Diocèse d'Évreux

diocèse français en Normandie

Le diocèse d'Évreux est une Église particulière et circonscription de l'Église catholique de France fondée sur le territoire du peuple gaulois des Aulerques Éburovices dans l'actuel département de l'Eure en Normandie dont il couvre le territoire à l'exception de quelques communes au sud, dépendant du diocèse de Chartres (et notamment Nonancourt) ou du diocèse de Séez. Le diocèse appartient à la province ecclésiastique de Rouen.

Diocèse d'Évreux
Image illustrative de l’article Diocèse d'Évreux
Cathédrale Notre-Dame d'Évreux.
Informations générales
Pays France
Église catholique
Rite liturgique romain
Type de juridiction diocèse
Création IVe siècle
Province ecclésiastique Province ecclésiastique de Rouen
Siège Évreux
Titulaire actuel Olivier de Cagny
Langue(s) liturgique(s) latin et français
Statistiques
Paroisses 33
Prêtres 57
Religieux 42
Religieuses 101
Territoire Département de l’Eure
Superficie 6 040 km2
Population totale 601 843 (2021)
Population catholique 345 300 (2021)
Pourcentage de catholiques 57,4 %
Site web site officiel
Image illustrative de l’article Diocèse d'Évreux
Localisation du diocèse
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Le premier évêque d'Évreux est saint Taurin, au IVe siècle, devenu patron du diocèse[1].

La cathédrale est placée sous le vocable de Notre-Dame de l'Assomption. L'évêque d'Évreux porte, entre autres, de droit les titres de comte de Condé[2], Illiers et Brosville.

Territoire

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Le diocèse d'Évreux[1] compte 31 paroisses qui regroupent des communautés paroissiales plus petites[3] : Andelle Pays de Lyons, Avre et Iton, Estuaire Pays d'Auge, Gisors Vallée d'Epte, la Madeleine Nétreville, Lieuvin Sud et Pays d'Ouche, Montgeoly, Notre-Dame - Saint Taurin, Notre-Dame de Bonne Espérance, Notre Dame de Charentonne, Notre Dame de l'Alliance, Notre Dame de Seine Andelle, Notre Dame des Bois Pays de Louviers, Notre Dame du Grand Sud d'Évreux, Notre Dame du Roumois, Notre-Dame Risle Seine, Pacy Vallée d'Eure, Pays de Conches, Père Laval - Louviers - Boucle de Seine, Plateau du Neubourg, Roum'Oison, Saint André - Mesnilliers, Saint-Jean-Baptiste-du-Val-Iton, Saint Louis Pays de Vernon, Saint Martin de la Risle, Saint Nicaise du Vexin Normand, Saint Pierre des Deux Rives, Sainte Marie du Pays de Verneuil, Sainte Marie en Vexin, Sainte Clotilde des Andelys.

Historique

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En 911, le diocèse d'Évreux, avec ceux de Rouen et de Lisieux, sont donnés par le roi de France Charles le Simple au viking Rollon, ce qui constituera l'amorce du duché de Normandie[4].

Avant le concordat de 1801, le diocèse était divisé en trois archidiaconés[5] : Évreux, Ouche, Neubourg. Il y avait douze doyennés : Le Neubourg, Louviers, Conches, Verneuil, L'Aigle, Lyre, Ouche, Vernon, Pacy, Ivry, La-Croix-Saint-Leufroy, Nonancourt. S'ajoutait la banlieue d'Évreux, soit un total de 473 paroisses.

Aujourd'hui, il n'y a plus d'archidiaconé : le diocèse est découpé en 7 secteurs : Centre, Nord, Sud, Ouest, Nord-Ouest, Nord-Est, Est. Soit un total de 31 paroisses[6].

En 2021, le diocèse d’Évreux entame une évangélisation par les réseaux sociaux Instagram et WhatsApp[7]. La même année, le diocèse, conformément au vœu du pape François, se convertit à l'écologie[8].

