Fleurance

commune française du département du Gers

Fleurance (Florença en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Gaure, un territoire au cœur de la Gascogne caractérisé par ses champs céréaliers et d'oléagineux, entrecoupés de maigres bois et prairies.

Fleurance
Fleurance
Fleurance et le clocher de son église Saint-Laurent en 2018.
Blason de Fleurance
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
(siège)
Maire
Mandat
Ronny Guardia-Mazzoleni
2020-2026
Code postal 32500
Code commune 32132
Démographie
Gentilé Fleurantins
Population
municipale
6 012 hab. (2021 en évolution de −2,73 % par rapport à 2015)
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 01″ nord, 0° 39′ 52″ est
Altitude 98 m
Min. 83 m
Max. 181 m
Superficie 43,32 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Fleurance
(ville isolée)
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fleurance-Lomagne
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Fleurance
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Fleurance
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Fleurance
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Fleurance
Liens
Site web Site officiel

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, l'Ousse, le ruisseau de Cussé, le ruisseau de Rouzas et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Fleurance est une commune rurale qui compte 6 012 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Fleurance et fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Fleurantins ou Fleurantines.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Laurent, classée en 1907, et la halle-hôtel de ville, inscrite en 1987.

Géographie

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Localisation

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Fleurance est une commune située dans l'Armagnac, capitale du Pays de Gaure, sur la route nationale 21 entre Agen et Auch, elle est traversée par le Gers et les anciennes routes nationales RN 653 et RN 654. Elle est le bourg-centre de l'aire urbaine de Fleurance.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Castelnau-d'Arbieu, Brugnens, Céran, Lalanne, Montestruc-sur-Gers, Pauilhac, Préchac, Réjaumont, Sainte-Radegonde et Urdens.

Géologie et relief

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Fleurance se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Voies de communication et transports

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La N 21 à Fleurance.

La ligne 932 du réseau liO relie la commune à Auch et à Agen.

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Fleurance.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Gers, l'Ousse, le ruisseau de Cussé, le ruisseau de Rouzas, un bras du Gers, le ruisseau Bousquet, le ruisseau de Bourist, le ruisseau Pascal et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 39 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[5].

L'Ousse, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune de Puységur et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Lalanne, après avoir traversé 6 communes[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mauroux à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,6 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[13] : le « plan d'eau de Pauilhac et forêt de Bréchan » (105 ha), couvrant 2 communes du département[14].

Urbanisme

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La commune (ici vue depuis l'ouest) s'inscrit dans un cadre rural.

Typologie

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Au , Fleurance est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fleurance[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), prairies (1,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Fleurance est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers et l'Ousse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999, 2006, 2009 et 2013[19],[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fleurance.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 908 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 908 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 1999, 2002, 2003, 2011, 2012, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[22].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Toponymie

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À l'instar de nombreuses autres villes neuves fondées à la même époque, Fleurance (Florencie en 1289) emprunte son nom à une ville prestigieuse, Florence en Toscane, comme gage du succès de son développement[24].

Histoire

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Fondation de la ville au XIIIe siècle

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Fleurance est une de ces villes nouvelles appelées bastides qui ont été fondées au XIIIe siècle et XIVe siècle dans le Sud-Ouest de la France dans un contexte d'essor démographique, de luttes seigneuriales et d'affirmation du pouvoir royal. À l'instar d'autres cités et dans l'espoir d'un avenir prometteur, son nom s'inspire de celui d'une des plus grandes capitales de l'Europe médiévale : Florence.

En 1272, le seigneur local Géraud de Cazaubon, comte de Gaure, ne réussit pas à empêcher le pillage par les comtes d'Armagnac et de Foix de sa capitale Sempuy. Afin d'obtenir la protection royale, il signe avec le sénéchal de Toulouse Eustache de Beaumarchès, représentant du roi, un contrat de paréage qui prévoit l'érection d'une capitale nouvelle pour son comté, avec l'accord de la proche abbaye cistercienne de Bouillas.

