire est de ne débloquer les sommes promises aux banques que si l'emprunteur s'engage formellement à les utiliser d'une certaine manière. Mais en ce qui concerne ses grands cris sur les « parachutes dorés » et les « bénéfices anormaux », comme on dit : chien qui aboie ne mord pas... -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 15:13 (CET)Répondre
Il y a d'autre type d'actions "privilégiées" ; genre "golden share", par exemple ; et on peut imaginer absolument tout ce qu'on veut ! Mais pour en créer il faut une modification des statuts de la société et ça ne passe pas comme une lettre à la poste...
Sans aller jusque là, il y a le pacte d'actionnaires : l'état peut mettre à peut près ce qu'il veut comme condition à son intervention, pourvu que les autres actionnaires soient d'accord. Et ce, même si il achète seulement une action symbolique...
Encore plus simple, la garantie ou le prêt par l'état est formalisé par un contrat dans lequel on peut mettre ce qu'on veut (dans certaines limite bien sur). Même pas besoin d'être actionnaire, donc.
Sur la seconde partie de la question, elle n'a pas de sens : une entreprise, une banque, ou l'état lui-même, ça n'a qu'un seul patrimoine, une fois de l'argent versé dans sa caisse sa provenance disparait. En plus, vous voulez vérifier quoi ? faire une comparaison entre la situation où l'état intervient et une situation parfaitement virtuelle où l'état n'aurait rien fait... On a le droit de faire des études et des hypothèses à ce sujet (à propos desquels seuls les spécialistes pourront polémiquer, et alors là ils pourront le faire à qui mieux mieux !), mais on a pas le droit d'appeler ça "vérification" ! Et c'est plus qu'une nuance : juridiquement ça ne vaudrait guère mieux que rien.
Bref : tout ça c'est de la comm, ce qui ne veut pas dire que c'est inutile, si ça peut rassurer le troupeau de moutons qui sort dans la rue quand il est inquiet... gem (d) 30 janvier 2009 à 15:39 (CET)Répondre
Ces manifestations de mépris pour la multitude vile qui te sont coutumières sont parfaitement déplacées. Garde ça pour ce qui te sert de café du commerce. rv1729 31 janvier 2009 à 08:56 (CET)Répondre
Le mépris est dans ton œil, donc dans ton esprit AUSSI, voire SURTOUT. gem (d) 3 février 2009 à 10:27 (CET)Répondre
Le débat est le suivant : une action privilégiée donne le droit à un accès privilégié au dividende, contre la renonciation du droit d'intervenir dans la gouvernance de l'entreprise. C'est une sorte de super obligation, en quelque sorte. Par conséquent, on peut soutenir, que, comme un acheteur d'obligation, le gouvernement français est un financier sans contrôle sur les banques, puisqu'il n'a pas le droit d'intervenir dans la gouvernance d'entreprise ; mais on peut tout aussi bien soutenir que l'État français, en assurant aux banques française la possibilité de respecter leur ratio de solvabilité, rend ces dernières redevables : ne serait-ce que parce qu'elles peuvent être contraintes de demander une rallonge. En pratique, les banques françaises, qui ne sont pas dans une situation désespérée, comme leurs consœurs britanniques et américaines, ont eu, jusqu'à présent, la capacité de refuser toutes les formes de refinancement public les plus intrusives dans leur gouvernance, et en particulier, l'achat d'action ordinaire. Ce qui leur permet de distribuer les bonus et les dividendes qu'elles souhaitent, d'un point de vue légal. En pratique, on a vu que les choses n'étaient pas aussi simples : l'Etat n'est pas un financier comme les autres, même quand il n'a acheté que des actions "privilégiées". Mais il est évident que si les banques étaient nationalisées, ou contrôlées en partie par l'État, il n'y aurait même pas eu de débat. gede (dg) 1 février 2009 à 15:32 (CET)Répondre

à propos d'un peintre italien connu dont j'ai une toile 65.80

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Bonjour messieurs. Je suis en possession d'une toile d'Alessandro Abate représentant le portrait buste d'une dame.Il est signé du 25.5.1935 Tunisie Alessandro Abate.Pouvez vous SVP me fournir des renseignements là dessus.Sur le dictionnaire,le nom Abate apparait comme étant une dynastie d'artistes

L'article italien (it:Alessandro Abate) ne parle pas de sa lignée, mais il donne quelques références qui pourraient être intéressantes. - Mu (d) 30 janvier 2009 à 11:03 (CET)Répondre

Plaza Athénée

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Bonjour je souhaiterais connaitre le matériau employé pour la construction du bar au Plaza Athénée, c'est un verre (pour le plan de travail) qui réagit au contact des verres en s'illuminant. En vous remerciant d'avance.

Effectivement l'isurface en plexiglas tactile avec un ordinateur qui contrôle les effets attire l'attention : voici un exemple de table avec plein d'explications. Ses applications futures seraient encore plus bluffantes. ViZiT (d) 1 février 2009 à 17:34 (CET)Répondre

La bataille de Formigny dans le Calvados.

