Le Leslay

commune française du département des Côtes-d'Armor

Le Leslay [lə lɛlɛ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Le Leslay
Le Leslay
Le château de Beaumanoir.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Stéphane Ollivier
2020-2026
Code postal 22800
Code commune 22126
Démographie
Gentilé Leslayen, Leslayenne
Population
municipale
155 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 47″ nord, 2° 57′ 56″ ouest
Altitude 205 m
Min. 189 m
Max. 254 m
Superficie 5,01 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Plélo
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Géographie

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Situation

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Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Le Leslay se trouve à 23 km au sud-ouest de Saint-Brieuc, la préfecture du département.

La paroisse fait partie du territoire breton traditionnel Fañch.

Communes limitrophes du Leslay
Boqueho Cohiniac
Saint-Gildas  
Le Vieux-Bourg Le Fœil

Relief et hydrographie

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Commune de petite superficie, Le Leslay présente un relief assez bosselé ; les points les plus élevés sont au sud-est du territoire communal (248 mètres entre Le Vieux Leslay et la Lande, et même 252 mètres à la pointe sud-sud-est du finage communal) ainsi qu'au sud-ouest (247 mètres à la limite sud de la commune, au sud de Pempoulo) ; le point le plus bas (189 mètres) est à la pointe nord de la commune, dans la vallée du Leff, à l'endroit où ce cours d'eau quitte la commune. Le bourg est vers 206 mètres d'altitude.

 
Carte du réseau hydrographique de Le Leslay.

Le Leff, affluent de rive droite du Trieux, a sa source dans l'est de la commune et alimente l'étang de Beaumanoir, avant de servir un temps de limite communale avec Cohiniac ; le ruisseau de Kermabo est son premier affluent notable et a aussi sa source dans la commune, mais dans sa partie sud-ouest ; il conflue avec le Leff juste à l'endroit où cette rivière quitte la commune.

Deux petits affluents de la Bronce, elle-même affluente du fleuve côtier Gouët, ont leur source dans la partie sud de la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 927 mm, avec 14,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Kerpert à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 088,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Leslay est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,2 %), terres arables (22,3 %), forêts (14,3 %), prairies (7,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Le Leslay et Leleslay en 1496, Le Leslay en 1535[13].

Son nom vient du breton lez (château) et laë ou laez (haut)[14].

Attesté en breton sous la forme al Lec'hlae[15].

Histoire

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Antiquité

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Une voie romaine passait par Rhundault et le Vieux Leslay.

Moyen-Âge

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Le Leslay est issu du démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Pligeaux[16]. Le centre de peuplement initial se trouvait au village du Vieux-Leslay, à 800 mètres au sud du bourg actuel.

En 1496 le village du Leslay dépend du fief de la seigneurie de Beaumanoir[16].

Temps modernes

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Le château de Beaumanoir au début du XXe siècle.

Louis-Guillaume Moreau a décrit le château de Beaumanoir-Eder, construit au XVe siècle par Olive de Beaumanoir, était habité à la fin du XVIe siècle par Guy Éder de la Fontenelle, célèbre brigand et ligueur, dans son livre Le brigand de la Cornouaille[17].

Guy Éder de Lavardin de Beaumanoir, connu sous le nom de La Fontenelle, auteur de pillages et de tueries lors des guerres de Religion, fut condamné par le roi au supplice de la roue et le château de Beaumanoir fut en partie démantelé.

En 1670 Le Leslay possède une église tréviale et un curé y réside[16].

 
Carte de Cassini de Le Vieux-Bourg, Saint-Gildas et Le Leslay (1787).

Le château de Beaumanoir, est reconstruit aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Le Leslay en 1778 : « Le Leslay ; trève du Vieux bourg de Quintin, à 11 lieues à l'Est-Nord-Est de Quimper, son évêché ; à 22 lieues de Rennes et à une lieue de Quintin, sa subdélégation. Elle ressortit à Saint-Brieuc. Le château de Beaumanoir-Eder est situé dans ce territoire (...)[18]. »

Révolution française

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Le Leslay devient une commune en 1790[16].

Le XIXe siècle

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Le Leslay dépend en 1802 (après le Concordat) de la paroisse de Saint-Gildas et ne devient une paroisse indépendante qu'en 1842[19].L'ancienne église du Leslay, construite par les seigneurs de Beaumanoir, était un lieu de pèlerinage assez fréquenté : la dévotion à saint Symphorien, patron de la paroisse, y attirait des pèlerins.