Fleurance est ainsi construite sur la butte de Montaglon (ou Mont des glands) selon un plan régulier centré sur la halle. Des palissades en bois délimitent un espace urbain pentagonal constitués d'îlots ou « moulons » délimités par des rues se coupant en angle droit.

Philippe le Bel ayant cédé Fleurance à Édouard Ier d'Angleterre en 1287, celui-ci ordonne, en 1291, une dérivation du Gers et la construction d'un moulin. En 1292, il participe au financement de remparts en briques. La construction de l'église débute enfin.

Temps troublés

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Durant la guerre de Cent Ans, Fleurance passe en diverses mains. De 1350 à 1354, elle est placée sous l'autorité du Saint-Siège. En 1425, le roi Charles VII fait don du comté de Gaure et de Fleurance à Charles II d'Albret en récompense de son œuvre guerrière. La cité connaît des troubles politiques et, en 1465, les quatre consuls qui administraient la cité sont exécutés.

Cela n'empêche pas le développement de l'industrie textile. Un tissu fait la renommée de la cité à partir XVe siècle : la serge de Fleurance.

À partir de 1542, la cité participe aux guerres de Religion. En 1586, lors d'un siège, les forces protestantes sont repoussées.

Le rattachement de la Gascogne au domaine royal par Henri IV, en 1607, offre de nouvelles perspectives à la ville. Celui-ci renforce l'administration royale et Fleurance devient le siège de l'élection de Lomagne. Aussi, dès lors, de nombreux cadets des familles fleurantines font carrière dans les armées royales.

Mais de nouveaux malheurs touchent la ville. Elle subit la grande peste en 1653-1654 et la famine en 1680.

Embellie économique à partir du XVIIIe siècle

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L'ancienne gare.

Une embellie économique favorise Fleurance à partir du XVIIIe siècle et bouleverse l'architecture urbaine. La ville s'illustre dans les domaines de la tuilerie, de la distillerie, de l'industrie de la plume à écrire (Léglize et Belliard) et de la chaussure (Établissements Cadéot et, au XIXe siècle, maison Auriac spécialisée dans l'espadrille).

Les remparts sont démolis en 1777. La halle, incendiée en 1833, est remplacée par la nouvelle halle-hôtel de ville en pierre en 1837. En 1865, Fleurance est reliée au réseau ferré. La ville s'équipe à l'éclairage au gaz en 1883 et accueille l'électricité en 1892.

Temps modernes

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En 1823, la commune de Lamothe-Endo est démantelée et fusionnée au sein des communes de Fleurance et Urdens[25]. Aujourd'hui, un lieu-dit subsiste toujours.

Politique et administration

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La halle-hôtel de ville de Fleurance.

Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires depuis 1944
Période Identité Étiquette Qualité
Louis Moussaron   Directeur d'école
André Parson   Notaire
Eloi Castaing   Charpentier
Roger Noyer SFIO Conseiller général de Fleurance (1961 → 1973)

(démission)
Jean Gauthier PSU app.  
Maurice Vidal   Professeur de collège
Maurice Mességué DVD puis RPR Chef d'entreprise, herboriste
Conseiller général de Fleurance (1973 → 1985)
Claude Gallardo DVG Médecin généraliste et romancier
Conseiller général de Fleurance (1985 → 1992)
Michel Maupeu   Président de la délégation spéciale
Claude Gallardo DVG Médecin généraliste et romancier
Conseiller général de Fleurance (1985 → 1992)
Raymond Vall PRG Directeur commercial
Sénateur du Gers (2008 → 2014 et 2015 → 2020)
Conseiller régional de Midi-Pyrénées (2004 → 2008)
Conseiller général de Fleurance (1998 → 2004)
Vice-président de la CC de la Lomagne gersoise
Démissionnaire
Émilie Muñoz-Dennig DVG Retraitée de l'enseignement
Vice-présidente de la CC de la Lomagne gersoise
En cours
(au 23 septembre 2021)
Ronny Guardia-Mazzoleni[26] DVG
(sout. PS)
Dirigeant de société
Conseiller régional d'Occitanie (2015 → 2021)
Président du Pays Portes de Gascogne
Vice-président de la CC de la Lomagne gersoise[27]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 6 012 habitants[Note 4], en évolution de −2,73 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
2 4042 9202 8582 8473 4103 4093 8984 3094 250
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
4 2754 5164 5154 5504 4434 4574 2824 2374 102
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
4 0854 0503 4703 5833 4673 4913 7443 8164 279
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
5 1545 8166 0886 3686 2736 2576 2556 2456 021
2021 - - - - - - - -
6 012--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[32] 1975[32] 1982[32] 1990[32] 1999[32] 2006[33] 2009[34] 2013[35]
Rang de la commune dans le département 3 3 3 3 3 4 4 4
Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

