Gespunsart
Gespunsart [ʒɛspœ̃saʁ] est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.
Gespunsart | |
Le centre du village de Gespunsart. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Charleville-Mézières |
Intercommunalité | Ardenne Métropole |
Maire Mandat |
Gilles Michel 2020-2026 |
Code postal | 08700 |
Code commune | 08188 |
Démographie | |
Gentilé | Torés ou Gespinois, Gespinoises[1] |
Population municipale |
980 hab. (2021 ) |
Densité | 47 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 49′ 20″ nord, 4° 49′ 46″ est |
Superficie | 21,02 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Charleville-Mézières (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Villers-Semeuse |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.gespunsart.com/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierGespunsart est un village implanté dans une clairière de la forêt des Ardennes, dans un ancien nid de rivière datant de millions d'années. Cette rivière empruntait l'actuel parcours de la Goutelle.
Ce village, limitrophe de la Belgique est situé à 15 kilomètres à l’est de Charleville-Mézières.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Vrigne, le ruisseau la Goutelle, le ruisseau de Nedimont, le Ruz de Lingue, le ruisseau la Fagne, le ruisseau la Fontaine Noire, le ruisseau de la Fontaine Aux Tripes, le ruisseau du Bois Jean et le ruisseau du Hirdoux[2],[Carte 1].
Le ruisseau la Vrigne, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meuse à Vrigne-Meuse, après avoir traversé sept communes[3].
La Goutelle, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meuse à Nouzonville, après avoir traversé trois communes[4].
L'ensemble de ces deux vallées correspond à l'ancien passage de la Meuse, venant de Vrigne et se jetant à Nouzonville dans son lit actuel. La transformation et la ligne de partage actuelle des eaux datent de la fin de l'ère quaternaire[5].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : la Lutinière (0,2 ha)[Carte 1],[6].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 035 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gespunsart est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), prairies (3,3 %), zones urbanisées (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierLa dénomination la plus ancienne, que l’on retrouve est celle de Gébuinsart (Gebuinisartum) c’est-à-dire le sart de Gébuin. Le nom de Gébuin est fort commun au Moyen Âge. On le trouve entre autres dans la chanson de Roland, parmi ceux des compagnons de Charlemagne. Gebunisardum (1081), Gesprunsart (1264)[19],[20].
Histoire
modifierLe territoire de Gespunsart a fait partie du comté de Castrice. Un acte de Foulques le Vénérable, archevêque de Reims, cite une chapelle en ce lieu au IXe siècle. Il existe de cet acte une copie de 1584 d'un vidimus (ou copie certifiée) de 1249, (mais certains historiens, dont Patrick Demouy, considère ces documents avec réserve : il est possible qu'ils soient faussement datés pour appuyer les délimitations du diocèse de Reims. Ce territoire est à la limite septentrionale du diocèse, dans une zone forestière qui n'est au IXe siècle que partiellement christianisée[20],[21].
Cette chapelle est rattachée à la collégiale Saint-Vivent de Braux, mais le territoire du village, anciennement inclus dans le comté de Castrice, revient ensuite aux seigneurs d'Orchimont. En 870, par le traité de Meerssen, il est rattaché à la Francie occidentale, puis placé sous l'autorité des comtes de Rethel[20]. En 1081, le territoire passe au chapitre de Braux, avec, pour avoué, le comte de Rethel[20]. En 1572, la seigneurie de Gespunsart est cédé au duc de Guise, et est intégré à la principauté de Château-Regnault[20]. Finalement en 1629, cette principauté de Château-Regnault est cédé à Louis XIII : le village s'ancre définitivement au sein du royaume de France[20]. Pendant la guerre de Succession d'Espagne, et notamment de 1705 à 1710, ce village, proche des terres appartenant au duché de Luxembourg est la cible d'incursions de troupes germaniques. Il est notamment pillé et brûlé en 1705[20],[22].