En 2022, le diocèse d'Évreux fonde « Carrefour des Cités », un groupe de réflexion et d'entraide en faveur des « quartiers pauvres » de la ville d'Évreux[9].

Évêques d'Évreux

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Instituts religieux

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Liste des instituts religieux apostoliques ou contemplatifs masculins et féminins présents dans le diocèse en . Après le nom de l'institut, on trouve DP si c'est un institut religieux de droit pontifical ou DD dans le cas d'un institut religieux de droit diocésain. Il est ensuite indiqué le lieu où la communauté est implantée sur le territoire du diocèse d'Évreux[10].

Masculins

Féminins

Saints du diocèse

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Cinq évêques d'Évreux : Saint Éterne, saint Gaud, saint Taurin, saint Laudulphe, saint Aquilin (détail de l'autel du Saint-Sacrement, dans la chapelle absidiale sud de l'église abbatiale Saint-Taurin à Évreux).

Évêques des premiers temps

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  • Saint Taurin, apôtre de l'Évrecin, évangélisateur des Aulerques éburovices et premier évêque d'Évreux vers 380. Les vitraux du chœur de l'église Saint-Taurin et sa châsse du XIIIe siècle retracent sa vie. Sa naissance fut annoncée par un ange à sa mère sainte Euticie. La légende rapportée par le moine Déodat, tentant de la rattacher à l'époque apostolique, le fait filleul du pape Clément et compagnon en Gaule de Denys l'Aréopagite, traditionnel premier évêque de Paris. Taurin est représenté à son arrivée à Évreux confronté face à un lion, un ours et un buffle, représentations des vices locaux d'orgueil, luxure et avarice. Il ressuscite trois enfants (Euphrasie, fille de Lucius ; Marinus, fils du préfet Licinius et de Léonille, et son compagnon Paschase), chasse un démon d'une statue païenne et exorcise des possédés, transforme le temple d'une déesse en la première église de la ville (« Notre-Dame de la Ronde », détruite à la Révolution), et baptise de nombreux Ébroïciens dans l'Iton. Martyrisé par les Païens à Gisay, au Vieil-Évreux, il survit à sa flagellation. Avant de mourir le , sans doute en 412, il prédit l'invasion franque, la destruction de la cité mais la persistance de la foi. Les troubles suivants feront oublier le lieu de son tombeau, qui ne sera découvert par saint Laudulphe qu'en 613. Il est fêté le 11 août, jour de sa naissance au Ciel ; chaque année, des pèlerins viennent le célébrer en son église éponyme ; la paroisse de la cathédrale le célèbre quant à elle à la rentrée de septembre.
  • Saint Mauxe (ou Maxime), évêque missionnaire, son frère diacre saint Vénérand, et les prêtres Marc et Éthérius vinrent d'Italie se réfugier au Clos Saint-Mauxe à Acquigny (diocèse d'Évreux) où ils moururent martyrs : le proconsul Sabinus les y poursuivit et leur fit trancher la tête, ainsi qu'à trente-huit de ses propres soldats que les Saints avaient convertis par leurs paroles et leurs miracles. Jean, abbé de Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Châtillon-lès-Conches, offrit en 1480 une partie notable du chef du diacre martyr à Guy XIV de Laval (1406-1486), qui les transmit en 1490 à l'église Saint-Vénérand de Laval. Fêtés le 25 mai. La translation de leurs reliques en 1766 est commémorée le 11 mai.
  • Saint Gaud, 2e évêque d'Évreux au Ve siècle, entre 440 et 480. Il se retira ensuite comme ermite dans le Cotentin à Saint-Pair-sur-mer, où il mourut le  ; son corps est toujours vénéré sous un autel de l'église. Fêté le 31 janvier. Une translation de son corps eut lieu en 1664 ; le chapitre cathédral d'Évreux envoya une délégation qui rapporta des reliques[11]. Cette Translation est commémorée le 11 novembre.
  • Sainte Clotilde (474-545), reine de France et veuve du roi Clovis Ier (466-511), fondatrice en 511 aux Andelys d'une église et d'un couvent féminin (le plus ancien monastère de Normandie), sur lesquels se dressa plus tard la collégiale Notre-Dame, qui reçut en 1656 une côte de la Sainte. Fêtée le 3 juin.
  • Saint Vigor, évêque de Bayeux et sans doute d'Évreux (selon les leçons de matines du bréviaire d'Évreux), patron de la ville de Pont-de-l'Arche. Mort un avant 538, il est fêté le 5 novembre.
  • En 613, Invention (c'est-à-dire découverte) du corps de saint Taurin par saint Laudulphe, instruit par un Ange lui étant apparu. Les reliques de l'évêque seront mêlées à celles du premier évêque dans la châsse confectionnée au XIIIe siècle. Fête le 5 septembre.
  • Saint Aquilin (620-695), originaire de Bayeux, évêque d'Évreux au VIIe siècle. Officier de Clovis II (635-657) puis ermite, il fut choisi comme évêque par les Ébroïciens. Fêté le 19 octobre.
  • Les saints évêques d'Évreux étaient traditionnellement célébrés le 18 août[12], jour octave de la fête de saint Taurin. Depuis le XXe siècle, ils le sont le 1er septembre[13].