Enseignement

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Le collège Hubert Reeves.

Plusieurs écoles primaires et maternelles sont présentes à Fleurance, ainsi que deux collèges. Privé: École Saint-Laurent (maternelle et primaire) et Collège Saint Joseph. Public: Maternelle Victor Hugo, école primaire Pasteur ou Monge et le collège Hubert Reeves.

Manifestations culturelles et festivités

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Théâtre Le Méridional.
  • Le carnaval en avril ;
  • La fête de la musique ;
  • Le Festival Cuivro Foliz en juillet ;
  • Une saison culturelle de spectacles vivants pluridisciplinaires, entre septembre et mai ;

Festival du Ciel et de l'Espace

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Le festival d'astronomie de Fleurance, considéré comme le plus important de France dans ce domaine[36], est organisé chaque année la première dizaine d'août et rassemble plus de vingt mille participants. Depuis le , jour de l'inauguration de la 27e édition du festival, l'astéroïde (349606) Fleurance, de la ceinture principale d'astéroïdes et découvert en 2008 par le suisse Michel Ory, est nommé en l'honneur de la ville qui accueille la manifestation. Fleurance devient ainsi la deuxième ville d'Occitanie à inscrire son nom dans l'espace, après Toulouse, qui le fit dès 1874[37].

  • Établissement Public de Santé de Lomagne qui résulte de la fusion des hôpitaux de Fleurance et de Lectoure en 2010. Il compte environ 400 lits répartis sur différents sites:
    • deux services de médecine "Moussaron" à Fleurance et "Armagnac" à Lectoure
    • deux services de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR)
    • trois établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes : l'EHPAD Cadéot et l'EHPAD La Pépinière à Fleurance, EHPAD du Tané à Lectoure
    • un service de Soins Infirmiers à Domicile avec une antenne sur chaque site (SIAD)
    • un accueil de jour Alzheimer à Fleurance[38].
  • Maison de santé pluridisciplinaire intercommunale: 5 cabinets professionnels de médecine générale, 2 bureaux d’infirmières, 1 espace pour les kinésithérapeutes, 1 espace pour les podologues, 2 bureaux pour des chirurgiens-dentistes, 1 bureau pour les vacataires (diététicienne, ostéopathe, psychologue, sophrologue…)[39].

Les Tours de France cyclistes 1977 et 1979 ont chacun leur grand départ à Fleurance.

La flamme olympique des JO de 2024 sera de passage à Fleurance, avant de faire étape à Auch[40].

Équipements de sports et loisirs
  • Base de loisirs qui intègre quatre courts de tennis dont un couvert, un bassin de natation, un espace aqualudique et un espace pour les enfants
  • Espace culturel et sportif (handball et basket)
  • Hippodrome du Réchou (deux courses annuelles les premier et deuxième dimanches d'août)
  • Stade municipal et terrains de sport (foot, rugby)
  • Golf de Lassalle (9 trous)
  • Halle Eloi Castaing (espace polyvalent, ping-pong)
  • Salle de Gymnastique et dojo (judo)
 
La halle Eloi Castaing.

