Kembs

commune française du département du Haut-Rhin

Kembs [kɛms] Écouter est une commune française située dans le département du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Kembs
Kembs
La mairie.
Blason de Kembs
Blason
Kembs
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Saint-Louis Agglomération
Maire
Mandat
Joël Roudaire
2020-2026
Code postal 68680
Code commune 68163
Démographie
Gentilé Kembsois
Population
municipale
5 643 hab. (2021 en évolution de +10,52 % par rapport à 2015)
Densité 343 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 23″ nord, 7° 30′ 16″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 255 m
Superficie 16,45 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Kembs
(ville-centre)
Aire d'attraction Bale - Saint-Louis (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brunstatt-Didenheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Kembs
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Kembs
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Kembs
Liens
Site web http://www.kembs.fr/

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

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La commune est située entre le Rhin à l'est et la forêt de la Hardt à l'ouest, à cheval sur la basse terrasse rhénane et la basse plaine. Elle est marquée par un talus d'un vingtaine de mètres de haut endiguant le grand canal d'Alsace[1].

Outre le bourg, la commune comprend des hameaux tels que Loechlé, Richardshaeuser ou Schaeferhof issus de l'ancienne commune de Neuweg supprimée en 1830.

Environnement et hydrographie

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Dans le cadre de la prolongation de la concession du barrage, de l'écluse et de la centrale principale en 2010 (concession désormais renouvelée jusqu'en 2035), EDF s'est engagé à mettre en œuvre plusieurs mesures compensatoires. Ceci a permis une opération de renaturation sur environ 100 hectares de l’île du Rhin, avec remise en eau d'un ancien bras du Rhin dit « le vieux Rhin »[2] ainsi que la construction d'une centrale de restitution de 8,4 MW dite Centrale K et inaugurée à l'automne 2016[3].

Environ 60 millions d’euros et plus de cinq ans de chantier ont permis un inventaire de la biodiversité, le déplacement de plus de 380 000 m3 de déblais, la plantation de 150 000 plants, dans la réserve naturelle de la petite Camargue alsacienne ainsi que la construction de la nouvelle centrale[2].

Dans ce cadre, le débit réservé au Vieux Rhin est passé de 20 m3/s à 52 m3/s en hiver et jusqu’à 150 m3/s en été. Les apports naturels de graviers dans le Rhin se font à nouveau via une « érosion maîtrisée des berges complétée d'une injection de matériaux graveleux dans le Rhin » et la trame verte et bleue bénéficie là de deux passes à poissons, nouvelles, ainsi que d'une « passe à castors »[2].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Kembs
Niffer Le Rhin
Dietwiller   Efringen-Kirchen
(  Allemagne)
Sierentz Rosenau Le Rhin

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Grand canal d'Alsace, le Rhin, le canal de Neuf-Brisach, le ruisseau l'Augraben et le ruisseau de Rosenau[4],[5],[Carte 1].

Le Grand canal d'Alsace, d'une longueur de 93 km, prend sa source dans la commune de Schœnau et se jette dans le Rhin à Erstein, après avoir traversé 31 communes[6].

Le Rhin, long de 1 233 km est le plus long fleuve se déversant dans la mer du Nord et de l'une des voies navigables les plus fréquentées du monde. Il traverse la Suisse, l'Autriche, l'Allemagne et les Pays-Bas et marque la frontière entre l'Allemagne et la France[7].

Le canal de Neuf-Brisach, d'une longueur de 35 km, est un canal, chenal non navigable qui relie la commune de Biesheim à Kunheim, où il se jette dans le canal du Rhône au Rhin[8].

L'Augraben, d'une longueur de 23 km, prend sa source dans la commune de Hagenthal-le-Haut et se jette dans le Grand canal d'Alsace sur la commune, après avoir traversé sept communes[9].