Abbés et religieux du Moyen Âge

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  • Saint Adjutor (1070-1131), chevalier croisé puis moine-ermite, originaire de Vernon, aux XIe – XIIe siècles. Fêté le 30 avril, jour de sa mort.

Événements liturgiques

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  • Cette même année, dédicace de l'abbatiale du Bec par le bienheureux Lanfranc (mort en 1089, fêté le 28 mai), archevêque de Cantorbéry. Fêté le 23 octobre.
  • Le , le roi Louis IX (1214-1270) vient assister au sacre de l'évêque d'Évreux Raoul III de Grosparmy (1202-1270) en l'abbatiale Saint-Taurin. Mort en 1270, il est célébré le 25 août comme patron secondaire d'Évreux ; l'église des Jacobins (Dominicains) de la ville devint d'ailleurs en 1299 la première église de France consacrée au saint roi, et ce dernier est représenté sur la châsse de saint Taurin.
  • En 1318, l'Église d'Évreux commence à célébrer la Fête-Dieu, après Rouen l'année précédente et Coutances (1260).
  • En 1450, réduction de la Normandie à l'autorité royale et fin de la guerre de Cent Ans. Afin de célébrer l'événement, Charles VII (1403-1461) décrète une procession générale (dite du « Vœu de Charles VII ») chaque 12 août.

Martyrs des guerres de Religion

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Trois religieux ébroïciens moururent martyrs des soldats huguenots[14], assassinés en haine de la foi catholique le dans les faubourgs d'Évreux lors du siège de la ville par l'amiral de Coligny Gaspard II. Le chanoine Guillaume Foucault fonda, en action de grâces[15] pour la délivrance de la cité[16] par le duc d'Aumale Claude II de Lorraine-Guise, l'office solennel de sainte Agathe avec une procession générale, qui traversa jusqu'en 1790 les rues d'Évreux chaque 5 février après Tierce. Les martyrs sont :

  • le frère Denis Dupont, Cordelier (Franciscain) : il eut les yeux crevés, la tête fendue et le corps roué de coups ;
  • le frère Louis Le Grip, Cordelier (Franciscain) : il fut tué d'une balle dans le cou ;
  • le frère Robert Culvan, Jacobin (Dominicain) : il mourut percé de flèches.