Clubs sportifs

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  • L’OMS (Office municipal des sports) de Fleurance fait le lien entre les associations sportives de la ville, soit 26 clubs regroupant plus de 2400 licenciés, et organise une manifestation par an, les Fleuransports.
Rugby
Football
  • Association sportive fleurantine football

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 055 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 6 067 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 130 [I 6] (20 820  dans le département[I 7]). 38 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (43,9 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 6,7 % 9,3 % 11,9 %
Département[I 9] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 173 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 7],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 2 913 emplois en 2018, contre 2 888 en 2013 et 2 993 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 033, soit un indicateur de concentration d'emploi de 143,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2 %[I 12].

Sur ces 2 033 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 162 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 84,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 9,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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599 établissements[Note 8] sont implantés à Fleurance au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 599 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
53 8,8 % (12,3 %)
Construction 75 12,5 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
186 31,1 % (27,7 %)
Information et communication 14 2,3 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 23 3,8 % (3,5 %)
Activités immobilières 35 5,8 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
86 14,4 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
81 13,5 % (12,3 %)
Autres activités de services 46 7,7 % (8,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,1 % du nombre total d'établissements de la commune (186 sur les 599 entreprises implantées à Fleurance), contre 27,7 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41] :

  • Castel Et Fromaget, fabrication de structures métalliques et de parties de structures (84 109 k€) ;
  • Camozzi Materiaux, commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction (45 369 k€) ;
  • Soc Troisel, fabrication de structures métalliques et de parties de structures (33 348 k€) ;
  • Fleurance Nature, vente à distance sur catalogue spécialisé (28 830 k€) ;
  • Castel Alu - Cfa, travaux de menuiserie métallique et serrurerie (11 242 k€).

Fleurance est l'une des villes les plus dynamiques du Gers.[réf. nécessaire] C'est non seulement un centre commercial important mais aussi un centre industriel : constructions mécaniques et métalliques, bâtiment et travaux publics, produits naturels et du terroir, produits diététiques, conserveries, coopérative agricole, commerce équitable.

Fleurance accueille un marché traditionnel de pays le mardi, qui est aussi un marché au gras l'hiver, et un marché de producteurs locaux le samedi matin.

Fleurance possède une zone de loisirs et des équipements sportifs établis sur toute la bordure est de la cité, le long du Gers.

Agriculture

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La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 106 49 56 40
SAU[Note 11] (ha) 2 432 1 958 2 015 2 001

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 106 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 49 en 2000 puis à 56 en 2010[44] et enfin à 40 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[45],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 432 ha en 1988 à 2 001 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 23 à 50 ha[44].

Culture locale et patrimoine

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Monuments et lieux touristiques

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  • La halle-hôtel de ville de Fleurance. L'hôtel de ville est situé sur la place centrale à arceaux. Il est de style néo-classique et surmonte une belle halle en pierre. Il est l'œuvre d'un architecte auscitain nommé Ardenne. Il fut construit de 1834 à 1837. Cet édifice a remplacé la halle du Moyen Âge détruite par un important incendie. Aux quatre angles de la place siègent quatre statues-fontaines de bronze réalisées par Albert-Ernest Carrier-Belleuse représentant les quatre saisons (XIXe siècle).
  • Église de Lagarde.
  • Église Saint-André de Lamothe-Endo.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blasonnement :
D'argent à l'aigle bicéphale au vol abaissé de sable; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or ordonnées 2 et 1[47].

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
  • Carte géologique de la France à 1/50 000 - Fleurance, BRGM Direction du service géologique et des laboratoires, 1968 (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Fleurance » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Fleurance », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fleurance ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auch », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Fleurance » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Fleurance » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Fleurance » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Fleurance » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Fleurance », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « le Gers »
  6. Sandre, « l'Ousse »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Fleurance et Mauroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  11. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Fleurance », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « plan d'eau de Pauilhac et forêt de Bréchan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Fleurance », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-093-9)..
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  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  44. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Fleurance - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  46. « L'épopée d'Alexandre Laffont », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.