 
Réseau hydrographique de Kembs[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[10].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 653 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bâle-Mulhouse », sur la commune de Saint-Louis à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23,5 °C, atteinte le [Note 2],[14],[15].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Kembs est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Kembs[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,6 %), terres arables (26,4 %), zones urbanisées (15,8 %), eaux continentales[Note 6] (9,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Connue depuis l'Antiquité, Kembs est située à l'intersection des antiques voies nord - sud et ouest - est se prolongeant au-delà du Rhin : Cambete figure sur la Table de Peutinger et sur l'Itinéraire d'Antonin. Au Ier siècle, le castel romain devint une résidence impériale puis, au IVe siècle, une forteresse importante. Lors de l'édification du grand canal d'Alsace en 1950, la découverte de vestiges d'une pile de pont en maçonnerie sur le Rhin datant du Ier siècle confirma cette importance[1].

En 2021, une nécropole de l'Antiquité tardive est exhumée dans la commune. Le chantier archéologique dévoile un enclos funéraire mérovingien et plusieurs centaines de tombes alamanes datées du Ve siècle. Identifiés par leurs fibules particulières, propres aux soldats germaniques, plusieurs des défunts de la nécropole de Cambete pourraient avoir appartenu aux forces auxiliaires qui appuyaient les légions romaines dans la défense de la frontière du Rhin[24].

Du Moyen Âge à la guerre de Trente Ans, Kembs était partagée entre les deux plus grands propriétaires d'alors : l'évêque et le prieuré Saint-Alban-de-Bâle. La paroisse et l'église ont été citées au XIIe siècle. Le village fut détruit et reconstruit à plusieurs reprises aux XIVe et XVe siècles. Agrandi à partir de 1550, il fut unifié après les destructions de la guerre de Trente Ans[1].

Le XVIIe siècle vit la création d'une liaison postale (en 1680) et l'installation d'une communauté juive.

En 1830, la commune absorba une partie du territoire de l'ancienne commune de la Chaussée ou Neuweg qui comprenait les lieux-dits Schaeferhof, Loechle et Richardshaeuser. Ces annexes avaient été créées sous Louis XIV le long de la voie nord - sud afin de desservir les redoutes et corps de garde construits le long du Rhin à partir de 1677, ouvrages dont il ne reste plus rien aujourd'hui.

Le canal de Huningue fut construit au XIXe siècle et rendu navigable en 1830.

De 1871 à 1918, en vertu du traité de Francfort, la commune est annexée par l'Empire allemand, comme toute l'Alsace-Lorraine, et devient Grosskems. Elle fait partie du Bezirk Oberelsass.

Le XXe siècle vit l'inauguration de l'usine hydroélectrique par le président Albert Lebrun en 1932, la destruction du lieu de culte juif entre 1918 et 1945 et la reconstruction de l'usine hydroélectrique entre 1946 et 1949. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Kembs fut détruite aux deux-tiers[1]. L'usine hydro-électrique fut sérieusement endommagée en 1940 puis en 1944. Le l'usine fut enlevée de haute lutte par des unités de la 9e DIC qui y anéantirent un bataillon ennemi.

Héraldique

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Les armes de Kembs se blasonnent ainsi :
« D'or au fer à cheval, ajourés du champ, accompagné des lettres majuscules G et K en chef, le tout de sable. »[25]

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Alfred Staedelin   Maire provisoire
Eugène Moser[26] Droite  
Aimé Spaeth[27]   Agent EDF retraité, maire honoraire
Vice-président du SIPES des Trois Frontières (1983 → 1989)
Gérard Kielwasser UMP-LR Chef de fabrication retraité
4e vice-président de Saint-Louis Agglomération (2017 → 2020)
[28] En cours
(au 19 janvier 2021)
Joël Roudaire[29] DVD Technicien en génie civil
4e vice-président de Saint-Louis Agglomération (2020 → )

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 5 643 habitants[Note 7], en évolution de +10,52 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7456159091 0481 2691 3491 3181 4811 479
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 3841 3771 3771 1681 1941 2611 2711 2381 154
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1251 1311 1161 1471 0613 3631 6761 4251 600
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 7032 0092 2112 5753 0163 7394 1394 2104 514
2015 2020 2021 - - - - - -
5 1065 6175 643------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le pic observé autour de 1930 correspond à l'arrivée massive d’ouvriers pour le chantier du grand canal d'Alsace: les excavations, ainsi que la construction de la première usine hydroélectrique et des écluses de ce canal (situées sur la commune) ont duré de 1928 à 1932.

