La Croisette
La Croisette est une voie de Cannes, constituée du boulevard et de la promenade du même nom qui longe les plages de sable blanc face à la baie de Cannes. Bordée de nombreux hôtels, commerces de luxe et résidences de villégiature, c'est un haut lieu de l'événementiel et du tourisme sur la Côte d'Azur, dont l'histoire commence avec l'expansion de la ville au XIXe siècle.
La Croisette | |||||
La Croisette et le Carlton. | |||||
Situation | |||||
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Coordonnées | 43° 33′ 05″ nord, 7° 01′ 03″ est | ||||
Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d'Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Ville | Cannes | ||||
Quartier(s) | Centre-Croisette Pointe Croisette |
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Début | Promenade de la Pantiero | ||||
Fin | Place Franklin-Roosevelt | ||||
Morphologie | |||||
Type | Boulevard, promenade | ||||
Longueur | 2,650 km | ||||
Histoire | |||||
Monuments | Palaces et palais | ||||
Géolocalisation sur la carte : Cannes
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : France
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Origine du nom
modifierLe nom vient de la croix érigée par les gens de mer, dont le socle ruiné était encore visible à la fin du siècle dernier. En 1369, le cap porte le nom "de la croix". C'est au milieu du XVIIe siècle que l'habitude est prise d'appeler "Croisette" la partie extrême du cap[1].
Situation et accès
modifierLa Croisette est située au sud de la commune française de Cannes dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur[2].
Le boulevard
modifierLe boulevard[3], d'une longueur de 2,650 km[4], commence dans le quartier Centre-Croisette à la suite du boulevard de la Pantiero[5] et se termine Place Franklin-Roosevelt dans le quartier de la Pointe Croisette[6].
Le début du boulevard est bordé par la place du Général-de-Gaulle[7] et le square Mérimée[8]. La suite du boulevard est bordée par des édifices remarquables chargés d'histoire et de nombreuses boutiques de luxe[2].
Sur la droite, débouche la jetée Albert-Edouard[9] qui longe le Vieux-Port dans le quartier Centre-ville - Croisette. À l'opposé, les quais du port Pierre-Canto débouchent sur le boulevard dans le quartier Pointe Croisette.
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Fontaine de la place du Général-de-Gaulle
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La Reprise du vainqueur, Arthur Le Duc, square Mérimée
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Stèle à Virginie Hériot, jetée Albert-Edouard
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Angle rue Buttura
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Angle rue des Serbes
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Angle rue Macé
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Angle quais du port Pierre-Canto
Le boulevard est bordé, côté mer, par une piste cyclable et un large trottoir qui constitue la promenade du même nom longeant la baie de Cannes.
La promenade
modifierLa promenade[10] est agrémentée, côté boulevard, de parterres de fleurs, de plantes et d'arbres ombrageant les aires de stationnement aménagées le long du boulevard et du terre-plein central, également complanté, séparant les voies de circulation automobile. Côté mer, elle est dotée de kiosques, de bancs, de chaises, d'arbres, mais aussi de quatre échiquiers[11] installés à demeure sur des tables face à la Malmaison. Elle fait suite à la promenade de la jetée Albert-Edouard qui rejoint la promenade Robert-Favre Le Bret[12] à l'arrière du palais des festivals et des congrès et à l'esplanade Georges-Pompidou[13], face à l'auditorium Louis-Lumière du Palais, suivie par le square Reynaldo-Hahn[14] accueillant le jardin d'enfants et le carrousel. Elle se poursuit jusqu'à la Pointe Croisette en longeant la roseraie du square du Huit-Mai-1945[15], le port Pierre-Canto, le square de Verdun[16] et le port de la Pointe Croisette.
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Monument à Georges Pompidou.
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Monument à Christian X.
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Monument à Edouard VII.
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Fontaine.
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Carrousel.
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Les chaises Bleues sur la promenade face au Carlton.
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La promenade entre plage et boulevard.
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Lumière rouge projetée au sol par des projecteurs le long de la rambarde.
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Roseraie.
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Promenade côté boulevard.
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Massif, pergolas et monument au Général de Gaulle.
Un mur de soutènement vertical sépare la promenade de la plage qui reste accessible par des escaliers ou des rampes. Un garde-fou protège la promenade, sous la forme d'un large parapet utilisé comme banquette et équipé d'un dispositif d'éclairage à LED de couleur rouge.