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Bonjour à vous tous J'ai vraiment tout lu comme du petit lait. Mais une question n'a pas été exposée les troupes anglaise de leurs retraite sont elles passées par Foulbec? Parait il qu'ils aurraient caché un trésor dans une forêt toute proche,d'après l'auteur Monsieur Daniel Réju. Ou a t'il trouvé ces infos? En fait je m'occupe de l'histoire local dans le secteur de Pont-Audemer, toutainville et de Triqueville toute époque. Pour Triqueville recherche sur la base aérienne de 1940 à44 recherche d'une personne qui aurait plant ou photo aérienne de cet base des années 40a44.C'est pour cloturer ce dossier et le partagé sur le web.Je suis tout nouveau sur ce site. A propo par la mème occasion je recherche aussi partenaire pour mès recherches sur le terrain tel 02******** Super et merci pour la réponce.

Les trésors supposés cachés par les Anglais sont partout. Ils devaient être aussi riches qu'amnésiques, parce qu'ils ne sont jamais revenus les chercher. C'est tout ce que je peux dire. Morburre (d) 30 janvier 2009 à 12:44 (CET) Pas de téléphone ni coordonnées personnelles.Répondre

RE- Citoyenneté

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Bonjour, doctes wikistes, c'est encore moi. Il y a 15 jours environ, je vous ai posé la question de la différence entre nationalité et citoyenneté et j'ai constaté avec étonnement que ma question ne figurait pas dans la liste des questions posées. S'agirait-il d'une incongruité ou d'un secret d'état ou encore d'une erreur de manipulation de ma part? Je crois savoir que la définition de la citoyenneté variait suivant les Etats, qu'en est-il dans l'Etat d'Israel ?Merci par avance pour votre réponse à cette question non polémique.

Vous avez posé cette question il y a dix jours sur une page d'Oracle correspondant à la 34e semaine de 2008, ce qui explique pourquoi 1) personne ne l'a vue (parce que nous regardons en général la page la plus récente) et 2) vous ne la voyez pas sur l'Oracle de la semaine actuelle. Aucune paranoïa à avoir, vous avez juste faite une petite erreur technique. Je suis sûr qu'à présent certains pourront répondre à votre question. Seudo (d) 30 janvier 2009 à 15:17 (CET)Répondre
Sur le fond, ce lien devrait vous donner des indications utiles. Seudo (d) 30 janvier 2009 à 15:22 (CET)Répondre
Et d'ailleurs, il y a ICI, depuis peu un moteur de recherche pour retrouver les anciennes questions!! Mitch-mitch (d) 30 janvier 2009 à 15:27 (CET)Répondre
Dans la majeure partie des États actuels il y a confusion entre les deux, mais ça n'a pas toujours été le cas. Un citoyen est une personne qui a le « droit de cité », c'est-à-dire tous les droits politiques offerts au résidant d'une certaine entité politique ; un national est celui admis comme « appartenant à la nation », qu'il ait ou non des droits politiques. Pour exemple, les noirs américains de certains États du sud des États-Unis étaient, entre 1865 et 1965, des nationaux mais non des citoyens, de même les « indigènes » des colonies françaises étaient membre de la nation mais non pas citoyens. À l'inverse, après la Révolution de 1789, les étrangers répondant aux critèrex définissant le citoyen actif, être « un homme âgé d’au moins 25 ans, installé dans le canton depuis au moins un an et dont le montant d’imposition est équivalent à 3 jours de salaire », pouvaient être des citoyens et à ce titre électeurs ou élus, sans pour cela acquérir la nationalité française – il y eut d'ailleurs plusieurs députés non français dans l'Assemblé législative française.
Pour l'époque contemporaine, il y a un exemple notable de l'indépendance des deux notions : tout national d'un État-membre de l'Union européenne est à la fois citoyen de son pays et citoyen de l'UE, par contre il n'y a pas de nationalité européenne. -O.M.H--H.M.O- 30 janvier 2009 à 15:47 (CET)Répondre

le nom du site personnel de Penelope Cruz

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Bonjour

Connaitriez-vous le nom du site personnel de Penelope Cruz ?

Je n'arrête pas de chercher dans Google mais je ne trouve pas satisfaction. C'est toujours sa biographie, des photos et de l'actualité.

J'aimerai bien prendre contact avec elle en fait. C'est pour ça que j'ai besoin de savoir le nom de son site personnel

Bien cordialement,

Merci

  Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.