A. Marteville et P. Varin décrivent ainsi Le Leslay en 1843 : « Le Leslay : commune formée de l'ancienne trève du Vieux-Bourg ; aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Kerfouleu, Petit Kermabo, Tré-an-Dault, le Vieux-Leslay, Keriolet, la Lande-Mazurié, la Ville-Colio, Kergomar, Rundault, Penpoulo, Grand Kermabo. Maison remarquable : château de Beaumanoir. Superficie totale : 501 hectares 46 ares, dont (...) terres labourables 297 ha, prés et pêturages 52 ha, bois 24 ha, vergers et jardins 4 ha, landes et incultes 95 ha, étangs 6 ha (...). Moulins : 2 (de Beaumanoir, à eau). (...). Géologie : terrain granitique. On parle le français [en fait le gallo] et le breton[20]. » Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 que la commune du Leslay dispose d'une école mixte ayant 56 élèves, que son territoire « se compose en grande partie de montagnes arides et couvertes de bruyères ; les terres cultivées sont légères et de médiocre qualité », que « l'église du Leslay, dédiée à saint Symphorien est une simple chapelle construite vers 1721 » et que « le château de Beaumanoir a conservé quelques parties du XVe siècle »[21].

L'église paroissiale Saint-Symphorien, œuvre de l'architecte Paul Courcoux[Note 1], est construite en 1896.

Le château de Beaumanoir est restauré entre 1895 et 1905 par l'architecte Auguste Courcoux pour le comte de Saint-Pierre. Charles Singlis y dessine en 1902 le parc à l'anglaise vaste de 25 ha.

Le XXe siècle

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La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts du Leslay porte les noms de 13 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale ; tous sont morts sur le sol français à l'exception de Louis Le Souder, tué à l'ennemi à Fosses (Belgique) le  ; parmi les autres 5 sont morts aussi dès l'année 1914 (Cyr Le Blay, Jean Le Fèvre, Sylvestre Le Liard, Guillaume Mahé et François Quillien) ; Joseph Gicquel est mort après la fin de la guerre, le à l'Hôpital des Invalides à Paris, des suites de ses blessures[22].

La Seconde Guerre mondiale

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Le Leslay n'a eu aucun mort pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; elle n'en a pas eu non plus dans les autres conflits du XXe siècle[22].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Le Breton    
    Le Méhauté    
    Le Corre    
avant 1807 1807 Yves Lanoë    
1807 1813 Louis Teffo    
1813 1815 Anonyme Mazurié[Note 2]   Propriétaire.
1815 mai 1832 Jean Guillaume Hervé[Note 3]   Cultivateur.
1832 1835 Michel Morcel    
1835 1847 Guillaume Jaffray    
1847 1854 Mathurin Hervé    
1854 1871 François Padel[Note 4]   Laboureur.
1871 1897 Jean Hervé[Note 5].    
1897 1919 Jean Charles Le Gal[Note 6]   Cultivateur (fermier).
1919 1937 Henri de Méhérenc de Saint-Pierre[Note 7]   Comte. Émissaire et aide de camp du comte de Chambord dans sa jeunesse.
1938 1947 Antoine de Méhérenc de Saint-Pierre[Note 8]   Fils d'Henri de Méhérenc de Saint-Pierre, maire précédent. Chevalier de la Légion d'honneur. Croix de guerre 1914-1918.
         
         
1974 1988 François Alleno   Agriculteur à Keriotel.
? juin 1995 Annick Gautier    
juin 1995 mars 2008 Jean Hervé   Agriculteur
mars 2008 En cours Stéphane Ollivier PCF Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
277315295350409312351335290
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
283280271270277284268292281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
263259252236222230194196177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
140134128118112113124144158
2021 - - - - - - - -
155--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Monuments religieux

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  • Église paroissiale Saint-Symphorien : l'église actuelle a été construite à la fin du XIXe siècle par l'architecte Courcoux ; elle possède un panneau du XVIe siècle en bois polychrome représentant la conversion de saint Hubert datant du XVIe siècle et une statue de saint Symphorien datant du XVIIe siècle, ainsi que la litre funéraire de l'évêque Guillaume Eder.
  • Plusieurs croix monumentales dont la croix de Rhundault (Moyen-Âge), la croix armoriée du cimetière (1757) et trois croix datant du XVIIIe siècle au bourg, à Kergomar et au Vieux-Leslay.

Château de Beaumanoir

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Le château de Beaumanoir (vue partielle ).

Il s'élève à l'emplacement d'un manoir construit vers 1420 et partiellement démoli par ordre du roi à la fin du XVIe siècle. Reconstruit aux XVIIe et XVIIIe siècles, l'édifice actuel conserve des éléments de l'édifice antérieur. En 1895, il est restauré par le comte de Saint-Pierre dans un style néo-gothique d'après des plans d'Auguste Courcoux[Note 9], architecte de Saint-Brieuc. Le domaine de Beaumanoir s'étendait sur les territoires du Leslay et de Cohiniac. Il a appartenu à la famille Eder jusqu'au début du XIXe siècle, deux chambellans du duc de Bavière, Grawenreuth et de Reingbergen, en étant les derniers héritiers en 1832. Le château et son domaine sont achetés en 1832 par Charles du Merdy, marquis de Catuélan[Note 10], puis son gendre Antoine Espivent de la Villeboisnet (1791-1875), époux de Marie du Merdy de Catuelan, en devint propriétaire. Leur fille Mathilde se maria en 1854 avec le marquis Henri de Méhérenc de Saint-Pierre[Note 11].

Une allée de hêtres de 1,5 km conduit à la cour d'honneur du château. Cette demeure a été transformée au XIXe siècle en application des techniques et des principes d'hygiène les plus novateurs de l'époque (eau courante, électricité, chauffage central). Le château, les communs et le parc constituent l'exemple, rare en France, d'un domaine complet de style victorien, tel que les riches familles férues de progrès le concevaient à la fin des années 1800 en Grande-Bretagne. Les salons, ouverts au public, restituent l'ambiance quotidienne de la vie familiale à travers un mobilier du XVIIIe et XIXe siècles et une collection d'art moderne. Chaque année des œuvres d'artistes contemporains connus viennent renouveler l'intérêt de la visite. À la fin du XIXe siècle le château est possédé par la famille de Méhérenc de Saint-Pierre.

Le château, ses communs et le parc sont un site inscrit aux monuments historiques depuis le .

Le château et son parc servirent de décor[25] :

L'oligarque russe Eduard Kitsenko, qui en est devenu propriétaire a été condamné en 2023 par la justice française pour « blanchiment de fraude fiscale et importation illégale de bijoux » (il est propriétaire de bijouteries à Paris et Courchevel) ; le domaine de Beaumanoir, qu'il avait acheté 3 millions d'euros, lui a été confisqué[27] ; mais l'oligarque a fait appel, ce qui suspend la décision de justice.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Paul Jean François Courcoux (1839-1912) architecte à Lannion.
  2. Anonyme Mazurié, né le au château de Beaumanoir en Le Leslay, décédé le à la Lande en Le Leslay.
  3. Jean Guillaume Hervé , né le au Vieux-Bourg, décédé le à Le Leslay.
  4. François Marie Padel, né le à Boqueho, décédé le au Vieux-Bourg.
  5. Jean François Hervé, né le à Le Leslay, décédé le à Le Leslay.
  6. Jean Charles Le Gal, né le à la Villeneuve Berthelot en Le Fœil, décédé le à Rhundault en Le Leslay.
  7. Henri de Méhérenc de Saint-Pierre, né le au Bois-de-la-Salle en Pléguien, décédé le à Le Leslay.
  8. Antoine de Méhérenc de Saint-Pierre, né le Saint-Brieuc, décédé le à Le Leslay.
  9. Auguste Courcoux, né le à Lannion, décédé le à Paris.
  10. Charles Thérèse du Merdy, marquis de Catuélan, né le à Rennes, décédé en 1842, domicilié à Hénon en 1806.
  11. Henri de Méhérenc de Saint-Pierre, né le , décédé le à Plouagat.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Le Leslay et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Kerpert » (commune de Kerpert) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Kerpert » (commune de Kerpert) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Le Leslay ».
  15. (br) Marcel Le Clerc, « Anvoù-lec'hioù Breizh-Uhel », Al Liam,‎ , p. 51
  16. a b c et d « Étymologie et histoire de Le Leslay », sur infobretagne.com (consulté le ).
  17. Louis-Guillaume Moreau, Le brigand de la Cornouaille, vol. tome 1, Paris, A. de Vresse, (lire en ligne), page 17 et suivantes.
  18. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 386-387.
  19. François-Marie-Guillaume Habasque, Annuaire des Côtes-du-Nord, Saint-Brieuc, Guyon, (lire en ligne), page 172.
  20. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 485.
  21. a et b Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, Saint-Brieuc, Guyon frères, (lire en ligne), pages 263-264.
  22. a et b « Le Leslay. Monument aux Morts (Relevé n° 3953) », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. en ligne sur Imdb
  26. « Château de Beaumanoir », en ligne sur www.jedecouvrelafrance.com
  27. CB (PressPepper), « Au Leslay, le château de cet oligarque russe confisqué par la justice », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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