Les plages
modifierLes plages publiques s'étendent en contrebas de la promenade tout au long de la baie, depuis celle du Palais des Festivals jusqu'à Bijou-Plage et son handiplage, en passant par la plage Macé, sur laquelle sont organisées tous les soirs pendant le Festival de Cannes les séances en plein air du Cinéma de la Plage ouvertes au public, et la plage en régie municipale Zamenhof. Elles alternent avec les plages privées qui occupent l'espace réservé aux grands hôtels[17]. Elles sont équipées de douches et constituées de sable blanc. Elles sont périodiquement « engraissées » par un apport de sable puisé dans des gisements au large de la baie ou par du sable de carrière et re-profilées[18]. Elles ont été récemment élargies de 20 à 40 mètres[19].
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Escalier et rampe d'accès à la place publique Macé.
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Plage en régie municipale Zamenhof.
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Nouvelle configuration des plages privées aux structures démontables.
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Travaux d'« engraissement » en 2018.
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Le boulevard se prolongeant sur la Pointe Croisette.
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Le boulevard et les plages depuis l'est.
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Le boulevard côté ville
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Le boulevard côté mer
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La Croisette de nuit en été
Origine du nom
modifierSelon la tradition, le nom de la Croisette serait dû à la présence d'une petite croix placée à la pointe du cap, que les Cannois vénéraient et auprès de laquelle les confréries de pénitents se rendaient en procession[20].
Historique
modifierAu Moyen Âge, une tour circulaire y a été construite permettant de surveiller l'approche de navires suspects et de donner l'alerte.
En 1635, la France de Louis XIII déclara la guerre à l'empereur Ferdinand II et à son allié le roi d'Espagne Philippe IV. Un fort fut construit, le fort Croisette ou fort de la Croix. Le , une flotte espagnole de vingt-deux galères et cinq vaisseaux se présenta en rade de Cannes. Elle attaqua le Fort royal de l'île Sainte-Marguerite qui, faiblement défendu, dut capituler. Le lendemain, elle attaqua le fort Croisette qui résista. La reprise du fort Sainte-Marguerite par les troupes françaises ne commença que lorsqu'une flotte française commandée par le comte d'Harcourt se présenta devant le fort le . La prise des deux îles de Lérins fut effective le [21]. De cette époque datait un chemin reliant Cannes, à partir de la rue Grande, au cap Croisette. Au début du XIXe siècle il n'en restait plus trace. Des dunes de sable l'avaient recouvert[22].
En 1853, Marius Barbe, maire de Cannes, demande à l'État la concession de la bande littorale pour y aménager une promenade. En 1856, les 26 propriétaires riverains, jusqu'alors opposés au projet, décident de construire un chemin de 5 m de largeur, du ruisseau de la Foux à la pointe Croisette, en prenant à leur charge les 5/6 des frais. Un arrêté préfectoral autorise les travaux le . Le conseil municipal vote le projet le . Le chemin est classé chemin vicinal en 1860. La voie carrossable est livrée le . Ces aménagements permettent la construction en 1864 de l'Hôtel Gonnet, du Grand Hôtel, du Cercle nautique et d'une quinzaine de villas.
Par délibération municipale du , la Croisette prend le nom de boulevard de l'Impératrice[23]. Après la Seconde Guerre mondiale, la plupart des grands établissements sont reconstruits. Le Cercle nautique est remplacé par le Palais Croisette, palais des Festivals de 1949 à 1982.
Entre 1960 et 1963, le maire de Cannes, Bernard Cornut-Gentille, réalise de grands travaux d'élargissement du boulevard avec des encorbellements au-dessus de la plage pour protéger la chaussée, puis l'engraissement en sable de la plage qui ont donné l'aspect de la promenade telle qu'on la connaît jusqu'en 2018[24],[25].
Aménagements et travaux
modifierAménagée sur l'ancien chemin littoral appelé « chemin de la petite croix », elle est connue dans le monde entier grâce au Festival international du Film et au Palais des festivals et des congrès dont les célèbres marches, couvertes d'un tapis rouge[26], descendent jusqu'au départ de la promenade. La plupart des grands hôtels sont situ��s sur le boulevard de la Croisette, ainsi que les agences immobilières et les boutiques de grandes marques (joaillerie, mode, etc) au pied de luxueux ensembles résidentiels[27],[28],[29].