Il connaît une période de forte activité grâce à ses clouteries entre la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle. En 1789, année de la Révolution française, le village compte 250 feux et 1 059 habitants[20], dont 300 maîtres cloutiers et 325 compagnons. Il compte également une dizaine artisans fabriquant des armes, et autant de voituriers. Il y a aussi un curé, un vicaire, un maître d’école, un notaire, un arpenteur royal, un chirurgien, une sage-femme, un receveur des traites foraines, un poste de douaniers et plusieurs gardes-forestiers[23].
Le village se trouve sur la ligne de chemin de fer d'intérêt local de Nouzonville (Ardennes) à Pussemange (Belgique) du réseau des Chemins de fer départementaux des Ardennes, ouverte, par sections, de 1896 à 1925, et dont la dernière section a fermé en 1950.
La commune est occupée pendant la quasi-totalité de la Première Guerre mondiale, de à . Les ressources sont pillées par l'occupant, et l'activité industrielle cesse[20]. En 1920, les préfectures relaient l’initiative de l’Union des grandes associations françaises pour l’essor national présidée par le président de la République Raymond Poincaré pour parrainer ces villages occupés pendant quatre ans,et les aider à se relancer[24]. Dans l'Isère, les cantons de La Mure et Valbonnais se voient proposer Gespunsart. Entre 1920 et 1923, les villages de La Mure, Mayres-Savel et La Motte-Saint-Martin recueillent des fonds pour cette commune. Lors de la Seconde Guerre mondiale, la population de Gespunsart reçoit l'ordre d'évacuer le : c'est le début d'un exode vers l'ouest de la France. Le retour de la population se fait les années suivantes, petit à petit, le village se trouvant en zone interdite. Il est libéré en [20].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Charleville-Mézières du département des Ardennes. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la deuxième circonscription des Ardennes.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Mézières. Celui-ci est scindé en 1973 et la commune rattachée au canton de Nouzonville[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Villers-Semeuse.
Intercommunalité
modifierLa commune était membre de la communauté d'agglomération Cœur d'Ardenne, créée le .
Celle-ci fusionne avec la :
- communauté de communes des Balcons de Meuse, dont le siège était �� Lumes (5 communes) ;
- la communauté de communes du Pays sedanais, dont le siège était situé à Sedan (23 communes) ;
- la communauté de communes du pays des Sources au Val de Bar, où le chef-lieu était localisé à Élan (16 communes).
pour former, le [26], la « communauté d’agglomération de Charleville-Mézières-Sedan ». Celle-ci, dont la commune est désormais membre, prend la dénomination d’« Ardenne Métropole[Note 3] »[27].
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierEnvironnement
modifierGespunsart a adhéré à la charte du parc naturel régional des Ardennes, à sa création en [33].
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2021, la commune comptait 980 habitants[Note 4], en évolution de −8,84 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierTraditions
modifierSelon la tradition, le paquis des poules, à un carrefour de six voies était un lieu de sabbat : « Il y avait le petit sabbat, que composaient seulement les sorciers ardennais, et le grand sabbat où se trouvaient convoqués les sorciers des pays circonvoisins »[37].
Lieux et monuments
modifier- La fontaine Malbrought, on ne connait pas son origine.
- Splendide église Saint-Rémy du XVIIIe siècle à deux clochers. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1984[38].
- Nombreux lavoirs.
- Anciens moulins.
- Ancienne gendarmerie.
- La chapelle du Saint-Lieu et les trois croix.
- Les brasseries Hellé.
-
Lavoir Durozier.
-
Chapelle.
-
Fontaine, mairie église.
-
Brasserie.
-
Monument aux morts.
-
Ancien atelier de cloutier.
Personnalités liées à la commune
modifier- Pierre-Louis Péchenard (1842-1920), né à Gespunsart, évêque de Soissons, ancien recteur de l'Université catholique de Paris.
- Sérafin Many (1847-1922), ancien recteur de l'Université catholique de Paris, membre de la Curie romaine.
- Jules Leroux (1880-1915), écrivain et poète, il a son premier poste d'instituteur à Gespunsart, qu'il nomme Bourimont dans son ouvrage Léon Chatry, instituteur.
- Bernard Marcotte (1887-1927), écrivain, a vécu un temps à Gespunsart.
- Camille Titeux (1910-1978), né à Gespunsart, député (1951-1958), président du conseil général des Ardennes (1967-1973).