Saints ecclésiastiques de l'époque moderne

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  • Henry-Marie Boudon (La Fère, - Évreux, ), dit « Monsieur Boudon », successeur de saint François de Laval (voir ci-dessous) comme grand-archidiacre d'Évreux de 1654 à sa mort. Membre de la Société des « Bons Amis » de Jean Bagot (1591-1664), auteur prolifique et apôtre de la dévotion aux saints Anges au XVIIe siècle, il fut ordonné prêtre le en la chapelle du palais épiscopal d'Évreux par Gilles Boutault (1597-1661), et relança le culte de saint Taurin. Inlassable voyageur, il prêcha dans de très nombreuses provinces françaises, et jusqu'aux Pays-Bas espagnols et en Bavière, dont sa dirigée la princesse Mauricette-Fébronie de La Tour d'Auvergne (1652-1706) était administratrice (et duchesse douairière en 1705) pendant la minorité de Maximilien-Marie, avec son époux Maximilien-Philippe de Bavière, landgrave de Leuchtenberg, oncle de celui-là et fils de Maximilien Ier de Bavière. Victime quelques années d'une cabale, abandonné de tous même de saint Jean Eudes, il fut finalement reconnu innocent et retrouva la confiance de Henri Cauchon de Maupas (1604-1680). Après avoir travaillé sans relâche à la régularité et à la sanctification du clergé, il mourut en odeur de sainteté en 1702 à l'âge de 79 ans et fut inhumé dans la chapelle des Saints-Anges, siège de son Archiconfrérie[17], en la cathédrale d'Évreux à côté de celle du baptistère. François Grolleau, évêque d'Évreux de 1870 à 1890, procéda à la reconnaissance de ses restes le et ouvrit son procès en béatification en 1888. Un pèlerinage initié par lui a lieu chaque premier mardi des mois, de sa tombe à la colline Saint-Michel.

Martyrs de la Révolution

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  • Le bienheureux René Vallée (Saint-Aubin-des-Hayes, - Évreux, ), curé de Pithienville et martyr[20]. Demeuré courageusement dans sa paroisse, élu maire mais refusant de prêter serment à la Constitution civile du Clergé, il fut arrêté en 1794, conduit à Évreux, condamné à mort et guillotiné le 12 ou sur la place Saint-Léger[21].
  • Le frère Cyrille Langlois du Roulle (1758-1794) dit le « Père Cyrille », né au diocèse d'Évreux (au Roule ou à Vernon). Capucin à Dijon, réfractaire à la Constitution civile du clergé, il fut arrêté, déporté à Rochefort en 1793 et mourut à 36 ans le .
  • L'abbé Antoine Marie François Hallé d'Amfreville (Rouen, [22] ou 1759[23]Évreux, ), prêtre et chanoine de la collégiale d’Écouis, conseiller-clerc au parlement de Normandie (1784-1790) et syndic du clergé normand la même année. Retiré à Écouis, il se vit privé de traitement et de logement ; réfugié chez son parent M. de Bellemare, à Bosbénard-Commin, il dut ensuite errer dans les environs de Pont-Audemer et fut arrêté à Campigny le , transféré à Évreux le et exécuté le pour n'avoir ni émigré ni prêté serment à la Constitution civile du clergé. « La tradition rapporte qu’au moment suprême, il se tourna vers l’exécuteur, l’embrassa et lui fit accepter, en signe de pardon pour tous ceux qui avaient concouru à son fatal destin, l’anneau qu’il portait au doigt ». Il portait : d'azur, à la fasce d'argent, chargée de deux coquilles de gueules, accompagnée de deux étoiles d'or[24].
  • Deux des seize carmélites de Compiègne, vierges et martyres de la Révolution, étaient originaires du diocèse d'Évreux. Arrêtées les - à Compiègne, incarcérées à l'ancienne Visitation, elles sont transférées à Paris le , accusées par Antoine Fouquier-Tinville (1746-1795). Refusant de prêter le serment Liberté-Égalité, elles sont jugées et exécutées le  ; Mère Thérèse de Saint-Augustin, leur prieure, monte à l’échafaud la dernière. Elles sont béatifiées en 1906, fêtées le 17 juillet et popularisées à partir de 1931 grâce à Gertrud von Le Fort (1876-1971). Il s'agit de :
    • la bienheureuse Euphrasie de l'Immaculée Conception (née Marie-Claude-Cyprienne Brarde ; Bourth, - Compiègne, ). Sœur de chœur, elle meurt à 58 ans ;
    • la bienheureuse Julie-Louise de Jésus (née Rose Chrétien de Neuville ; Évreux, - Compiègne, ). Sœur de chœur, elle meurt à 53 ans.