Dans le cadre du projet « La Croisette réinvente sa légende »[30], de grands travaux d'agrandissement des plages ont été entrepris d'octobre 2017 à avril 2018 (phase 1) afin de gagner une bande de 40 mètres de large sur la mer sans impact négatif sur le littoral. La superficie totale de la plage est ainsi passée de 6 000 à 12 000 m2[31]. De septembre 2018 à mars 2020 (phase 2), des travaux de mise en valeur du boulevard de la Croisette ont été entrepris entre le Palais des Festivals et l'hôtel Martinez : renouveau des établissements privés, harmonisation de la physionomie de la plage[32],[33]. La troisième et dernière tranche des travaux (phase 3) s'étendra de février 2022 à décembre 2025 et comprendra[34] :
- de février 2022 à décembre 2023 : reprise complète des réseaux souterrains (eau potable, eaux pluviales, etc.) ;
- de janvier 2024 à décembre 2025 : requalification, embellissement et sécurisation du boulevard (Promenade plus spacieuse, mieux végétalisée et habillée d'un revêtement plus noble et esthétique, chaussées et traverses piétonnes sécurisées, nouveau mobilier urbain, renforcement de l'éclairage et de la videoprotection, aménagement d'une piste cyclable, amélioration de la desserte des transports en commun).
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
modifierLe front de mer dit boulevard de la Croisette est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel au titre du recensement du patrimoine balnéaire de Cannes[35]. La même étude recense les lieux et édifices qui ont fait l'histoire de la Croisette[36] :
Espaces verts
modifier- Jardin d'agrément de la villa la Corne d'or (disparu), 100 boulevard de la Croisette[37]
- Jardin des Hespérides (disparu), 104 boulevard de la Croisette[38]
Monuments
modifier- Monument au Général de Gaulle, square du Huit-Mai-1945[39]
- Monument à Albert Ier roi des Belges, square du Huit-Mai-1945[40]
Édifices publics
modifier- Casino municipal (détruit) puis Palais des festivals et des congrès, 1 boulevard de la Croisette[41]
- La Malmaison, 47 boulevard de la Croisette[42]
- Cercle nautique (détruit), 49, 50 boulevard de la Croisette[43]
- Palais Croisette (détruit), 48 à 51 boulevard de la Croisette[44]
- Bains de la Croisette (détruits), face au 50 boulevard de la Croisette[45]
Résidences
modifier- Villa Bagatelle (restaurée), 25 boulevard de la Croisette[46]
- Villa des Fleurs (restauré), 31 boulevard de la Croisette[47]
- Villa Bernard (restaurée), 35 boulevard de la Croisette[48]
- Villa Royale (restaurée), 40 boulevard de la Croisette[49]
- Villa Saint-Michel (détruite), 55 boulevard de la Croisette[50]
- Villa Rose-Marie (détruite), 56 boulevard de la Croisette[51]
- Résidence Le Drap d'Or (restaurée), 61 boulevard de la Croisette[52]
- Villas Félicia et Lérina (détruites), 62-63 boulevard de la Croisette[53]
- Villa des Bambous (détruit), 65 boulevard de la Croisette[54]
- Résidence Miramar (restaurée), 65 boulevard de la Croisette[55]
- Résidence Henri IV (restaurée), 74 boulevard de la Croisette[56]
- Villa Eldé (détruite), 75 boulevard de la Croisette[57]
- Le Régent, 80 boulevard de la Croisette[58]
- Résidence Croisette, 81 boulevard de la Croisette[59]
- Villa Trianette (restauré), 88 boulevard de la Croisette[60]
- Villa des Dunes (détruite), 90-92 boulevard de la Croisette[61]
- Palais des Dunes, 90-92 boulevard de la Croisette[62]
- Palais Faustina, 95 boulevard de la Croisette[63]
- L'Age d'Or, 96 boulevard de la Croisette[64]
- Le Beach, 118, 119 boulevard de la Croisette et 76, 78 avenue de Lérins[65]
- La Corne d'Or (restauré), 100 boulevard de la Croisette[66]
- Le Marly, 104 boulevard de la Croisette[67]
- Résidence Le Romance, 122 à 124 boulevard de la Croisette[68]
- La Médicis (détruite), 127, 128 boulevard de la Croisette[69]
Hôtels et commerces
modifier- Agence Paris-Lyon-Méditerranée et Wagons-Lits Cook, 2 boulevard de la Croisette[70]
- Café de Paris, 7 boulevard de la Croisette et 18, 20 rue des Belges[71]
- Hôtel Beau Rivage (détruit), 10 boulevard de la Croisette[72]
- Hôtel Majestic (restauré), 10 boulevard de la Croisette[73]
- Galeries Fleuries (détruites), 12 boulevard de la Croisette[74]
- Hôtel Gray d'Albion, 12-18 boulevard de la Croisette, 62 rue d'Antibes[75]
- Les Arcades de la Croisette, 37, 38 boulevard de la Croisette, 32 rue du Commandant-André[76]
- Hôtel Gonnet et de la Reine (détruit), 42 boulevard de la Croisette[77]
- Le Grand Hôtel (détruit, restauré), 45, 47 boulevard de la Croisette[78]
- Établissement de bains du Grand Hôtel (détruit), face au 45, 47 boulevard de la Croisette[79]
- Boutiques Mary et Suzanne (détruit), 52 boulevard de la Croisette[80]
- Hôtel de la Plage (détruit), 58 boulevard de la Croisette[81]
- Hôtel Carlton Inscrit MH (1984, 1989, partiellement), 58 boulevard de la Croisette[82],[83]
- Hôtel Bleu Rivage, 59, 60 boulevard de la Croisette[84]
- Hôtel Martinez, 73 boulevard de la Croisette[85]
- Magasin de commerce et d'exposition des automobiles Citroën (détruit) 82 boulevard de la Croisette[86]
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Hôtel Majestic, 10 boulevard de la Croisette.