Ça le méritait bien ? --Serged/ 30 janvier 2009 à 15:11 (CET)Répondre

ah ok

dommage

mais merci quand même

Ce site semble donner les coordonnées de son agent. Mais pour aller plus vite, voici son numéro de portable personnel : (+34) XX-XX-XX-XX-XX. Seudo (d) 30 janvier 2009 à 15:28 (CET) EDIT : c'est énervant, l'Oracle censure systématiquement les numéros de téléphone et les coordonnées personnelles.Répondre
(I Can't Get No) Satisfaction... Euh, moi je préfère Emmanuelle Béart, mais chacun ses goûts. Félix Potuit (d) 30 janvier 2009 à 22:23 (CET)Répondre
Béart, Béart...avec les lèvres de canard???, chacun ses goûts...Cobra Bubbles Dire et médire

Jeff Hardy

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bonjour est il possible de savoir la nouvelle chanson d'entrée de jeff hardy ,en 2009 ,merci.

Il chante ? --Serged/ 31 janvier 2009 à 10:43 (CET)Répondre
Note: L'article donne ses thèmes favoris. Le dernier semble No More Words de EndeverafteR. --Serged/ 31 janvier 2009 à 10:46 (CET)Répondre

Mot de passe sur BIOS...

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Les pythies, vous êtes mon dernier espoir!

L'Oracle n'est pas là pour cela... / DC2 • 31 janvier 2009 à 13:27 (CET)Répondre
L'orace est là pour tout, ou presque. Et merci aux autres pour leurs réponses, j'essaie dès mon retour ce soir   Félixggenest le 31 janvier 2009 à 08:01 (HAE)
C'est vrai, mais c'est pas l'affluence en ce moment, alors on peut toujours rendre service... Mais d'accord pour mettre ça dans des boites déroulantes. Arnaudus (d) 31 janvier 2009 à 14:10 (CET)Répondre
Je ne suis pas sûr : l'Oracle se devant d'être aussi un peu pédagogue doit penser à donner le bon exemple. Dans son propre intérêt qui plus est. / DC2 • 31 janvier 2009 à 18:57 (CET)Répondre
Comment ! Quoi ! On n'a pas été pédagogiques ? Pourtant, il me semble bien que nos conseils furent pleins de bon sens, très formateurs et très informatifs. Que souhaiter de mieux ? -O.M.H--H.M.O- 31 janvier 2009 à 21:45 (CET)Répondre
Une version de Windows qui ne provoque aucun bug. Ah, c'est si beau de rêver   Alphos [me pourrir la vie] 1 février 2009 à 03:47 (CET)Répondre

Question saugrenue sans doute.

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Bonjour, Lorsque l’on parle des bénéfices des grandes entreprises qui sont reversés aux actionnaires, on cite toujours le montant global des bénéfices. Existe-t-il un endroit où l’on retrouve la part conservée par la banque ou l’entreprise (pour son travail) et le montant versé à chaque actionnaire (qui dépendra de sa mise). Par exemple, combien rapporte 1 action chez Total à son détenteur par comparaison à ce que lui aurait rapporté la mise si elle avait été placée sur une livret d'épargne. --Kkbs (d) 31 janvier 2009 à 11:01 (CET)Répondre

Tu veux parler des dividendes ? Pour autant que je sache, ils sont décidés chaque année par la boîte, qui peut très bien ne pas en distribuer du tout une année par exemple en fonction de sa politique, du contexte économique, etc. Mais généralement, à part les pères de famille ultra-prudents, quand on investit en Bourse, c'est plutôt pour parier sur la hausse du cours de l'action à court terme que sur le dividende. Quand on peut gagner 10% en une seule journée, à quoi bon attendre un éventuel dividende ? Take the money and run. Si on a perdu 10%... eh bien, le dividende ne compensera de toutes façons probablement pas la perte. Félix Potuit (d) 31 janvier 2009 à 13:52 (CET)Répondre

Mais si l'on décide de ne pas payer de dividendes, les détendeurs d'actions ne touchent rien, retirent leurs billes et les placent ailleurs. En fait je me demandais si une boite fait 200 millions à redistribuer aux actionnaires, ce que chacun de ceux-ci touchera sera tributaire du nombre d'actionnaires. Donc même si le chiffre est important et exploité dans la presse, chaque actionnaire reçoit peut être moins que le grand public ne l'imagine au travers de ce que la presse nous en dit. Suite à la vente d'une maison, la banque m'a proposée un placement sous une forme telle qu'elle proposait de gérer une somme en achetant du prometteur et en me garantissant au pire de récupérer ma mise, au mieux de presque la doubler en 8 ou 10 ans, je suis assez satisfait (mais j'ai peut être tort)de ne rien avoir décidé début 2008 sauf de décider à mon retour de vacances novembre 2008. Chose que vu le contexte je n'ai pas faite --Kkbs (d) 31 janvier 2009 à 18:19 (CET)Répondre

