Saint-Julien-de-Concelles

commune française du département de la Loire-Atlantique

Saint-Julien-de-Concelles est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Saint-Julien-de-Concelles
Saint-Julien-de-Concelles
L'église Saint-Julien.
Blason de Saint-Julien-de-Concelles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes Sèvre et Loire
Maire
Mandat
Thierry Agasse
2020-2026
Code postal 44450
Code commune 44169
Démographie
Gentilé Concellois
Population
municipale
7 653 hab. (2021 en évolution de +11,56 % par rapport à 2015)
Densité 241 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 15′ 15″ nord, 1° 23′ 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 53 m
Superficie 31,74 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Saint-Julien-de-Concelles
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallet
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Julien-de-Concelles
Liens
Site web [1]
Situation de Saint-Julien-de-Concelles dans le département de la Loire-Atlantique.

Géographie

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Saint-Julien-de-Concelles est situé sur la rive gauche de la Loire, à environ 13 km à l'est de Nantes.

Communes limitrophes

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Intercommunalité

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Partie intégrante du pays du Vignoble nantais, Saint-Julien de Concelles appartient à la communauté de communes Sèvre et Loire, avec les communes de Divatte-sur-Loire, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau, La Remaudière, La Boissière du Doré, Vallet, La Regrippière, Le Pallet, Mouzillon et La Chapelle-Heulin[1].

Occupation des sols

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D'un point de vue d'occupation des sols, la commune est composée de trois grands ensembles. Sur ses parties nord et ouest, on se situe dans le lit majeur de la Loire, dans une plaine inondable. Le bourg, l'est et la partie sud-est de la commune sont occupés par le vignoble, composé en grande majorité de production pour le Muscadet et le Gros plant. Au sud s'étend la zone Natura 2000 correspondant au marais de Goulaine et qui fait une véritable barrière naturelle avec la commune de Haute-Goulaine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 783 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 858,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Julien-de-Concelles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Julien-de-Concelles[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,5 %), terres arables (18,6 %), prairies (10,3 %), cultures permanentes (9,1 %), zones urbanisées (9 %), eaux continentales[Note 4] (7 %), zones humides intérieures (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), forêts (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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La localité est attestée sous sa forme latine Sanctus Julianus dès 1123[14].

La commune possède plusieurs appellations en gallo, la langue d'oïl locale : Saint-Yo[15], Saint-Juyen, Saint-Julien et se prononcent respectivement [sɛ̃jo], [sɛ̃ʒyjœ̃ː], [sɛ̃ʒyjɛ̃] ou encore [sɛ̃ʒyljɛ̃] [16].

La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Juluan-Kankell[17].

Histoire

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Dans une charte du roi Louis VI datée de 1123, le territoire de Saint-Julien, avec l'eau de la Concelle (cum aqua Cancella) et tous les droits qui l'accompagnent, est revendiqué comme faisant partie des régaires de l'évêché de Nantes[18].

Les seize fusillés du terrain du Bêle à Nantes, le

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Les autorités allemandes ne voulant pas que les sépultures deviennent un lieu de culte, elles font enterrer sommairement quatre des fusillés à Saint-Julien-de-Concelles. Seul un numéro inscrit sur une petite plaque indiquait l'emplacement de chaque sépulture.

  • Maurice Allano - 21 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le nouveau cimetière Sainte-Anne, Nantes.
  • Frédéric Creusé - 20 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière Miséricorde, à Nantes.
  • Michel Dabat - 20 ans, de Nantes, accusé d’actions de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière de la Chauvinière de Nantes.
  • Jean-Pierre Glou - 19 ans, de Nantes, soupçonné d’actes de résistance ; son corps est transféré dans le cimetière de Miséricorde.

Le nom de Marin Poirier figure sur la stèle du cimetière de Saint-Julien-de-Concelles et, pourtant, il ne fit pas partie de l’exécution du  ; Marin Poirier, né à Fougères, cheminot, accusé d’avoir favorisé l’évasion de prisonniers de guerre et leur passage en zone libre ; condamné à 4 ans ½ de prison, il fit appel ; la politique des troupes d’occupation s’étant durcie, il est condamné à mort et fusillé au terrain du Bêle, le  ; après une inhumation provisoire à Saint-Julien, son corps est transféré dans le cimetière de la Chauvinière.

Économie

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La majorité de la population active travaille en dehors de Saint-Julien de Concelles : 54 % des travailleurs effectuent des migrations pendulaires à destination exclusive de Nantes, en 2006, et, au total, 75,6 % des concellois actifs travaillent en dehors de la commune.

Saint-Julien est une commune que l’on peut qualifier de rurale : près d’un quart des actifs travaillent dans le secteur agricole. Les volontés affichées par les acteurs du développement local tendent à vouloir renforcer ce secteur : maintenir les emplois agricoles est une des priorités du SCOT du pays du vignoble nantais ; ces emplois agricoles ne semblent donc pas menacés.

Le secteur agricole représente environ 475 emplois à l’année sur la commune. Ce sont les activités liées au maraîchage qui sont les plus nombreuses et qui génèrent le plus d’emplois.

Les maraîchers utilisent des serres de différentes tailles en verre ou en plastique pour protéger et mieux contrôler leurs cultures, ces grands abris façonnent le paysage de la plaine inondable, donnant l'impression de se trouver dans un paysage consacré à l'agriculture intensive.

On compte, à Saint-Julien, une centaine d’entrepreneurs et artisans.

L’industrie est le secteur le moins développé sur la commune ; les plus grandes entreprises sont situées au niveau du pôle d’activités de Beausoleil.

Osier et vannerie

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Jusqu'au début du XXe siècle, Saint-Julien est un grand centre de production d'osier et de fabrication de vannerie[19].