-
Le Grand Hôtel, 45, 47 boulevard de la Croisette.
-
Hôtel Carlton, 58 boulevard de la Croisette.
Notes et références
modifier- Patricia Namvrine, La naissance du boulevard de la Croisette, Faculté des Lettres de Nice, 19 p. (lire en ligne [PDF])
- Pierre Ipert, 2002, p. 116-127.
- « Boulevard de la Croisette », sur archives.cannes.com
- Pierre Ipert, 2002, p. 117.
- Pierre Ipert, 2002, p. 136.
- Pierre Ipert, 2002, p. 97.
- Pierre Ipert, 2002, p. 70.
- « Square Mérimée », sur archives.cannes.com
- Pierre Ipert, 2002, p. 50.
- « Promenade de la Croisette », sur archives.cannes.com
- « Cannes : quatre échiquiers sont désormais installés sur la Croisette », Nice-Matin, (lire en ligne)
- Pierre Ipert, 2002, p. 63.
- Pierre Ipert, 2002, p. 77.
- Pierre Ipert, 2002, p. 176.
- Pierre Ipert, 2002, p. 177.
- Pierre Ipert, 2002, p. 221.
- « Les plages à Cannes », sur cannes-destination.fr
- « Du sable en plus pour toutes les plages cannoises », sur cannes.maville.com,
- « Cannes, Antibes, Vallauris... Les chères plages de la Côte d'Azur peuvent-elle résister à l'érosion ? », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
- Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias, Cannes 2012, Petit Futé, , 7– (ISBN 978-2-7469-5512-7, lire en ligne)
- Abbé Alliez, Les Iles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, Veritas p. 150, Paris, 1860
- Pierre Ipert, Cannes et ses rues, p. 117, Éditions Giletta, Nice, 2006 (ISBN 2-903574-75-8)
- « Cannes : pourquoi la Croisette s'appelle-t-elle ainsi ? », sur marieclaire.fr,
- « Cannes 2018 : connaissez-vous l'histoire de la Croisette », sur lefigaro.fr,
- Patricia Namvrine, La naissance du boulevard de la Croisette, Mémoire
- « Ces icônes qui ont foulé le tapis rouge du Festival de Cannes », sur ww .marieclaire.fr,
- « La Croisette », sur cannes-destination.fr,
- « Cannes : la Croisette s'offre un grand lifting », sur lesechos.fr,
- « Événements Cannes », sur cannes-destination.fr (consulté le )
- « Cannes va transformer la Croisette dès la semaine prochaine », sur nicematin.com,
- « David Lisnard : Nous avons doublé la superficie de la plage de la Croisette », sur lefigaro.fr,
- « A Cannes, la Croisette est en plein travaux », sur france3-regions.francetvinfo.fr,
- « Du trottoir jusqu'aux pieds des palaces...à Cannes, la Croisette va connaître une métamorphose d'ici à 2024 », sur nicematin.com,
- « Croisette : la municipalité lance la troisième et dernière étape de ce chantier majeur »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cannes.com,
- « Front de mer dit boulevard de la Croisette », notice no IA06000593, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Recensement du patrimoine balnéaire sur la Croisette à Cannes », sur pop.culture.gouv.fr
- « Jardin d'agrément de la villa Marina, puis de la villa la Corne d'or », notice no IA06000730, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Verger, jardin d'agrément des Hespérides », notice no IA06000175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Monument au Général de Gaulle », notice no IA06000088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Monument à Albert 1er roi des Belges », notice no IA06001098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Casino municipal, palais des congrès dit Palais des Festivals », notice no IA06000111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa du Grand Hôtel, actuellement La Malmaison », notice no IA06000671, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cercle Nautique », notice no IA06000112, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cinéma dit Palais des Festivals, puis Palais Croisette », notice no IA06000725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Établissement de bains dit Bains Botin, puis Bains de la Croisette », notice no IA06000586, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Bagatelle ; immeuble », notice no IA06000166, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Saint-Dominique, puis villa des Fleurs, immeuble », notice no IA06000718, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Bernard ; immeuble », notice no IA06000167, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa des Quatre Saisons, puis Hôtel New Royal ou Royal Hotel, puis immeuble dit Résidence Villa Royale », notice no IA06000702, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Lehoult, puis Saint-Michel », notice no IA06000653, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Rose-Marie », notice no IA06000762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Saint-Hubert, puis Résidence Le Drap d'Or », notice no IA06000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villas Félicia et Lérina », notice no IA06000169, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa des Bambous », notice no IA06000170, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Miramar, actuellement Résidence Miramar », notice no IA06000726, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Bellombre, puis Henri IV, actuellement immeuble dit Résidence Henri IV », notice no IA06000395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Henri, puis Campbell, puis Eldé », notice no IA06000171, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa du Repos, puis villa Sainte-Geneviève, puis villa Samothrace ; immeuble dit Le Régent », notice no IA06000396, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Palais Samothrace, actuellement immeuble dit Résidence Croisette », notice no IA06000397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Trianette », notice no IA06000172, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa des Dunes et chalet des Dunes ou chalet Suzie », notice no IA06000173, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble dit Palais des Dunes », notice no IA06000727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
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- « Immeuble dit L'Age d'Or », notice no IA06000398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble dit Le Beach », notice no IA06000400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Villa Marina, puis la Corne d'or ; immeuble la Corne d'Or », notice no IA06000174, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble dit Le Marly », notice no IA06000399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble dit Résidence Le Romance », notice no IA06000401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite La Médicis », notice no IA06000624, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble dit Agence Paris-Lyon-Méditerranée et Wagons-Lits Cook », notice no IA06000550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Edouard VII et Brasserie de Genève, puis restaurant du Café de Paris », notice no IA06000614, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Beau Rivage », notice no IA06000480, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Majestic », notice no IA06000712, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Galerie marchande dite Galeries Fleuries », notice no IA06000704, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Gray et d'Albion, actuellement immeuble Le Gray d'Albion », notice no IA06000474, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Immeuble et galerie marchande dite Les Arcades de la Croisette », notice no IA06000551, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Gonnet et de la Reine », notice no IA06000481, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Le Grand Hôtel », notice no IA06000482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Établissement de bains du Grand Hôtel », notice no IA06000672, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Salon de thé dit Confiserie Schulze-Rumpelmayer, puis édifice commercial abritant les boutiques Mary et Suzanne », notice no IA06000616, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel de la Plage », notice no IA06000483, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Carlton Hotel », notice no IA06000713, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel Carlton », notice no PA00080929, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Husson, puis Saint-Georges, actuellement Hôtel Bleu Rivage », notice no IA06000578, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Martinez », notice no IA06000484, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite villa Clémence, puis Venezia, puis magasin de commerce et d'exposition des automobiles Citroën », notice no IA06000549, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Pierre Ipert, Cannes et ses rues, Nice, Giletta, , 239 p. (ISBN 2-903574-75-8) « Bibliothèque numérique patrimoniale de Nice : Cannes et ses rues / Pierre Ipert : se procurer le document », sur nicea-bmvr.nice.fr
Articles connexes
modifier- Cannes
- Liste des voies de Cannes
- Liste des quartiers de Cannes
- Baie de Cannes
- Route du bord de mer (Alpes-Maritimes)
Liens externes
modifier
- Ressource relative à l'architecture :
- Patricia Namvrine, « La naissance du boulevard de la Croisette », sur département06.fr
- Patricia Namvrine, « L'essor de la Croisette (1870-1914) », sur departement06.fr
- « La Croisette, artère mythique », sur expos-historiques.cannes.com
- « Boulevard de la Croisette », sur archives.cannes.com
- « Promenade de la Croisette », sur archives.cannes.com
- Archives municipales : Les origines du boulevard de la Croisette
- « Front de mer dit boulevard de la Croisette », notice no IA06000593, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture