Fleurac (Dordogne)
Fleurac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Fleurac | |||||
L'église Sainte-Marie de Fleurac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de l'Homme | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Bouet 2020-2026 |
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Code postal | 24580 | ||||
Code commune | 24183 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fleuracois | ||||
Population municipale |
309 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 31″ nord, 1° 00′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 281 m |
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Superficie | 22,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Homme | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierGénéralités
modifierLa commune de Fleurac, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km). L'intersection du 45e parallèle nord et du 1er méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune[1].
Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, le territoire communal est bordé à l'est par le Vimont, un affluent de la Vézère.
Traversé par la route départementale (RD) 31, le bourg de Fleurac est situé sur une colline, entre les vallées du Labinche et du ruisseau de Navarre. En distances orthodromiques, il se trouve douze kilomètres au nord-est du Bugue et quatorze kilomètres au sud-ouest de Montignac-Lascaux.
Le territoire communal est également desservi à l'est par la RD 6 qui longe le Vimont.
Communes limitrophes
modifierFleurac est limitrophe de huit autres communes, dont Peyzac-le-Moustier à l'est, sur moins de 300 mètres.
Géologie et relief
modifierGéologie
modifierSitué sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Fleurac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 807 - Le Bugue » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène | non présent | |||||||||||||||||||||||||
Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
non présent | ||||||||||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
modifierLe département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 72 m et 281 m[7],[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,18 km2[7],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 22,75 km2[4].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Vimont, le Labinche, le ruisseau de Lavaure, le ruisseau de Navarre, Les Fangues et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[16],[Carte 1].
Le Vimont, d'une longueur totale de 12,67 km, prend sa source à Bars et se jette dans la Vézère en rive droite, en limite de Tursac et de Peyzac-le-Moustier[17],[18]. Il arrose la commune au nord-est sur un kilomètre et demi en de multiples bras.
Autre affluent de rive droite de la Vézère, le ruisseau des Fangues prend sa source dans l'est du territoire communal qu'il baigne sur près d'un kilomètre et demi.
Le ruisseau de Lavaure, affluent de rive gauche du Manaurie et sous-affluent de la Vézère, marque la limite communale au sud-ouest sur deux kilomètres, face à Mauzens-et-Miremont et Savignac-de-Miremont.
Affluent de rive gauche du ruisseau de Lavaure, le Labinche traverse la commune du nord au sud sur plus de quatre kilomètres. Son affluent de rive droite le ruisseau de Navarre prend sa source dans le nord du territoire communal qu'il arrose sur près de quatre kilomètres en direction du sud.
-
Le Vimont au lieu-dit le Peuch à Fleurac.
-
Réseaux hydrographique et routier de Fleurac.
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 996 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 15 km à vol d'oiseau[24], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Fleurac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29] et hors attraction des villes[30],[31].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,1 %), prairies (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
modifierLe territoire de la commune de Fleurac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Fleurac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 54,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2008, par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].
Toponymie
modifierLe lieu est attesté au XIIIe siècle sous la forme Floyracum[41].
Fleurac est issu du nom de domaine d'un propriétaire gallo-roman, nommé Florius, dérivé du latin Florus, suivi du suffixe -acum[42], correspondant au « domaine de Florius ».
Florius explique les formes anciennes de type Floyr-, comme dans les noms de type occitan Floirac. Même chose pour les Fleury, Fleurey et Fleuré de langue d'oïl qui ont le plus souvent des formes anciennes de type Floriacum.
En occitan, la commune porte le nom de Flurac[43].
Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement sédimentaire par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[44].
Histoire
modifierMême si la première apparition écrite du nom du village remonte au XIIIe siècle[41], l'église romane lui est antérieure[42].
Fleurac a longtemps été une terre viticole. Aux XVIe et XVIIe siècles, le domaine du château produit un vin d'excellente qualité. Les seigneurs très puissants de l'époque en tirent de gros profits. Il y a des expéditions de vin jusqu'en Hollande grâce aux gabarres sur la Dordogne et aux bateaux depuis Libourne.
Vers 1880, le phylloxera anéantit le vignoble et provoque la ruine des châtelains de l'époque (famille De Beauroyre) qui souhaitent replanter. Au début du XXe siècle, la famille Normant, riches industriels du textile de Romorantin[45] et nouveaux châtelains de Fleurac, plante des variétés nobles : cabernet, merlot, plants français greffés et quelques hybrides 5454. Au total, une bonne cinquantaine d'hectares est planté.
Un chai en pierre de taille est construit à la même époque (toit en terrasse et trois niveaux). Il abrite seize foudres en bois de chêne d'une contenance de 65 barriques de 220 litres et deux de 45 barriques. Par ailleurs, 200 à 300 barriques en chêne s'alignent sur deux rangs face à une petite voie ferrée où circulent de petits wagonnets. La production du vin rouge est dominante. Le vin blanc doux a gardé une certaine renommée.
La production atteint plus de 1 000 barriques entre les deux guerres puis s'essouffle progressivement au fil des ans. Aucune classification du vin n'ayant été possible, le régisseur de l'époque décide de procéder à une reconversion du domaine.
Des primes d'arrachage marquent un terme à la production de vin à Fleurac vers le début des années 1960. Tout le matériel de vinification est revendu ; le domaine ne tarde pas à être morcelé. La fin des années 1960 marque l'arrêt total de l'exploitation agricole au château de Fleurac.
Politique et administration
modifierAdministration municipale
modifierLa population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].
Liste des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierJustice
modifierDans le domaine judiciaire, Fleurac relève[49] :
- du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de Fleurac se nomment les Fleuracois[50].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].
En 2021, la commune comptait 309 habitants[Note 4], en évolution de +25,1 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierEmploi
modifierEn 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 109 personnes, soit 44,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (treize) a diminué par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,9 %.
Établissements
modifierAu , la commune compte cinquante-deux établissements[55], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, sept dans la construction, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[56].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierDans le centre du bourg se trouve l'église Sainte-Marie[57] ou Notre-Dame-de-l'Assomption[58], datant des XIIe et XVe siècles[59]. C'est une église fortifiée qui présente un clocher-mur du XIXe siècle et un bahut défensif au niveau du chœur. Une tour barlongue avec consoles et mâchicoulis[60] surmonte encore de nos jours le sanctuaire.
Fleurac abrite plusieurs édifices nobles :
- le château de Malbec des XVIe et XIXe siècles ;
- le château du Cluzeau des XVIe et XVIIIe siècles ;
- le château de Souffron des XVIIe et XIXe siècles ;
- le château du Peuch du XVIIIe siècle ;
- le château de Fleurac début XXe siècle, qui abritait anciennement un musée automobile[61].
-
L'église Sainte-Marie. -
Le château du Peuch. -
Croix devant l'église. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | D'azur à trois têtes de griffon d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- (de) Hildegard Holtschneider, Schloß Fleurac oder Die schöne Marguerite[62]. Il s'agit d'un roman dont l'original est composé en vers (en hexamètres), mais depuis 2005 il en existe une version simplifiée.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Fleurac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Le point 45°N 1°E sur le Degree Confluence Project, consulté le .
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Fleurac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Fleurac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Fleurac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
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- Sandre, « le Vimont »
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune de Fleurac (24183) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 octobre 2018.
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- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 101.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 311.
- Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1), p. 35.
- Alain Bernard, Fleurac (24) : le château qui fait parler sur Sud Ouest du 27 septembre 2011.
- Hildegard Holtschneider, Schloß Fleurac oder Die schöne Marguerite, maison d'édition Karin Fischer Verlag, Aachen, 1998, (ISBN 978-3-8951-4185-0).