Lafraye
Lafraye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Lafraye | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CA du Beauvaisis | ||||
Maire Mandat |
Marie-Claude Devillers 2020-2026 |
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Code postal | 60510 | ||||
Code commune | 60339 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
354 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 45″ nord, 2° 12′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 123 m Max. 151 m |
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Superficie | 5,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mouy | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://lafraye.fr/ | ||||
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Géographie
modifierDescription
modifierLafraye est un village périurbain picard du Beauvaisis situé à 12 km à vol d'oiseau au nord-est de Beauvais, 8 km au sud de Froissy, 16 km à l'ouest de Saint-Just-en-Chaussée et 20 km au nord-ouest de Clermont.
Louis Graves indique en 1830 que « Lafraye est un petit village aggloméré, entouré d'arbres, presque totalement couvert en chaume, à rues tortueuses et étroites, dans lesquelles règnent une humidité et par conséquent une saleté continuelle. Il est à-peu-près placé au centre du.territoire de la commune[1] ».
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Haudivillers, Oroër, Reuil-sur-Brêche et Velennes.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lafraye est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,1 %), zones urbanisées (5 %), forêts (1,9 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 153, alors qu'il était de 144 en 2015 et de 134 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 93,5 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lafraye en 2020 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,6 % en 2015), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Lafraye[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 93,5 | 90,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,3 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,2 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
modifierLe village, aisément accessible par l'ancienne route nationale 38 (actuelle RD 938), est situé au croisement des routes départementales RD 34 (Bresles-Froissy) et RD 9 (Crèvecœur-le-Grand-La Neuville-en-Hez).
La commune est desservie, en 2023, par des lignes scolaires et le service de transport à la demande Corolis à la demande - Zone Centre du réseau Corolis et par la ligne 619 du réseau interurbain de l'Oise[13].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Laffreges (1157) ; Fraia (1182) ; Lefraie (1225) ; Fraya (1230) ; Wilardum de fraya (1267-68) ; de Fraia (XIIIe siècle) ; la Fraie (1373) ; le Fraie (XIVe siècle) ; le fraye (vers 1530) ; la Fraye (XIVe siècle) ; Lafraye (1840)[14].
Du latin fricare « frayer » (pour un chemin), « défriher » (pour une route). Le village se trouve sur l'ancienne voie romaine de Beauvais à Montdidier par Ansauvillers. Il s'agit donc de la « chaussée frayée »[15].
Histoire
modifierAncien Régime
modifierL'église n'était qu'un vicariat relevant de la paroisse d'Audivillers et dont la désignation du desservant était faite par le chapitre cathédral de Beauvais[1].
Époque contemporaine
modifierEn 1818, la commune dispose d'une école qui scolarisait 22 élèves[16].
En 1830, les habitants étaient essentiellement des ouvriers maçons ou charpentiers employés à Beauvais[1].
L'école est reconstruite en 1871, en réutilisant son mobilier qui datait de 1844[16].
Durant la Seconde Guerre mondiale, le clocher de l'église est en partie détruit par un obus[17].
L'école, jusqu'alors à classe unique, intègre le regroupement intercommunal en 1977 et est agrandie en 1989[16].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nivillers[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Mouy
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
modifierLa commune faisait partie de la communauté de communes Rurales du Beauvaisis (CCRB), créée le .
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[19], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté d'agglomération du Beauvaisis et de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, de manière à créer un nouvel EPCI rassemblant 44 communes pour 93 341 habitants[20]. Malgré les réticences du président de la CCRB[21], le schéma est entériné[22],[23].
La fusion prend effet le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Beauvaisis (CAB).
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierEnseignement
modifierLes enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Fouquerolles et de Haudivillers dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Lafraye accueille une classe de CM1-CM2[28].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2021, la commune comptait 354 habitants[Note 4], en évolution de −5,09 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 192 hommes pour 175 femmes, soit un taux de 52,32 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Nicolas, bâtie en 1298, est un bâtiment carré, précédé par un porche et terminé par un chœur polygonal, qui a été remaniée depuis sa construction et ne conserve qu'une seule croisée à ogive, obturée. Le clocher, édifié sur le chœur, comprend une longue flèche en charpente dont la première toiture en ardoises est réalisée en 1852
L'église détient des reliques d'un Saint-Constance, martyr, qui proviennent de Rome, et est remarquable par son retable inspiré de l'école flamande en bois peint du XVIe siècle réalisé de 1570 à 1572 par Nicolas Le Prince, sculpteur et Thomas Le Pot, peintre. Il représente la passion et la vie de Jésus[17]
La restauration de l'église après les destructions dues à une tempête en 1992 s'achève en 2019[34].
- Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Lafraye (60339) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- « Lafraye » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La salle communale porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Lafraye » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Lafraye ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Lafraye » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lafraye - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lafraye - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Nivillers, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 132 p. (lire en ligne), p. 59, sur Google Livres.
- « Fiche communale de Lafraye », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lafraye et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Lafraye », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 296.
- Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 125.
- « L'école », Notre commune, sur lafraye.fr (consulté le ).
- « L'Église St Nicolas », Notre commune, sur lafraye.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « Communauté de communes rurales du Beauvaisis : vers un mariage forcé ? : Le préfet et la commission départementale ont choisi de rattacher la CCRB à la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis », L'Observateur de Beauvais, no 926, , p. 14 « A priori, le préfet et la commission départementale ont choisi de la rattacher à la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis. Ce qui n'est pas forcément du goût de Jean-François Dufour, son président (PS), furieux de perdre son indépendance pour si peu. Peu pressé, semble-til, d'effectuer ce mariage forcé, il a cependant pris quelques contacts, notamment avec la communauté voisine du Clermontois, à la surprise de quelques élus de la CCRB qui pensent que le bassin de vie breslois se tourne plus naturellement vers le Beauvaisis. «J'ai eu la surprise d'apprendre que le Clermontois réfléchissait à un rapprochement avec… la Communauté d'Agglomération du Beauvaisis» a-t-il déclaré ».
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- Patrick Caffin, « Beauvaisis : une fusion qui manque de dynamisme mais qui se prépare », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « C'est dommage que le préfet n'ait pas été plus dynamique pour mettre la pression afin que davantage de communes fusionnent. Il y en a 8 autour de Crèvecœur-le-Grand qui sont candidates pour nous rejoindre. Nous estimons que pour exister et résister en termes de projets dans la nouvelle grande région, il faut atteindre au minimum 100 000 habitants. Avec ces communes, nous les aurions. Avec la CCRB, nous y sommes presque (NDLR : 93 000 habitants). » Mais ce ne sera que partie remise puisqu'après 2017, les communes pourront faire acte de candidature pour rallier l'entité qu'elles souhaiteront ».
- « L'ancien maire est décédé », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3436, , p. 17 « Il était resté au poste de premier magistrat de 1989 à 2008, mais était entré au conseil municipal dès 1957 ».
- Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Lafraye », Cartes de France (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Le regroupement scolaire », Vie pratique, sur lafraye.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lafraye (60339) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Ivan Capecchi, « Lafraye : l'église restaurée, après 27 ans de travaux ! : C'est avec un plaisir non dissimulé que les habitants ont inauguré, samedi, la fin des travaux de rénovation de l'église Saint-Nicolas », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Les travaux, d'un montant global de 203 140 €, ont également permis de restaurer le retable de l'église, véritable joyau patrimonial ».