Fin XIXe et début XXe, des ouvriers vanniers s'unissent et créent des syndicats professionnels à Aramon (Gard), Bellot (Seine-et-Marne), Bordeaux, Fayl-Billot (Haute-Marne), Givors (Rhône), Marseille, Origny-en-Thiérache (Aisne), à Paris, Tannay (Ardennes), Toulon et Toulouse ; en Bretagne, à Nantes et Saint-Julien-de-Concelles (Loire-Inférieure)[20].

« Des vanneries importantes existe maintenant à Nantes, à Ancenis, à Saint-Julien-de-Concelles ; c’est là qu’en 1904 et 1905, sur l’heureuse inspiration de M. Danguy, directeur des Services Agricoles, l’on a fait usages avec succès, sur de grandes surfaces, du jus de tabac titré de la régie, pour lutter contre le bleu de l’osier (phyllodecta)[21]. »

Tourisme

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Le plan d'eau du Chêne

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Base nautique, arboretum, parcours de santé, jeux et aires de pique-nique sont disponibles sur ce site destiné aux loisirs de plein air.

 
Aire de jeu du plan d'eau du Chêne inondée à la suite de fortes intempéries, en mai 2016

Les bords de Loire

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La Loire, aussi appelée « fleuve royal », est une composante majeure du patrimoine concellois. Le fleuve est longé par la levée de la Divatte, ouvrage construit au XIXe siècle pour protéger la vallée des crues parfois importantes. Les inondations de 1910 marquent l'histoire de la commune.

On peut s'y promener à pied ou à vélo sur plusieurs kilomètres.

Le marais de Goulaine

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Le marais de Goulaine, classé Natura 2000, héberge de nombreuses espèces aquatiques, une faune et une flore diversifiées. Il s'étend sur cinq communes : La Chapelle-Heulin, Haute-Goulaine, Le Landreau, Le Loroux-Bottereau et Saint-Julien de Concelles.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1963 mars 1966
(démission)
Georges Vivant   Démissionnaire pour raisons de santé
avril 1966[22] mars 1983 Frédéric Praud DVD puis RPR Conseiller général du Loroux-Bottereau (1967 → 1992)
Président du SIVOM du canton du Loroux-Bottereau (1968 → 1989)
mars 1983 mars 1989 Pierre Guillet   Chef d'entreprise (ébénisterie, menuiserie, charpenterie)
mars 1989 juin 1995 Michel Janneau DVD (Progrès concellois)  
juin 1995 mars 2001 Clovis Mercier DVD (Progrès concellois)  
mars 2001 mars 2008 Pierre Roy DVD (Progrès concellois)  
mars 2008 mars 2014 Christophe Audouin DVG (Progrès concellois) Manager informaticien à La Poste
mars 2014 En cours Thierry Agasse DVD (En action pour St-Julien) Chef d'entreprise en menuiserie-charpente

Population et société

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Démographie

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Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Julien-de-Concelles est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes[10]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 44 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires » et 56 % dans des zones « peu denses »[23].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 7 653 habitants[Note 5], en évolution de +11,56 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 2001 6592 2263 1613 4673 7793 6943 7703 907
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 8623 8683 8324 0073 9713 8323 6903 6023 555
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 4613 3943 1892 8752 8602 8712 7642 9383 323
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3 5553 8504 2725 0955 4186 2556 6926 7566 782
2017 2021 - - - - - - -
6 9177 653-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 554 hommes pour 3 569 femmes, soit un taux de 50,11 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,7 
5,5 
75-89 ans
7,4 
16,1 
60-74 ans
17,1 
23,1 
45-59 ans
22,1 
19,3 
30-44 ans
19,1 
15,8 
15-29 ans
14,6 
19,7 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Jumelages

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La commune est jumelée avec :

Héraldique

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  Blasonnement :
De sinople à la chapelle Saint Barthélemy d'argent soutenue d'une jumelle ondée du même et surmontée de trois fleurs de lys d'or rangées en fasce.
Commentaires : Dans la chapelle Saint-Barthélemy se trouvent les fleurs de lys des armoiries du Plessix-Angié. Le sinople (vert) évoque la vie rurale et les activités agricoles ; les ondes représentent la Loire. Blason conçu par Yves Boislève (délibération municipale du ).
 
Ancien blason

Avant 2001, le blasonnement de Saint-Julien-de-Concelles est : Écartelé, au premier de pourpre aux deux fraises de gueules feuillées de sinople, au deuxième d'azur à la grappe de raisin de pourpre, au troisième d'azur au brochet contourné et ployé d'argent en barre et au quatrième de pourpre à l'hirondelle de sable volant en bande. Il s'agit d'un symbole urbain créé pour les Floralies de Nantes, en 1982. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Julien-de-Concelles comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « www.cc-sevreloire.fr », sur cc-sevreloire.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Julien-de-Concelles et La Haie-Fouassière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Saint-Julien-de-Concelles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Julien-de-Concelles ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 33.
  15. Institut du Galo, « Liste des communes de Haute-Bretagne ».
  16. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  17. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  18. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
  19. Roger Hérisset, La vannerie en Bretagne : nouvelle approche de l'ethnologie de la vannerie et contribution à l'étude des composantes culturelles, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 408 p. (ISBN 978-2-7535-3531-2).
  20. Gaston de la Barre, Questions commerciales sur l'osier et la vannerie, .
  21. Eugène Leroux, Encyclopédie de l'osièriculture, .
  22. « M. Frédéric Praud est élu maire à l'unanimité », Ouest-France,‎
  23. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Julien-de-Concelles (44169) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  30. Notice no PA00108806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Gentilhommière de la Meslerie », notice no PA00108807, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Jumelage Loire-Divatte » (consulté le )