La réponse à ta question se trouve dans la présentation publique annuelle des résultats de l'entreprise, auquel toute société cotée en bourse est juridiquement soumise. Le dernier exercice annuel disponible pour Total est celui de 2007 : [12] (voir aussi le communiqué de presse : [13]). Il en ressort que 1) Total a redistribué à ses actionnaires, sous forme de dividende, plus d'un tiers de son résultat net 2) que, en fonction du cours boursier de Total, la rentabilité annuelle de ce dividende était de 3.6% (en se plaçant dans l'hypothèse d'une personne ayant acheté une action en mai 2007 pour recevoir le dividende un an plus tard).
Toutefois : 1- comme indiqué au dessus le dividende n'est qu'une composante de la rentabilité des actions, l'autre étant la plus value. Si on intègre cette composante, la rentabilité de la détention d'une action Total entre mai 2007 et mai 2008 (mois de la distribution des dividendes) était négative (perte de 1.5 %) 2- Dans la mesure où les plus value sont une composante essentielle de la détention d'action, les entreprises achètent elles même leurs propres actions, ce qui en soutient le cours, et qui constitue une autre façon de distribuer de la valeur ajoutée aux actionnaires. gede (dg) 1 février 2009 à 11:23 (CET)Répondre
pour la première (part redistribuée) ça doit énormément varier selon l'entreprise, la conjoncture, et les décisions de la direction. La part "conservée" ne correspond pas au travail de l'entreprise, qui est déjà payé, Cf. Soldes intermédiaires de gestion ; elle correspond plutôt à de l'autofinancement (investissements).
pour la seconde partie de la question, j'ai trouvé pas mal de propos de journalistes mal sourcés, donc pas exploitable, et quand même http://www.amf-france.org/documents/general/6383_1.pdf dont l'annexe 6 parle des rendements des actions et obligations
gem (d) 3 février 2009 à 12:39 (CET)Répondre

prime de panier

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Bonjour

Au sujet de la prime de panier versé par l'employeur dans le salaire net donc ne faisant l'objet d'aucune retenue pour charge sociale car n'y étant pas assujettie

Est ce que cette prime dans ce cas de figure est considérée:

-1 comme un revenu(au sens retenu pour les ressources par les ASSEDIC

-2 comme un simple remboursement de frais engagé

et sur quelle base juridique

merci

Bon courage pour la suite. Cordialement. Père Igor (d) 31 janvier 2009 à 14:35 (CET)Répondre
Simple remboursement de frais engagés : Comme les "avantages" que sont les tickets resto, la disponibilité d'une cantine sur le lieu de travail etc. Seule exception notable : pour ceux travaillant dans la restauration, et qui ont droit au repas gratuit dans le restaurant : C'est considéré alors comme une "avantage en nature", qui oblige à être déclaré. en France, bien sûr, mais comme on parle d'ASSEDIC... --Serged/ 31 janvier 2009 à 14:48 (CET)Répondre
Non, on ne parle plus d'ASSEDIC, on parle de Pôle emploi. Morburre (d) 31 janvier 2009 à 18:37 (CET)Répondre
... ce qui suppose logiquement son opposé, Pôle chômage. Félix Potuit (d) 1 février 2009 à 07:33 (CET)Répondre
Mr et Mme Emploi, ont un fils... (Paul) --Serged/ 1 février 2009 à 09:22 (CET)Répondre

Le sport sur Ouest-France

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Bonjour

Je suis un fervent lecteur de OUEST FRANCE depuis des années. Je voudrais faire quelques remarques en ce qui concerne les pages de sport, principalement le foot de L 2.

Vous établissez vos articles (exemple) sur les pages sports. La grille des résultats se trouvent toujours deux ou trois pages plus loin, dans une autre catégorie. Pourquoi ne pas mettre tout sur la même page, alors qu'il est souvent possible de le faire. Vos résultats sont mélangées, il fait faire des recherches pour trouver le bon endroit et revenir en arrière.

En ce qui concerne la situation de BREST s'est incompréhensible depuis plusieurs jours. A savoir--- Pts 26 --- j 21 --- G 7 --- N 3 ----- P 11 --- ??????????????? N'est il pas possible également de noter dans la grille résultats de L2 le même principe que pour la L 1 (série) GGPNG et de même format.

Le classement des buteurs, soit vous mettez tous les noms à partir de 4 buts soit personne. Il en manque toujours un quart.

J'ai un ami qui a changé de journal il est allé à la concurence à cause de ces problème qu'il trouvait agassant pour le lecteur.

Je pense sincèrement qu'il vous est possible d'amèliorer cette lecture des sports sans contrarier la mise page.

En vous remerciant de l'attention que vous voudrez bien porter à mes petites revendications amicales.

J-P T

Vous n'êtes pas au bon endroit, vous êtes ici sur une encyclopédie. Veuillez vous adresser à Ouest France directement. Et bon match quand même. Dhatier jasons-z-en 31 janvier 2009 à 14:29 (CET)Répondre

Je n'arrive pas à lire les dernières questions de l'Oracle !

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Voila tout est dans le titre : quand je suis au bureau j'arrive sans problème à lire toutes les questions de l'Oracle, en revanche chez moi, passées les premières questions c'est fini. Pour aller d'une question à l'autre l'ordinateur ne réagit pas quand je lui demande de monter ou de descendre dans le texte ou du moins réagit très, très, très lentement. Pourtant il est assez rapide pour naviguer d'un site à l'autre ce qui n'est pas le cas au bureau. Que puis-je faire ?

D'abord voir si votre ordi supporte la charge ( si vous avez d'autres programmes qui monopolisent le processeur, la mémoire et les accès disque dur ...). Si vous utilisez windows faites ctrl+alt+suppr ( une fois !) puis naviguez dans les onglets. Une autre technique serait de changer de navigateur internet et voir si le problème persiste. Mais le fait que vous puissiez surfer entre les sites indique une incompatibilité entre votre navigateur et la page de wikipédia, une mise a jour pourrait etre bénéfique, particulièrement si cela se produit systématiquement ( quelquefois les serveurs ou le réseau sont surchargés )

Chroniques du bout du monde

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Bonjour, j'en appelle aux lecteurs des Chroniques du bout du monde qui connaissent bien le livre et qui peuvent me traduire Barkwaifs, c'est une epèce d'écoutinal.

Merci

les presses hydrauliques

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Bonjour,je cherche des articles(formatPDF)sur les presses hydrauliques(fonctionnement,calculs,conceptions). Merci beaucoup

...Il ne reste plus qu'à compléter l'article 'presse hydraulique'... -- Xofc [me contacter] 31 janvier 2009 à 22:30 (CET)Répondre

Sha Xi Town, Chine

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Bonjour.

Au journal de 20h de TF1 le 29/1/2009 a été présenté un reportage sur les importantes fabriques de pantalons (jeans) à Sha Xi en Chine. Je cherche à savoir où se trouve exactement (latitude, longitude ) cette ville . Je ne la trouve sur aucun atlas, même les plus récents, ni sur mappy.fr ; Pourriez vous me donner ses coordonnées géographiques? En cherchant on trouve une rivière Sha Xi dans le Fujian ( sud est de la Chine), et au moyen de Google earth on voit une ville ( dont j'estime la population à environ 100 000 habitants), dont le nom n'est pas indiqué, qui se trouve sur la rivière Sha Xi , à 22 km au nord est de Sanming ( 560 km NE de Hong Kong) à 117° 47' E et 26° 23' N

S'agit-il de cette ville de Sha Xi Town?

Merci pour vos informations à ce sujet. NB: ce problème est récurrent avec la Chine où les villes poussent comme des champignons et où les plus récentes ne sont pas indiquées dans les atlas.

Alain RENAUDEAU 92500 Rueil Malmaison xxxxu@xxxx.fr

C'est terrible l'ingéniosité que développent certains sites pour rendre les documents inréférençables : je ne parviens pas à créer un lien vers le reportage de Tf1... (26° 23′ 43″ N, 117° 47′ 00″ E-> [14]-> 沙縣 -> zh:沙县 -> Xian de Sha ?)-- Xofc [me contacter] 31 janvier 2009 à 22:58 (CET)Répondre
Ça ressemblerait à 'Sha Xi Town', en effet, qui n'a pas l'air d'être une ville de premier plan... Si ça tombe, tout est bidonné est c'est tourné dans le XIIIe arrondissement... Peut-être demander à TF1, ils doivent bien avoir une rubrique Contacts ? Félix Potuit (d) 1 février 2009 à 07:31 (CET)Répondre

Droites perpendiculaires et paralleles

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bonjour j'aimerais bien poser une question a propos des droites paralleles et perpendiculaires le probleme est le suivant:

soit ABC un triangle isocele de sommet A. tracer la bissectrice interieure [AM) de l'angle BÂC et la bissectric exterieur {AX) de cet angle. dessiner la figure en motrant que l'une des bissectrices est perpendiculaire a (BC) et l'autre parallele a (BC)

merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 84.11.137.54 (discuter)

"Oracle" ne signifie pas "merci de faire mes devoirs alors que l'énoncé est impossible ou que je l'ai mal recopié".
Les bissectrices de deux angles plans englobant le plan autour d'un point sont de même direction, et passant par un même point (à savoir le sommet des deux angles), sont confondues.
J'imagine que tu pensais aux bissectrices de deux angles supplémentaires de même sommet, auquel cas c'est bel et bien le cas, mais je ne peux que rappeler que la bissectrice de l'angle au sommet d'un triangle isocèle est la médiatrice de sa base ; et qu'une bissectrice coupant un angle en deux, deux bissectrices de deux angles supplémentaires coupent l'angle plat qu'ils délimitent en angle droit... la moitié de 180 vaut 90 (si l'on parle en degrés), la moitié de pi vaut pi/2 (en radians), et ça marche aussi avec les grades ou toute autre unité d'angle.
Alphos [me pourrir la vie] 1 février 2009 à 09:28 (CET)Répondre

Comment regarder la finale de l'Open d'Australie?

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Bonjour puissant et omniscient Oracle !

Connaissez-vous un moyen d'admirer les deux formidables tennismen que sont Federer et Nadal dans leur duel de finale à Melbourne aujourd'hui ? Je n'ai hélas pas canal + ...

Merci infiniment!

GG

Une recherche Google me conduit en deux coups de cuiller à pot. rv1729 1 février 2009 à 10:56 (CET)Répondre

Problème des poils dans le dos

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bonjour tout le monde J’ai un problème de poils dans mon dos, et ma copine n’aime pas ça, et je veux l’enlever définitivement, est ce qu’il y a un moyen, merci

Pour enlever votre copine définitivement, consultez cette page puis un professionnel. Pour enlever vos poils définitivement, consultez cet article, puis un professionnel. --Madlozoz (d) 1 février 2009 à 11:55 (CET)Répondre

Appius ? Quel Appius ?

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Bonjour,

Je cherche à identifier l’Appius dont il question :

Mais l’expérience a démontré combien Appius a eu raison de dire dans ses vers : « Chacun est l'artisan de sa fortune ». Lettres de Salluste à César.

Cdlt, VIGNERON * discut. 1 février 2009 à 12:15 (CET)Répondre

Salut,
lis cet article.
Tu y trouveras les informations nécessaires pour trouver des pages comme [15] ou [16] qui permettent d’attribuer cette maxime à Appius Claudius Caecus. rv1729 1 février 2009 à 14:19 (CET)Répondre
Sympa la réponse   (surtout que au final, j’ai pas compris comment tu as fait !). Merci tout de même. Cdlt, VIGNERON * discut. 1 février 2009 à 15:37 (CET)Répondre
Mon petit doigt me dit qu'il à procédé comme ça : [17]. Il ne restait plus qu'à lire les résumés pour trouver le nom complet. Iluvalar (d) 1 février 2009 à 16:04 (CET)Répondre
Ma réponse est un peu sèche, je l’admets, mais sans excès (je trouve). Pdq. rv1729 1 février 2009 à 18:09 (CET)Répondre

Messages d'imprimante en plusieurs langues!

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Bonjour à tous. Je ne parviens pas à résoudre un problème étrange ni à trouver une réponse quelque part donc je me rabats sur l'oracle wikipédien, on ne sait jamais!
J'ai un problème avec une imprimante Canon LBP2900 installée dans une classe de mon école (... située en Ouzbékistan, d'où peut-être la merdouille!). Globalement c'est installé en français mais une partie des messages (dont une partie des onglets de la fenêtre de suivi d'impression) est en suédois!!!! (enfin du moins en une langue scandinave...) Y a-t-il un moyen de corriger ça? Faut-il réinstaller des pilotes français? Merci d'avance à celles et ceux qui pourront m'aider. --TwøWiñgš Boit d'bout 1 février 2009 à 12:45 (CET)Répondre

Bonjour, essayez plutôt ici. Bonne chance. Piero (d) 2 février 2009 à 11:37 (CET) Je ferais l'hypothèse que c'est peut-être un réglage des langues à faire, dans votre système d'exploitation (genre : démarrer -> panneau de configuration -> langages, etc.).Répondre

le plomb du cantal est il riche en minerais de plomb?

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le nom de plomb du cantal viendrait de sa richesse en minerais de plomb (galène)? est ce vrai?

Je suppose que vous avez lu l’article Plomb du Cantal. Pourquoi douter des informations qui s’y trouvent ? rv1729 1 février 2009 à 14:22 (CET)Répondre


À savoir: dixit Wikipedia: "L'origine de son nom viendrait du latin pomum[réf. nécessaire] c’est-à-dire « pomme » « fruit », « pommeau », « pointement »." jbdepradines (d) 1 février 2009 à 14:31 (CET)Répondre

Selon Christophe, le dentiste Max Hilaire envisageait de reboucher la Dent du Midi avec le Plomb du Cantal. Félix Potuit (d) 1 février 2009 à 19:36 (CET)  et de poser un râtelier aux Bouches-du-Rhône Morburre (d) 1 février 2009 à 19:45 (CET) Répondre

produit pharmaceutique pour l'épilation

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bonjour je voudrais avoir les nom des produits pour une bonne épilation merci

Sucre et citron. Efficace et bon marché. Bien à vous, --Égoïté (d) 1 février 2009 à 14:09 (CET)Répondre
Et puis c'est bon pour l'estomac, n'est-ce pas ? Dans ce cas il vaut mieux préparer 2 récipients séparés  .--Doalex (d) 1 février 2009 à 16:46 (CET) Rigole tant que tu veux : c'est avec ces ingrédients-là que les femmes d'Afrique du Nord s'épilaient entièrement avant le mariage. Le café se prenait à un autre moment...   --Égoïté (d) 1 février 2009 à 17:53 (CET)Répondre
Je ne rigole pas, d'ailleurs je vais essayé, puisque pour l'estomac ça m'a réussi (pas pour cause d'excès !), pour les poils dans le dos (voir plus haut) bien que je ne sois pas un dos argenté Gorille#Galerie (extèrieurement en tout cas).  --Doalex (d) 1 février 2009 à 18:17 (CET) Répondre

Formule détaillée du procédé, mon épouse est intéressée. Café, sucre, citron formule magique à tester dans tous les cas. Merci --Kkbs (d) 1 février 2009 à 18:59 (CET)Répondre

Une recherche google (épilation sucre citron) est instructive. En gros tu fais une boule de caramel citronné, avec du miel éventuellement, et puis tu procèdes par plaques. Ça a pas l'air plus crétin que les trucs dont on fait la pub à la télé. rv1729 1 février 2009 à 20:01 (CET)Répondre
Exact : caramel citronné légèrement refroidi sur marbre ou faïence d'un évier, étendu par petites "plaques" qu'on "enroule" sur elles-même comme on le ferait de bandes "machin chose" ; la différence, c'est 1/ le cout; 2/ qu'on procède plus par cm2 que par dm2 et 3/ qu'on peut même réutiliser les ingrédients de base après chauffage et filtrage. Une autre façon de procéder est d'employer l'allumette (enflammée bien entendu) : on la passe au ras de la peau et on carbonise les poils. Repousse plus lente. Mais franchement, même si j'ai vu utiliser ce procédé (par ma mère) pour les jambes, je ne l'ai jamais essayé moi-même. (Et dans le cas d'une épilation complète, je ne préfère pas y penser  ). Bon courage ! --Égoïté (d) 1 février 2009 à 22:51 (CET)Répondre

quel était le personnage qui était jaloux d'hergé

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j'aimerais savoir quel était le nom du personnage qui étit jaloux de l'oeuvre de tintin soit Hergé merci de donner suite bonne journée Lise xxx@yyy.zz

Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).

L'oeuvre de Tintin = Hergé? Ah bah dis donc... Arnaudus (d) 1 février 2009 à 21:50 (CET)Répondre
Rastapoulos? Dans Vol 714 pour Sydney, il me semble jaloux de Tintin et de ses succès... Quoiqu'il est aussi jaloux de Laszlo Carreidas... Sinon, je vois pas de qui Lise veut bien parler. Quelqu'un a une idée? -- Bestter Discussion 1 février 2009 à 23:23 (CET)Répondre
Autant que je sache, une grande partie des dessinateurs de la bande dessinée franco-belge de moindre talent ou de moindre succès que lui ont ce sentiment à l'encontre d'Hergé. -O.M.H--H.M.O- 2 février 2009 à 00:59 (CET)Répondre
Pas nécessairement, pense pas que Goscinny, Moris ou Uderzo avait un problème contre Hergé. Astérix, pendant un temps du moins, se vendait mieux que Tintin! (oui oui, refnec...). -- Bestter Discussion 2 février 2009 à 03:35 (CET)Répondre
Pour mémoire, de moindre talent ou de moindre succès. -O.M.H--H.M.O- 2 février 2009 à 06:45 (CET)Répondre
Damned ! on parle de moi ? Oui, j'étais jaloux de ce minable... Tous les 3 mars, depuis 1983, je fais la fête ! Le Dessinateur de BD Masqué
J'oubliais : ce sentiment de jalousie mêlé le plus souvent d'un sentiment d'admiration, ce qui est logique puisque quand la jalousie n'équivaut pas à l'envie on est jaloux de ce que l'on aime... -O.M.H--H.M.O- 2 février 2009 à 11:35 (CET)Répondre
Je pense que vous faites référence à ceci, auquel cas c'est le Général de Gaulle que vous cherchez. Pleclown (d) 2 février 2009 à 13:01 (CET)Répondre

Statue sans tête

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Quel est le terme technique sous lequel on désigne ce genre de statue privée de "kephalê" ? Merci d'avance !

Acéphale. Dhatier jasons-z-en 1 février 2009 à 19:37 (CET)Répondre

Super Bowl

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Cher Oracle , Connaitriez vous des sites permétant de regarder le super Bowl qui ce déroulerat cette nuit. Merci,

non ( je ne peux pas faire e recherches, mon allergie est pire devant un écran ), mais vous pouvez commencer par installer PeerTV et SopCast en prévision, puis 'aller sur le site adéquat , myp2p par exemple.

Jubilés

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Bonjour! Je souhaite avoir des information sur les différents types de jubilés à célébrer et leur dénomination. En fait, on parle souvent de jubilé d'or, de diamant,... Je voudrais en savoir plus. Merci de votre aide

Peut-être que l'article sur les jubilés te sera d'un certain secours ? Pour mon compte je n'ai jamais entendu parler de « jubilé d'or » ou autre métal ou matière, et ce terme désigne seulement une période de 25, 50 ou 100 ans où l'on fête ou commémore quelque chose ou quelqu'un, ou bien un événement spécial, un « couronnement » (de carrière, en général). -O.M.H--H.M.O- 2 février 2009 à 00:54 (CET)Répondre
En complément. Finalement j'ai vu : en fait le « jubilé d'argent » correspond à la périodicité ordinaire, celle de 25 ans, et le « jubilé d'or » est tout simplement un double jubilé, donc une période de 50 ans. L'expression semble avant tout d'usage ecclésiastique, spécialement chez les catholiques, mais s'applique aussi à des monarques, quoiqu'on le trouve parfois associé à des événements autres. Il semble spécialement utilisé de manière abondante sur le continent africain. -O.M.H--H.M.O- 2 février 2009 à 01:24 (CET)Répondre
Voir Anniversaire de mariage. HaguardDuNord (d) 2 février 2009 à 09:08 (CET)Répondre

Règles pour le double n?

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Bonjour à toutes/tous. Existe-t-il une règle, en français, pour savoir si on met un ou deux "n", notamment pour les adjectifs et adverbes? Par exemple pourquoi "national" et pourquoi "sensationnel"? --TwøWiñgš Boit d'bout 2 février 2009 à 14:24 (CET)Répondre

bonjour. Sans pouvoir, faute de temps, sourcer mes dires, je tendrais spontanément à donner la règle suivante, sous réserve de preuve contraire s'entend. Le suffixe "-nel" appelle, dirait-on, systématiquement les deux N (exemples : rationnel, fractionnel, fictionnel, exceptionnel, sensationnel, consitutionnel, etc...) Je ne trouve pas, pour le peu de temps que je peux y consacrer, de cas où il y aurait un "nel" avec un seul N. En revanche, nos amis anglo-saxons ont tendance à ne mettre qu'un seul N, et leurs terminaisons sont en "nal" (sensational, exceptional, etc...) là où elles sont en "nel" chez nous....

Bonne journée 83.206.203.129 (d) 2 février 2009 à 16:02 (CET)Répondre

Mon couteau est opinel. Je m'en vais. Morburre (d) 2 février 2009 à 16:35 (CET)Répondre
Oui mon colonel ! --Serged/ 2 février 2009 à 18:00 (CET)Répondre
Coco Chanel est très charnelle, mais l'adjudant Chanal, plutôt banal (et pourtant criminel). Bon, assez raconté d'âneries, je confirme que normalement, tous les adjectifs et adverbes en -ionnel(lement) prennent 2 n. Ex : occasionnel, intentionnel. Félix Potuit (d) 2 février 2009 à 19:19 (CET) l'adjudant Chanal, celui dont la devise était "si, si, il faut remuer le couteau dans l'appelé" (ich bin schon draussen) Elsaesser (d) 3 février 2009 à 08:10 (CET) Répondre
Disons que les seuls mots se terminant par -onel sont le (lieutenant-)colonel et le monel, mais il y a quelques mots se terminant par -nnal. On pourrait donc reformuler la question : pourquoi national ne prend-il qu'un n et confessionnal deux n ? Formulé autrement : pourquoi tant de n dans le confessionnal ? Seudo (d) 2 février 2009 à 19:55 (CET)Répondre
La Chanel en français, mais the Channel en anglais. Etc. Morburre (d) 2 février 2009 à 20:00 (CET)Répondre
Je pennse qu'onn peut simplemennt dire que le Frannçais est unne lanngue irrationnèle. --Madlozoz (d) 3 février 2009 à 23:11 (CET)Répondre
Bon donc je vais continuer à me trainer ce handicap d'orthographe alors... --TwøWiñgš Boit d'bout 4 février 2009 à 10:05 (CET)Répondre
Voici une règle simple concernant les dérivés des mots en -ion : la lettre n est toujours doublée sauf si le suffixe -al figure dans le dérivé. Il y a toutefois deux exceptions dans les mots d'usage courant : millionième et confessionnal. Source : René Thimonnier, les 30 problèmes de l'orthographe, Classiques Hachette, 1979, p.80. Spedona (d) 4 février 2009 à 22:14 (CET)Répondre
Ah!!!! Merci. Voilà une source intéressante... --TwøWiñgš Boit d'bout 5 février 2009 à 08:41 (CET)Répondre

danton

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quel est le groupe politique de danton a la convention?

En lisant en diagonale, je dirait Jacobin. Mais vous ne perdriez pas votre temps en suivant les liens bleus. --Madlozoz (d) 3 février 2009 à 00:04 (CET)Répondre

Bonjour . J'ai une question concernant Danton que je n'arrive pas à résoudre . Vous pouriez m'aidé s'il vous plait ? La voici : A quel groupe politique appartient-il à la Convention ? Merci beaucoups d'avance . Mégane

Voir ici Wikipédia:Oracle/semaine 6 2009#danton.