- Yanny Hureaux (1939-), écrivain, réside dans la commune.
- On dit que Arthur Rimbaud aurait été gardé en nourrice à Gespunsart.
Héraldique
modifierBlason | De sinople au cyclamor crénelé de douze merlons d'or enfermant une fleur de lys d'argent, au chef du même chargé d'une bande de gueules côtoyée de deux cotices du même. |
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Détails | La fleur de lys représente le village de Gespunsart qui, dépendant de la collégiale de Braux en 1573, devint membre de la principauté de Château-Regnault, français à l'époque. Le cyclamor représente le contour du village, situé dans une vaste clairière et enclavé aux XVII e et XVIIIe siècles dans le duché de Luxembourg dépendant des Pays-Bas autrichiens. Les créneaux représentent les redoutes de défense (1705-1710) et évoquent une roue dentée, symbole des nombreuses industries anciennes et modernes. Le chef d'argent, aux bandes de gueules, évoque les armoiries d'Orchimont (dont les émaux sont ici inversés), premiers seigneurs du village après le démembrement de Mersen en 870[39]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Abbé Pierre-Louis Péchenard, Histoire de Gespunsart, A. Pouillard, 1877 - 350 p. & G. Lenoir, 1906, 354 p. [texte intégral]
- Charles Bruneau, Notes sur le patois de Gespunsart, dans Revue d'Ardenne & d'Argonne : scientifique, historique, littéraire et artistique, Sedan : Société d'études ardennaises « La Bruyère », janv-fèv. 1911, p. 437 [1]
Liens externes
modifier- Site de la Mairie de Gespunsart - www.gespunsart.fr
- Gespunsart sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Gespunsart (08188) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans la nouvelle dénomination, le terme « métropole » ne suggère pas la transformation de la nature juridique de la communauté d’agglomération en métropole, autre forme d’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre davantage intégrée.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Gespunsart » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Ardennes », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Gespunsart », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le ruisseau la Vrigne »
- Sandre, « la Goutelle »
- « Géographie », sur gespunsart.com (consulté le ).
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gespunsart et Charleville-Mézières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Charleville-Méz. », sur la commune de Charleville-Mézières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2, Librairie Droz, , 1385 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 964
- Jean-Pol Cordier, « Gespunsart », Revue Historique Ardennaise, no XIV, , p. 209-218
- Patrick Demouy, Genèse d'une cathédrale : Les archevêques de Reims et leur Église aux XIe et XIIe siècles, Éditions Dominique Guéniot, , 814 p., p. 289, 706
- Michel Desbrière, Chronique critique des lignes de défense de la Champagne septentrionale 1644-1748, Éditions Terres Ardennaises, , p. 117
- « Petit historique de Gespunsart », sur gespunsart.com.
- Jean-Luc Guillaume, « La reconstitution », dans La Première Guerre mondiale dans les Ardennes. Études pour le centenaire, Société d'histoire des Ardennes - Archives départementales des Ardennes - Société d'histoire et d'archéologie des Ardennes - Terres Ardennaises,
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté no 2013/207 du 23 avril 2013 portant création de la Communauté d’agglomération de Charleville-Mézières / Sedan », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Ardennes, Charleville-Mézières,
- « Arrêté no 2016-583 du portant modification des statuts de la communauté d'agglomération de Charleville-Mézières-Sedan », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Ardennes, no 8, (lire en ligne [PDF]).
- « Les maires de Gespunsart », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Almanach-Annuaire historique, administratif et commercial de la Marne, de L'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, de 1875, p197.
- Archives départementales des Ardennes, Registre d'état civil de Gespunsart 1928-1936
- « La nouvelle équipe municipale », Le Bulletin d'information de Gespunsart, , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Création du PNR des Ardennes
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Albert Meyrac, Villes et villages des Ardennes, histoire, légende des lieux-dits et souvenirs de l'année terrible, Charleville, (lire en ligne), p. 226 (49° 49′ 31″ N, 4° 48′ 52″ E)
- « Église Saint-Rémy », notice no PA00078441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Histoire de Gespunsart », sur gespunsart.fr (consulté le ).