Lieux et monuments

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Enseignement

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Kembs dispose de quatre écoles : l'école élémentaire Jean Monnet et l'école maternelle Les Lutins à Kembs village ; l'école élémentaire Léonard de Vinci et l'école maternelle Paul Klee à Kembs Loechlé.

Jumelages

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D'après le site officiel de Kembs :

Galerie de photos

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Personnalités liées à la commune

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  • Lors du traité de Versailles en 1919, la France se voit attribuer le droit d'exploiter le Rhin pour produire de l'électricité. L'ingénieur René Koechlin construisit la centrale de Kembs et l'écluse attenante entre 1928 et 1932. Les 6 turbines produisent en moyenne 920 GWh par an, pour une puissance installée d'environ 150 MW. Les éclusiers sont des agents assermentés salariés d'EDF[40]. La centrale d'origine détruite pendant la Seconde Guerre mondiale a été reconstruite après-guerre. Elle représentait alors environ 5 % de la production électrique du pays (archive INA).

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

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Bibliographie

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  • Louis Abel, Kembs en Sundgau rhénan : l'église et l'architecte du XVIIIe siècle : François-Antoine Zeller (1740-1816) et son activité en Haute-Alsace, Association du Souvenir de l'Église St-Jean-Baptiste de Kembs, diff. Librairie Oberlin, 1986, 285 p.
  • J. Dieterlen, Kembs : premier échelon du Grand canal d'Alsace, La Navigation du Rhin, Strasbourg, 1932, 482 p.
  • L'Usine hydro-électrique de Kembs : topographie et régime du Rhin historique et description du projet, Énergie électrique du Rhin, Imprimerie Braun, Mulhouse, 1929, 16 p.

Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Kembs comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Kembs » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d « La commune de Kembs », notice no IA00122501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. a b et c Environnement-magazine 2015 Biodiversité : Le Petit-Rhin renaît en Alsace, publié le 8 juin 2015
  3. « Une nouvelle centrale hydroélectrique à Kembs », EDF France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Sandre, « le ruisseau de Rosenau »
  5. « Fiche communale de Kembs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  6. Sandre, « le Grand canal d'Alsace »
  7. Sandre, « le Rhin »
  8. Sandre, « le canal de Neuf-Brisach »
  9. Sandre, « l'Augraben »
  10. « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Kembs et Saint-Louis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Bâle-Mulhouse », sur la commune de Saint-Louis - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Bâle-Mulhouse », sur la commune de Saint-Louis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Kembs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Kembs ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Simon Cherner, Parures d'or et scramasaxe : une nécropole de l'Antiquité tardive exhumée en Alsace, lefigaro.fr, 12 septembre 2021
  25. Archives Départementales du Haut-Rhin
  26. Jean-Luc Nussbaumer, « Eugène Moser, maire historique, se raconte », L'Alsace,‎ (lire en ligne).
  27. « Nécrologie : Aimé Spaeth, ancien maire de Kembs », L'Alsace,‎ (lire en ligne)
  28. N.M., « Joël Roudaire élu maire de Kembs », L'Alsace,‎ (lire en ligne)
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « La centrale hydroélectrique », notice no IA00122512, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « L'écluse », notice no PA68000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Voir aussi ces aménagements sur le site Au fil du Rhin auFilDuRhin.com, consulté le 2023-02-15.
  37. « L'église Notre-Dame-de-la-Maternité », notice no IA00122507, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « L'ancien relais de poste », notice no IA00122439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00122434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Panneau explicatif à l'entrée de la centrale de Kembs