Discussion:Laurent Hô

Cet article est indexé par les projets France et Musique électronique.

Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.

Évaluation de l’article « Laurent Hô »

Avancement	Importance	pour le projet
Bon début	À évaluer		France (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)
			Musique électronique (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)

Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.

Les raves du début des années 90 battent leur plein, Laurent découvre un nouveau mode d’expression : le mix. Il débute comme DJ techno et trance sur Radio FG en 1991, puis en soirée la même année. En 1994, il commence à s’intéresser au hardcore, encore balbutiant. Il se lance alors dans la production phonographique et crée Epitèth Rec, tout premier label hardcore en France. A nouvelle direction, nouveau pseudonyme. « Ingler » signe de nombreux maxis pour Epitèth rec, mais aussi pour Industrial Strength, Headfuck, Six Sixty Six... Cinq années consacrées à l’exploration du hardbeat sous toutes ses formes, à secouer les dancefloors de Mayday, Mystery Land, Energy, parcourant inlassablement la planète pour propager cette énergie hardcore qui l’anime. 1998 constitue une seconde période charnière. La techno européenne, influencée par le mythe US, est en pleine explosion. Elle constitue le terrain de jeux idéal pour revenir à des rythmiques moins hard, tester de nouveaux sons, de nouvelles machines. Une nouvelle identité s’impose, Laurent signe alors ses productions «  Audio Drama ». Il lance deux autres labels : UW et ANLX, puis quelques années plus tard, participe à la création d’UWe. Sa passion pour le design n’est pas éteinte pour autant...