Époque contemporaine

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Notes et références

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  1. a et b Saint Taurin, premier évêque d'Évreux, saint patron du diocèse, Nominis.
  2. Marie Casset, Le manoir des évêques d’Évreux à Condé-sur-Iton, Mont-Saint-Aignan, Presses Universitaires de Rouen et du Havre, , 555 p. (ISBN 9782877754385, lire en ligne), p. 243-250
  3. admin, « Paroisses », sur Diocèse d'Évreux - Église Catholique dans l'Eure, (consulté le ).
  4. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 29.
  5. Carte du diocèse de l'évesché d'Evreux en Normandie / par P. Du Val d'Abbeville - Auteur : Duval, Pierre (1619-1683), géographe du Roy - 1654 [1]
  6. Site internet du diocèse d'Évreux [2].
  7. Corinne Barrandon, « Galette sans frère et en visio », Église d'Évreux,‎ , p. 10 (lire en ligne [PDF])
  8. Bernard Fagoo, « Vers un centre Saint-Jean Vert », Église d'Évreux,‎ , p. 15 (lire en ligne   [PDF]).
  9. sdamaz, « Carrefour des Cités », sur Diocèse d'Évreux - Église Catholique dans l'Eure, (consulté le ).
  10. « Les communautés religieuses », sur evreux.annuaire-eglise.net (consulté le ).
  11. Abbé Pierre Le Brasseur, Histoire civile et ecclésiastique du comté d’Évreux, Paris, François Barois, (lire en ligne), pp. 196-206
  12. a b c et d Abbé Malais, Calendrier normand et Analectes, Paris, Rouen, Derache, Lebrument, , 276 p. (lire en ligne), p. 64
  13. Missale Romanum, Tours, Mame, , Propre d’Évreux [33-35].
  14. Abbé René Delamare, Le Calendrier spirituel de la ville d'Évreux au XVIIIe siècle, Paris, Picard, , 468 p., p. 31-33.
  15. Société Henri-marie Boudon, « Vénérable Henri-Marie Boudon, Archidiacre du Diocèse d’Évreux : Anniversaire de la Libération d'Evreux », sur Vénérable Henri-Marie Boudon, Archidiacre du Diocèse d’Évreux, (consulté le ).
  16. Abbé Delanoé, Histoire des évêques d’Évreux.
  17. Abbé René Delamare, Le Calendrier spirituel de la ville d'Évreux au XVIIIe siècle, Paris, Picard, , 467 p., p. 7
  18. « Jean-Jacques de La Lande », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  19. Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891.
  20. Chanoine Romain-Stanislas Langlois, René Vallée: dernier curé et premier maire de Pithienville, Guillemare, , 104 p. (lire en ligne).
  21. « Bienheureux René Vallée », sur nominis.cef.fr (consulté le ).
  22. Gérard d'Arundel de Condé, Les anoblis par charges en Haute-Normandie de 1670 à 1790 : Parlement, chancellerie, cour des aides, chambre des comptes, bureau des finances, conseil supérieur, Le Puy, P. du Puy, , 413 p., p. 136.
  23. « Notice sur le Tribunal révolutionnaire du département de l'Eure - La Maraîchine Normande », sur shenandoahdavis.canalblog.com, (consulté le ).
  24. Stephano Louis Marye de Merval, Catalogue et armorial des présidents, conseillers, gens du roi et greffiers du Parlement de Rouen, Évreux, Imprimerie Auguste Hérissey, , 202 p., p. 138.
  25. Abbé Aimé Guillon, Les Martyrs de la Foi : ou Martyrologe des Pontifes, Prêtres, Religieux, Religieuses, Laïcs de l'un et l'autre sexe, qui périrent alors pour la Foi, 3, Paris, Chez Germain Mathiot, , 601 p. (lire en ligne), p. 347.
  26. Les Petits Bollandistes, Vies des Saints, t. 17, Paris, Bloud et Barral, , 592 p. (lire en ligne), p. 382.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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